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magouille et compagnie - Page 2188

  • Mieux vaut porter un niqab qu'un sweat de la Manif pour tous

    Trois nuits d'émeutes à Trappes, dans les Yvelines, en juillet. A l'origine, un jeune homme, Michaël Khiri, s'oppose violemment au contrôle d'identité de sa femme, qui est intrégalement voilée (ce que la loi interdit dans l'espace public). Il aurait été jusqu'à tenter d'étrangler l'un des policiers. Le tribunal correctionnel de Versailles vient de le condamner à trois mois de prison avec sursis et 1 000 euros d'amende.

    Michaël Khiri n'est pas Nicolas Bernard-Buss, arrêté arbitrairement après avoir participé à l'accueil de François Hollande devant M6. Ce dernier avait été condamné en première instance à 4 mois de prison dont 2 fermes, avec mandat de dépôt. En appel, après avoir croupi 20 jours à Fleury-Mérogis, il a écopé de 3 000 euros d'amende, la moitié avec sursis. Sans qu'aucune infraction n'ait été prouvée.

    Addendum :

    Une information judiciaire pour "incitation à la haine et à la discrimination raciale" a été ouverte contre l'un des policiers qui a participé à l'arrestation de Michaël Khiri. Le motif ? Il aurait posté sur son compte Facebook une photo représentant une femme en niqab devant une mosquée, sous un ciel éclatant, le tout agrémenté du logo de Trappes et de ces mots : "la douceur de vivre". La photo viendrait du groupe "les femmes blanches sont les plus belles".

    Harry Roselmack et Christiane Taubira veulent nous prouver que le racisme progresse en France ? Nous voilà convaincus.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Coup de fusil de la Cour des comptes sur la Fédération nationale des chasseurs

     

    Si vous n’êtes pas chasseur, le nom de Bernard Baudin ne vous dira rien. Si vous l’êtes, vous pensez qu’il défend vos intérêts. Or la Cour des comptes a mis son nez dans le terrier de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), qu’il préside. Elle envoie du gros plomb sur les rémunérations en or de la FNC… et sur ses pratiques.

     

    Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas, doit se dire… le maire de Nice, Christian Estrosi. Bernard Baudin n’a pas, en effet, que la chasse pour passion; la politique est son autre marotte et il siège comme conseiller municipal, de puis 2008, à la mairie de Nice. De 2004 à 2010, il a aussi été conseiller régional en Paca. Et en 2011, il s’est fait élire conseiller général des Alpes-Maritimes, sous les couleurs de l’UMP, dans le 7e canton de Nice, avec 55,90 % des voix (seulement) face à un candidat du Front national après quelques péripéties qui ont failli entraîner l’invalidation du scrutin; c’est passé.

     

    Un directeur mieux payé qu’un premier ministre !

     

    Le rapport que la Cour des comptes a consacré à la Fédération nationale des chasseurs, lui, risque de passer moins facilement. Le monde de la chasse bruissait, depuis plusieurs mois, de ce rapport confidentiel, remis à la FNC en juillet dernier, aux découvertes que l’on disait alarmistes, voire scandaleuses. Le numéro de novembre de « Plaisirs de la chasse » a dévoilé ses conclusions.

     

     

     

    Elles sont en effet étonnantes et vont faire d’autant plus de bruit que le budget de la FNC, interlocuteur privilégié des pouvoirs publics, provient, pour l’essentiel, des « contributions obligatoires » des chasseurs qui, lorsqu’ils acquittent leur permis de chasse, versent 3,27 euros qui vont atterrir dans les caisses de la FNC. Au total, avec les diverses subventions qu’elle reçoit, la FNC affiche un budget annuel de 13 millions d’euros, soit 10 euros par tête de chasseur. Ce qui lui permet de mener grand train…

     

    Son équipe dirigeante perçoit, comme l’écrit « Plaisir de la chasse », des « salaires de ministres ». Pour son directeur: 203.000 euros bruts annuels, « en progression de 36 % en six ans »! Pour la directrice adjointe: 118.000 euros bruts annuels, en progression de 35 % sur la même période! Et pour le directeur administratif et financier, 103.000 euros, en progression cette fois de 72 %!

