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magouille et compagnie - Page 2363

  • Hier soir, vendredi, aux Invalides : clercs gazés et l’un d’eux embarqués

    Un lecteur de Contre-info raconte :
    « Du gaz , de la matraque , des charges , des blessés, des [flics en] civils planqués dans la foule qui interviennent violemment sans mettre le brassard ; la routine des soirées aux invalides… nouveauté hier , après le départ du service d’ordre de « la manif gnan gnan », les chants et les slogans étaient lancés par les prêtres de St Nicolas ! l’un deux a été arrêté, et tout le public s’est solidarisé réclamant leur libération jusqu’après minuit »

    « tout le monde a été gazé ! même les » veilleurs » ,un groupe de 500 personnes qui priait pacifiquement assis sur la pelouse ; une dizaine de jeunes ont été arrêté et les prêtres ont été arrêté et gazés quand ils ont voulu protéger une jeune fille matraquée à terre par des flics en civil ! »

    Les clercs en question sont de Saint Nicolas du Chardonnet.
    Arrivés à la fin de la manif officielle, ils ont animé le rassemblement qui s’en est suivi, jusqu’à ce que la police disperse tout le monde, plus ou moins violemment, comme d’habitude.

    Dans cette video on voit un frère, de Saint Nicolas, se faire embarquer :

    Un spectacle qui a du réjouir Frigide Barjot, qui crache volontiers sur les « intégristes » et qui déclarait ces jours-ci, dans une bouffé délirante « Je demande à Manuel Valls, ministre de l’intérieur, que tous les groupuscules identitaires et nationaux soient préventivement mis hors d’état de nuire à notre mouvement. »

    http://www.contre-info.com/

  • La preuve est faite : l’UMP n’est pas de droite…

    En fait, il faudrait lire ce texte avec l’accent de Gaudin puisqu’on va parler du cocktail de Pagnol, celui à quatre tiers.

    Alors, vous prenez un petit tiers d’opposition au mariage unisexe.

    C’est fou ce qu’ils sont mobilisés, à l’UMP, contre la loi Taubira ! Tellement mobilisés que deux députés, dont un ancien ministre, ont voté pour à titre très personnel ! Et deux anciens ministres, dont la future candidate investie à Paris, se sont abstenus. L’hypocrisie de l’UMP sur ce texte atteint des records. Certains ont rejoint l’UDI pour être plus à l’aise pour voter la loi ; d’autres demeurent à l’UMP et approuvent la loi ou s’abstiennent, sans problème ; d’autres, enfin, qui ont témoigné leur sympathie à « GayLib », le mouvement gay de l’UMP, prennent maintenant la tête d’une croisade purement, si j’ose dire, politicienne et électorale contre la loi. Parmi ces derniers, certains réclament un référendum. Mais, comme c’est curieux, ils n’ont pas voté une loi d’application de la réforme constitutionnelle de 2008 le permettant clairement… [...]

    Christian Vanneste - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Diffamé par le Mouvement des jeunes socialistes, le Bloc identitaire en demande la dissolution et porte plainte

    PARIS (NOVOpress) – A croire que la plainte déposée par le Bloc identitaire contre Yann Galut, député PS du Cher, pour diffamation n’est pas une information importante pour Thierry Marchal-Beck. Toujours est-il que l’inconnu et dispensable président du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) s’est permis lui aussi de diffamer le mouvement identitaire.

     

    Ainsi, dans une pétition demandant , excusez du peu, la dissolution du GUD, des Jeunesses nationalistes et du Bloc identitaire, le chef du MJS a affirmé : « le Bloc identitaire qui poursuit la journaliste Caroline Fourest pendant une journée entière de Paris à Nantes à coup de saluts nazis ».

    Face à de tels propos mensongers (même Caroline Fourest n’affirme pas ça, elle qui pourtant prend régulièrement quelques légèretés avec la réalité…), Le Bloc identitaire va donc porter plainte contre le MJS. Mais surtout le Bloc identitaire demande la dissolution du MJS pour « incitation à la haine nationale ».

