Eric Zemmour à Jean-François Copé : “Vous avez trahi les électeurs qui vous croyaient de droite. Vous vous soumettez à la gauche. Je ne pousse pas à l’affrontement. J’analyse l’affrontement qui vient si on continue à élire des gens comme vous”.
France et politique française - Page 1299
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Eric Zemmour à Jean-François Copé : “Vous avez trahi les électeurs qui vous croyaient de droite. Vous vous soumettez à la gauche. Je ne pousse pas à l’affrontement. J’analyse l’affrontement qui vient si on continue à élire des gens comme vous” (Vidéo)
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Giscard : l’avortement volontaire légalisé, si proche de l’infanticide à la naissance des anciens Romains, a été une régression de civilisation
Communiqué de SOS TOUT-PETITS :
Le récent décès du Président Giscard d’Estaing donne lieu à toutes sortes de commentaires plutôt laudatifs à son égard ; certains, dans le domaine économique notamment, peuvent être approuvés par beaucoup (gestion des crises économiques, choix du TGV, développement des centrales nucléaires,…).
Il n’en va pas de même de la loi d’avortement de 1975 dont il a été le principal promoteur, avec Jacques Chirac et Simone Veil. Le divorce par consentement mutuel est une facilité qui a concouru aussi, avec cette loi d’avortement, à la dissolution de nombreuses familles et à la détresse des enfants, avec la destruction de la morale chrétienne traditionnelle.
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Islamisme : 800 incidents déclarés dans les établissements scolaires, dont des menaces de mort contre les enseignants et des apologies du terrorisme
Près de 800 incidents ont été enregistrés dans les établissements scolaires, lors de l’hommage à Samuel Paty, le professeur d’histoire-géographie décapité le 16 octobre dernier, à la sortie de son collège, par un islamiste tchétchène âgé de 18 ans. Tel est le bilan communiqué par le ministère de l’Éducation nationale, le jeudi 3 décembre, relate CNews.
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SILVANO TROTTA Les masques obligatoires contre le coronavirus sont-ils dangereux
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« Cela a quelque chose à apporter pour notre pays »: Emmanuel Macron veut permettre l’enseignement de l’arabe à l’école
Lors de son entretien pour le média Brut vendredi, le président de la République a déclaré vouloir permettre l’apprentissage de l’arabe « dans la République » dans un souci de lutte contre le séparatisme mais aussi de reconnaissance.« Ce que je veux faire, c’est pouvoir remettre l’enseignement de l’arabe: l’une des langues les plus parlées par ces jeunesses dans leur famille, pour éviter que ce soit détourné par d’autres mais aussi pour reconnaître cette part », a déclaré le chef de l’Etat, reconnaissant que la République « leur offre peu d’enseignements en arabe ».« On a en quelque sorte refoulé les langues étrangères de celles et ceux issus d’autres pays ou qui appartenaient à des diasporas, c’est vraiment un processus de refoulement », a poursuivi Emmanuel Macron, qui note que cet enseignement s’effectue désormais par des associations qui « sont souvent le lieu – ce n’est pas toujours le cas – de celles et ceux qui vont en même temps leur expliquer un projet séparatiste pour les détourner de la République ».
(…) BFMTV
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Court-circuit ou circuits courts ? Où vont les paysans ? (texte de 2015)
Entretien avec Michel Collin
La tension monte dans nos campagnes. Des centaines d'éleveurs ont engagé depuis le début de l'été des actions coup de poing. Ils protestent contre l'effondrement des prix de vente de leurs produits et appellent le gouvernement à agir. Un plan d'urgence de 600 millions d'euros est mis en place… Mais cela n'arrêtera pas pour autant l'endettement à outrance et les exploitations trop grosses. Et si la vraie (et moins onéreuse) solution se trouvait dans un changement de modèle économique ? Est-il possible à l'heure de la toute puissance européenne, de changer, en France, de modèle paysan ? Certains, de plus en plus nombreux, ont de bonnes raisons d'y croire. Rencontre avec l'un d'entre eux, Michel Collin, ingénieur agricole.
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LOI POUR LA SÉCURITÉ GLOBALE : VERS UN ÉTAT POLICIER ?
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Les « emmerdes » volent en escadrilles …
Ô surprise, le gouvernement découvre que les « emmerdes » volent en escadrilles. Il est vrai que la vie politique n’a jamais été un long fleuve tranquille et ne le sera jamais.
Néanmoins, il y a une grande différence entre des événements fortuits qui tracassent le politique, l’interpellent et l’alarment en survenant de manière inopinée et ceux qui s’inscrivent dans la logique de l’action gouvernementale et en sont les conséquences directes.
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Jean-Paul Brighelli rappelle que Giscard fut le premier fossoyeur de l’école
Jean-Paul Brighelli, enseignant et essayiste, revient dans Marianne sur les conséquences pour l’Éducation nationale des réformes de Giscard :
[…] Giscard a pris pour ministre de l’Éducation René Haby. C’était l’ancien DGESCO (direction générale de l’enseignement scolaire) des années 1960 — il faisait partie de cette bande de libéraux atlantistes et pan-européanistes qui comme Giscard lui-même ont miné la politique gaullienne — et fait échouer le référendum de 1969.
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État d'urgence La revanche de Carl Schmitt (texte de 2016)
Après les attentats meurtriers du 3 novembre 20 5 revendiqués par l'État islamique, le président de la République a réuni un conseil des ministres afin de décréter l'état d'urgence. Une décision qui marque le retour de la souveraineté de l'État.
La politique, c'est « un coup de pistolet au milieu d'un concert », a écrit Stendhal dans . Elle détonne de manière imprévue, bousculant alors le cours normal des choses. Pour le juriste allemand Cari Schmitt, ce qui fait la distinction spécifique du politique « c'est la discrimination de l'ami et de l'ennemi ». Cet ennemi politique, « l'autre, l'étranger », n'est pas l'ennemi au sens privé, le rival personnel. Il est public, car sa lutte vise la collectivité dans son ensemble. « L'ennemi ne saurait être qu'un ennemi public, précise Carl Schmitt dans La notion de politique, parce que tout ce qui est relatif à une collectivité, et particulièrement à un peuple tout entier, devient de ce fait affaire publique ».