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France et politique française - Page 1815

  • Qui est idéologue ? L’ISSEP ou l’Université de Lyon ?

    Qui est idéologue ? L’ISSEP ou l’Université de Lyon ?

    Marion Maréchal, directrice générale de l’ISSEP, écrit :

    En septembre, un étudiant en licence à l’université de Lyon II a eu le courage de dénoncer publiquement l’idéologie et le militantisme décomplexés qui gangrènent ses cours de sciences politiques et sociales. Rien ne manque à l’appel du politiquement correct : obsession de la race et du genre, indigénisme, théories décoloniales, néo-féminisme, immigrationnisme, LGBTQIAA+, prosélytisme islamique. Toutes ses matières, de la sociologie à l’histoire des idées en passant par la politique européenne, sont concernées.

    On apprend à cette occasion que la direction de l’université elle-même n’hésite pas à prendre des positions politiques, au point d’encourager les étudiants à manifester devant la Préfecture pour exiger “l’accompagnement des migrants”, le tout au travers de documents administratifs rédigés en écriture inclusive !

    Faut-il être surpris, alors, que le groupuscule “antifa” ayant revendiqué l’attaque contre les locaux de l’ISSEP tient un stand dans cette même université, deux jours seulement après l’agression, sans être aucunement inquiété.

    Tout droit venues des campus américains, ces théories se parent d’un vernis scientifique pour assurer leur autorité et leur incontestabilité. Elles sont alimentées par le noyautage des jurys de recrutement et des comités en charge de l’orientation des crédits de recherche. Ceux-ci favorisent mécaniquement les “chercheurs” s’engouffrant dans ce moule idéologique, duquel sont exclus tous les esprits libres qui questionnent les biais idéologiques de ces théories.

    La Sorbonne nous a apporté une preuve exemplaire de ce phénomène en nommant l’année dernière le Député Danièle Obono, issue de LFI et proche des indigénistes, au conseil d’administration d’une de ses unités de formation et de recherche au titre de “personnalité qualifiée” extérieure.

    Mais l’histoire ne s’arrête pas là. L’étudiant de Lyon II auteur des révélations citées plus haut fut harcelé et physiquement menacé pour avoir dénoncé ce manque de pluralisme, sans que la direction de l’université ne lui manifeste le moindre appui ou ne cherche à sanctionner les auteurs de l’intimidation. Il affirme néanmoins avoir reçu de nombreux et discrets soutiens d’étudiants et de professeurs.

    Face à une telle dérive scolaire, comment expliquer toutes ces grandes et petites lâchetés ? Comment expliquer que les étudiants et les professeurs, qui refusent de communier à la grande religion “intersectionnelle”, se taisent et se cachent?

    Car malheureusement ce témoignage ne révèle pas seulement la dérive d’un établissement, il est le symptôme d’un mal profond qui pourrit l’ensemble de notre système d’enseignement supérieur, public ou privé, qui n’épargne pas les écoles de commerce mais frappe tout particulièrement les filières en sciences sociales et humaines.

    Autrefois lieu du débat et de la recherche, l’enseignement supérieur est devenu le bras armé d’un progressisme militant et sectaire où les dissidents sont dénoncés, insultés et évincés.

    Les exemples ne manquent pas. Pour n’en citer que quelques-uns : Stéphane Dorin, professeur à Limoges, licencié pour avoir dénoncé les théorie décoloniales ; Alain Finkielkraut, copieusement insulté à l’occasion de son invitation à science po Paris ; Philippe Soual, docteur en philosophie, qui s’est vu retirer définitivement son cours à la fac de Toulouse Jean-Jaurès suite à sa participation à l’université d’été de la Manif pour tous sur le thème: “Qu’est-ce que l’homme?” ; l’appel à la haine contre Laurent Bouvet, professeur de science politique à l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines qui avait dénoncé le port du voile islamique par une dirigeante syndicale de l’UNEF.

    Fleurant bon ce nouveau “business”, certaines écoles sont allées jusqu’à la création de programmes dédiés à ces théories, comme à Science po Paris avec l’ “Effective Gender Equality in Research and the Academia” (égalité de genre effective dans la recherche et l’Académie).

    C’est ainsi que nous assistons à la fin du débat, à la disparition de l’esprit critique face au conformisme ambiant, à la destruction de la langue, à la mort de l’intelligence tout simplement. Le summum de la bêtise ayant été atteint dans la tentative d’empêchement de la représentation de la pièce d’Eschyle Les Suppliantes à la Sorbonne pour cause de “black face”.

    Ce totalitarisme rampant est d’autant plus terrible qu’il se cache derrière la morale et la tolérance pour justifier des positions haineuses et racialistes contre les européens et leur culture et “les soi-disant dominants” au détriment de la qualité de l’enseignement.

    C’est ainsi qu’un profond lavage de cerveau s’opère dans l’indifférence générale sur toute une génération.

    Avec l’ISSEP, nous œuvrons à la défense d’un véritable pluralisme intellectuel au sein de nos programmes. Nous apprenons à nos étudiants à débattre des idées, à étudier un auteur et son détracteur, à construire une argumentation. Nous ne disons pas à nos étudiants ce qu’ils doivent penser, ils assimilent des connaissances et les restituent comme ils l’entendent, forts de l’esprit critique que nous nous employons à développer chez ces futurs dirigeants. Notre mission pédagogique apparaît plus nécessaire que jamais.

    RémiBrague a été interrogé par l’ISSEP. Extrait :

    Comme universitaire, ayant occupé des chaires tant à la Sorbonne qu’à l’université de Munich, quel regard portez-vous sur les échanges et débats entre les différentes universités ? Sont-ils nombreux et enrichissants ou déplorez-vous en philosophie, comme l’écrivain Michel Houellebecq en littérature, un effacement de cette vie intellectuelle une fermeture des esprits et un tarissement de ces échanges ?

