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magouille et compagnie - Page 2398

  • Un nouveau livre choc d’Anne Kling

    menteurs-et-affabulateurs-de-la-shoah.jpgOn peut dire qu’Anne Kling frappe fort avec son cinquième et nouveau livre : Menteurs et affabulateurs de la Shoah.
    Vaste sujet !
    Le livre vient de sortir et personne chez Contre-info ne l’a encore lu : nous vous signalons simplement sa parution, et sa disponibilité ici.
    256 p. 18 €.

    Anne Kling est l’auteur de divers livres à succès, dont le CRIF, un lobby au coeur de la République et Les révolutionnaires juifs, qui viennent d’être réédités pour l’occasion. Tous ses livres peuvent se trouver ici.

    http://www.contre-info.com/

  • « Des destinataires pas très recommandables »

    « C’est toujours  intéressant de jouer des ordures », «  (un personnage)  passionnant, pas tellement pour lui-même, c’est vraiment une crevure, mais par son époque et le succès invraisemblable de ses écrits  infâmes ». Rassurez-vous chers lecteurs,  ce jugement  de l’acteur  versaillais Denis Podalydés  ne concerne pas Jean-Paul Sartre qu’il incarna avec le talent qui  est le sien dans un  téléfilm  tourné en 2006, mais le publiciste et pamphlétaire  antisémite Edouard Drumont.  Le comédien endosse ce rôle  ce soir    dans un « docu-fiction »  qui sera diffusé sur France 2. Le producteur en est le  célèbre militant d’extrême gauche  Jacques Kirsner  (alias   Charles Stobnicer dit Berg), ancien membre dirigeant  du groupuscule trotskiste  Organisation communiste internationaliste  (OCI)   dans lequel  Jean-Luc Mélenchon fit aussi ses premières armes. Pour la petite histoire,  c’est ce même Kirsner  qui confirma   le passé trotskyste  et les relations avec l’OCI de Lionel Jospin dans un article publié dans Libération en 1999.  Les médias rapportent ce matin que Denis Podalydés et  Jacques Kirsner se sont beaucoup  battus pour que ce téléfilm soit diffusé à une heure de grande écoute  et non pas en seconde partie de soirée comme  cela était initialement  prévue par la chaîne. Faut-il que ces derniers soient persuadés de  l’urgence  du message pédagogique qu’il délivre, à défaut de son originalité. Mais un an après  les assassinats commis par Merah, ne doutons pas que les jeunes notamment,  boycotteront les derniers épisodes de Docteur House  pour se précipiter sur France 2. Piqure de rappel pédagogique qui a été faite aussi magistralement par le  président israélien Shimon Peres dans l’hémicycle  du Parlement européen le 12 mars, dernière étape de sa tournée européenne .  

     Pour être tout à fait honnête M. Peres est un peu comme chez lui quand il visite les assemblées et les instituions européennes. Javier Solana, ex  secrétaire général de l’OTAN (199599), ancien Haut Représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) de l’Union européenne (1999-2009), en avait fait l’aveu en octobre  2009 en Israël   lors de la seconde édition de la conférence  organisée sous l’égide de Shimon Peres , Facing Tomorrow . En présence notamment du philosophe Bernard-Henry Lévy, Javier  Solana  avait déclaré: « Israël permettez-moi de le dire, est un membre de l’Union européenne sans être membre de ses institutions ». M. Solana avait  poursuivi en notant qu’Israël est « partie prenante à tous les programmes de l’Union » et en soulignant  qu’aucun des États en cours d’adhésion à l’Union n’a de relation aussi étroite avec l’Union qu’Israël, bien que cet État n’ait jamais été officiellement  candidat.

