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France et politique française - Page 1754

  • Migrants : assez d’évacuations, à quand la remigration ?

    De façon régulière, c’est la même opération de communication pour donner aux Français qui en ont assez l’impression que les autorités politiques “agissent”. 1.600 immigrés illégaux qui avaient installés de véritables bidonvilles en plein Paris ont donc été “évacués”. Traduction : ces immigrés illégaux ont été priés d’abandonner leurs campements pour monter dans des bus qui les ont conduit vers des gymnases réquisitionnés pour momentanément les loger.

    On est loin de la remigration…

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  • Les musulmans qui ne suivent pas la stratégie des Frères Musulmans sont persécutés

    Les musulmans qui ne suivent pas la stratégie des Frères Musulmans sont persécutés

    Comme dans le milieu LGBT, les dissidents de l’islam sont persécutés :

    Depuis qu’elles ont signé la tribune dénonçant le voile islamique, des citoyennes de confession musulmane subissent insultes et pressions sur les réseaux sociaux et parfois aussi dans leur ville. En plus des assignations à résidence communautaire de l’humoriste devenu rappeur Mustapha El Atrassi, qui leur rappelle dans sa chanson « colis suspect » qu’elles ne s’appartiennent pas (« nos femmes »), elles doivent subir au quotidien insultes, harcèlement et menaces. Trois d’entre elles ont accepté de témoigner.

    Amina :

    « J’ai répondu plusieurs fois aux sollicitations de la presse. La première fois, j’ai eu droit à un déferlement de messages haineux sur les réseaux. A la suite de la tribune publiée dans Marianne, il y a eu une nouvelle vague d’insultes et de pressions, des commentaires dégueulasses sur Facebook, des messages anonymes sur Messenger, c’est pourquoi je ne témoigne plus à visage découvert. Je me suis mise en retrait en attendant que ça passe. Ils veulent nous réduire à notre statut de femmes musulmanes et nous faire taire. Ils essayent aussi de porter préjudice à mon activité et mon engagement politique.

    J’ai décidé de porter plainte pour harcèlement et intimidation. J’ai constitué un dossier de 28 pages de copies d’écran. Tout part d’une personne que j’ai identifiée, une personne proche de l’association locale des Frères musulmans. Concrètement, on n’est pas du tout aidées. Ni au niveau local, ni au niveau de l’Etat. Quand on discute avec les autorités compétentes, elles nous disent “mais non, ne vous inquiétez pas, ces sont des menaces en l’air”. Ils ne se rendent pas compte que les islamistes nous mettent une cible dans le dos. Quelqu’un m’a envoyé récemment cette menace : “On a des jeunes qui n’ont rien à perdre”… J’ai de plus en plus peur de sortir, c’est une peur physique, qui influe sur ma santé. J’étais très mal la semaine dernière, je fais un ulcère. Je n’ose même plus dire dans quel milieu je travaille car je sais qu’on va me reconnaître. J’envisage sérieusement de déménager.»

    Marie :

    « J’étais invitée sur CNews il y a quelques jours pour évoquer la tribune mais je leur ai laissé un message à 3 heures du matin pour leur dire “Je ne viens pas”. Les islamistes avaient balancé mon nom marital sur Twitter. C’est comme ça que mes élèves ou mes collègues me connaissent (sur les réseaux sociaux, j’utilise mon nom de jeune fille). J’ai une famille, il n’est pas question de les exposer. J’ai reçu beaucoup d’insultes, ça a été une vague assez violente et massive, surtout à partir du moment où on a parlé de la tribune sur CNews et BFMTV et que certains ont découvert que c’est moi qui l’avais rédigée.