     

    « Le salaire du directeur de la FNC (16.290 euros mensuels sur la période 2010-2012), écrit notre confrère, est donc supérieur à celui du premier ministre »! Jean-Marc Ayrault ne perçoit en effet « que » 14.910 euros par mois. Et celui de la directrice adjointe est, à 100 euros près, celui d’un simple ministre (elle touche 9.833 euros). Et comme il n’y a pas de petites économies, le directeur de la FNC, un peu mesquin, bénéficiait également de la prise en charge, par la fédération, de son abonnement internet/ téléphone/télévision à hauteur de 45 euros par mois au douteux motif, a tenté d’expliquer la FNC à la Cour des comptes, que l’intéressé consultait ses mails professionnels depuis son domicile!

     

    « Secret défense » dans les allées du pouvoir

     

    Président de la FNC depuis 2010, Bernard Baudin va donc devoir expliquer à ses adhérents contraints et forcés pourquoi il a toléré de telles rémunérations, et pourquoi, aussi, il a accepté qu’un « lobbyiste » – le terme figure dans le rapport de la Cour – perçoive, chaque année, entre 180.000 et 200.000 euros de la FNC pour des missions qui n’ont pas laissé de traces écrites… Hormis bien sûr la présentation de notes de frais… Sa mission aurait consisté à « accompagner les négociations politiques et techniques en liaison avec les parlementaires, les cabinets ministériels… »

     

    Cet homme, doté de beaucoup d’entregent et d’une santé de fer, aurait organisé, selon la FNC, « des dizaines de réunions par mois » Avec des conseillers du chef de l’Etat ou du premier ministre, avec les membres des groupes chasse de l’Assemblée nationale et du Sénat, etc., avec des membres de cabinets ministériels, etc. Mais la transparence de la FNC s’arrête là où commence le « secret défense »: à la porte des alcôves… « Beaucoup d’informations collectées et de rendez-vous organisés, a-t-il confié à la Cour des comptes, ont un caractère très confidentiel qui empêche toute diffusion hors d’un cercle restreint », ajoutant qu’« une part non négligeable des missions confiées ne peut faire l’objet d’aucune valorisation, même interne, afin de ne pas mettre en difficulté certains de nos informateurs et de nos partenaires ». On ne saurait mieux reconnaître que la démocratie parlementai re s’arrête, elle, là où débutent les petits arrangements avec les gros lobbies.

     

    La Cour des comptes s’étonne d’autant plus des pratiques de ce lobbyiste que la FNC rémunère déjà un avocat pour des missions semblables ! Lui aussi rencontre les conseillers, lui aussi casse la graine avec des parlementaires. Pas les mêmes, alors? Et est-ce le même avocat que celui (Me Charles Lagier) qui a écrit un Code de la chasse, préfacé par Bernard Baudin et dont le même Bernard Baudin recommande vivement l’achat à ses adhérents?

     

    En août dernier, alors que le rapport de la Cour des comptes lui était déjà connu mais n’avait pas été divulgué, Bernard Baudin avait été réélu haut la main à la présidence de la FNC avec 75 % des voix (ce qui n’est pas un prodige et est même surprenant: il n’avait pas de rival !). Il avait alors affirmé bénéficier d’une « légitimité renforcée ». L’état de grâce est terminé et, pour les chasseurs, cela va être la double peine puisque les écologistes ne vont pas manquer de s’engouffrer dans cette gabegie et ces mauvaises manières antidémocratiques. On ne peut même pas conseiller à Bernard Baudin de se faire recaser au Conseil économique, social et environnemental, il y siège déjà. Au titre des personnalités qualifiées.

     

    Antoine Vouillazère

     

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 6 novembre 2013, reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

     

    Coup de fusil de la Cour des comptes sur la Fédération nationale des chasseurs

    http://fr.novopress.info/144281/coup-de-fusil-de-la-cour-des-comptes-sur-la-federation-nationale-des-chasseurs/#more-144281

  • Peillon va payer et il le sait…

    vincent-peillon

    Qu’a donc fait lundi matin Vincent Peillon, après son passage sur France Inter ? Gageons qu’il a commencé à rassembler ses petites affaires. Là-bas, au ministère. Rangé ses papiers, décollé ses Post-it, fait le tri des stylos, serré dans son cartable le cadre avec la photo de famille qui trônait sur son bureau. Peut-être commencé à serrer des mains émues à des secrétaires dans le couloir : « Je vous regretterai, Ginette ! »

    Car ça sent la fin. Le monsieur a réussi à mettre tout le monde en pétard. On se bouscule, on s’arrache les dates de cette première quinzaine de novembre pour aller battre le pavé : le 5, le 7, le 13, le 14. Les profs, les parents, les élèves. Les uns contre les rythmes scolaires, les autres pour Leonarda.