    Aussi, la semaine dernière,  et pour faire bref, M. Peres s’est contenté dans son allocution officielle,  la première intervention d’un président israélien devant le Parlement européen depuis 30 ans,   de rappeler bien sûr en filigrane  la dette  imprescriptible des Européens vis-à-vis d’Israël.  Il  a rejeté aussi  toutes les critiques émises concernant la Palestine, la politique de colonisation de la Cisjordanie. Il a enjoint fermement l’Europe à inscrire le Hezbollah pro iranien  sur la liste des organisations terroristes. Il a dressé un réquisitoire implacable contre l’Iran : « Téhéran soutient le terrorisme »,  « Téhéran met en cause l’existence d’Israël », « Téhéran nie l’Holocauste et veut en créer un autre », avant de demander  à l’Europe d’empêcher ce pays  de se doter,  à l’instar de l’Etat hébreu,  de l’arme nucléaire et de missiles à longue portée.

      Evoquant la Syrie ravagée par le terrorisme, M Peres a affirmé que  le Hezbollah aidait sur le terrain le régime de Bachar el-Assad,  notamment dans sa lutte  contre les djihadistes qui rêvent d’instaurer le califat islamique en Syrie. Il a précisé aussi  son souhait  de voir se déployer  des casques bleus de la Ligue Arabe.  Vœu que l’on peut juger irréaliste dans sa capacité à ramener la paix mais qui ne soulève pas l’indignation suscitée par  les récentes déclarations de Laurent Fabius. Prenant acte du fait que la Russie, l’Iran livraient des armes au régime syrien, le ministre des Affaires étrangères a  annoncé que   « la France » - qui fournit déjà une aide non « létale »  aux « rebelles » -  et le gouvernement britannique allaient demander aux Etats de l’Union européenne la levée de l’embargo sur la livraison des armes aux forces armées dites modérées de  l’opposition syrienne. Et qu’en l’absence  de feu vert, Paris et Londres passeraient outre d’ici fin mai.

    M. Fabius entend par là accélérer la chute du régime syrien par ce qu’il espère être  un règlement militaire du conflit, en  emboitant le pas au  Qatar et à  l’Arabie Saoudite  qui fournissent déjà les brigades internationales islamistes  en armes.  Dans les faits, cette précipitation se nourrit de  la même inquiétude qui agite François Hollande. Ils ont lu tous deux les rapports  qui pointent les  rivalités entre factions rebelles et l’emprise croissante  des djihadistes dans ce conflit.   Aussi, à  Bruxelles le 15 mars,  M.  Hollande, qui redoute l’incapacité de la coalition hétéroclite des  anti-Assad a arracher la victoire sur le terrain,  a-t-il plaidé   en faveur des livraisons d’arme.  Au motif que  « le plus grand risque, ce serait de ne rien faire, de laisser faire (…). Ce serait le chaos (…). Le plus grand risque, c’est l’inaction. » Le plus grand risque a affirmé  jusqu’alors la diplomatie russe, c’est de croire que  la situation de la Syrie se réglera uniquement en faisant parler la poudre.

    Relevons encore que  le  comble de la  bêtise et/ou de la malhonnêteté  a été atteint par   la propagande gouvernementale distillée dans les médias,   expliquant que les armes qui seront  fournies aux milices anti Assad  seront « traçables » pour éviter qu’elles ne tombent aux mains des terroristes fondamentalistes.

     Sur le site de France TV Info , Jean-Pierre Maulny, spécialiste de l’armement à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris)  expliquait qu’ «  Il faut absolument mettre en place un système de traçabilité ». « Numéroter, avoir un système d’identification indélébile pour chaque arme, et récupérer le matériel après.  Comment ? On doit pouvoir désigner un interlocuteur, pour savoir à qui réclamer les armes.Reste que rien ne garantit que l’arme sera rendue. Sur les armes légères, on n’a jamais trouvé de système efficace pour les contrôler, admet le chercheur. Mais pour lui, les choses vont dans le bon sens. Il vaut mieux que les livraisons d’armes soient officielles. Aujourd’hui, le système passe par les Saoudiens et les Qataris, avec des intermédiaires en Turquie. »