    Je n’ai eu droit qu’à des insultes en-dessous de la ceinture, pas de “Tu iras en enfer” ou des choses comme ça, que des insultes venant de gens assez obsédés. J’ai bloqué une centaine de personnes sur Facebook. Beaucoup de cosignataires ont subi la même chose, surtout les femmes. Pour certaines, ils sont allés chercher leur biographie, ils ont déterré des choses. Il y en a qui ne veulent plus témoigner, certaines regrettent d’avoir signé cette tribune. »

    Rabia :

    « Quand j’ai signé, je savais qu’il y aurait des insultes odieuses mais pas à ce point. J’ai “partagé” l’article de Marianne sur les réseaux sociaux pour dire que j’étais signataire. Certains ont commenté “Super merci” puis beaucoup de gens se sont mis à m’insulter. Comment ces gens-là sont arrivés sur mon compte ? C’est Madjid Messaoudène qui a “partagé” mon nom, j’ai ensuite reçu des centaines de messages, “On va te niquer”, “sale pute”, “on va déféquer dans ta bouche”. Il y a une véritable chasse aux sorcières, on cherche à nous intimider pour nous faire taire.

    J’ai répondu, bloqué, fait des captures d’écran mais depuis avant-hier, ça recommence, cette fois-ci autour du clip d’El Atrassi. C’est désormais Barakacity qui me harcèle (dont le président, Idriss Sihamedi, s’était fait connaître en déclarant refuser de serrer la main des femmes devant la ministre Najat-Vallaud Belkacem sur Canalplus, ndlr). J’ai bloqué les personnes insultantes envers les femmes, les autres je les laisse, il faut que les gens voient avec qui ils vivent. Ils font du mal à ceux qui combattent les extrémistes. Le mot “islamophobe” n’existe pas, à Bayonne il s’agissait d’un acte anti-musulmans.

    Ces quatre dernières années, j’étais retournée vivre au Maroc, je tenais un blog. Les islamistes ont été ressortir tout ce que j’ai écrit pendant cette période. Là-bas, j’étais pas insultée, on partageait mes écrits, je l’ai été uniquement par ceux qui habitaient en France. Ici, les gens ne font que répéter ce qu’ils voient sur Internet, ils ne parlent pas arabe, ils nous traitent toutes de “collabotes”, de “vendues”, ils me disent : “Les Juifs et les Français ne t’accepteront pas”. »

    Les manifestants du dimanche 10 novembre “contre l’islamophobie” vont soutenir ces harceleurs.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-musulmans-qui-ne-suivent-pas-la-strategie-des-freres-musulmans-sont-persecutes/

  • Attentat à la préfecture – Xavier Raufer : « L’un m’a dit : “On a recâblé Mickaël Harpon car c’est tellement pas lui” »

    Un mois après l’attaque au couteau de la préfecture de police de Paris, qui a coûté la vie à quatre fonctionnaires de police, Xavier Raufer revient pour Boulevard Voltaire sur la personnalité de Mickaël Harpon, auteur de ces crimes.

    Le criminologue a pu, en effet, s’entretenir avec ses anciens professeurs, ce qui, semble-t-il, n’a pas encore été fait par la police.

    Pour certains de ces enseignants, Mickaël Harpon a été « marabouté ». Des révélations qui font entendre un autre son de cloche…

  • Le quotidien Présent privé de subventions car il ne serait pas… assez cher

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    Le quotidien catholique Présent a appris, par un courriel du 29 octobre, qu’il était privé, au titre de l’année 2019, de « l’aide aux quotidiens nationaux d’information politique et générale à faibles ressources publicitaires ».

    Le ministère de la Culture, par la voix de son « bureau du régime économique de la presse, direction générale des médias et des industries culturelles » explique que ce qui est reproché à Présent c’est de n’être pas vendu assez cher.

    Le ministère dit que le prix de vente du journal, au 1er janvier 2019, à 1,80 euro, n’était pas assez cher, inférieur à « 80 % du prix de vente moyen pondéré des quotidiens nationaux », pratiqué au 1er janvier 2019.

