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magouille et compagnie - Page 2240

  • Après le RMI et le RSA, un nouveau machin : la « GJ »

    Vingt-cinq ans après la création par l’inénarrable Michel Rocard du « Revenu minimum d’insertion », lequel s’est rapidement transformé en « revenu maximum d’indolence », puis en « Revenu de solidarité active » ou « revenu sans avenir », nos socialistes nouveaux qui ont l’art de pratiquer le changement sans rien changer en remettent une couche en inventant la « Garantie jeune ».

    Si vous avez entre 18 et 25 ans et que vous vous trouvez en situation précaire, isolé, sans ressources et qu’en dépit des 3,2 millions de chômeurs qui sont déjà devant vous, vous décidez courageusement de braver l’adversité, l’État-providence va se fendre d’une « Garantie jeune », un nouveau droit – parce que vous le valez bien – qui devrait vous permettre de vous insérer dans la vie professionnelle. Celle-là même dont sont privés les 3 millions de demandeurs d’emploi.

    L’État garantit 450 euros mensuels. Le RSA, quant à lui, s’élève à 483 euros. À quelques euros près, notre État aurait pu faire un effort d’équité. Mais il paraît qu’il n’y a pas de petites économies !

    Dans un premier temps, 10.000 jeunes seront concernés. Parmi les dix territoires retenus se trouvent les Bouches-du-Rhône (tiens !), la Seine-Saint-Denis (tiens, tiens !), le Vaucluse (oh ?) et un DOM : La Réunion, à taux de chômage et nombre de bénéficiaires de RSA record. Des prestations qui, sans faire de vague, semblent s’y transmettre d’une génération à l’autre depuis 1988. Si les Réunionnais se sont insérés, ce n’est pas dans une vie professionnelle mais dans une vie tout court.

    Les socialistes, forts de leurs expériences réussies et toujours pétris d’une noble et grande âme, décident donc, en 2013, quand chaque jour 1.000 personnes perdent leur job parce qu’une usine met quotidiennement la clé sous la porte, et quand chaque jour 1.500 personnes voient leur niveau de vie passer au-dessous de la barre du seuil de pauvreté, quand la classe moyenne est asphyxiée par les impôts, les socialistes donc, continuent de dépenser l’argent qu’ils n’ont pas puisque ce revenu est destiné à 100.000 jeunes par an.

    Mais on peut se demander si les socialistes ne poursuivent pas, en vérité, des buts inavouables. Quand l’entreprise de déculturation massive qu’est devenue l’école poursuit son funeste dessein en lâchant sur les bancs de la fac des bacheliers quasi illettrés, quand elle introduit à la rentrée la théorie du genre afin de créer l’homme nouveau sans passé, sans culture, sans sexe défini, il n’y a en effet plus que cela à faire : donner l’aumône à 100.000 jeunes par an que l’État a lui-même contribué à jeter sur le carreau.

    Finalement, 450 euros après vous avoir détruit, c’est vraiment une misère !

    Source: BVoltaire

  • Le lobby LGBT s'invente un problème en Russie

    Le ministre russe des Sports Vitaly Moutko a répondu à un journaliste étranger à propos de la désinformation répandue par les mouvements LGBT sur la Russie :

    "La loi en question n'empiète sur les intérêts des citoyens, y compris étrangers, que ce soient les sportifs, les organisateurs ou les supporteurs. Cela fait dix jours que vous êtes à Moscou, avez-vous des exemples de problèmes liés à cette loi? (…) Je pense que ce problème est inventé".

    M. Moutko a rappelé que la loi interdisant la propagande gay auprès des mineurs se conformait à la convention des Nations unies sur la protection des enfants.

    "Nous voulons juste protéger nos enfants, dont le psychique n'est pas encore formé, contre la propagande des drogues, de l'alcoolisme et des relations sexuelles non-traditionnelles. Cette loi ne vise personne, elle n'empiète ni sur la vie privée, ni sur les intérêts de qui que ce soit. Je n'ai qu'à répéter que les droits et les libertés de tous les invités et participants aux Jeux olympiques seront pleinement respectés".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • François Hollande : Le désastre annoncé des fausses prévisions économiques

    Voici une chronique de BFM TV qui fait froid dans le dos. Emmanuel Lechypre nous dresse un portrait inquiétant concernant la réalité des chiffres de l’économie française.