    « Autre solution, plus perfectionnée qu’un simple traçage, imaginée par les industriels : des systèmes permettant de localiser et neutraliser les armes à distance. Cette technologie serait aujourd’hui répandue sur les armes sophistiquées comme les missiles. Mais cela ne garantit pas une sécurité à 100%. » «  Chargé de plaidoyer paix et conflit au CCFD-Terre solidaire,  Zobel Behalal  signale qu’une arme disponible  « une minute entre les mains d’un irresponsable peut faire beaucoup de dégâts ».  « Autre innovation, pendant le conflit libyen, des armes à usage unique, avec une durée de vie limitée, auraient été livrées aux rebelles. Mais encore une fois, pour Zobel Behalal, le problème est plus large : A-t-on la garantie que les destinataires sont tous recommandables ? Si oui, que le gouvernement nous communique leurs noms… »

     Une fois n’est pas coutume,l’ex ministre  de la Défense et député UDI Hervé Morin a fait sien l’avis du FN et de  Bruno Gollnisch  en  parlant  de «foutaise »  à propos de  l’idée d’une « traçabilité »des armes.    «Ajouter la guerre à la guerre ne mènera à rien »  et ne saurait « fléchir un tant soit peu le régime de Bachar el-Assad ou la position russe ou chinoise ». Les mouvements qui constituent cette résistance at-il ajouté,  « sont en grande partie des jihadistes ou des salafistes ». « Qui vous dit que dans six mois, ces mêmes armes ne seront pas retournées contre nous-mêmes ? C’est une attitude de pompier-pyromane, comme si on voulait se donner bonne conscience » a déclaré M. Morin.

        Marine Le Pen, Bruno Gollnisch ou encore Marion  Maréchal l’ont dit et répété,   la France  n’a pas à soutenir la rébellion syrienne ; Marion le résumait sur l’antenne de BFM  hier matin : « On va aller armer une résistance extrêmement hétérogène dont on sait qu’une grande partie est composée d’islamistes. On va faire tomber un régime qui est, certes, éminemment critiquable, mais qui avait deux mérites.Le premier était de préserver relativement le droit des femmes. Le second était de faire cohabiter pacifiquement des minorités qui demain vont se faire massacrer . »

     http://www.gollnisch.com

  • Un rapport accablant fait toute la lumière sur la «baleine» de JP Morgan

    Les pertes provoquées par l’ex-trader londonien ont été sciemment minimisées. Les positions de Bruno Iksil ont gonflé jusqu’à 157 milliards de dollars.

    Si la «baleine de Londres» était une «tempête dans un verre d’eau», comme l’assurait l’an dernier le directeur de JP Morgan, Jamie Dimon, le réceptacle est en train de déborder. Selon un rapport d’enquête parlementaire publié jeudi soir, la première banque américaine a sciemment menti aux investisseurs et aux régulateurs. Elle a «mal informé […] sur la nature, les activités et les risques des dérivés de crédit» de sa division d’investissement pour compte propre, conclut le document de 300 pages.

    Les dizaines d’auditions et l’examen de 200 conversations téléphoniques et de 90.000 documents internes permettent d’établir une chronologie précise de l’affaire. Le 5 avril 2012, l’agence Bloomberg écrit que le trader français Bruno Iksil, surnommé la «baleine de Londres» en raison des énormes positions qu’il a coutume de prendre, a constitué un portefeuille de dérivés de crédit d’une telle ampleur qu’il distord les indices.

    De 51 milliards de dollars à fin 2011, les positions ont triplé, à 157 milliards, à fin mars 2012. «Il n’y a rien à faire, il n’y a aucun espoir. Le portefeuille continue de grossir monstrueusement», désespère le trader, au téléphone avec l’un de ses collègues, le 16 mars.

