Toujours farouchement opposée à la loi immigration adoptée fin décembre, la Ville de Paris entend bien continuer à le faire savoir. Alors que le Conseil constitutionnel a décidé jeudi de censurer largement le texte, la municipalité parisienne a annoncé dans le même temps ouvrir les portes de l’Hôtel de Ville aux Parisiens ce samedi 27 janvier, de 13h45 à 17 heures. Se présentant comme la mairie d’une « ville d’accueil et d’intégration » par opposition aux défenseurs de cette loi.
magouille et compagnie - Page 342
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Anne Hidalgo ouvre les portes de la mairie ce samedi contre la loi Immigration (MàJ : elle les referme brutalement suite à l’irruption de dizaines de migrants qui réclament un logement)
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Quand la Constitution se retourne contre la nation
Mathieu Bock-Côté
Ce qui devait arriver arriva : le Conseil constitutionnel a censuré jeudi l’essentiel de la loi immigration. Certes, et c’est la petite musique du jour, on explique que le Conseil constitutionnel, pour l’essentiel, n’aurait pas touché le fond du texte, et viserait essentiellement ses vices de forme – c’est la question des fameux cavaliers législatifs. On ne se laissera pas bluffer : ce pointillisme juridique témoigne surtout de la mise sous tutelle du Parlement par les juges, qui lui contestent désormais le droit élémentaire d’amender un texte de loi.
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Colère des agriculteurs. Pour Marine Le Pen: "Les pires adversaires des agriculteurs se trouvent dans ce gouvernement"
Marine Le Pen s'exprime ce 25 janvier à l'occasion de ses vœux à la presse. La Présidente du groupe RN à l'assemblée n'a pas manqué de tacler le gouvernement qui fait face à la crise des agriculteurs en colère :
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Accord entre Chili et UE : un coup de poignard dans le dos de nos paysans
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A BAS LE DICTATEUR !
Le Conseil Constitutionnel, le gouvernement des juges, non élus, qui ne sont nommés que par un indécent copinage politique, vient de censurer lourdement une loi votée par la majorité des parlementaires qui, eux, représentent vraiment les Français qui les ont élus. Leur légitimité est même supérieure à celle de l’occupant de l’Elysée, car ils sont l’image de leur diversité, quand M. Macron n’a bénéficié que d’un rejet de son concurrent et donc du vote d’électeurs qui ne le soutiennent nullement. C’est la deuxième fois dans un temps court que cette institution faux-nez prête son concours à un pouvoir minoritaire.
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Gabriel Attal face à Jérôme Bayle : joli coup, mais la révolte continue
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Vive la baston, Vive l’UE !
L’UE c’est la paix dit-on en haut lieu. Et si c’était le contraire ? L’UE participe activement à une guerre où elle fait semblant de ne pas s’engager réellement, tout en voulant absolument la gagner. Le cul entre deux chaises, en guerre avec enjeu prétendument vital et pas en guerre à la fois, c’est risquer de tomber lourdement et d’entraîner l’Europe vers le pire. Mais cette fois-ci, le pire n’est pas sûr car l’Europe n’est plus seule, comme autrefois. Elle est encadrée.
Vieille obsession des élites occidentales, européennes principalement : soumettre la Russie, ou tout au moins l’aligner sur les normes occidentales religieuses, sociétales, démocratiques…
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Paroles, paroles, paroles… et encore des paroles !
Par Adègne Nova
Ah oui, le gouvernement s’intéresse à l’agriculture ! Comme les céréaliers qui sèment du colza ou de l’orge, il sème des mots, encore des mots, toujours des mots, les mêmes mots. Ainsi, notre « Dernier-né ministre » qui répondait à un agriculteur à Saint Laurent-d’Agny dans le Rhône : « C’est un sujet majeur et je le dis de manière très claire, je le prends très au sérieux. On a une grande chance en France, c’est notre agriculture qui nous permet une certaine indépendance et une certaine autonomie… ». Mais quand ceci est dit… rien n’est fait !
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Rennes. Les dealers du Blosne « informés » de l’opération policière (finalement annulée) ?
La place du Banat, quartier du Blosne. Source : www.rennesimmo9.com
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De la viande surgelée du Brésil ou de la viande française ?
Les agriculteurs en colère s’organisent pour contrôler les marchandises transportées par les routiers. Leurs découvertes les font fulminer. Arrivent de partout des produits qui sont pourtant disponibles auprès des paysans français. Cette folie doit cesser.