    Alors si Hollande doit faire un exemple, s’il doit sacrifier l’un des siens à la foule en colère qui crie sous ses fenêtres, ce sera celui-là : Peillon va payer…

    Peillon le sait si bien qu’il a déjà assuré ses arrières et annoncé, il y a quelques semaines, qu’il serait à nouveau candidat aux européennes. On s’inquiète, on s’ébaubit, on se perd en conjectures : mais comment diable va-t-il se débrouiller avec le cumul des mandats ? Bande de naïfs. Puisqu’on vous dit que Peillon va payer… Sera-t-il plus efficace dans une instance européenne qu’il ne l’a été dans son ministère ? Non, bien sûr, mais une étiquette européenne vous donne une expertise, une hauteur, une apparence de neutralité qui vous mettent à l’abri des invectives du petit peuple. Non que ce dernier ne souffre plus, mais dans votre Olympe, vous êtes comme derrière un mur anti-bruit.

    Peillon va payer et on se dit que la gentillesse, elle, ne paie pas. Car on n’a pas connu plus onctueux, plus miséricordieux, plus à l’écoute que ce ministre-là avec les lycéens. Les lycéens qui manifestent pour le retour de Leonarda, mais aussi pour celui de Khatchik, un jeune Arménien. Et puis encore, tant qu’on y est, pour celui de tous les autres, la foule des jeunes expulsés anonymes. Autant vous dire qu’à ce train-là, les boutonneux en colère ne sont pas près de revenir en classe. Peillon, sur France Inter, a demandé aux lycéens d’éviter « violence » et « blocus », mais il dit avoir entendu leur « émotion » et leur « générosité »… Voyez-vous, chers amis, nous avons été lycéens bien trop tôt. Lorsque nous autres séchions les cours, avant l’ère Peillon, personne n’entendait notre « émotion ». On ne nous disait pas « c’est de la générosité » mais plutôt « c’est une heure de colle et un mot dans le carnet de correspondance ».

    Peillon aime d’ailleurs tant les enfants qu’il veut les mettre à l’abri de leurs propres parents. Déjà, l’an passé, il parlait d’une morale laïque qui serait « indépendante de tout déterminisme familial ». Lundi, toujours sur France Inter, évoquant le courroux des parents concernant les rythmes scolaires, il a rétorqué que cette réforme était faite « pour les élèves, pas pour les parents ». Comme si, dans une famille, les intérêts des uns et des autres n’étaient pas convergents. Comme si le cher homme oubliait que, dans l’urne électorale, ceux qui glissent la petite enveloppe sont encore… les parents. Hollande lui, ne l’a pas oublié, et c’est pour cela que Peillon va payer. Mais sera-ce suffisant pour régler la facture ?

    Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/peillon-va-payer-et-il-le-sait_88222.html

  • N’oublions pas Esteban, emprisonné depuis 5 mois pour s’être défendu contre une agression de gauchistes

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  • Face à la dénaturation du mariage, le maire de Fontgombault montre l’exemple catholique

    Le Maire de Fontgombault montre l’exemple. Jacques Tissier, maire de la petite commune de Fontgombault  dans l’Indre, ainsi que la majorité de son conseil municipal (sept sur dix – deux abstentions – un contre), ont pris l’engagement de refuser de procéder au mariage de personnes de même sexe. Et si les autorités de la République avaient l’intention de les y contraindre, le maire et ses adjoints démissionneraient, considérant que la loi naturelle est supérieure aux lois humaines.

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  • Bordeaux : Le Printemps Français affiche contre le Gender

    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – Plusieurs lieux « symboliques » de Bordeaux ont été choisis la nuit du 5 au 6 novembre par des militants du mouvement « Printemps Français », afin de manifester leur désapprobation contre la théorie du genre.

    Bordeaux : Le Printemps Français affiche contre le GenderDes affiches ont donc été apposées sur les murs du planning familial (avenue Thiers), du Syndicat national unitaire des instituteurs professeurs des écoles, devant les IUFM et une annexe de la CUB (photos).

    « Nos enfants ne sont pas des cobayes », « Hollande démission », « No Gender », tels sont les messages aperçus sur ces bâtiments.

    Le planning familial (proche de la gauche et de l’extrême-gauche) a porté plainte hier matin « pour dégradations et menaces de mort », par l’intermédiaire de sa présidente, Nicole Blet.

    Dans un communiqué de presse, le candidat socialiste à la mairie de Bordeaux, Vincent Feltesse, (qui avait donné 20 000 euros sur sa réserve parlementaire au Planning Familial), « apporte naturellement son soutien à l’association ».