    A ce moment-là, cela fait presque deux mois que JP Morgan n’envoie plus le rapport quotidien des pertes et des profits réalisés par sa banque d’investissement au régulateur. En outre, les enquêteurs du Congrès démontrent comment la hiérarchie du trader a manipulé les modèles de risque internes et de quelle manière elle l’a pressé de surévaluer ses positions, afin de dissimuler les pertes grandissantes.

    En avril toujours, Jamie Dimon répond à des analystes inquiets des révélations de Bloomberg. Il s’attelle alors à minimiser l’affaire. Et ce, alors qu’il «connaissait déjà la complexité, la taille du portefeuille et de ses pertes, ainsi que la difficulté d’en déboucler les positions», accuse le rapport.

    Entre-temps, la Réserve fédérale et le régulateur OCC (Office of the Comptroller of the Currency) demandent des précisions. La banque leur «fournit des informations incorrectes», en affirmant qu’elle va réduire les positions. En réalité, elle continue à les augmenter. Le rapport note toutefois que l’OCC a sa part de responsabilité, puisqu’il n’a pas su donner suite à des signaux d’alerte déjà visibles.

    Ce que pointe aussi l’enquête, c’est le fait que JP Morgan a attendu que paraissent des informations de presse pour évoquer ces transactions. Le silence a été maintenu «malgré plus de 1 milliard de pertes et des problèmes étendus», est-il écrit. En mai 2012, ce sont finalement 6 milliards de dollars de pertes de courtage qui sont annoncés publiquement par la banque.

    Le rapport a été publié la veille de l’audition de plusieurs cadres et ex-cadres de la banque. Hier, tous ont déploré une chaîne d’erreurs, mais ils nient avoir menti. L’ex-cheffe des investissements s’est déclarée déçue et triste de constater à quel point l’équipe de Londres avait sapé son autorité.

    Les médias américains, eux, espèrent que ce nouveau scandale serve à alimenter le débat sur la surveillance de ces piliers de Wall Street qui jonglent avec des produits financiers très complexes. En revanche, personne ne presse publiquement Jamie Dimon à la démission, lui qui a finalement assumé une part de responsabilité, en janvier, et vu son bonus réduit de moitié.

    Alors qu’Oswald Grübel, ex-directeur d’UBS, avait été poussé vers la sortie après l’affaire Kweku Adoboli, les tromperies autour de la «baleine» de JP Morgan ne semblent pas en mesure d’atteindre l’insubmersible banquier.

    Le Temps    http://fortune.fdesouche.com

  • Le vrai visage de la LICRA et de l'antiracisme en France

  • Les colis alimentaires de plus en plus sollicités en Europe

    C’est une des conséquences les plus visibles de la crise: de plus en plus d’Européens ont faim et doivent recourir aux colis alimentaires pour s’en sortir, constate la Croix-Rouge européenne.

    Selon un responsable de la Croix-Rouge européenne, il n’y a jamais eu autant de colis distribués depuis 1945. L’aide intérieure prend le pas sur les projets à l’étranger.

    Trois millions de personnes dépendent de ces colis en Espagne, par exemple. Mais dans des pays dits riches, la tendance est aussi à l’augmentation, comme en Finlande ou au Luxembourg.

    La Belgique n’y échappe pas. 121.000 personnes ont franchi le seuil d’une banque alimentaire l’année dernière, soit 4.500 de plus qu’en 2011. Ces chiffres ont été publiés par Het Nieuwsblad op Zondag.

    Les plus pauvres ne sont plus les seuls à demander cette aide en Belgique. Il y a des personnes issues de la classe moyenne, des indépendants en faillite. Mais aussi des pensionnés de plus plus nombreux. Les retraites les plus basses ne permettent plus de suivre le coût de la vie.

    La demande est criante alors que l’offre a une voix de plus en plus étouffée par le manque de crédits.

    RTBF.be  http://fortune.fdesouche.com

  • 24 mars, Champs Elysées, Manif pour tous : bras de fer Préfecture de police / organisateurs

    Le 24 mars : le printemps français !

