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France et politique française - Page 1751

  • Les Languedociens ont répondu nombreux à l'appel de la Ligue du Midi hier après-midi à Montpellier

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    Notre ami Richard Roudier peut être satisfait : son initiative unitaire cliquez ici a rencontré un franc succès... malgré la présence d'une poignée de provocateurs antifascistes à la solde du Système qui se sont ridiculisés en tentant de perturber cette belle mobilisation nationale et identitaire.

    On en reparle très rapidement.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Royalistes : Formation et militantisme : Bordeaux, Ile de France, Rennes...

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/11/formation-et-militantisme-bordeaux-ile-de-france-6188989.html

  • La Macronie : le vieux monde des promesses qui n’engagent que ceux qui y croient

    La Macronie : le vieux monde des promesses qui n’engagent que ceux qui y croient

    Nous sommes à mi-mandat d’Emmanuel Macron.

    Tout d’abord, un rappel sur les engagements de campagne concernant un Etat qui protège et par rapport auquel chacun pourra se faire un jugement :

    Et ensuite un rappel sur les objectifs de déficit public. 15 octobre 2018, présentation du projet de loi de finances 2019 par Bruno Le Maire :

    « Grâce à ces efforts, tous nos engagements seront tenus et le déficit public de la France sera de 1,9 % en 2019. Si l’on ajoute à cela la mesure exceptionnelle de transformation du crédit d’impôt compétitivité emploi – CICE – en allègement de charges, qui représente 0,9 point, on arrive à un déficit public total de 2,8 %. Mais il me semble que le chiffre à retenir et bien celui de 1,9 %, hors bascule du CICE… Je rappelle également que de 2008 à 2017, pas un budget français n’a respecté nos engagements européens. En termes de dépense publique, ils ont toujours été au-dessus des 3 %. On peut contester cet objectif, mais nous, nous le revendiquons : nous avons réussi à sortir la France de la procédure pour déficit public excessif et à ramener le déficit sous la barre des 3 %. Cette constance est la clé du rétablissement des finances publiques. Nous avons un cap et ce cap sera tenu sur la durée du quinquennat ».

    Juste à comparer avec cet extrait du Figaro du 7 novembre 2019 :

  • Alors, Jean-Luc, comment ça va ?

    L’image contient peut-être : 17 personnes, personnes souriantes, foule et plein air
     Tu permets que je te tutoie, Camarade.
    Après tout « camarade » nous l’avons été, nous « peuple de gauche » et même si ce n’était plus trop le cas depuis longtemps, je continuais à nourrir une certaine forme de tendresse pour toi.
    Un peu comme avec un ex que l’on n’arrive pas à détester complètement et qu’on regarde toujours avec une pointe de nostalgie, même si on sait que c’est bel et bien terminé.
    Il faut dire que tu as su m’en donner des frissons...