    En effet, comme le précise le communiqué du Bloc identitaire, « ce dérapage du MJS n’est pas le premier. Ainsi, ce groupuscule(1) traitait-il, il y a quelques mois, Jean-François Copé “d’homophobe”. En 2011, c’était Nicolas Sarkozy qui était présenté sur une affiche faisant un prétendu salut nazi. »

    Enfin, le Bloc identitaire recommande à Thierry Marchal-Beck de « lire deux ou trois livres avec des images sur la Seconde Guerre mondiale. Histoire de ne plus confondre les Français de 2013 avec les Allemands de 1941. »

    (1) Le MJS compte 1.000 contacts de moins sur Facebook que Génération Identitaire. Selon ses propres critères, le MJS est donc un groupuscule. Qualificatif dont il a usé pour définir le Bloc identitaire…

    http://fr.novopress.info/

  • Le journaliste n’a que peu d’influence sur le résultat final de son sujet

     Une journaliste, qui manifeste contre la loi Taubira, témoigne pour les lecteurs du Salon Beige :

    "Journaliste depuis huit ans je suis passée par de nombreuses rédactions aussi bien télé que presse écrite. Je me rends compte que le ressentiment à l’égard des journalistes s’accroit chaque jour, notamment parmi les manifestants. Le décalage entre la perception des événements par le public et la retransmission par les médias peut s’expliquer.

    D’abord, les médias ont une source quasi-unique d’information : l’AFP ; souvent, ce que rapporte le journaliste sur le terrain est moins important pour sa direction que ce qu’écrit le journaliste de l’AFP. Mais le journaliste de l’AFP n’est pas un surhomme objectif par essence, ce qu’oublient aujourd’hui les rédacteurs en chef. D’autant plus que, contraintes budgétaires obligent, les déplacements deviennent de plus en plus rares. Les articles que vous lisez sur la presse en ligne ont été écrits (ou recopiés) par des jeunes journalistes qui n’ont, pour la majorité d’entre eux, jamais mis un orteil dans la rue.

    Ces journalistes ont deux origines différentes : les plus anciens sont souvent devenus journalistes par hasard, venant du cinéma, du trotskysme et des mouvements étudiants post—68. Ils sont très représentés dans les groupes du service publics. La professionnalisation de la profession, qui s’est accélérée dans les années 90 et surtout après 2000 a donné naissance à une génération de journalistes formée dans de chères écoles (5000€/l’année) qui se ressemblent tous furieusement : blancs, enfants de familles aisées, dont les parents journalistes, cadres, haut fonctionnaires sont surreprésentés. Ils sont formés par les plus vieux… avant d’affronter un ou deux ans de contrats précaires, aux horaires irréguliers et mal payés. D’où la nécessité que les parents assurent le quotidien. C’est un peu différent pour les cameramen qui sont mieux payés que les autres (mais très souvent pigistes) et viennent parfois de milieu plus modeste.

    Il ne sert à rien de s’en prendre au journaliste présent sur une manif : d’une part, il fait son boulot, d’autre part, il est très arque bouté sur sa liberté –vous risquez juste de le braquer. Enfin, il n’a que peu d’influence sur le résultat final de son sujet. Car il rend le texte ou des images, mais il a y ensuite le travail de montage, le visionnage par un premier chef, un second, la réécriture du commentaire, la rédaction du lancement qui donne le ton. La plupart du temps les sujets et l’architecture d’un reportage sont choisis et écrits en amont. Il faut plusieurs séquences : donc une manif pacifiste, puis des provocations, puis des bagarres, puis des courses-poursuites, cela fait un beau sujet en quatre actes, même si dans la réalité le premier moment a duré trois heures et le second 5 minutes. Dans un but d’efficacité, il faut donc penser à cela en manifestant. Si l’on ne veut offrir aucune prise, il ne faut absolument RIEN montrer qui puisse jouer en votre défaveur.