    Pour des raisons de sécurité et des raisons commerciales, la Préfecture de police de Paris s’est prononcée contre le parcours de la manif pour tous; les organisateurs maintiennent leur décision

     

     

     

    Ils devront s’assoir ailleurs que sur les Champs-Elysées. La préfecture de police de Paris (PP) et les opposants au mariage homosexuel, qui souhaitaient manifester le 24 mars sur les Champs-Elysées à Paris, ce qui leur a été refusé, ne sont toujours pas tombés d’accord sur un autre lieu de rassemblement.

     

    La PP a expliqué dans un communiqué avoir prévenu les organisateurs dès le 22 février, soit deux jours après avoir reçu la demande de manifestation, de « l’impossibilité pour des raison impérieuses d’ordre public, de se rassembler » sur les Champs-Elysées et à la place de la Concorde comme le souhaitaient les organisateurs.

     

    TF1  http://www.fdesouche.com

  • Liberté d’expression : Anne-Marie Le Pourhiet ne mâche pas ses mots

    PARIS (NOVOpress Breizh) – Le Code pénal est devenu un bréviaire totalitaire“. Lors de l’émission « Ce soir ou jamais » du 15 mars, Anne-Marie Le Pourhiet, professeur agrégé de droit public à l’université de Rennes 1, a dénoncé les atteintes portées en France à la liberté d’expression. Un point de vue jugé « dangereux pour la démocratie » (?!) par Bruno Roger-Petit, chroniqueur au Plus, une filiale du Nouvel Obs’.

    « Toutes les opinions autorisées par la loi sont défendues par la constitution. Tout ce qui n’est pas interdit est autorisé et ce n’est pas à moi, animateur de télévision, qui vais décider de ce qu’on a le droit de dire ». Réputé pour accueillir dans son émission des personnes connues pour exprimer des points de vue politiquement incorrects, Taddeï ne mâche pas ses mots. Raison pour laquelle il est actuellement dans le collimateur des éditocrates de la presse mainstream.

    Après Patrick Cohen, le patron de la matinale sur France-Inter, qui s’en est pris violemment la semaine dernière sur France 5 au présentateur de « Ce soir ou jamais », c’est au tour de Bruno Roger-Petit de critiquer celui qui s’est donné pour règle d’inviter à son émission des personnalités de tous bords.

    Dans un papier publié hier sur Le Plus, BRP reproche notamment à Taddeï d’avoir invité Anne-Marie Le Pourhiet. « Anne-Marie Le Pourhiet est l’un de ces invités potentiellement à problème » (sic), écrit-il. Selon lui, en effet, cette éminente juriste, régulièrement consultée par les parlementaires (voir deuxième vidéo), « affiche un conservatisme ultra », elle dit « n’importe quoi », « profère son petit chapelet de mensonges et d’amalgames », ce qui pervertirait « le débat démocratique ». Rien de moins.

    Dans un souci de contribuer à la liberté d’expression, et nonobstant les récriminations des tenants de la pensée unique, NOVOpress vous propose donc d’écouter Anne-Marie Le Pourhiet.

    Sur la défense de la liberté d’expression par Anne-Marie Le Pourhiet, on peut rappeler son intervention dans le cadre de l’Assemblée Nationale, où elle avait été invitée à parler devant la Mission d’information parlementaire sur les questions mémorielles. En tant que professeur de droit public elle avait défini comme étant des lois scélérates les lois mémorielles et sur l’histoire, et ce devant Jean-Claude Gayssot, initiateur de l’une de ces lois sur l’histoire qui porte son nom, la “loi Gayssot”.

