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France et politique française - Page 1732

  • Pietraszewski : slalom ou tout schuss ? – Journal du mercredi 18 décembre 2019

     

    Pietraszewski : slalom ou tout schuss ?

    Un député du Nord, marcheur de la première heure pour remplacer Jean-Paul Delevoye. Deux jours après la démission forcée du Haut-commissaire à la réforme des retraites, le gouvernement a lancé la patate chaude à un certain Laurent Pietraszewski.

    Retour sur la 3ème manifestation

    Mardi, les syndicats sont parvenus à maintenir un semblant d’unité dans les cortèges malgré des tensions apparentes. La mobilisation était au rendez-vous aussi bien en région que dans la Capitale. De quoi laisser espérer aux centrales un poids plus important face au gouvernement.

    L’huître de Cancale vers le patrimoine de l’Unesco

    C’est l’effervescence dans la baie du Mont Saint Michel. A une semaine de Noël, les huîtres de Cancale s’arrachent. Un succès qui pourrait bien les conduire à entrer dans le patrimoine mondial de l’Unesco

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/pietraszewski-slalom-ou-tout-schuss-journal-du-mercredi-18-decembre-2019

  • Marine Le Pen : « Il faut que le gouvernement arrête de manœuvrer avec les Français » (Vidéo)

    Pour la présidente du Rassemblement National, le calendrier de l’annonce de la réforme des retraites à quelques semaines des fêtes de fin d’année n’est pas un hasard. Selon elle, « Il faut que le gouvernement arrête de manœuvrer avec les Français ».

     
  • Municipale à Lyon : le PCD rejoint le RN

    Municipale à Lyon : le PCD rejoint le RN

    Etienne Blanc, tête de liste LR à Lyon, perd l’allié historique qu’était le PCD. De l’autre côté, l’UDI quitte également LR et rejoint LREM. LR apparaît ainsi très isolé.

    Agnès Marion, candidate RN à Lyon, annonce une alliance avec Olivier Pirra, élu sortant d’une liste LR (5e arrondissement de Lyon) et délégué départemental du PCD. Par cette alliance, Olivier Pirra, très actif militant pro-famille à Lyon, souhaite lancer une dynamique d’alliance locale avec toutes les personnes de bonne volonté pour battre le système macroniste en place.

    https://www.lesalonbeige.fr/municipale-a-lyon-le-pcd-rejoint-le-rn/

  • Communiqué de Boulevard Voltaire : notre journaliste prise à partie et violentée par des antifas !

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    Ce mardi 17 décembre, place de la Nation à Paris, notre journaliste envoyée sur place pour réaliser un reportage sur la mobilisation contre la réforme des retraites, a été prise à partie, violentée et expulsée. Aux cris de « dehors les fachos », elle a essuyé invectives, insultes et coups avant de parvenir à s’extraire. Ce n’est pas la première fois. Le 10 novembre dernier, notre reporter avait subi le même traitement à l’occasion de la « marche contre l’islamophobie ».

    La rédaction de Boulevard Voltaire apporte tout son soutien et sa solidarité à sa consœur et ne peut que s’alarmer devant la violence systématique de ces autoproclamés « antifas » qui semblent jouir d’un total sentiment d’impunité.

    Boulevard Voltaire est aujourd’hui ciblé sur les réseaux sociaux par des activistes qui harcèlent ses annonceurs. Et maintenant dans la rue par d’autres qui n’hésitent plus à s’en prendre physiquement à nos équipes ! Ces attaques, loin de nous affaiblir ou de nous intimider ne font, au contraire, que renforcer notre détermination et notre volonté de vous proposer une information fiable, engagée et lucide. Encore une fois, à travers les attaques répétées contre Boulevard Voltaire, c’est bel et bien la liberté d’informer et la liberté d’expression qui sont visées.

    « Notre liberté dépend de la liberté de la presse et elle ne saurait être limitée sans être perdue ».

    https://www.bvoltaire.fr/communique-de-boulevard-voltaire-notre-journaliste-prise-a-partie-et-violentee-par-des-antifas/

  • Jean-Yves Le Gallou : L’entreprise, nouvel espace totalitaire du XXIe siècle

    Dans la vision libérale des années 1970, l’entreprise était le lieu de la liberté et l’État celui de la bureaucratie et de la contrainte. Aujourd’hui, dans la société de marché qui est la nôtre, ce n’est plus l’État mais l’entreprise qui est au centre de tout. Une entreprise, notamment s’agissant des plus grandes, de plus en plus totalitaire.

    1– Sous le poids des règles de normalisation voulues par les lobbies et de la judiciarisation croissante, les entreprises ont multiplié les procédures internes. Limitant les marges de manœuvre des acteurs de terrain et créant une coupure entre ceux qui conçoivent des « process » depuis les ordinateurs des sièges sociaux et ceux qui les appliquent sans la moindre marge de manœuvre. Bref : une double irresponsabilisation.

    2– Dans le même temps, la grande entreprise cherche à prendre en charge une part de plus en plus importante de la vie de ses salariés. Salles de sport et conciergeries se multiplient pour rendre les salariés de plus en plus dépendants dans leur vie de tous les jours. Les GAFA vont plus loin dans l’ingérence dans la vie privée, en suggérant à leurs salariées de différer l’âge de leur maternité, y compris en congelant leurs ovocytes.

    3– Les directions du personnel, qui s’intéressaient à des personnes et pouvaient prendre en considération les particularités de chaque salarié, ont été remplacées par des « DRH », des directions des ressources humaines. Le vocable est parlant : il s’agit de substituer des procédures abstraites aux liens interpersonnels. C’est le temps de ce que Renaud Camus appelle l’industrie de la MHI, la matière humaine indifférenciée.