    Ton magnifique discours lors de l’enterrement de ton ami Charb vois-tu encore aujourd’hui je ne peux y repenser sans pleurer.
    Et donc, alors, Camarade, c’était comment cette manifestation ?
    Raconte. Tu étais à l’aise au milieu des pires entrepreneurs identitaires et des intégristes ?
    Tu as serré des paluches ?
    J’ai vu qu’il y avait dans la manif des jeunes enfants à qui on a fait porter une étoile jaune.
    Tu as trouvé ça mignon qu’on compare le sort réservé aux enfants juifs séparés de leurs parents, déportés, exécutés, gazés à celui des enfants de confession musulmane qui ont à subir… quoi en fait ? Concrètement ?
    Et Madjid Messaoudene, tu l’as vu alors ?
    Il est sympa ? T’as fait un selfie ?
    Tu sais ce grand type rigolo, élu de Saint Denis qui, au lendemain de la tuerie de Toulouse tweetait en rafale des blagues et des jeux de mots sur Mohamed Merah (je n’oublie pas merah cine / qu’est ce que tu merah-conte etc).
    Mort de rire. Enfin mort oui, surtout les enfants de l’école maternelle.
    Bon, et à part ça… Il y avait du beau monde ?
    Tu l’as vu Nader Abou Anas ? Mais si enfin, le salafiste qui dit qu’une femme doit être obéissante à son mari et qu’elle ne doit sortir de chez elle qu’avec sa permission ! Il était là ?
    Et l’autre, tu sais le rigolo, qui explique aux enfants qu’ils vont finir en cochon s’ils écoutent de la musique il est venu aussi ?
    Celui qui dit dans ses prêches qu’une femme non voilée n’a pas de pudeur et pas d’honneur et qu’elle ne doit pas s’étonner de subir des agressions tu vois de qui je parle ?
    Et les gens de l’association « participation et spiritualité musulmane", tu les as croisés ?
    Mais si souviens-toi, les homophobes, les anti-avortements excités de la « Manif pour Tous » les potes de CIVITAS quoi.
    Ça y’est tu les remets ? Ils devaient être tout près des pancartes demandant l’abrogation des lois de 2004.
    N’empêche, ça a dû te faire drôle, toi le progressiste, le laïque passionné, l’universaliste, toi qui expliquais en 2010 que les femmes voilées se stigmatisaient toutes seules, toi qui récusais le terme même d’islamophobie en défendant le droit à critiquer les religions, toi qui déplorais en 2018 que la religion devienne de plus en plus ostentatoire dans notre société…
    Alors dis-moi Camarade, ça t’a fait quoi quand Marwan Muhamad, du CCIF, l’officine officieuse des Frères musulmans a fait scander à la foule « allahou Akbar » ? ça t’a pas un peu terrifié d’écouter ce cri qui aura été le dernier qu’auront entendu tes amis de Charlie Hebdo juste avant de s’écrouler ?
    Et quand ils ont fait huer le nom des opposants qui sont déjà menacés, Mohamed Sifaoui, Bouvet, Zineb etc qu’as-tu fais Jean luc ?
    Tu as tapé dans tes mains en rythme aussi ou tu t’es discrètement bouché les oreilles ?
    Je voudrais juste savoir Camarade. J’ai besoin de comprendre.
    Est-ce qu’il y a un moment, même fugace où le souvenir de Charb, de son poing crânement levé, de son sourire malicieux, de son testament « lettre ouverte aux escrocs de l’islamophobie » t’a glacé le sang ?
    Est-ce que à un moment, t’est revenu le souvenir de tes mots, si beaux, si forts à l’enterrement de ton ami : « La mort est passée. Elle rôde encore autour de nous et nous sentons son souffle froid (…)Tremblants de peine et sidérés, nous sommes venus nous réchauffer une fois de plus auprès de lui. Car Charb tisonnait si bien pour nous la braise rouge ! Rouge ! Contre la cendre des convenances boursouflées et des certitudes aveuglées, nos rires étaient ses incendies du vieux monde! (…)
    Charb, tu as été assassiné comme tu le pressentais par nos plus anciens, nos plus cruels, nos plus constants, nos plus bornés ennemis : les fanatiques religieux, crétins sanglants qui vocifèrent de tous temps.
    Charb, ils n’auront jamais le dernier mot tant qu’il s’en trouvera pour continuer notre inépuisable rébellion »
    Je voudrais juste savoir Camarade.
    Ça fait quoi de renier ses valeurs dans l’espoir de glaner des voix communautaires ? ça fait quoi de trahir ses amis ?
    Je voudrais juste savoir Camarade.
    Ça fait quoi de renier ses valeurs dans l’espoir de glaner des voix communautaires ? ça fait quoi de trahir ses amis ?
     Je voudrais juste savoir Camarade.
    Est-ce que ce soir, comme nous tu te prends la tête entre tes mains ?
    Est-ce que au moins, maintenant, tout seul, dans le secret de ton cœur, tu as honte « Camarade » ?

  • Macron : forte chute de popularité, mais les médias préfèrent ne pas trop le dire

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    Il y a des jours où l’on deviendrait presque complotiste. Imaginez si un sondage en bonne et due forme avait enregistré une forte remontée de la cote de popularité d’Emmanuel Macron : un +5 points, par exemple. Imaginez les unes, les commentaires, les plateaux télé, les pâmoisons en direct, les tremblements de l’écharpe rouge de Christophe Barbier.

    Mais pour un -5, rien. Ou quelques (rares) titres anodins, rassurants, fondus dans le gris de l’actualité de début novembre. Ouest-France ? « La cote de confiance d’Emmanuel Macron et Édouard Philippe en baisse. » Ah oui, en baisse comment ? Pourtant, il s’agit d’un vrai sondage d’Elabe pour Les Échos et Radio Classique, publié il y a quatre jours. Et d’un -5 de satisfaits qui se double d’un +5 de mécontents : une différence de 10 points en un mois ! 28 % de satisfaits, 65 % de mécontents ! Ce n’est pas rien. Un tel décrochage est historique dans la courbe d’Emmanuel Macron.

    Réalisé en pleine période des polémiques sur le voile et sur la politique d’immigration du gouvernement, le sondage démontre que les Français ne sont pas convaincus par sa désinvolture en la matière : son « ponce-pilatisme » sur le voile et son coup des quotas n’ont visiblement pas convaincu. Pire : ils ont inquiété les Français.

