France et politique française - Page 1807
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Discours de Marion Maréchal à la Convention de la Droite
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Convention de la droite : intégralité du discours d’Eric Zemmour
Après quelques problèmes techniques, très bonne qualité à partir de 3’00”.
https://www.lesalonbeige.fr/convention-de-la-droite-integralite-du-discours-deric-zemmour/
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Les royalistes sociaux du XIXème, précurseurs dans le domaine de la justice sociale...
Voilà une vérité que nous cachent les historiens et les médias conformistes, et les gardiens du politiquement et historiquement correct.
Les idées et "avancées sociales" sont au départ en grande partie dues aux députés royalistes et catholiques sociaux du XIXème siècle.
Et aussi, à la doctrine sociale de l'Eglise.
Ces idées émancipatrices du monde ouvrier, furent ensuite récupérées par la gauche socialiste et communiste.
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Convention de la droite : une première pierre… – Journal du lundi 30 septembre 2019
1) Convention de la droite : une première pierre…
Pari réussi pour la convention de la droite. Avec plus de 2 000 personnes et une trentaine d’intervenants, la nouvelle initiative pour l’union des conservateurs a été couronnée d’un véritable succès médiatique… reste à trouver la tête à couronner.2) Autriche : le retour en force de Sebastian Kurz
Sebastian Kurz bientôt de retour à la chancellerie. Quatre mois après avoir été renversé par le Parlement suite à l’Ibizagate, le jeune chancelier remporte haut la main les législatives et reprend un billet pour le pouvoir. Toutefois, la question de ses alliances reste en suspens après un véritable revers infligé au FPÖ.3) Mondiaux d’athlétisme : voyage au bout de l’enfer
Depuis l’ouverture des mondiaux d’athlétisme vendredi à Doha au Qatar, la compétition prend des airs d’enfer pour les athlètes. Sous près de 40 degrés, les conditions sont extrêmes et l’événement tourne à la catastrophe.4) L’actualité en bref
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Marine Le Pen ou trois étoiles filantes ?
Le récent sondage organisé par Boulevard Voltaire auprès de ses lecteurs afin de citer leur meilleur candidat aux prochaines élections présidentielles de 2022 peut nous laisser perplexes. Contre toute attente, la liste des principaux élus par les internautes se présente ainsi : Marion Maréchal, Pierre de Villiers, Marine le Pen et Éric Zemmour.
Ce vote introduit dans le premier carré du champ politique trois personnalités, certes très médiatiques mais qui, à l’approche de la future élection présidentielle, risquent de devenir très vite trois étoiles filantes car, pour des raisons différentes, elles se défileront devant l’ampleur de l’obstacle.
Effectivement, l’organisation d’une campagne électorale du niveau présidentiel n’est pas une simple affaire et encore moins une balade champêtre. Un tel engagement comporte des risques majeurs, parfois insupportables. À cela, il convient d’ajouter qu’il ne suffit pas simplement de vouloir, il faut être taillé pour cette charge.
Une campagne longue, dure et intense, c’est autre chose que d’affronter les classiques accusations en intolérance réactionnaire sur les plateaux télévisés ou de dédicacer des livres ou encore de discourir doctement auprès d’un auditoire acquis à sa cause.
De plus, les mauvais coups et les tentatives de déstabilisation se déplacent dans l’espace politique aussi vite que les astéroïdes. Ces pratiques engendrent souvent des haines très vives et incitent à des violences de toute nature. La dernière élection présidentielle fut un véritable calvaire pour le candidat François Fillon, et encore plus pour ses électeurs.
Et, pour que tout reste comme avant, les principaux acteurs de la vie politique nationale s’accordent, la main sur le cœur, sur la nécessité de moraliser la vie politique, de renouveler certaines pratiques, d’accéder à un nouveau monde ou que sais-je encore. En vain, les valeurs républicaines sont évoquées par certains élus guère scrupuleux de l’éthique publique et de l’exemplarité. Compromissions et mensonges, homards et hypocrisies ne reflètent en rien les principes républicains. Un compagnon de route de feu le Président Jacques Chirac ne disait-il pas que les promesses n’engagent que les personnes à qui elles sont faites ?
Parmi les personnalités citées de ce sondage, Marine Le Pen dispose donc de sérieux atouts et sa candidature proposerait une réelle alternance démocratique.
En effet, elle jouit d’un mouvement politique en ordre de bataille ainsi que de nombreux cadres et militants dévoués. Cela n’est nullement négligeable. De plus, elle bénéficiera d’un solide appui : celui de Thierry Mariani. Ce dernier fut nommé, en 2010, par François Fillon, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, chargé des Transports, puis ministre en 2011 dans le même gouvernement avec les mêmes attributions.