    Mais quel était ce « prix de vente moyen pondéré des quotidiens nationaux » ? Il ne figure pas dans la réponse du ministère de la Culture. Pas d’information non plus du côté du Syndicat de la presse quotidienne nationale. Pourtant le calcul devrait être simple à faire : le texte ne concerne pratiquement que neuf quotidiens : Le Figaro, Le Monde, Les Echos, Libération, Le Parisien – Aujourd’hui, La Croix, L’ Humanité, L’ Opinion et Présent.

    En crise financière, L’Humanité avait bénéficié d’un large soutien politique, jusqu’au président de l’Assemblée nationale. Pas certain que cela soit le cas pour Présent… En 2016, l’Humanité avait reçu une subvention de 3.689.447 €, soit 0,384€ par exemplaire, ce qui en fait le journal le plus subventionné de la presse française. Le budget 2020 du quotidien avait été établi en tenant compte de cette subvention, estimée à 140.000 euros, compte tenu de la dotation des années précédentes. Cette somme représente 12 à 15% du chiffre d’affaires annuel.

    Source : Le Salon beige cliquez

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/08/le-quotidien-present-prive-de-subventions-car-il-ne-serait-p-6188933.html

  • Manif contre l’islamophobie : la gauche y va, y va pas… droit dans le mur

    Johnny Hallyday avait mal à la hanche, mais ça ne le gênait pas pour chanter. Aujourd’hui, la gauche a mal à l’islam et ça la gêne pour marcher. Ainsi, le 10 novembre prochain, les forces de progrès entendent prendre l’air ; ce qui n’est pas une mauvaise idée, surtout en période d’asphyxie électorale.

    Seulement voilà, c’est plus facile à dire qu’à faire, sachant que, de manière plus qu’imprudente, nombre de ténors du camp du bien ont signé la pétition publiée dans Libération du 1er novembre dernier, laquelle appelait à dire « Stop à l’islamophobie ! »», avant de se demander si, tout bien réfléchi, cela était vraiment l’idée du siècle.

    Au cœur du débat, l’attaque de la mosquée de Bayonne et les « lois liberticides » ; bref, le « climat ambiant » d’islamophobie. Et c’est là que réside l’actuel dilemme de la gauche : comment être laïciste et antiraciste à la fois ? Comment être en même temps féministe et partisan du voile ? Comment être à l’avant-garde des actuels combats sociétaux (mariage pour tous, PMA, GPA, théories du genre, quasi-divinisation des morpions, antispécisme oblige) et défiler de conserve avec certaines personnes pour lesquelles la place d’une femme est globalement à la cuisine et celle d’un homosexuel au bout d’une corde ?

    Du coup, la gauche se cherche. Cherche à conserver, entre clientélisme et passéisme, ce qu’il lui reste d’électorat : les grands frères des cités, subventionnés par l’argent public, ou les derniers hussards de l’école républicaine ? Elle cherche surtout à éviter le ridicule, lequel tue certes pas, mais peut faire aussi très mal.

    Ainsi, Olivier Faure, le charismatique patron du PS qu’on sait, n’ira pas manifester. Chez les Insoumis, François Ruffin, pourtant signataire de cette pétition, passera également son tour. Logique : « Il a foot », tandis que son collègue Ugo Bernalicis excipe, lui, « de raisons personnelles » pour ne pas s’y rendre. Il doit avoir piscine ce jour-là…

    Jean-Luc Mélenchon, s’il a signé la pétition tout en récusant le terme « d’islamophobie », ne dit pas s’il se joindra ou non au cortège. Adrien Quatennens, son nouveau bras droit, affirme qu’il ne fera pas le déplacement. À force de louvoyer, le dernier quarteron républicain de La France insoumise finira guillotiné par Clémentine Autain et Danièle Obono…

    Côté EELV, Yannick Jadot, lui aussi signataire de ce même texte, mais qui n’en valide pas « l’ensemble » tout en en assumant la « philosophie », évoque la « montée du racisme antimusulman ». On ignorait que l’islam était un groupe ethnique. On peut être arabe et chrétien, normand et musulman, ce qu’il semble ignorer. Il est vrai que, partageant la vie d’une ancienne journaliste de radio, on comprend que le bon usage de la langue française ne soit pas forcément son fort.

