Emmanuel Macron nous l’a dit : les prestations sociales et escroqueries y afférentes nous coûtent « un pognon de dingue ». L’Élysée aussi, hélas. Alors que le Parlement est en train de plancher sur le projet de loi de finances 2024, on découvre dans les annexes que l’Élysée va terminer l’année dans le rouge, rapportent Le Figaro ou France Info, qui cite L'Observatoire de l'éthique publique. Très rouge, même, avec un déficit de 12 millions d’euros, soit un total de dépenses de 127,4 millions d’euros, contre 115 initialement prévus. Cela, bien que le budget présidentiel ait été déjà revu à la hausse, fin 2022 (+5 millions), pour compenser « l’inflation » à venir. Cette année encore, hélas, et bien que « ces prévisions à fin décembre 2023 tiennent compte des éléments inflationnistes conjoncturels qui impactent très fortement nos dépenses », il va falloir compter avec « les aléas exogènes », dit-on, en haut lieu.
magouille et compagnie - Page 394
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Le Président Emmanuel Macron fait exploser les dépenses de l’Élysée
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« Le soutien à l’Ukraine à l’épreuve de l’électoralisme » : décryptage d’un édito du Monde
Mauvaise nouvelle en effet pour les plumitifs bellicistes, non seulement la fameuse « contre-offensive » ukrainienne n’a pas produit les résultats promis, mais, en outre, le soutien occidental à Kiev marque le pas : décision de la Pologne de ne plus livrer d’armements, victoire électorale en Slovaquie de ceux qui prônent la neutralité, crise budgétaire aux États-Unis gelant les crédits promis à l’Ukraine, sans même évoquer le récent fiasco « galicien » de Zelensky au Canada.
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À Paris et ailleurs, l’arrivée de ces migrants qui ne devaient jamais arriver
Capture d'écran BFM TVGérald Darmanin l'avait juré, il l'avait promis, avec la désormais célèbre « plus grande des fermetés », et on était prié de le croire sur parole : jamais aucun migrant, venu de la vague énorme qui avait submergé Lampedusa, ne devait arriver en France. C'était clair, c'était net, et on allait voir ce qu'on allait voir, parce que « en République », on est ferme sur les prix. -
Immigrés : Le préfet a bien menti sur Menton
Le 18 septembre :
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Pourquoi Bill Gates fait-il brusquement volte-face sur la thèse de la « catastrophe climatique » ?
Les propos récents de Bill Gates interviennent en pleine implosion de la « bulle verte »
Bill Gates, cofondateur de Microsoft, philanthrope et alarmiste climatique, est revenu sur ses prophéties de « catastrophe climatique ».
Les élites politiques et financières, qui ont longtemps défendu l’idée d’une catastrophe climatique imminente, se rendent compte que le public n’est pas dupe.
En 2021, Bill Gates avait déjà mis en garde contre les conséquences apocalyptiques d’une absence d’émissions nettes de carbone d’ici à 2050.
Il a également fait la promotion de son nouveau livre, « How to Avoid a Climate Disaster » (Comment éviter un désastre climatique).
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Dissolution de Civitas : les réactions
Thomas Joly, Roland Hélie et Alain Escada
• Alain Escada, président de Civitas :
La dissolution de Civitas est un abus de droit. Aujourd'hui, c'est nous, demain c'est vous ! Nous allons bien sûr déposer des recours. Non à la dissolution de la liberté d'opinion !
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Aujourd'hui, le pouvoir dissout Civitas... Demain ce sera le tour à qui ? Au Rassemblement national ? À Reconquête ?
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Dissoudre un mouvement nationaliste rassure peut-être les pleutres, les fanatiques et les bobos qui forment le fond de commerce du gouvernement actuel mais cela n'entame jamais la détermination des militants... Bien au contraire.
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[Exclu BV] Le père de Mégane apporte son soutien à Véronique Monguillot
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Elles tournent, les éoliennes !
Par Claude Brasseur
Elles tournent, comme s’il y avait du vent, trop lentement pour pouvoir donner de l’énergie, mais elles tournent et impressionnent les passants.
La moitié du temps où les éoliennes tournent, elles ne produisent pas d’électricité. Il y a juste assez de vent pour faire tourner les pales. Cette rotation des pales suffit pourtant pour faire croire à leur utilité…
Mathématicien, spécialisé en physique nucléaire, m’intéressant à l’énergie depuis plus de 30 ans, j’ai créé un centre de recherche en technologies peu coûteuses à l’université de Lubumbashi (RDC), ai construit des éoliennes utiles et n’aime pas qu’on se moque de mes concitoyens. Je n’aime pas qu’on leur prenne de l’argent pour remplir les poches de fabricants et de commerçants… j’aimerais qu’on offre un courant propre, sans aucun danger, éternellement renouvelable et donc réellement vert, peu coûteux en prime.
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C’est pas vrai… C’est pas grave… Et de toute façon c’est trop tard
Dans une entreprise de tromperie il existe des étapes nécessaires, qui se succèdent, s’emboîtent et s’articulent. Si l’on veut placer un produit financier à haut risque, capter l’héritage d’un richard en fin de vie ou inciter un ado à essayer le cannabis, on ne s’appesantit pas sur le processus en présence de la victime. On ne lui souligne pas les conséquences et les risques. On ne lui explique pas que l’on compte sur sa naïveté ou son manque d’informations. On cherche au contraire à endormir sa méfiance, à mettre en avant les aspects positifs de l’affaire, à en dissimuler les risques. Pour tromper quelqu’un, autrement dit, il faut évidemment avancer masqué. Jusqu’à ce l’intéressé se rende compte de sa naïveté et de sa bêtise et voit clairement enfin qu’il a été joué… mais il est trop tard. C’est ainsi que la classe dirigeante a procédé pour mener depuis soixante ans sa politique d’invasion migratoire et de destruction des frontières en Europe.
A cette aune, une tribune récente du Monde mérite d’être signalée. Elle est signée Ben Judah, journaliste et chercheur franco-britannique.