    Surtout, ce sondage enregistre un tournant historique dans la structure de la popularité du chef de l’État. Pour la première fois depuis deux ans, c’est sa base électorale du premier tour de la présidentielle qui se dérobe, doute, l’abandonne. À la fois en termes de classes d’âge et de catégories socio-professionnelles. Les jeunes et les actifs le lâchent : il perd 16 points chez les 25-34 ans, tombant à 22 %, et 12 points chez les 35-49, à 23 %, l’inquiétude née du flou entourant la réforme des retraites venant s’ajouter à la défiance sur les sujets liés à l’immigration. Chez les cadres, piliers du macronisme, la chute est aussi de 13 %, de 50 % à 37 % : c’est considérable, et révélateur. Chez les ouvriers et les employés, il accroît encore ses pertes, atteignant un plancher de 20 % d’opinions favorables seulement.

    Autre signe révélateur : Macron décroche dans l’électorat de droite : -8 % chez les électeurs de François Fillon. Tout cela devrait encourager ceux qui, à droite, rêvent d’une alliance entre le peuple, dont l’anti-macronisme est massif et définitif, et les classes moyennes et les cadres qui sont en train de se détacher de lui mais qui attendent d’être rassurés par un programme, une équipe et des perspectives crédibles. La victoire et l’alternance ne se gagnent pas seulement sur la faiblesse de l’adversaire.

    Pascal Célérier

    https://www.bvoltaire.fr/macron-forte-chute-de-popularite-mais-les-medias-preferent-ne-pas-trop-le-dire/

  • Zoom – François Bousquet : La fin de la droite molle


    François Bousquet, rédacteur en chef du magazine Eléments et directeur de la Nouvelle librairie, est venu nous présenter son dernier ouvrage : »Courage ! Manuel de guérilla culturelle ». Il y dénonce le recul des identitaires et l’absence de réaction face au pouvoir libéral. S’appuyant sur des figures telles que Soljénistyne, Gramsci ou encore Dominique Venner, il appelle à un véritable sursaut de la droite nationale.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-francois-bousquet-la-fin-de-la-droite-molle

  • La députée Françoise Dumas (LREM) fait construire sa piscine en s’affranchissant des règles d’urbanisme et en empiétant sur un terrain municipal

    Françoise Dumas, députée LREM (et ex PS), présidente de la commission de la Défense à l’Assemblée, est épinglée par Le Canard enchaîné pour avoir fait construire à Nîmes une piscine en s’affranchissant des règles d’urbanisme et en empiétant sur un terrain municipal.

    Les faits remontent à 2012, quand la conseillère régionale – alors membre du PS, en pleine campagne électorale pour les élections législatives – avait déposé un permis de construire.

    Elle se défend en expliquant qu’elle n’aurait pas reçu de réponse de la mairie. Elle en a déduit qu’elle pouvait donc s’affranchir des règles d’urbanisme. «Il y a eu un manque de vigilance», reconnait-elle. Le permis de construire lui avait en fait été refusé : « Vous m’apprenez l’existence de ce refus », a-t-elle indiqué à l’hebdomadaire. La présidente de la commission de la défense nationale et des forces armées à l’Assemblée nationale a également pris quelques libertés avec le cadastre, puisque la piscine déborde d’un mètre sur le domaine municipal. […]

    news.yahoo

    http://www.fdesouche.com/1293659-la-deputee-francoise-dumas-lrem-fait-construire-sa-piscine-en-saffranchissant-des-regles-durbanisme-et-en-empietant-sur-un-terrain-municipal

  • Les banlieues subventionnées brûlent, les campagnes délaissées crèvent

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    Les récentes émeutes urbaines n’en finissent pas de faire parler. Une contribution récente à Polémia en témoigne. Ces phénomènes sont pourtant paradoxalement courants en France. Mais il semblerait que la multiplication et l’intensification de ces événements dramatiques soit également parallèle à une autre hausse, celle de l’exaspération des Français. La preuve avec cette tribune virulente et virile de Julien Dir.
    Polémia

    La misère en Bretagne, oubliée par Paris

    Il y a des matins où j’aimerais attraper un chargé de communication de l’Élysée par le col, lui mettre quelques claques, et le traîner de force dans la ruralité. En Centre-Bretagne, dans la Creuse, dans ces territoires oubliés, méprisés par les élites, souvent abandonnés à la merci de petits barons locaux qui y font la pluie et le beau temps.

    Un chargé de communication (« Mais qui vous dit que c’est un homme ? »), ou bien un de ces élus qui vient pleurer des larmes de crocodile à propos des pauvres banlieusards qui seraient des victimes du système, du racisme, de la pauvreté, du système.

    Mais bon sang, venez une journée dans la campagne de Pontivy ! Venez une journée à la rencontre de ces anciens qui crèvent en silence dans la campagne de Carhaix, dans des fermes dont les sols, encore en terre battue, témoignent de l’abandon qu’ils subissent.