    François Hollande ne serait pas seulement nul en géographie, notre cher président est également un véritable cancre en économie. Après avoir parlé de Macédonie au lieu de Macédoine, le chef de l’état est maintenant ciblé par les spécialistes économiques.

     

    En effet, la bulle spéculative des promesses faites en 2012 sont sur le point de voler en éclat. L’effet politique des annonces miracles n’aura pas duré suffisamment longtemps, en effet la croissance ne sera pas au rendez-vous cette année.

    C’est désormais une certitude et ce n’est que le début !

    Une nouvelle qui fait l’effet d’une douche froide pour le contribuable, l’indice de croissance pour le bilan 2013 ne dépassera pas les 1 %. Un chiffre bien loin des 1,7 % annoncés par François Hollande. Emmanuel Lechypre de BFM TV met directement en cause les prévisions de François Hollande et relève une erreur de 5 point dans le calcul prévisionnel du PIB.

    Les conséquences sont lourdes, les promesses de politiques sociales ne peuvent plus être soutenues financièrement. Le gouvernement se retrouve ainsi dans une impasse avec l’obligation d’augmenter les impôts et les taxes.

    Si le contribuable se fait déjà un sang d’encre pour la gestion de ses économies, les internautes semblent encore capables de jouer la carte de l’ironie, reste à savoir pour combien de temps encore.

    meltybuzz 

    http://fortune.fdesouche.com/317467-francois-hollande-le-desastre-annonce-des-fausses-previsions-economiques#more-317467

  • Retour instructif sur l’espionnage de la NSA

     

    Le scandale de l’espionnage systématiquement pratiqué par la NSA ne sert qu’un seul but: maintenir la prépondérance globale des Etats-Unis

    C’était le mardi 12 mars 2013: lors d’une audience auprès de la Commission spéciale du Sénat américain qui s’occupe du contrôle parlementaire des services secrets, le Sénateur Ron Wyden interroge James Clapper, directeur des services secets américains; il lui pose la question suivante: “La NSA collationne-t-elle toutes espèces de données concernant des millions voire des centaines de millions d’Américains?”. Clapper répond brièvement: “Non, Sir, pas à ma connaissance”.

    Aujourd’hui, quatre bons mois plus tard, on sait que Clapper n’a pas dit la vérité. En effet, grâce aux révélations d’Edward Snowden, ancien collaborateur de la NSA (“National Security Agency”), le monde entier sait, désormais, avec quelle ampleur les Etats-Unis pompent des données partout sur le globe, dans tous les réseaux existants. Ce n’est pas vraiment une surprise: les services secrets, c’est bien connu, s’intéressent à toutes les données possibles et imaginables et cherchent à s’en approprier par tous les moyens techniques disponibles, notamment sous prétexte d’empêcher que se commettent des attentats terroristes. Ce n’est pas vraiment là que réside le problème à nos yeux: le scandale des écoutes perpétrées par la NSA nous montre surtout en quelles puissances les Etats-Unis ont confiance ou n’ont pas confiance.

    L’émotion a été bien vive en République Fédérale d’Allemagne, quand on y a appris que Berlin était considérée, par les services de l’hegemon américain, comme “un partenaire de troisième classe”, qui peut et doit être espionné à un degré insoupçonné jusqu’ici! D’après le dossier publié par l’hebdomadaire “Der Spiegel”, les Etats-Unis ont pompé, chaque jour considéré comme “normal”, jusqu’à vingt millions de communications téléphoniques et jusqu’à dix millions d’échanges réalisés via l’internet, rien qu’en Allemagne. Quant aux jours dits “de pointe”, comme par exemple le 7 janvier 2013, la NSA a espionné près de soixante millions de communications téléphoniques. La fringale insatiable de Washington quand il s’agit de pomper des données, le fait que l’Allemagne soit considéré comme un “partenaire de troisième classe”, ne forment par encore la véritable surprise. Finalement, on a eu tendance à oublier, depuis la fin de la Guerre froide, que la République Fédérale d’Allemagne, tout comme le Japon d’ailleurs, est encore et toujours considérée, à Washington, comme un Etat de “seconde zone” sur le plan du droit des gens, car la clause des Nations Unies existe toujours qui pose ces deux pays comme des “ennemis”.