    Au PCF, ou plutôt ce qu’il en reste, c’est plus compliqué. Ian Brossat ira, à ses risques et périls, peut-être. Son confrère Fabien Roussel, lui, n’ira pas pour cette raison : « Il n’y a jamais eu autant de tags nazis […] et c’est cela dont je préfère parler. » Il est vrai que ces « tags » tuent plus sûrement que l’attentat perpétré à la préfecture de police de Paris, le 3 octobre dernier.

    Pour ajouter à la clarté ambiante, il y a encore cet édile socialiste, cité par Le Huffington Post de ce jeudi 7 novembre, lequel explique : « Je n’étais pas favorable à cette manifestation, mais le problème, c’est qu’on ne dit rien derrière, on ne fait pas de proposition et ce qui apparaît, c’est que quand il s’agit de Noirs et d’Arabes, on s’en fout. »

    Bien vu ! C’est vrai que lorsqu’un « Français de souche » est agressé parce que « de souche » et « Français » par d’autres Français un peu moins de « souche », les médias se mobilisent, Emmanuel Macron bouscule l’agenda présidentiel, tandis que Booba et Kaaris se réconcilient pour, illico, enregistrer un rap de soutien.

    Pas de doute, la gauche est en marche. Même si c’est droit dans le mur.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/manif-contre-lislamophobie-la-gauche-y-va-y-va-pas-droit-dans-le-mur/

  • L’OTAN en état de mort cérébrale – Journal du vendredi 8 novembre 2019

     

    L’OTAN en état de mort cérébrale

    Le président Emmanuel Macron jette un pavé dans la mare en évoquant l’OTAN comme étant en état de mort cérébrale. Un constat lucide qui a suscité de vives critiques chez ses alliés.

    Conflit au Yémen, une sortie de crise envisagée

    Après 4 ans de conflit au Yémen, l’Arabie Saoudite a engagé des pourparlers avec les rebelles houthis. Une annonce faite après la signature d’un accord de partage du pouvoir au sud du pays laissant envisager une possible sortie de crise.

    Immobilier : vers un exode parisien ?

    Un marché immobilier en pleine ébullition et des modes de vie qui en subissent les conséquences ! Quand certains paient leur mètre carré plus de 10 000 euros dans la Capitale, d’autres profitent de tarifs bien plus intéressants… un phénomène qui pousse certains à travailler à Paris tout en vivant de plus en plus loin de la capitale.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/lotan-en-etat-de-mort-cerebrale-journal-du-vendredi-8-novembre-2019

  • Les musulmans victimes de discrimination en France ?

    Lorsque le conseiller régional Rassemblement national de Bourgogne-Franche-Comté, Julien Odoul, exige en pleine séance plénière qu’une mère accompagnatrice retire son voile, c’est tout le débat sur la place des musulmans au sein de la société française qui a ressurgi. Fatima s’épanche alors dans les médias français, évoquant cet ostracisme permanent dont les musulmans seraient les victimes. La polémique s’amplifie, le débat enfle, chacun apporte son grain à moudre à l’affaire.