    Enfin, et c’est un aspect important, il faut savoir que la plupart des journalistes ne possèdent pas le filtre pour comprendre votre action. Ils pensent sincèrement que la religion est oppressive et dépassée, que le mariage homosexuel est une question d’égalité et ont une ignorance flagrante de la question religieuse. Il suffit de voir la couverture de l’élection du pape pour réaliser le grand pataugeage des journalistes sur ce sujet. Ils ont très peu de temps, voire pas du tout, pour se renseigner sur les fondements idéologiques d’un mouvement. Vous êtes des aliens : vous venez d’un monde qu’ils ne connaissent pas. Etre journaliste, de droite et catholique dans une rédaction nationale, c’est comme être un poisson préhistorique dans un aquarium : personne ne pensait réellement que vous existiez encore…"

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manifeste pour une nouvelle dissidence

    Contre la loi Taubira, la France des invisibles s’est réveillée. Et multiplie les actions de protestation contre la dictature des minorités et du politiquement correct. C’est le temps de la « Nouvelle dissidence ». Un manifeste de janvier 2010 que Polémia rediffuse.

    — La grande oppression —
    La France et les nations européennes ne vivent plus dans une démocratie mais dans une après-démocratie où l’alternance n’est qu’une illusion. Ce n’est plus le peuple qui détient le pouvoir, c’est une classe d’oligarques. Les grands dirigeants financiers, médiatiques, culturels et politiques s’y côtoient. Ils imposent une idéologie dominante devenue idéologie unique.

    1. L’idéologie unique enferme la pensée et l’opinion dans un carré carcéral dont les quatre côtés sont :
    – le libre-échangisme économique voulu par les grands oligopoles mondiaux que sont les transnationales ;
    – l’antiracisme, négateur des réalités ethniques et culturelles, qui culpabilise les défenseurs de l’identité française et de la civilisation européenne ;
    – l’antitradition et l’inversion des valeurs qui bouleversent une expérience multimillénaire et le socle familial ;
    – la vision marchande et mercurienne du monde et l’arraisonnement utilitaire de la vie, de la nature, de la culture.
    L’idéologie unique assujettit durablement les Français et les Européens aux Anglo-Saxons : empêcher la constitution d’une Europe-puissance est d’ailleurs l’une de ses fonctions.

    2. L’idéologie unique impose un despotisme mou à travers quatre logiques totalitaires :
    – le novlangue, les médias-mensonges et les grandes peurs qui s’imposent par la tyrannie médiatique : quiconque s’écarte des vérités officielles est condamné au silence et/ou à la diabolisation ;
    – la normalisation des règles et des comportements édictés :
    • par les bureaucraties nationales, européennes (l’UERSS) et mondiales sous l’influence des grands groupes de pression (lobbies) ;
    • par les grands cabinets de conseil internationaux (les Big Four).
    – la théocratie des droits de l’homme qui assujettit les peuples à travers la Cour européenne des droits de l’homme qui interprète dans le sens de la pensée unique la Convention européenne des droits de l’homme ;
    – la répression de Big Brother qui condamne les crimes contre la pensée grâce aux lois liberticides.

    3. Cette idéologie unique a ses gagnants et ses perdants.
    Du côté des gagnants, la superclasse mondiale (SCM), trente millions de cosmocrates qui ont plus de points communs entre eux qu’avec le peuple dont ils sont issus. Du côté des gagnants aussi, les pays émergents – la Chine notamment – et les bénéficiaires de l’immigration : migrants accédant aux régimes sociaux des pays développés ; employeurs tirant les salaires à la baisse. Du côté des gagnants toujours, les minorités ethniques et sexuelles bénéficiant d’un statut valorisé et de la discrimination positive.
    Du côté des perdants, les anciens pays développés dont la puissance s’affaiblit, l’indépendance se rétrécit et la richesse s’amenuise et, en leur sein, les classes moyennes et les classes populaires dont la force de travail est exploitée par les transnationales et mise en concurrence avec celle des pays émergents et celle des migrants. Du côté des perdants toujours, les familles européennes dont le modèle de vie est dévalorisé et dont les difficultés à se loger et à trouver de bonnes écoles pour leurs enfants sont amplifiées par l’africanisation et l’islamisation.
    La majorité invisible, les autochtones, les Français de souche sont les victimes de la situation. Ils souffrent de discrimination négative et subissent un processus de domestication. Ils ont perdu leur souveraineté, ils n’ont pas la possibilité de s’exprimer utilement par référendum. Les hommes politiques qui les gouvernent ne sont pas des hommes d’Etat mais des médiagogues qui gèrent leur carrière en flattant les médias et en se soumettant à l’idéologie unique. Face à l’inacceptable, il faut trouver la voie d’une nouvelle dissidence.