    L’article 107 de la déclaration des Nations Unies est sans ambigüité: “Aucune disposition de la présente Charte n’affecte ou n’interdit, vis-à-vis d’un Etat qui, au cours de la seconde guerre mondiale, a été l’ennemi de l’un quelconque des signataires de la présente Charte, une action entreprise ou autorisée, comme suite de cette guerre, par les gouvernements qui ont la responsabilité de cette action”. Ou pour s’exprimer plus clairement: les vaincus de la seconde guerre mondiale se trouvent encore sous la curatelle des puissances victorieuses et s’ils ne se conduisent pas “bien”, on peut sans hésiter intervenir militairement contre eux, dans les pires des cas. On peut mettre ce principe des Nations Unies en parallèle avec une déclaration qui figure dans la présentation des activités de la NSA, déclaration mise en exergue par le “Spiegel”: “Nous avons le droit d’appréhender tous signaux en provenance de la plupart de nos partenaires étrangers qui appartiennent à la “troisième classe” – et nous le faisons”.

    Comme le rapporte le quotidien britannique “The Guardian”, la RFA, en tant que “partenaire” des Etats-Unis n’est pas un cas isolé, en ce qui concerne l’espionnage. En effet, la NSA a pompé, rien qu’en mars 2013, 97 milliards d’éléments d’information dans le monde entier. Le pays le plus visé a été l’Iran (14 milliards d’informations), suivi du Pakistan (13,5 milliards) et de la Jordanie, l’un des alliés arabes les plus fidèles à Washington (12,7 milliards).

    Il est significatif également de noter que seuls les alliés les plus proches des Etats-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, font exception, ne sont pas les cibles d’attaques systématiques. Tous ces pays font partie du monde anglo-saxon, qui, sur bon nombre de plans, ressemblent aux Etats-Unis. Depuis des décennies, les Etats-Unis sont liés au Royaume-Uni par une “special relationship”. En 1946, lors d’une visite aux Etats-Unis, Winston Churchill décrivait comme “unique” la coopération entre les deux pays dans les domaines économique, politique, diplomatique et militaire. Rien n’a changé depuis lors, indépendamment du fait que les conservateurs ou les travaillistes soient au pouvoir à Londres, ou que ce soit un Démocrate ou un Républicain qui occupe la Maison Blanche.

    Le désir toujours inassouvi de Washington de pomper des données étrangères est lié aussi à la prétention d’être “la Cité lumineuse sur la colline”, appelée à gouverner le monde. Pour exprimer cet état de choses en termes profanes, il s’agit tout simplement de pérenniser l’hégémonisme américain, volonté qui ne peut se concrétiser que si l’on contrôle étroitement les rivaux existants ou potentiels. C’est dans cette optique que Paul Wolfowitz a ébauché un “Defence Planning Guidance” (DPG) en 1992, dernière année du mandat du Président George Bush (le Père). Wolfowitz a été, plus tard, le principal architecte de la guerre contre l’Irak. Dans ce DPG, l’un des trois “éléments-clefs” qu’il fallait à tout prix traduire en pratique était le suivant: l’état d’unipolarité devait être maintenu et il fallait empêcher l’émergence d’une superpuissance rivale que ce soit en Europe, en Asie ou ailleurs. Car, précisait ce DPG comme aussi le projet néo-conservateur de l’an 2000, baptisé “Project for the New American Century”, l’Amérique “se trouve à la tête d’un système d’alliances qui englobe aussi les autres principales démocraties du monde”.

    La stratégie mise au point en 2002 par la NSA a dès lors posé les bases de la “grande offensive d’écoute”. Le Président George W. Bush (le Fils), sous l’effet des attentats du 11 septembre 2001, constatait: “L’espionnage, tel que nous le pratiquons, constitue notre première ligne de défense contre les terroristes et contre les dangers émanant d’Etats ennemis”. Pour défendre les Etats-Unis sur le front intérieur, “On a poursuivi le développement de nouvelles méthodes pour rassembler des informations, afin de maintenir les avantages dont disposent déjà nos services de renseignement”. Tel était l’objectif. Le directeur des services secrets américains a pu élargir ses compétences et déployer dans une ampleur maximale ses activités à l’étranger.

