Il y a encore quelques mois à peine, on parlait de moi (et d’autres) comme d’un décliniste, ou encore déclinologue : en somme, un pessimiste compulsif, une personne qui voit les choses en gris, ne perçoit que le revers de la médaille, cherche à démoraliser la population. Les analyses fondées sur des faits, les arguments chiffrés ou non ne pesaient pas bien lourd. Tout était balayé d’un revers de la main, en prononçant juste le mot magique : décliniste…
Mais aujourd’hui, qui peut encore affirmer que l’Occident n’est pas en déclin ? Voyons un peu la situation :