     
    — La nouvelle dissidence —

    Le système dominant repose sur le déni de cohérence et le déni de réalité. Vers la fin de l’Union soviétique, ceux qui voyaient la situation en face et osaient la dévoiler étaient qualifiés de dissidents : ils avaient pour arme le samizdat, c’est-à-dire la ronéo et l’anonymat. Les dissidents du mondialisme ont, eux, à leur disposition Internet et le pseudonymat, c’est-à-dire un outil subversif – la réinfosphère – infiniment plus puissant. Le rôle de la réinfosphère est de conscientiser l’opinion.

    1. Première attitude de la dissidence : la réinformation est une gymnastique de l’esprit et de l’âme.
    Elle consiste à chercher à se faire sa propre opinion pour échapper au conformisme et à la pensée perroquet. La réinformation consiste à chercher à connaître la réalité du monde à partir d’une expérience directe plutôt qu’à partir des écrans. Et, pour le recours aux écrans, à bannir autant que faire se peut les programmes de télévision au profit de la vidéo ou de la radio à la demande, et bien sûr des sites alternatifs de la réinfosphère.

    2. La deuxième attitude de la dissidence consiste à libérer les esprits du formatage de l’idéologie unique.
    Libérer les esprits du formatage de l’idéologie unique c’est émanciper les intelligences et les cœurs du politiquement correct, de l’économiquement correct, de l’historiquement correct, du moralement correct, du religieusement correct, de l’artistiquement correct. Face à la dictature de l’émotion conditionnée, il faut retrouver la voie de la raison et les grandes règles de l’esprit européen : en dehors des dogmes religieux, ne peut être dit vrai que ce qui peut être librement réfutable. Toute vérité officielle doit être passée au crible du doute.

    3. La troisième attitude de la dissidence, c’est la force de l’âme.
    L’âme puise son énergie dans les racines de la civilisation européenne et chrétienne et se ressource dans un imaginaire millénaire et/ou dans la foi religieuse. Tout ce qui donne à l’homme une vérité intérieure et le libère des pressions de l’urgence et de la contingence le rend plus fort. Il s’agit ici de refuser de se laisser contaminer par les émotions préfabriquées de l’extérieur pour mieux se réapproprier ses propres émotions : celles qui sont liées à sa terre, à son peuple, à sa langue, à son histoire, à sa religion. Bref, se relier aux émotions de sa famille, de sa lignée, de son clan, de ses coreligionnaires.

    4. La quatrième attitude de la dissidence, c’est le comportement dissident, c’est agir différemment.
    La dissidence, ce n’est pas seulement réfléchir. C’est aussi agir autrement :
    – face au mondialisme économique, faire jouer le localisme, la préférence locale, la préférence nationale, la préférence européenne, le patriotisme économique ;
    – face au déracinement pratiquer une écologie humaine et prochaine : reprendre le contact avec son territoire de vie et la nature qui l’entoure ; accepter comme des contraintes bienfaisantes les lois de la géographie et du climat ;
    – face à la société marchande, se méfier des grands oligopoles de distribution ;
    – face au cosmopolitisme et à l’antiracisme, défendre son identité : choisir l’école de ses enfants ; s’inscrire dans une logique d’enracinement dans ses choix esthétiques et culturels ; préférer l’art caché au financial art ; face au globish pratiquer et respecter la langue française ; face à la volonté de métissage des oligarques, cultiver le « nous » (le Sinn fein des Irlandais) ; face à la mémoire imposée par les maîtres du discours, préférer le souvenir qui renvoie à une réalité charnelle historique : la transmission familiale des événements tels qu’ils ont été réellement vécus par sa lignée.