    Les recommandations stratégiques de la NSA ont été traduites dans la réalité au cours des années suivantes. Les Etats-Unis espionnent donc leurs propres citoyens et leurs soi-disant “alliés”, dans une ampleur toujours croissante: cette pratique a commencé sous Bush-le-Fils; elle s’est poursuivie sans retard sous la présidence d’Obama.

    Bernhard TOMASCHITZ. http://euro-synergies.hautetfort.com/

    (article paru dans “zur Zeit”, Vienne, n°29/2013; http://www.zurzeit.at ).

  • Dernière ligne droite pour One of Us

    La pétition “One of Us” a déjà rassemblé plus de 850 000 signatures. Si elle mobilise un million de signataires avant le 1er novembre, le Parlement européen devra réfléchir à une interdiction du financement des recherches qui aboutissent à la destruction des embryons humains.

    L'obtention du nombre de signatures requis pendant la période donnée n'est pas simple. Neuf autres initiatives citoyennes risquent d'arriver à expiration cette année, même celles qui ont obtenu de la Commission européenne le titre de première initiative. Fraternité2020, qui cherche à mobiliser plus de financement pour l'échange européen Erasmus, n'a pas obtenu 100 000 signatures.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Dénaturation : les droits de l'homme réduits aux questions sexuelles

    Lu sur C-Fam :

    "Les pressions se font de plus en plus ressentir à l'ONU, alors que des dates importantes se rapprochent et que certains objectifs à long terme doivent être bientôt atteints. Pour certains, une des questions les plus importantes est l'avenir des droits et de la santé reproductifs et sexuels. C'est aussi pour ça que de plus en plus d'Etats membres expriment leur frustration face aux militants de l'avortement. A la fin d'une conférence récente, certains diplomates se sont plaints que les droits de l'homme soient de plus en plus réduits à la question des droits sexuels et reproductifs.

    « Tout a été conçu en fonction des termes "droits et santé sexuels et reproductifs", objectait un des représentants gouvernementaux. Ce ne sont même pas les termes [de l'accord du Caire], et on les traite comme s'ils l'étaient.»

    La conférence de trois jours, qui se déroulait en juillet aux Pays-Bas, a été organisée pour travailler à la mise-à-jour du langage officiel de l'ONU forgé lors de la conférence du Caire sur la Population et le Développement (ICPD) en 1994. Beaucoup d'intervenants représentaient des organisations qui cherchaient à convaincre les Etats membres d'insérer au langage officiel un droit international à l'avortement.

    Quelques diplomates ont souligné que la conférence "ICPD Beyond 2014" (ICPD après 2014) devait s'attaquer à des questions générales, alors que la conférence s'était attaquée à des questions précises.

    "Malheureusement, les questions clés tournent autour des droits de l'homme, de l'ICPD, de la santé sexuelle et des droits reproductifs", a déclaré l'un des participants. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Il est possible d'abroger la loi Taubira, comme la loi sur l'esclavage

    Quoi qu'en dise Pierre Mazeaud :

    FUn veilleur bien éveillé commente :

    "Qu'ils soient de gauche ou de droite, nos pseudo élites politiques qui ont profité du système jusqu'à plus soif, s'imaginent que le pouvoir leur appartient et qu’ils le verrouillent suffisamment pour continuer à faire ce qu’ils veulent quoiqu'en pense le peuple. Ils montrent bien ainsi leur souverain mépris de la démocratie dont ils se gargarisent pourtant en permanence.

    Ils ne veulent décidément rien comprendre et surtout pas ce qui se passe actuellement avec le mouvement de résistance passive qui se développe contre la dégénérescence de l'état de la France qu'ils ont laissé s'installer, depuis plus de 40 ans.

    Nous ne voulons plus de ces politiciens qui se servent du système pour s’enrichir et faire carrière. Nous voulons des politiques dévoués, qui servent le bien commun et la vérité sur l’homme. Nous ne transigerons plus. Forts du soutien du Pape François qui, en mai dernier, précisait à des parlementaires français : «Votre tâche est certes technique et juridique, consistant à proposer des lois, à les amender ou même à les abroger», nous ne lâcherons rien jusqu'à l'abrogation de la loi Taubira.

