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Washington ne pouvait pas faire plus plaisir hier aux nazis de carnaval bandéristes en débloquant l’enveloppe de 61 milliards de dollars d’aide à Kiev le jour anniversaire de la naissance d’Hitler !…
Les trois quarts des membres de la Chambre des représentants américaine ont sans surprise voté en faveur de la poursuite de la guerre par procuration livrée par l’OTAN à la Russie, répondant à l’appel de détresse lancé par l’ex-tenancier de pub londonien Boris Johnson qui venait d’avertir :
(…) Les faits reprochés, exhibition et agression sexuelle en état d’ivresse manifeste, sont pourtant loin d‘être anodins.
D’autant plus qu’ils se sont déroulés dans l’enceinte de l’hôpital de Creil le 4 mars dernier dans la soirée. Les pompiers amènent aux urgences Djamel L., sans domicile fixe et dans un état d’ébriété très avancé, son alcoolémie sera mesurée à 2,75 g d’alcool par litre de sang. (…)
Par deux fois, il se livre à des attouchements sur les parties intimes de sa victime qui se débat, avant que le bruit de lutte et les cris n’alertent une autre soignante qui vient aider sa collègue à maîtriser l’agresseur avant l’arrivée du service de sécurité.
Dans une époque imaginaire qui ressemble curieusement à la nôtre, le gouvernement français semble avoir adopté une politique de recrutement pour le moins… originale.
La consigne serait claire : pour intégrer l’équipe dirigeante, point n’est besoin de diplômes rutilants ni de compétences éprouvées.
L’unique critère de sélection serait de ne jamais risquer d’éclipser l’intelligence du chef suprême. Ainsi, nos ministres seraient choisis pour leur capacité à manier la langue de bois plutôt que pour leur expertise, et leur fidélité serait plus précieuse que leur savoir. Cette pratique n’est pas sans rappeler le fameux empereur romain Néron, qui, selon les dires, préférait s’entourer de courtisans plutôt que de conseillers compétents, de peur que ces derniers ne doutent de ses talents de poète, de musicien et, accessoirement, de leader.
Maxime Guimard estime à 500 000 le nombre possible d’étrangers en situation irrégulière au 1er janvier 2022 en retirant chaque année, de 2009 à 2021, du nombre d’étrangers connus pour être entrés, d’une manière ou d’une autre, dans l’irrégularité, ceux qui en sont sortis (décès[1], retour ou régularisation).
Pour 1,3 million de personnes repérées comme entrants dans l’irrégularité de 2009 à 2021, 800 000 sont sortis de l’irrégularité, en grande partie grâce aux procédures de régularisation (80 %). C’est donc principalement par la régularisation que l’État français « lutte » contre la présence irrégulière d’étrangers en France. « La quasi-certitude d’accéder un jour à un statut régulier est inéluctablement interprétée par le migrant comme un signal d’accueil favorable adressé par le pays de destination, qui constitue en lui-même le moteur essentiel de la migration irrégulière » (p. 203).
Le site d’information en ligne Omerta reçoit Eric Denécé, le patron du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) pour un état des lieux du conflit en Ukraine (30 minutes)
Elon Musk et son réseau social X défient les ordres de l'organisme de surveillance en ligne de l'Australie visant à supprimer du contenu lié à l'attaque présumée d'un évêque lundi soir à Sydney-Ouest. La commissaire à la sécurité en ligne a en effet émis un avis exigeant le retrait de publications dépeignant "une violence gratuite ou offensante".
Cyrielle Chatelain, députée EELV de la 2e circonscription de l'Isère, est aussi la seule présidente du groupe de son parti à l'Assemblée, depuis la mise à l'écart de Julien Bayou - pour les raisons que l'on sait. Et visiblement, à l'heure où la NUPES tangue, tiraillée entre le canal Mélenchon et la ligne Glucksmann, elle tient à réaffirmer son allégeance à LFI. C'est, en tout cas, ce que laisse penser sa sortie ce dimanche, sur Radio J, contre le discours de Gabriel Attal sur l’« entrisme islamiste » à l’école, jeudi dernier. Le Premier ministre avait en particulier dénoncé ceux qui tentaient de faire pénétrer « les préceptes de la charia, notamment dans nos écoles ». Oui, les mots étaient forts, et assez étonnants de la part d'un ex-jeune socialiste, et on les aurait plutôt attendus dans la bouche d'un Bardella ou d'un Zemmour.
Pour d’autres, c’est l’année 2015 qui constitue l’année charnière. Comme cette avocate rennaise à la retraite, qui préfère demeurer anonyme. Née dans une famille radicale-socialiste, elle a «bouffé du curé tous les dimanches» depuis son enfance et considère aujourd’hui encore que la laïcité est l’un des combats les plus importants à mener. Sa mère, très active au PS, l’initie à la vie citoyenne, l’emmène assister au dépouillement des votes. Le jour de l’élection de Mitterrand, mère et fille étaient allées à la mairie de Laval fêter la victoire… et ont vite rebroussé chemin, quand elles ont entendu chanter «L’Internationale» : c’était leur ligne rouge. En 2002, cette dame a voté Chevènement au premier tour. L’affiche du second tour lui fait un choc : «mes parents ont connu la Seconde Guerre mondiale, ça a réactivé cette idée dans notre esprit». Elle manifeste contre le FN, vote Chirac à contrecœur.
On se demande à quoi rime la manifestation contres les racismes et l’islamophobie tenue hier dans Paris, par près de 3000 personnes. Les marcheurs visaient en particulier « les violences policières », soit disant commises sur des jeunes issus de l’immigration arabo-afro-musulmane, référence sans doute aux morts très médiatisées de quelques jeunes pris en flagrant délit de refus d’obtempérer. On oserait leur rappeler, à ces manifestants, que la population générale est bien plus victime des violences policières que les jeunes issus de cette immigration là. On l’a vu pendant les épisodes Gilets-Jaunes, avec des blessures très sérieuses, sur des gens parfaitement pacifiques. Rappeler aussi que ces fameux « jeunes » sont d’à peu près tous les délits de fuite, conduites sans permis, sans assurance, rodéos urbains, attaques de commissariats, délits liés à la drogue, coups de couteaux, la liste est longue… Rappelons qu’il y a un délit de fuite toutes les vingt minutes en France, dont une bonne partie, par des gens « racisés » et que plus de 95% d’entre ces refus, ne sont pas sanctionnés.
Dans un contexte financier difficile, les associations britanniques d’aide aux migrants ont trouvé une parade pour continuer d’opérer le long des côtes françaises. Selon les informations d’Europe 1, elles changent de nationalité juridique pour toucher les subventions de l’État français, beaucoup plus lucratives.