    http://fr.novopress.info

  • La famille sous contrôle

    Familles, je vous hais ! Telle pourrait être la devise de ce gouvernement. Car il ne lui suffit pas de s'attaquer à la structure profonde de la famille en cherchant à inscrire dans la loi de prétendues nouvelles formes d'une institution aussi vieille que l'humanité, et dont l'extension (de la famille nucléaire à la tribu) a pu et peut encore varier, dans l'espace et le temps, mais jamais la définition (qui repose sur la complémentarité des deux sexes). Non, il lui faut aussi raboter ce que les familles coûteraient aux finances publiques, comme si les allocations dites familiales ne représentaient pas un investissement pour la société.
    Car il n'y a, malheureusement, aucun paradoxe à voir le gouvernement d'un côté dissoudre le concept même de la famille sous prétexte de  « l’étendre » à de prétendues familles homoparentales et, de l'autre, rogner, en les taxant, ou les plafonnant, les aides que l'État redistribue aux parents afin de participer au coût de l'éducation des enfants, autant dire des futurs citoyens. Ou bien encore les baisser d'un milliard l'an prochain et de 2,5 milliards l'année suivante. Ou punir, en fiscalisant la majoration de leur pension - 800 millions d'euros pour l'État -, les parents de familles nombreuses arrivés à la retraite et qui espéraient pouvoir souffler un peu, à moins que la crise ne leur impose de continuer d'aider leurs enfants. Bref, pour réduire les déficits d'un État qui dépense par ailleurs sans compter, piquer plusieurs milliards d'euros dans la poche des vraies familles.
    Car si le "besoin" d'enfant des "familles" homoparentales répond avant tout à un désir de normalité, au prix de l'instauration d'un criminel droit à l’enfant, ce n'est évidemment pas à ces "familles"-là, stériles par définition, qu'on peut compter pour assurer l'avenir de la nation, puisque, pour s'instituer en fiction juridique, il leur faut soit profiter de l'échec d'un couple à créer ou demeurer une famille - mère abandonnée abandonnant à son tour son enfant, enfants retirés à leurs parents et déclarés adoptables - soit recourir à des pratiques (PMA hors champ médical) et GPA qui ne sont que des techniques de procréation, indifférentes à la notion même de la famille. Inutile de s'étendre davantage sur le caractère orwellien de ce que "construit" - mot clef de la modernité - l'élite d'une société hors-sol. Au passage, un bon point à Marine Le Pen déclarant sur France Inter, dimanche 18 février, son intention, contrairement à l'UMP, d'abroger le mariage homo si elle arrivait au pouvoir.
    Oui, Didier Migaud, le premier président socialiste de la Cour des comptes, ne fait que rappeler à François Hollande une de ses promesses de campagne, en lui demandant d'appauvrir les familles pour renflouer l'État - en revanche, préférence étrangère oblige, il ne lui suggère pas de réserver les prestations aux seuls Français ou de diminuer la scandaleuse gabegie des aides sociales attribuées aux clandestins ! il est vrai que l'Europe ne serait pas d'accord ! Souci de justice sociale ? Non, car ces allocations, loin de viser à aplanir les inégalités de revenus - c'est le quotient familial, lui aussi dans la ligne de mire du candidat Hollande, qui joue ce rôle -, sont destinées à compenser, à revenus équivalents, la différence de charges entre les couples n'ayant pas, ayant peu ou ayant beaucoup d'enfants. Une compensation il est vrai de plus en plus dérisoire, puisque en cinquante ans les allocations ont diminué de près de 70 % !