    Qu'ils se souviennent qu'un petit électricien polonais du nom de Walesa et un auteur dramatique tchèque du nom de Havel ont succédé aux maîtres de l'empire soviétique.

    Cela prendra le temps que cela prendra mais, avec l'aide de Dieu, c'est ce qui arrivera aussi en France."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Selon un journal suisse Manuel Valls aurait des comptes en Suisse

    alterinfo.net: Selon le journal suisse La Côte (www.lacote.ch/fr, article payant), le ministre de l’Intérieur français Manuel Valls et futur premier ministrable déclaré et déjà adoubé par tous les médias de l’hexagone aurait un ou plusieurs comptes bancaires dans des banques helvétiques. Manuel Valls (de mère Suisse italienne) aurait plusieurs comptes bancaires en Suisse selon des anciens de la diplomatie américaine ayant travaillé à l’ambassade américaine de Genève sous l’ère Mitterand (je donne ce détail car il est très important, les rapports de la DGSE sur le bureau de Hollande en attestent). Maintenant on comprend mieux pourquoi Valls a ordonné de mettre le feu aux banlieues parisiennes avec ses équipes de “crânes rasés” de la LDJ-extrême droite juive sioniste à la mode b’nai b’rith.

    http://fr.altermedia.info/general/selon-un-journal-suisse-manuel-valls-aurait-des-comptes-en-suisse_50175.html

  • Reprise économique ? Une hirondelle ne fait pas le printemps !

    COMMUNIQUÉ de presse de Jacques MYARD, Député UMP, Président du Cercle Nation et République
    L'annonce d'une croissance de 0, 5 % au 2ème trimestre est une bonne nouvelle pour notre pays, personne ne peut le regretter. Toutefois gardons-nous de chanter victoire car il apparait clairement que ce sursaut n'est que conjoncturel et le résultat d'une reprise de la consommation des ménages.
    Le beau temps a poussé la consommation et les ménages ont puisé sur leur épargne mais leur pouvoir d'achat est en baisse constante ; mais surtout le niveau toujours atone des investissements est inquiétant et traduit la réalité de l'économie victime de la politique d'austérité de Bruxelles et Francfort.
    La réalité est bien là et n'a rien à voir avec la méthode Coué entonnée à l'envie par le gouvernement. L’annonce d'une nouvelle augmentation des cotisations sociales va doucher l'optimisme béat de Bercy.
    Et Godot attend toujours les réformes de structures !
    Il n'y aura pas de reprise sans changement radical de politique économique qui privilégie les investissements y compris grâce à des avances directes des banques centrales aux États pour investir et grâce à une baisse durable de l'euro via à vis du dollar et du yen pour pousser nos exportations !
    En attendant le chômage ne fera que croître et embellir les troubles sociaux...

  • Recours devant le Conseil d'État contre l'application de la loi Taubira

    Lu ici

    "Plusieurs associations familiales ont déposé des recours devant le Conseil d'État pour lui demander d'annuler l'application de la loi.

    L'une d'elles, l'Union des Familles en Europe (UFE), estime que la loi du 17 mai 2013, ouvrant le mariage et l'adoption aux couples homosexuels, est "contraire aux traités signés par la France et doit être déclarée inapplicable", a-t-elle précisé dans un communiqué diffusé mardi.

    Elle a déposé au Conseil d'État une requête en "annulation pour excès de pouvoir", dans laquelle elle affirme que cette loi viole le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, adopté par l'ONU le 16 décembre 1966 et ratifié par la France le 28 mai 1981. Ce pacte stipule que "le droit de se marier et de fonder une famille est reconnu à l'homme et la femme à partir de l'âge nubile" (...)

    Elle précise dans son communiqué que si elle était déboutée, elle porterait l'affaire devant le Comité des droits de l'Homme de l'ONU (...)

    Le Conseil d'État a confirmé le dépôt le 2 août de la requête de l'UFE, précisant que d'autres requêtes ont été présentées contre les mêmes décret, arrêté et circulaire. Elles proviennent de l'Union départementale des associations familiales des Hauts-de-Seine (UDAF 92), de la Confédération nationale des associations familiales catholiques et de Franck Meyer, maire de Sotteville-sous-le-Val (Seine-Maritime) et président du Collectif des maires pour l'enfance".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/