    Bordeaux : Le Printemps Français affiche contre le Gender

    Bordeaux : Le Printemps Français affiche contre le Gender

  • La République « taxatrice »

     

    Dans le dernier numéro de Politique Magazine, Hilaire de Crémiers écrit :

    P"La République « taxatrice », tel est le qualificatif d’un français exact qu’il convient de lui accoler : elle n’est plus que ça. Elle a prétendu tout gérer, tout prendre en main, depuis l’éducation des tout-petits jusqu’aux soins et même aux non-soins des vieillards, assurer la justice sociale, redistribuer les richesses, garantir les assurances sociales et en établir les budgets, imposer les conceptions de ses sectateurs dans tous les domaines, y compris et d’abord dans l’instruction, l’information et même la morale politique. Bref, elle est censée tout faire, même la décentralisation, ce qui est un comble pour une République centralisée qui, en fait de décentralisation, n’organise que la pagaïe et ne fait prospérer que les partis, les hommes de partis qui vivent d’elle, de ses prébendes, des innombrables privilèges dont ils ont su se doter, plus nombreux, plus sûrs que les privilèges du passé qui se payaient en charges à assumer, en honneur à sauvegarder, en sang à verser. Là, rien !

    Rien ! D’un côté des taxes, encore des taxes, toujours des taxes ; de l’autre de moins en moins de services rendus et de plus en plus mal rendus, une France à l’encan, des administrations pléthoriques dont nul ne connaît les innombrables arcanes, au point que le chef de l’Etat lui-même n’arrive pas à chiffrer à moins de 800 000 (!) – il est en fait largement en-dessous – le nombre de règles dont l’administration républicaine a su enserrer le citoyen français, pour l’empêcher de vivre, de respirer, de travailler, de s’épanouir, ce qui a amené François Hollande à proposer récemment avec cette incroyable impudence qui le caractérise, l’idée d’un « choc » de simplification administrative. Eh bien, tous ceux qui affrontent les difficultés de la vie quotidienne, en fait de simplification, n’ont rien vu venir ; en revanche, ils ont subi de plein fouet choc fiscal sur choc fiscal, doublé en conséquence de chocs administratifs à répétition, puisqu’à chaque fois que les impôts augmentent, que les taxes se multiplient, les systèmes de contrôles se renforcent, ce qui, après tout, est logique. Mais alors, quelle indécence d’oser parler de simplification !

    La France est exsangue ; tous ses comptes sont dans le rouge : 2 000 milliards de dettes publiques à la fin de l’année, un déficit qui sera si loin d’être corrigé qu’il dépassera encore les prévisions au-dessus de 4% ; des déficits aggravés sur les comptes sociaux devenus irrémédiables, 350 milliards cumulés, qui sont dissimulés par des jongleries de branche à branche et de compte à compte dont les procédés relèvent de la menterie organisée ; le matraquage fiscal et aussi bien parafiscal qui frappe les contribuables et pas seulement les plus aisés, la matière et l’assiette des impositions s’élargissant au-delà même des capacités contributives ; des entreprises qui n’ont plus de marge et qui perdent leur compétitivité ; partout des arrêts d’activité, des plans sociaux, un chômage qui gangrène la France tout entière malgré les rodomontades d’un François Hollande de plus en plus coupé de la réalité et qui persiste à affirmer que la fameuse courbe va s’inverser ; enfin une agriculture bradée et toute la chaîne agroalimentaire mise en difficulté, l’Allemagne s’étant assurée la place que la France perd inéluctablement.

    Plus de 35 milliards de prélèvements obligatoires supplémentaires, une dépense publique qui loin de diminuer atteint aujourd’hui 57% du PIB et qui fait ainsi de la France le pays le plus étatisé et le plus imposé d’Europe et du monde civilisé, avec des dépenses sociales à hauteur de 600 milliards – 200 milliards de plus que le budget du seul état ! – dont nul ne contrôle plus la croissance, l’efficience ni même l’utilisation, soit 33% du PIB, 58% de la dépense publique ; cette année encore, 16 milliards de déficit et non compensés, la cadès n’y suffisant plus. Tous ces chiffres effarants sont votés, coup sur coup, budget de l’état, budget de la Sécurité sociale, par des députés et des sénateurs, la plupart inconscients et, d’ailleurs, largement absents aux séances. [...]