Qui plus est, face à Marion Maréchal, Pierre de Villiers et Éric Zemmour, l’expérience et le pragmatisme de Marine Le Pen constituent un atout majeur et déterminant pour franchir le cap de la prochaine élection présidentielle de 2022. Proche des gens du Nord et d’ailleurs, il lui suffira de hisser les voiles et de barrer sereinement son navire. Et, comme on dit en Bretagne, « celui qui bavarde trop n’est pas encore sur l’eau ».
https://www.bvoltaire.fr/marine-le-pen-ou-trois-etoiles-filantes/
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Convention de la droite : un rendez-vous transpartisan indispensable, mais qui devra proposer une alternative viable
Un fidèle du lecteur du Salon beige, présent samedi à la Convention de la droite (voir ici, là et là), nous dresse en quelques points une analyse intéressante de cette journée :
1. Le public de droite a répondu présent. Les inscriptions, ouvertes le 3 septembre, moins d’un moins avant l’événement, étaient closes le 10 septembre, la capacité de 2000 places étant déjà atteinte. L’intérêt à droite pour un rendez-vous transpartisan est indéniable.
2. Ce public, même s’il était moins jeune que celui du CPAC américain dont la convention s’était inspirée, n’était pas constitué des vieilles troupes de “l’extrême-droite”. Dominaient des professionnels CSP+, aux priorités disparates (économiques, identitaires, sociétales…), mais aspirant à une alternative commune à Macron.
3. Les organisateurs ont à juste titre cherché à remplacer les formats souvent bavard des colloques et conférences droitistes par des “pitchs” courts, de type “TED talks”. Une convention n’est pas un colloque universitaire, et assumer une part de “show”, fait de messages délivrés de manière efficace et percutante, était la bonne option.
4. Comme on pouvait le craindre, la majorité des intervenants n’ont toutefois pas joué le jeu. Les exceptions étaient notamment les témoignages rafraîchissants et concis d’extérieurs au sérail tels que l’entrepreneur Fabrice Haccoun ou l’élu de Seine-Saint-Denis Vijay Mohany. Puissent-ils être plus nombreux à l’avenir.
5. Cet élan recherché par les organisateurs était cohérent avec l’appel de Robert Ménard à ce que la droite “fasse envie”, notamment en incarnant davantage “l’optimisme”.
6. Cet optimisme a toutefois été vite étouffé par la tonalité particulièrement sombre des interventions d’Eric Zemmour et de Robert Ménard lui-même, ainsi que par l’interminable torrent d’insultes dispensées par Raphaël Enthoven, endurées par la majorité de la salle avec une patience héroïque. L’ambiance générale ne s’en est pas remise.
7. Le discours d’ouverture d’Eric Zemmour était, comme l’a noté la presse, d’une tonalité sombre et radicale, peut-être à un point inédit pour lui. Malgré l’admiration qu’on lui porte et la part de vérité que l’on reconnaît à son constat, proposer une alternative viable au progressisme requerra de se détacher de cette tonalité. Question de registre.
8. Nous sommes à 6 mois des élections municipales. Pourquoi, dans un tel forum, n’y a-t-il pas eu de place pour évoquer les enjeux d’un des scrutins les plus favorables à des alliances à droite ? Parler de perspectives de victoires, locales, certes, mais concrètes, aurait été une piste pour sortir du sentiment d’impuissance qui planait sur la convention.
9. Il est très souhaitable que cette convention tienne sa promesse de devenir un rendez-vous annuel, comme l’y encourage l’afflux d’inscriptions. Sa performance est d’être passée, au moins pour une journée, d’un paradigme de « droite hors-les-murs », cherchant une insaisissable troisième voie à droite entre LR et RN, à un positionnement embrassant l’ensemble de l’espace à la droite du bloc macronien.
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CAROLINE-CHRISTA BERNARD, ARTISTE ET TÉMOIN DE L'ATTENTAT DU BATACLAN, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
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La vie et l’œuvre de Supermenteur
Par Jarente de Senac
Bizarre cet engouement des Français pour Supermenteur, la très réaliste marionnette de Jacques Chirac des Guignols de l’info qui, loin de le ridiculiser, lui on fait une excellente publicité. Faut dire que dans le genre, Balladur fait office de chevalier à la triste figure. On n’a jamais souhaité la mort du pécheur mais depuis qu’il est à la retraite, Chirac ne servait plus à grand-chose étant entendu que toute sa vie il n’a servi à rien.
Je ne peux m’empêcher de penser à ce mot de Coluche qui résume parfaitement Chirac : c’est l’histoire d’un mec ! C’est surtout l’histoire d’un mec qui, comme tout bon énarque, n’a rien dans le cigare hormis l’opportunisme. L’Ena émascule, on en a la preuve tous les jours.