    5. La cinquième attitude de la dissidence, c’est l’intervention dans la vie de la cité et plutôt à la périphérie qu’au centre.
    La dissidence, ce n’est pas un exil intérieur, c’est une étape vers la reconstruction d’un projet communautaire, c’est l’intervention dans la vie de la cité, là où cela peut être efficace, c’est-à-dire plutôt à la périphérie qu’au centre, plutôt dans la vie locale que dans la vie nationale.
    La dissidence, c’est susciter des actions identitaires ou y participer :
    – contre l’islamisation ou l’africanisation de son quartier ;
    – contre l’imposition du globish dans son entreprise ou son administration.
    Car « les libertés ne sont pas autre chose que des résistances » (Royer-Collard).
    La dissidence, c’est aussi agir pour défendre un héritage que l’on aime : pour la protection d’un site ou d’un paysage, d’un monument, d’une église ou d’un musée, éléments de l’identité française et de la civilisation européenne.
    La démocratie directe spontanée, l’organisation parajuridique de pétitions et de référendums locaux sont à cet égard de bons moyens d’action.

    6. La sixième attitude la dissidence, c’est faire savoir.
    Faire, faire savoir et, grâce à Internet, rendre publiques et visibles des actions frappées d’ostracisme par la tyrannie médiatique.
    Agir, c’est aussi se faire entendre des élus, notamment locaux, pour que la pression du peuple compense la pression du Système.

    7. La septième attitude de la dissidence, c’est participer à la mobilisation de forces immenses mais endormies : les majorités invisibles mais opprimées.
    Ces communautés majoritaires économiquement, socialement et culturellement sont rendues invisibles par les oligarchies dirigeantes et les politiques de « diversité » qu’elles mettent en œuvre à l’encontre des majorités.
    Ces majorités opprimées sont :
    – les classes moyennes et les classes populaires sacrifiées aux intérêts de la finance, et mises en concurrence avec le monde entier sur le marché du travail ;
    – les petites et moyennes entreprises victimes du fiscalisme et des oligopoles mondiaux ;
    – les familles menacées par la théorie du genre et la culture de mort ;
    – les chrétiens et les laïcs, les uns et les autres concernés par l’occupation de l’espace public par l’islamisation ;
    – et, bien sûr, les jeunes mâles blancs (JMB) (expression d’Anne Lauvergeon) objets de toutes les culpabilisations et cumulant contre eux toutes les discriminations (comme jeunes, comme hommes, comme Blancs). Les jeunes hommes blancs (JMB) ont vocation à sortir la vieille Europe de sa dormition.
    Il y a dans tous ces groupes, pour peu qu’ils prennent conscience de leur force, tous les ingrédients d’une révolte susceptible de porter une vague de populisme, courant d’opinion qu’il faut assumer sans complexe.

    8. Vers la révolte du peuple ?
    Allant bien au-delà de l’exil intérieur, la dissidence prend de l’ampleur, sur Internet mais aussi sur les réseaux sociaux et sur les réseaux territoriaux. La réappropriation de son environnement géographique et humain est une exigence croissante. De même que la prise de conscience par le peuple qu’il a un ennemi : la superclasse mondiale et les maîtres du discours qui la servent.
    Avant-garde d’un mouvement qui va en s’approfondissant, le comportement dissident se nourrit d’une prise de conscience des méfaits du Système mondialiste dominant. Et cette prise de conscience conduit à renouer avec le génie français et l’identité européenne : recherche de la vérité, recours aux arts figuratifs, respect des traditions, goût de la liberté, défense de la langue et des patries charnelles.
    La dissidence libère les esprits et forge les âmes : elle est l’étape préalable à la révolte du peuple.
    Après s’être intéressée au novlangue, La Fondation Polémia présente, cette fois, Cinq cents mots pour la dissidence
    Polémia – première diffusion : 25/01/2010, seconde diffusion : 18 avril 2013