    4– L’entreprise a longtemps été le lieu de la neutralité politique. Son objet était de rémunérer ses actionnaires par le profit et ses employés par un salaire, sous la direction d’un management clairvoyant. Le tout dans le respect absolu des opinions des clients, des fournisseurs, des actionnaires et des collaborateurs. Ce n’est plus le cas.
    Les entreprises se dotent de « charte de valeurs ». A l’instar des fameuses « valeurs républicaines » promues par les médias et les hommes politiques. En fait, le mot « valeurs » est un mot valise, un mot de novlangue, pour signifier « conforme au politiquement correct ». C’est-à-dire pour le « développement durable », « la diversité », la « mixité » et l’interdit du réel.

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  • Éric Zemmour face à Damien Abad (LR) : « Boris Johnson c’est la victoire de l’identitaire et du social, tout le contraire de LR


    https://www.lesalonbeige.fr/eric-zemmour-face-a-damien-abad-lr-boris-johnson-cest-la-victoire-de-lidentitaire-et-du-social-tout-le-contraire-de-lr/

  • Retraites : les syndicats rouges bloquent. Le gouvernement papote.

    Après dix huit mois de consultations, de négociations et de concertations aussi bavardes que stériles, aussi oiseuses que sans effets, le gouverneur ouvre ce mercredi une nouvelle séquence de discussions avec les partenaires sociaux pour tenter de sauver sa réforme bancale des retraites et de débloquer une situation qui, chaque jour, devient plus pénalisante pour les Français, plus contraire à la cohésion nationale et sociale, et plus nuisible à l'économie du Pays.

    Face aux grèves, le pouvoir macronien a, dans un premier temps, joué le pourrissement en espérant que l'approche de Noël et des vacances de fin d'année lui offrirait une possibilité de sortie de crise. Il compte aujourd'hui sur les syndicats réformistes pour l'aider à sortir de l'impasse dans lequel il s'est lui même enfermé, quitte à abandonner toute référence à son plan, hasardeux et flou, d'équilibre du système par répartition.

    Deux stratégies perdantes. Dans le premier cas, malgré l'exaspération des Français empêchés de se déplacer, l'opinion publique reste hostile à la méthode comme au fond de cette réforme. Dans le second, ni la CFDT, ni l'UNSA ne sont en mesure de faire fléchir les grévistes ni de lever les blocages.

    Il est de la nature des pouvoirs faibles comme l'est cette république progressiste en marche arrière, de s'engager dans des processus politiques ou sociaux aventureux dont ils n'ont ni la maîtrise ni les moyens de les mener à leurs termes.

    Seul un pouvoir fort — ce ne pourrait bien entendu être que celui d'un régime de droite nationale — saurait imposer ses décisions, mener à bien ses entreprises de relèvement politique, économique et social de la Nation, et mettre au pas ses oppositions.

    Pour l'heure, l'actuel gouvernement n'a pas d'autre choix que de retirer une réforme mal ficelée, illisible et injuste.

    Et de consulter par référendum les Français sur l'avenir de leurs retraites.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Dans la revue l'Incorrect : François Bel-Ker : « La violence à l’égard de l’Action Française est désormais hebdomadaire »

    Après les incidents ayant eu lieu au Mans le week-end dernier et face au traitement médiatique des évènements par les médias dominants cherchant à accabler l’Action française, L’Incorrect a souhaité donner la possibilité à François Bel-Ker, Secrétaire général du mouvement, de s’exprimer sur l’affaire.

    Pouvez-vous nous donner votre version des évènements qui se sont déroulés au Mans ce week-end ?

    Samedi une commémoration en hommage aux victimes des massacres du Mans du 12 et 13 décembre 1793 était organisée au Mans. 15 000 Vendéens et Chouans furent exécutés par les révolutionnaires. Cette manifestation est organisée régulièrement par le collectif « La marche du souvenir vendéen » au sein de laquelle les militants de l’Action Française sont venus particulièrement en nombre cette année. Il y avait 150 personnes lors de cette manifestation rassemblant principalement des jeunes et des familles et les militants de l’AF étaient près de 80. Nous avons rejoint cette manifestation en notre nom propre, avec notre chef de section locale qui s’y est exprimé, de façon totalement reconnue par « la marche du souvenir vendéen » et en appelant tous les Manceaux qui le souhaitaient à rejoindre l’évènement.

    Il s’agissait donc d’une commémoration pacifique ?

    Evidemment, puisqu’il s’agit de faire mémoire ! Mais il se trouve que depuis quelques mois devant la présence importante des militants et sympathisants de l’Action Française dans les facultés ou dans les manifestations de Gilets Jaunes, un front se dresse contre nous de la part d’un collectif auto-proclamé et mal nommé « antifasciste ». Ce front était composé pour l’occasion de la CNT (Anarcho-syndicaliste), de la FSU, de la Ligue des Droits de l’Homme, du NPA, de l’UNEF. Ce collectif a appelé samedi à une contre-manifestation contre l’Action Française. Ouest-France qui a relayé cette information parle d’une centaine de manifestants d’extrême-gauche refusant que les militants d’AF « s’approprient l’héritage des chouans » (sic). C’était une contre-manifestation, à laquelle de nombreux appels à participer avaient été lancés de longue date. Je tiens à préciser que notre manifestation avait été déclarée en préfecture et autorisée par la police.

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