
Guillaume de Salvandy s’exprime à ce propos sur le média radiophonique: Tocsin (20 premières minutes)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Guillaume de Salvandy s’exprime à ce propos sur le média radiophonique: Tocsin (20 premières minutes)

Les joutes oratoires à l’Assemblée nationale ne sont pas nouvelles, mais lorsque le ministre de la Justice, garde des Sceaux, perd son sang-froid et invective les députés du RN, provoquant leur départ de l’Hémicycle, la scène vaut le détour - comme dirait le guide Michelin. L’hystérie de Dupond-Moretti, en attente de la décision de la Cour de justice de la République, était compréhensible ; les magistrats ont juré, au nom de leur corporatisme, de le faire condamner, et démissionner. C’est raté, la Cour l’a absous.

Un rassemblement d’une quarantaine de parents d’élèves et d’enseignants a été organisé le 30 novembre devant le collège Rosa Parks de Nantes. Le conseil départemental de Loire-Atlantique fait une croix sur trois établissements nantais défavorisés dans l’espoir d’améliorer la mixité sociale des écoles du centre-ville. Une opération qui inquiète […]

Les faits se sont produits vendredi 1er décembre, en plein cours d’histoire-géographie. « Tu fais trop le mac, je vais t’égorger », a lancé l’élève, à deux reprises, au collège Marguerite-Duras de Libourne.

Par Olivier Perceval
Un expert de l’élevage canin me disait un jour : « Quand un chien aboie furieusement jusqu’à mordre, c’est le plus souvent le maître qui est responsable. »
La saillie du garde des sceaux, mardi à l’Assemblée n’est-elle pas révélatrice de la panique qui s’empare aujourd’hui du patron de l’Élysée, devant la montée de la grogne de la France périphérique face à l’insécurité qui se répand dans tout le pays, fruit d’une obsession immigrationiste, et d’un échec des procédures d’intégration ?



Le JDD. Vous avez perdu votre fils Adrien, poignardé à la sortie d’une boîte de nuit à Meylan en juillet 2018. Vous ressentiez le besoin de prendre la parole après la mort de Thomas…
Bruno et Patricia Perez. Parce que la mort de Thomas nous a inévitablement ramenés à la mort de notre fils. Ils étaient à une soirée, ils jouaient au rugby, ils étaient jeunes, ils n’étaient pas armés, ils n’avaient rien demandés et ils nous ont été arrachés. Avec des couteaux, avec des gens qui « plantent » gratuitement, à répétition. Rien que ce mot est insupportable…