  • La préfecture n'a jamais communiqué les vidéos du 24 mars

    Dans Présent, Olivier Figueras dénonce l'opacité de la Préfecture de police. A prendre en compte à la veille d'une nouvelle manifestation :

     

    "Attendu que ma demande de consulter les documents concernant la manif du 24 mars – photographies et films – proposés aux journalistes intéressés, me soient effectivement communiqués. Ce n’est pas faute, contrairement à ce que certains, lecteurs ou proches, ont pu supposer, d’en avoir fait la demande. D’ailleurs, en date du 27, un communiqué de presse, non signé, mais émanant du « cabinet du préfet », « service de la Communication », m’y invitait. Dès le 28 au matin, j’ai donc saisi mon téléphone. Et appelé le numéro indiqué sur ledit document. A l’autre bout, manifestement « on » ne savait pas de quoi je parlais. Après un certain temps d’attente, on m’a redirigé vers le service de presse…

    Y ayant demandé à accéder aux documents, et notamment aux films, indiqués, « on » m’a répondu que je m’y prenais un peu tard, et que les journalistes avaient déjà été contactés. Je me suis alors référé au communiqué évoqué plus haut. Pour me heurter à un mur d’ignorance. Manifestement, ledit communiqué n’avait pas été mis à disposition du service de presse – du moins pas dans son entier.  « On » m’a alors demandé de patienter. Histoire, sans doute, de se renseigner. Un certain temps d’attente. Et ensuite, sans que j’aie pu déterminer s’il s’agissait du même interlocuteur, mais sur un ton visiblement agacé, avis m’a été donné que rien n’était faisable en l’état. Pour compenser, un conseil : adresser un mail à la préfecture. L’adresse m’en a – tout de même – été fournie. J’ai expédié, peu après, ladite demande par mail. J’attends toujours la réponse.

    Je n’ai pas repassé de coup de fil. Certains confrères, l’ayant fait après moi, m’ont averti qu’il n’y avait rien de plus à en attendre… Evidemment, à en croire certains, les photos fournies à quelques-uns par ladite préfecture (ne parlons pas des films inaccessibles) ne correspondent pas à la réalité. Elles ont été « retouchées ». Ce qui est gênant ! Je sais ! Dans son communiqué, la préfecture souligne qu’il est inacceptable de mettre « encore une fois directement en cause la neutralité des méthodes de travail des fonctionnaires de la préfecture de police ». C’est parce que c’est inacceptable que le préfet de police a fait publier ledit communiqué, pour apporter toutes précisions utiles. Et notamment préciser que « la préfecture de police tient l’intégralité de ces enregistrements à disposition des journalistes intéressés ».

    Que M. le préfet se rassure. Je ne mets absolument pas en cause « la neutralité des méthodes de travail des fonctionnaires de la préfecture de police ». Je mets en cause la façon dont « on » nous en transmet – ou plutôt : « on » ne nous transmet pas – les résultats de ce travail. Car je suis – et je reste ! – un journaliste « intéressé » par ces enregistrements. Mais « on » ne me les a pas fournis. Et lesdits fonctionnaires, dont je ne remets pas en cause le travail, n’étaient pas même au courant que, « intéressé », je pouvais en demander communication. [...]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Lettre ouverte des 67 «salopards» au Gouvernement

    Exclusif. Incarcérés pour rien…

    Nous étions soixante‐sept. Des jeunes aux casiers intacts, des jeunes dont la politesse dispute l’honnêteté, des jeunes qui ne vont dans les commissariats que pour recourir à la protection des forces de l’ordre contre les malfaiteurs.

    Nous étions la France enfermée parce qu’elle veut exprimer calmement son opposition à la loi Taubira. Détention de tentes, baisers de fiancés révoltés par la répression policière, réveil citoyen ? Nous cherchons encore l’intitulé factuel qui motiva ce qu’il convient d’appeler une rafle. Dix‐sept heures, dix-sept longues heures à attendre dans un commissariat étriqué, dix‐sept heures dans la puanteur, la chaleur, l’exaspération. Incarcérés pour rien.