D’un mec donc, qui a fait ses armes sous Georges Pompidou, le seul vrai chef d’Etat français depuis 1945. Cet homme aurait pu être un modèle pour Chirac mais la distance entre l’énarque et le normalien était trop grande. Chirac, sera donc le revers de la médaille Pompidou. Pompidou le balance en Corrèze pour reprendre un département aux mains de la gauche. En fait, un mélange de socialisme bouzeux et de radsoc ripoliné franc-mac dans sa version AOC. Et là, toute cette fange socialo va déteindre sur le candidat Chirac qui s’accommode des loges et vaseline les socialos locaux. Il emporte le morceau. Sa meuf, Bernadette, du Chaudron de Courcel, fausse noblesse issue des burnes de Napoléon III, se rêve en châtelaine. Chirac lui achète un château plus bric que broc de Bity à Sarran. La voici donc châtelaine de Corrèze, la mère Chaudron. Chirac s’en tape, n’y foutra quasi jamais les pieds, il préfère les bistrots, la bonne bouffe paysanne et les hôtels où il tringle ses conquêtes du jour, car, Mémère, c’est pour toujours. Cocue, mais contente.
De Chirac, ce qui saute d’emblée aux yeux, c’est qu’il a toujours vécu dans les palais de la République aux frais de la princesse (le contribuable) et rémunéré par elle (le même contribuable). Mis à part Bity, on ne connaît pas à Chirac de frénésie immobilière comme chez Mitterrand (Venise, Lubéron, Landes, Paris). Non, Chirac est un sapeur-sabreur, abonné au lit Picot de campagne électorale. Allez, hop, pas de temps à perdre, le temps politique c’est de l’action et pas de la réflexion. D’ailleurs, ça n’a jamais été au programme de l’Ena.
Le voici Premier ministre d’un autre grand glandouilleur, Giscard dit d’Estaing du côté de ma cousine de Bretagne. Ca marche pas entre les deux hommes. Giscard se prend pour un roi de France. Chirac sera donc son Ravaillac. Et il l’assassine à l’élection présidentielle de 1981. Giscard ne s’en remettra pas et lui vouera une haine tenace. J’imagine Giscard face au catafalque de Chirac lui dire : « Pov’con, je t’enterre et je me marre ! ».
Suivront quatorze années d’agitation et deux années de cohabitation, flingué par un Mitterrand nettement plus intelligent que l’agité du bocal. Chirac n’aime et ne sait rien faire d’autre qu’une campagne électorale. Là, heureux comme un sumo sur un tatami, il peut bouffer, bistroter, tâter le cul des vaches (… et pas que), dormir à l’hôtel loin de Mémère qui ne se morfond pas du tout dans les 1100 m2 de son palais parisien. Une fois l’élection gagnée – ou perdue – la marionnette se dégonfle et connaît un coup de blues. Limite burn out !
En 1995, rebelote aux présidentielles où Balladur qu’il croyait Ballamou décide de se présenter. C’est Bikini dans le Landerneau gaulliste. Mais, une fois de plus il faut en tirer les enseignements : une élection en démocratie ne se gagne pas sur un programme mais sur la tronche du mec et ce qu’il est sensé représenter. On croyait Mitterrand socialiste, il était pétainiste et de droite, on croyait Chirac à droite, il était de gauche et impuissant. Mais voilà, y a l’image : Chirac aime les paysans (il s’en fout, il n’a rien fait pour eux), il aime la tête de veau (pas plus que ça), les gonzesses (on le surnomme 3’14 douche comprise !) la musique militaire et les histoires grivoises. Ca peut suffire. La preuve… On passera sur le lourd dossier de ses casseroles, nombreuses, même s’il n’est pas Cahuzac mais plutôt Méry. Il sera néanmoins condamné… avec sursis. Il en rigole encore. De ses douze années comme chef d’Etat, il n’y a rien à retenir. Tout s’est joué à l’esbroufe. Il a laissé la France dans un état lamentable que ne redresserons pas ses successeurs.
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Épargne retraite, factures, gaz, ascenseurs obligatoires: Tout ce qui change au 1er octobre
Voici quelques changements qui vont intervenir dans la vie des Français à partir du 1er octobre.Au 1er octobre, les tarifs réglementés du gaz baissent de 2,4%. Quatre millions de foyers sont concernés. Trois nouveaux produits d'épargne retraite sont lancés. Les ascenseurs seront obligatoires dans les immeubles neufs de plus de trois étages.
https://www.peupledefrance.com/2019/09/tout-ce-qui-change-1er-octobre.html#more
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CONVENTION DE LA DROITE 2019 - MARION / ZEMMOUR / OBERTONE / HONK HONK...