    Nulle mesure plus contre-productive sur le plan économique, plus injuste sur le plan social et plus scandaleuse sur le plan symbolique ! Contre-productive sur le plan économique, car appauvrir les familles, c'est freiner la consommation et favoriser la récession tout en diminuant le nombre des actifs de demain par rapport aux retraités. Injuste sur le plan social, puisque ceux qui assurent l'avenir de la société sont défavorisés par rapport à ceux qui n'assurent que le leur. Scandaleuse, enfin, sur le plan symbolique, puisqu'elle pénalise la transmission même de la vie. Il est significatif que cette mise en coupe réglée des prestations familiales, dans le seul but d'augmenter les recettes de l'État, accompagne la montée en puissance parmi nos élites de l'idéologie écologiste, profondément malthusienne puisqu'elle considère depuis toujours la procréation humaine avec suspicion, voire comme un crime. En 1974 déjà, le premier candidat écologiste à une présidentielle, René Dumont, voulait taxer les familles de quatre enfants et plus - avant des mesures plus efficaces à la chinoise ? - pour le préjudice que cette « surproduction » faisait courir, selon lui, à l'équilibre écologique ; pensée criminelle, puisqu'elle définissait l'enfant comme un objet de luxe taxable, mais qu'a reprise et aggravée le député écologiste Yves Cochet en 2009, en calculant le coût carbone d'un enfant occidental - six cent vingt trajets aller-retour Paris-New York ! Et de réclamer, déjà, la réduction des allocations familiales... dès le troisième enfant (mieux que René Dumont), ajoutant à l'époque dans un entretien au Monde : « S'il y a moins d'actifs et plus d'inactifs, notamment du troisième âge, la question des retraites en 2020 ou 2030 ou 2040 sera plutôt résolue par quelques réfugiés climatiques de la jeunesse du Sud que par une gestion purement comptable des caisses de retraite françaises. (1) » Ou quand le discours écologique, totalitaire par essence, puisqu'il conçoit l'humain simplement en termes de gestion, recoupe le discours ultralibéral et européen sur l'immigration...
    Car c'est bien de cette idéologie hors-sol - un comble pour les écolos -, indifférente à l'existence de nations historiques et de civilisations pérennes, faisant de l'homme un simple force de travail exportable, puisque réputé dépourvu de toute racine, que participe cette proposition, socialiste, de fiscalisation, qui, toutefois, ne scandalise pas outre-mesure la droite, et s'inscrit dans cette logique remplaciste qui satisfait les bobos français. Ainsi l'éditorialiste de Marianne, Nicolas Domenach, se réjouissait récemment face à Éric Zemmour(2), de ce que la "droite" française - laquelle ? -, sur le modèle de la droite américaine, devrait bientôt réviser, si elle voulait revenir au pouvoir, ses positions sur la présence des étrangers et la thématique communautariste en raison du poids grandissant de l'électorat issu de l'immigration, ou immigré, si le droit de vote est accordé aux étrangers extracommunautaires ! Et on ose intenter un procès à Renaud Camus pour son expression de « grand remplacement » alors même que ce grand remplacement, ce sont les élites dénationalisées qui le réclament à cor et à cri ! Comme si, du reste, la "droite", Sarkozy en tête, n'avait pas mené, en matière d'immigration, la même politique laxiste que Hollande poursuit aujourd'hui, en tentant déjà de s'attaquer à la politique familiale...
    Oui, la haine de la famille est bien le fait d'un pays légal qui, réduisant l'humain à une variable d'ajustement, ne pense plus en termes de peuple ou de nation mais de profits su les plans européen et mondial. Déconnectés du pays réel, nos dirigeants doivent s'attendre un jour ou l'autre à un retour de bâton ! Et qu'ils sachent d'ores-et-déjà que les Français, ce jour-là,  ne pratiqueront pas « l'abstention militante et engagée », chère à NKM : ils en finiront avec l’imposture.
    François Marcilhac Action Française février mars 2013
    1)    - http://www.lemonde.fr/planete/chat/2009/11/20/faut-il-faire-moins-d -enfants- pour-sauver- la-planete_1270074_3244. html
    2)    - Sur l-Télé, le 16 février 2013.