    Justice à la carte ! Comment décrire ce que nous avons subi ? Des larmes de jeunes filles épuisées, la tension, l’attente. Comment concevoir que soixante‐sept étudiants soient raflés en France ? Comment concevoir que les Femen soient libérées à l’œil quand leur violence répond à notre pacifisme ? Comment concevoir que la Police charge tandis qu’un sénateur est parmi nous ? Comment concevoir cette violence de l’État contre des jeunes qui s’engagent pour leur pays ? [...]

    La suite sur Nouvelles de France

    http://www.actionfrancaise.net

     
  • Caroline Fourest vs Béatrice Bourges : « Vous êtes négationniste en plus d’être homophobe »

    Fourest pète les plombs, comme d’hab :

    http://www.contre-info.com/

  • Mariage pour tous : Marion Maréchal-Le Pen à l’Assemblée Nationale

  • Europe : Les épargnants ne sont plus protégés

    Par Philippe Herlin – Chercheur en finance, professeur au CNAM.

    Plus le temps passe, plus on doit se rendre à l’évidence : Chypre a constitué une répétition générale, l’expérimentation d’un plan qui sera reproduit ailleurs. La déclaration de Jeroen Dijsselbloem, le président de l’Eurogroupe, qui a parlé de “modèle”, avant de se rétracter, s’avère donc vraie.

    La Commission européenne, et plus spécialement Michel Barnier, le commissaire en charge des banques, prépare en effet une directive qui mettra à contribution les dépôts de plus de 100.000 euros en cas de sauvetage bancaire. L’intention de départ est louable puisqu’il s’agit de ne plus mettre à contribution les contribuables, mais cet argument ne constitue-t-il pas qu’un prétexte ?

    La directive prévoit qu’en cas de faillite d’une banque, les pertes seront d’abord épongées par les propriétaires et les actionnaires, suivis des créanciers “juniors” et “seniors” puis, en troisième rang, les déposants au-dessus de 100.000 euros. C’est seulement si l’ensemble de ces contributions s’avérait insuffisante qu’interviendrait l’argent public, à travers le fonds de secours européen, le MES.

    Voilà pour la théorie, qu’en est-il concrètement ? Lorsqu’une banque affiche de mauvais résultats, les actionnaires en ont déjà payé le prix depuis longtemps ! Les grandes banques européennes ont déjà perdu environ 90% de leur valeur boursière depuis la crise (l’action Société Générale cotait 170 euros en 2006, 25 aujourd’hui, par exemple), il ne reste donc plus grand-chose de ce côté-là.

    Les créanciers ont également fait en sorte de partir. La seule vraie richesse qui reste, ce sont les comptes bancaires. Ils prendront donc sur eux l’essentiel de la ponction, il ne faut pas se faire d’illusion.

    Mais les comptes de moins de 100.000 euros sont-ils bien à l’abri ? Certainement pas ! Il faut bien comprendre que les comptes bancaires chypriotes de moins de 100.000 euros ont été préservés parce que l’Europe et le FMI se sont engagés à apporter 10 milliards d’euros. Si la crise devait toucher un grand pays comme l’Espagne, l’Italie ou la France, ce n’est pas 10 milliards mais plusieurs centaines qu’il faudrait mobiliser.

    Qui peut croire que cela sera fait ? Qui peut croire que l’Allemagne fera exploser son endettement pour sauver les comptes bancaires des Espagnols, des Italiens ou des Français ?

    D’autant que ceux qui détiennent des comptes supérieurs à 100.000 euros vont se dépêcher de les vider pour les répartir sur plusieurs comptes, et leur nombre va diminuer comme neige au soleil. Cette directive va aussi favoriser le bank run dès les premiers signes sérieux de crise.

    En refusant de s’attaquer aux grands oligopoles bancaires et à l’opacité de leur fonctionnement, à cette logique du “too big to fail” qui encourage l’irresponsabilité, l’Union européenne évite les questions gênantes. Cette directive constitue surtout un aveu d’impuissance, et les épargnants en paieront le prix.

    Goldbroker   http://fortune.fdesouche.com