    Venez une journée, une seule, dans la campagne de Gourin, à la découverte d’une jeunesse elle aussi abandonnée, à qui aucun plan emploi n’est proposée à la sortie de l’école, à qui aucun conseiller en aides sociales n’est dédié. Et qui plonge parfois, dans la drogue, dans l’alcoolisme. Venez découvrir ces logements sociaux pas rénovés depuis plusieurs décennies. Ou ces maisons insalubres dans lesquelles des familles viennent habiter à la recherche d’un calme et d’une sécurité qu’elles ne trouvaient plus à proximité des grandes villes.

    Des familles qui finalement, ont troqué la sécurité de leurs enfants contre la mérule, la mauvaise isolation, les fuites diverses et variées. Venez sentir cette puanteur dans certains logements. Ces conditions de vie qui rappellent parfois Germinal, sauf que plus de 100 années ont passé.

    En Bretagne, pauvreté ne rime pas avec émeutes

    Quand j’entends Édouard Philippe annoncer des mesures pour la Seine-Saint-Denis, département le plus criminogène de France, département dont même les autorités ne sont pas capables de recenser le nombre exact d’habitants tant la pression migratoire y est forte, j’ai envie de sortir ma fourche et de monter à Paris lui apprendre la vie. Ce ne sont pas des millions qu’il faut déverser dans les banlieues qui se moquent éperdument de l’État. Ce sont des soldats en armes qui terroriseraient les islamistes. Ce sont des « Bope » françaises qui mettraient rapidement fin au règne des dealers.

    Dans notre ruralité à nous, les déserts médicaux ne se fabriquent pas parce que les médecins y fuient les violences et les caillassages. Ils existent, parce que les autorités n’ont rien fait depuis des années au niveau de la médecine pour inciter à s’installer chez nous. Où est le Mélenchon de la ruralité qui ferait de certains médecins, de certains spécialistes, des fonctionnaires mutés dans la ruralité qui crève ?

    Dans nos campagnes à nous, la jeunesse ne crame pas des voitures, alors même qu’elle n’a pas les moyens financiers des incendiaires de banlieue. Notre jeunesse n’attaque pas non plus les postiers, les pompiers, les policiers, les héros qui maintiennent un minimum de service public dans ces territoires abandonnés. Abandonnés par des autorités et des élus qui les méprisent y compris électoralement, le nouveau Dieu métropole étant désormais un réservoir à électeurs suffisamment important pour délaisser paysans et exclus de la ruralité.

    Édouard Philippe qui parle d’aider la Seine-Saint-Denis pendant que nos anciens crèvent dans leurs maisons sans chauffage, pendant que certaines familles n’osent pas allumer la lumière à 18h parce que l’électricité coûte trop cher, c’est presque une invitation à le remettre en place dans un octogone. Et encore, eu égard au nombre d’individus en France qui commencent à être énervés (doux euphémisme) contre ces élus qui font le choix d’autres peuples, d’autres communautés, contre le propre peuple dont ils sont issus, l’octogone afficherait complet pendant plusieurs siècles, et le visage d’Édouard Philippe ne ressemblerait plus à grand chose.

    Compromission et lâcheté

    C’est un pari que font nos décideurs politiques. Celui de récompenser, avec notre argent (celui de nos impôts), des territoires gérés par des caïds, par des factieux, par des assassins (les dealers sont des assassins). Des salles de sport et des médiathèques toutes neuves, pour la troisième fois en dix ans, pendant que le peuple des campagnes peut bien crever. De toute façon il vieillit, il faut le remplacer n’est-ce pas ? Et puis « ce sont des illettrés » comme dirait un certain Emmanuel Macron…

    Ce mépris des villes pour les campagnes, des décideurs des métropoles pour le reste du territoire, se paiera toutefois un jour ou l’autre. Ce clientélisme vis-à-vis de groupes criminogènes qui contrôlent certains territoires se paiera aussi, d’une façon ou d’une autre.

    « Ne surtout pas opposer la France périphérique à la France des banlieues » disent-ils à longueur de journée sur les plateaux TV, tremblotant dans leurs fauteuils douillets. Bien sûr que si ! Ces deux mondes n’ont rien à voir. N’ont pas les mêmes valeurs, les mêmes cultures, les mêmes langues, les mêmes comportements. Nous n’avons rien en commun, et nous ne voulons pas vivre ensemble !

    Les Gilets jaunes étaient un avertissement douillet, un premier cri de révolte d’un peuple qui commence à en avoir marre d’être tenu à la gorge pendant qu’on lui urine sur les pieds. Le message n’a visiblement toujours pas été entendu là-haut, à Paris.

    Des millions pour la Seine-Saint-Denis pendant que les miens crèvent dans leurs campagnes ? Bonnets rouges, Gilets jaunes, et demain, colère noire ?

    Julien Dir 10/11/2019

    Source : Breizh-Info

    Crédit photo : Domaine public

    https://www.polemia.com/banlieues-subventionnees-brulent-campagnes-delaissees-crevent/