  • Le gouvernement affirme n'avoir plus d'argent pour l'armée française... mais en trouve pour armer les rebelles syriens

    Le gouvernement affirme n’avoir plus d’argent pour l’armée française… mais en trouve pour armer les rebelles syriens

    Alors que le ministère de la Défense a dû procéder à 54 000 suppressions de postes au cours du quinquennat de Nicolas Sarkozy, les contraintes budgétaires fixées par François Hollande dans le but de « sauver l’euro » ont de fortes probabilités d’accélérer la destruction de nos armées.

    LES ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES INTENABLES DE FRANÇOIS HOLLANDE

    Pour que l’on juge du caractère proprement intenable de la situation, il faut savoir trois choses :

    1°) les résultats obtenus par la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) lancée par Nicolas Sarkozy ont abouti à des économies budgétaires cumulées d’environ 15 milliards d’euros sur 5 ans. Je rappelle que c’est cette RGPP qui est à l’origine du non-remplacement de 1 fonctionnaire sur 2 partant à la retraite, de la fermeture massive d’écoles, de services hospitaliers, de postes, de commissariats de police, etc. Je souligne au passage que de nombreuses administrations commencent à être complètement désorganisées, des services entiers, dans les préfectures ou les administrations déconcentrées de l’État, n’étant désormais plus qu’imparfaitement assurés.

    2°) nonobstant ces coupes extraordinairement drastiques, le déficit budgétaire de l’État n’a fait qu’empirer sous Nicolas Sarkozy. Il s’agit de l’illustration de ce que j’ai maintes fois expliqué, dans mes conférences et entretiens, à savoir qu’il est puéril de croire que l’on réduit le déficit d’un État en coupant dans ses dépenses. Car un État n’a rien à voir avec un ménage de salariés, dont les recettes – les salaires – sont constants quelles que soient les dépenses du ménage. Les recettes d’un État (TVA, IR, IS et TIPP pour les principaux en France) dépendent étroitement de l’activité économique et si celle-ci dégringole, les recettes s’effondrent encore plus vite. Or si l’on coupe drastiquement dans les dépenses de l’État, notamment en période de crise, cela va contribuer à faire chuter l’activité économique, donc les recettes encore plus vite. Et l’on risque de voir se creuser encore plus le déficit que l’on prétendait combler.

    3°) les orientations fixées par François Hollande – sur instruction de la BCE et de la Commission européenne – consistent à vouloir réduire les dépenses de l’État de 60 milliards d’euros au cours des 5 prochaines années. Cela signifie que le chef d’État “socialiste” prétend qu’il va falloir faire 4 fois plus d’économies au cours des 5 prochaines années qu’au cours des 5 années écoulées. Dans les allées du pouvoir, dans les administrations, personne de sérieux ne sait comment de telles coupes à la hache pourraient être encore possibles.

    LE GOUVERNEMENT S’APPRÊTE À TAILLER DE FAÇON INOUÏE DANS DES PANS ENTIERS DE L’ARMÉE

    Quoi qu’il en soit, c’est dans ce contexte général que le ministère de la Défense risque de voir son budget subir une nouvelle coupe sans précédent historique. [...]

    La suite sur le site de l’Union populaire républicaine

    http://www.actionfrancaise.net

  • Réchauffement du climat : un gros bobard ? En tous cas de gros profits !

    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Après trente ans de communications insistantes sur le réchauffement climatique, le président du GIEC, (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), a admis publiquement le mois dernier que, contrairement aux  prévisions du GIEC, il n’y a pas eu de réchauffement climatique mondial depuis dix-sept ans. C’est ce qu’indiquent les données des centres de recherches sur le climat, et des satellites.

     

    Néanmoins, les ardents propagandistes de la religion réchauffiste n’en font pas moins de juteux profits, comme Al Gore. Celui‑ci, prix Nobel de la paix pour son livre Sauver la planète, vient de faire paraître un nouvel ouvrage, dans lequel il dénonce « les commentaires politiques et les émissions d’information à la télévision commandités par des multinationales du pétrole, du charbon ou du gaz ». Il omet toutefois de préciser qu’il vient de vendre sa chaîne de télévision, pour 100 millions de dollars, au Qatar, troisième producteur de gaz naturel du monde !

    http://fr.novopress.info/