À quelques encablures du scrutin du 9 juin, nous nous rapprochons d'une échéance qui risque de se révéler capitale.
Le résultat devra sans doute être évalué au niveau européen, où on peut espérer un basculement vers les diverses droites. Qu'elles soient cataloguées conservatrices ou étiquetées nationalistes, elles bénéficient toutes du rejet par les peuples de l'immigration incontrôlée, ressentie comme une invasion. Reléguant aussi les excès délirants de l'écologie politique elles sont dénoncées comme "populistes". Ce mot ne veut rien dire mais il convient aux logiciels surannés de nos commentateurs agréés.