    L’état n’est plus l’état et le peuple, dans toutes ses différentes composantes, ne sait plus à qui se fier. Le consentement à l’impôt dont nul ne sait plus à quoi il sert, est remis en cause. Les institutions fondamentales sont touchées, cependant que les appareils de partis sont toujours là, qui prétendent profiter de la situation. La Ve République est aussi malade que la IVe finissante.  Aucun procédé politicien, changement ministériel, même dissolution de la Chambre, ne la sauvera de son mal endémique devenu institutionnel : elle n’est plus qu’un avatar du régime des partis, celui qui fit toujours le malheur de la France et la jeta régulièrement en guerre civile. [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/la-r%C3%A9publique-taxatrice-.html

  • Au plus bas dans les sondages, la gauche nous ressort les gros sabots d’un supposé racisme des Français

    PARIS (NOVOpress) – La crise sociale et économique s’accentue, l’exécutif et la majorité législative n’ont jamais été aussi impopulaires, la crainte d’une contagion de la révolte des Bonnets rouges associant révolte sociale et fiscale et problématique identitaire n’a jamais été si forte, mais que fait le gouvernement ? Eh bien, ils nous ressort les gros sabots d’une propagande d’un supposé racisme de la société française et des Français.

    Cela a commencé hier avec la tribune publiée par Le Monde du journaliste vedette de TF1 Harry Roselmack

     

    Un Harry Roselmack qui fustige « la France raciste », mais qui doit son poste à TF1 à un lobby très efficace quant à la discrimination positive, le Club Averroes, suite à une promesse de Nicolas Sarkozy. Et Harry Roselmack est lui-même membre de ce lobby qui vise à faciliter l’intégration des minorités au sein des postes d’influence.

    Dans cette tribune Harry Roselmack indique s’insurger contre le « racisme » dont serait victime Christiane Taubira. Et là patatras, Libération fait sa Une aujourd’hui avec un entretien où le garde des Sceaux fait aussi part d’un supposé racisme des Français. Sans oublier la Une du Parisien d’aujourd’hui.

    Entretien avec Libération au cours duquel elle s’insurge contre une soi-disant libération de la parole, et de politiques responsables de la montée de ce prétendu racisme.

    Et pis que tout, Christiane Taubira s’offusque du peu de réactions face aux attaques « racistes » qu’elle aurait subies depuis les manifestations contre le mariage gay. Et si c’était cela le vrai fond de l’affaire ? Trouver l’argument ultime pour sauver le soldat Taubira. Surtout quand les conséquences délétères de ses réformes laxistes, positives pour les bourreaux et négatives pour les victimes, vont se faire sentir.

    Oui, trouver la parade sidérante comme le décrit si bien la fondation Polémia. Celle qui vous oblige à justifier à chaque fois que vous critiquez un fait ou un projet que vous n’êtes pas raciste. Justification qui malgré tout vous rend suspect.

    Et cet énième procès en racisme des Français arrive opportunément face à une réaction des Français, qui confrontés à la réalité hyperviolente du Grand remplacement veulent tenter autre chose. Pour tant le réel est bien là, et comme l’indique Gabriel Maztneff dans a tribune pour Le Point : « La première fois que, regagnant ma garçonnière après un dîner chez des amis, je me rendis compte que dans le wagon de métro (entre la station Gare-de-l’Est et la station Odéon) j’étais l’unique voyageur blanc, que tous les autres étaient soit noirs soit café au lait, cela me surprit tant, je sortis mon carnet, mon stylo, et je le notai. C’était en 1977 ou 1978. Je le notai sans acrimonie, comme j’aurais noté n’importe quelle autre bizarrerie ou curiosité, mais aujourd’hui cette phrase, lue par un oeil malveillant, pourrait assurément être interprétée comme un aveu de racisme. En effet, si nous avions été tous blancs, je n’aurais rien noté. Je n’ai sorti mon carnet et mon stylo que parce que j’étais le seul et que c’était la première fois. »

    Et comme le fait remarquer Fabrice Robert ce combat contre le racisme sert aussi à nier la réalité de sociétés multiraciales.

    Et ce d’autant que Christiane Taubira expliquait lors de la dernière élection présidentielle que le mot race allait disparaître (ce qui a été fait). Mais alors si le mot race n’existe plus, cela voudrait-il que le racisme n’a plus de raison d’exister, et qu’il n’a plus à être utilisé ?

    Arnaud Naudin

    http://fr.novopress.info/144118/au-plus-bas-dans-les-sondages-la-gauche-nous-ressort-les-gros-sabots-dun-suppose-racisme-des-francais/#more-144118