    Pour Abdallah Zekri, président de l’Observatoire national contre l’islamophobie rattaché au Conseil français du culte musulman (CFCM), dont il est aussi un délégué général, l’affaire est déjà entendue : « Pour certains hommes politiques, tous les maux de la France viennent des [8 millions de] musulmans et de l’islam, c’est leur fonds de commerce », affirme-t-il sur les ondes de France Info.
    Les musulmans, les enfants maudits de la République que le reste de la nation voue aux gémonies ? C’est ce que sous-entend un sondage IFOP commandé par la délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah) et la Fondation Jean Jaurès. Selon cette étude, 42 % des musulmans affirment avoir été victimes d’une forme de discrimination liée à leur religion. La police responsable ? 28 % parlent d’un racisme ordinaire lors de contrôles de police ou encore 17 % lors d’une recherche d’emploi. Pour François Kraus, de la Fondation Jean Jaurès, les attentats islamistes de 2015 ont contribué à créer un amalgame entre une majorité intégrée et une minorité radicalisée. Et si le gouvernement dénonce la montée du communautarisme, Abdallah Zekri rétorque en pointant du doigt ces « maires des grandes villes, qui ont parqué les Noirs et les Arabes dans des banlieues qui sont devenues ingérables ».

    Le CFCM va même plus loin. En aval d’une rencontre avec le président Emmanuel Macron, fin octobre, et après la tentative d’incendie de la mosquée de Bayonne, l’organe de représentation des musulmans de France décrit une « hystérie islamophobe agressive, voire criminelle qui s’est installée dans notre pays ». Le culte musulman qui compte, parmi ses élus, deux membres de l’Union des organisations islamiques de France, un mouvement lié à la ligue des Frères musulmans. Cette dernière désignée comme terroriste par plusieurs pays comme l’Egypte ou la Russie, mais jugée interlocuteur crédible pour la République française.

    La Fondation Jean Jaurès entend pourtant nuancer la portée de ce sondage, préférant parler de « musulmanophobie » en lieu et place d’« islamophobie ». Tout est dans la nuance. Relayé par la presse à grand renfort d’articles, il a tout le goût de la culpabilisation. Exit celui paru peu de temps avant, qui, curieusement, montrait un autre visage de la réalité musulmane en France. Dans ce sondage publié par l’IFOP-Le Point, 27 % d’entre eux estiment que « la charia devrait s’imposer par rapport aux lois de la République », et pour 37 % que « c’est à la laïcité de s’adapter à l’islam, et non l’inverse ». Une progression de 10 % en 20 ans, nous indique le magazine Marianne. Pourtant tout n’est pas aussi manichéen qu’il y paraît. En 2018, le ministère de l’Intérieur a fait publier les chiffres annuels sur les faits à caractères antisémites, antichrétiens et antimusulmans. 1 063 actes antichrétiens avaient été recensés contre à peine 100 pour les musulmans. A chacun d’en tirer les conclusions qui s’imposent.

    Jean-Louis Leroy

    Article paru dans Présent daté du 7 novembre 2019

    https://fr.novopress.info/

  • L'émission "Synthèse" avec Lionel Baland sur Radio Libertés

    2987946482.3.jpgEcoutez

    l'émission

    cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/07/l-emission-synthese-avec-lionel-baland-sur-radio-libertes-6188678.html

  • Municipale au Mans : alliance RN et PCD

    Municipale au Mans : alliance RN et PCD

    Brigitte Dujardin est la nouvelle déléguée départementale du parti Chrétien-démocrate. Ancienne candidate aux élections législatives dans les Hauts-de-Seine en 2012 et 2017 sous les couleurs du SIEL (Souveraineté, indépendance et libertés), elle rejoint la liste conduite par le conseiller municipal RN, Louis de Cacqueray-Valmenier et baptisée « Bâtissons ensemble Le Mans ».

    Il s’agit pour le parti de poursuivre une stratégie d’alliances pour les élections municipales « avec les gens de bonnes volontés »précise Jean-Frédéric Poisson.

    « Dans la lignée de l’appel d’Angers lancé en 2018, nous voulons rassembler un certain nombre de partis de la droite. Depuis juin, nous constatons l’arrivée au PCD de militants de Debout la France, de RN, de Sens commun, de LR. Nous représentons le dernier parti conservateur et de droite en France et cela correspond à ce qu’attendent un certain nombre de Français ».

    https://www.lesalonbeige.fr/municipale-au-mans-alliance-rn-et-pcd/