    J’ai eu effectivement l’honneur d’enseigner dix ans à Munich, à la fin de ma carrière, en parallèle avec Paris I. J’ai aussi été quatre fois professeur invité aux États-Unis et, pour des séjours plus brefs, en Espagne et en Italie. Cela ne suffit pas pour porter des jugements un peu sérieux sur les qualités et défauts des systèmes universitaires. En tout cas, les échanges sont moins intenses et par conséquent moins fructueux qu’ils ne pourraient l’être. D’abord parce que la question des langues se pose. La plupart du temps, les échanges se passent en anglais, et en un anglais pas toujours très riche. Les communautés philosophiques restent quand même quelque peu centrées sur elles-mêmes. Je ne connais pas cette déclaration de Houellebecq. Elle me semble malheureusement assez juste. Nos sociétés se décomposent en groupes dont chacun a ses idées, ses lectures, ses héros et hérauts, etc. On n’a jamais autant parlé de “dialogue”, mais on entend tellement souvent : “on ne parle pas avec ces gens-là !”.

    https://www.lesalonbeige.fr/qui-est-ideologue-lissep-ou-luniversite-de-lyon/

  • Nadine Morano contre le port du voile islamique

    L’eurodéputé Nadine Morano (PPE/LR) a affirmé sur BFM-RMC qu’elle était favorable à l’interdiction du port du voile dans l’espace public et dressé le bilan de l’arrivée de l’islam en France.

    Elle revient aussi sur la polémique au sujet du port du voile par une maman d’élève lors d’une sortie scolaire et prise à partie par un élu du RN de Bourgogne.

  • Le rôle des gauchistes dans l’embrasement communautaire de la France

    Le rôle des gauchistes dans l’embrasement communautaire de la France

    La fondatrice de la Brigade des Mères explique comment la France Insoumise sème la haine contre la France dans les cités et radicalise les voyous :

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  • L’insécurité à Paris en augmentation

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    La préfecture de police de Paris a livré à l’Agence France Presse les chiffres de la criminalité sur les neuf premiers mois de l’année. Sans surprise, on constate une forte hausse de la délinquance, dans la continuité des chiffres du début de l’année qui s’annonçait déjà encore plus alarmants que les années précédentes. Ainsi, jusqu’au mois de septembre, plus de 230 000 délits ont été recensés à Paris, soit une hausse de plus de 10% par rapport à 2018. Cette hausse concerne indifféremment tous les arrondissements parisiens, du XVIIIe au XVIe. Pour l’adjointe (PS) à la Sécurité de la maire de Paris, Colombe Brossel « L’ensemble des faits de délinquance quotidienne explosent que ce soit les indicateurs de cambriolage, vols à la roulotte, vols avec violence… Ils sont tous au-dessus de 15%, voire bien au-delà »

    Quelles causes seraient avancées ?

    Pour la maire de Paris, cette hausse de la délinquance peut s’expliquer par le mouvement des Gilets jaunes, qui a mobilisé les forces de l’ordre pour la surveillances des manifestions plus que pour la sécurité des Parisiens… Pas un mot sur la proportion d’étrangers dans ces délits qui se multiplient – rappelons que les statistiques ethniques sont interdites. Mais LCI citait en juillet dernier un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur en ces termes : « La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement, notamment dans la délinquance du quotidien, comme les vols à la tire. Beaucoup sont en situation irrégulière dans l’Hexagone. »

    Peu de médias ont traité l’information

    Alors que les municipales se rapprochent, certains chiffres ne sont pas bons à être clamés sur les toits ! Effectivement, ce sujet qui touche près de deux millions de Français, n’a fait aucun grand titre. Parallèlement, l’affaire du voile qui présente les musulmans en victimes de l’intolérance latente des Français est sur représentée. Les médias auraient-ils plus d’hésitations à traiter des sujets qui pourraient remettre en cause une certaine forme d’immigration ?

    https://fr.novopress.info/215857/linsecurite-a-paris-en-augmentation/

  • Quel est le bilan de l’immigration en France ?

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    Catastrophique. La population a augmenté en France ces 40 dernières années de 8 millions d’habitants (immigration + naissances + augmentation de la durée de vie) alors que le nombre d’emplois offerts reste le même.
    Nous entretenons donc une classe oisive qui, contrairement à celle de Veblen, n’apporte pas grand chose au développement des arts.
    L’immigration d’avant 1960 apportait, elle, beaucoup aux arts.
    Revoir « Midnight in Paris », de Woody Allen.
    Penser à Picasso, Dali, Foujita, Hemingway, Miller, Josephine Baker, Sydney Bechet.
    Ces gens se plaisaient en France et Josephine Baker ne l’a pas envoyé dire .
    Nous avons aujourd’hui en plus une immigration qui ne se plaît pas en France, à qui on a appris à détester son style de vie, son drapeau et même son histoire.
    MAIS EN CE CAS, QUE VIENNENT-ILS DONC Y FAIRE ?
     Juste des gosses et toucher pour cela des allocations?
    Pourquoi diable verser encore des allocations au-delà du deuxième enfant?
    Nous cherchons à renouveler les générations, pas à vivre de plus en plus serrés!
    L’immigration n’arrange en fait NI les autochtones, NI les immigrants du Sud qui y ont perdu dignité et climat.
    Elle n’arrange que MM. les exploiteurs d’icelle, de l’échelle massive d’un Bouygues à celle bien plus modeste d’un Dupond-Moretti.
    Malheureusement, les exploiteurs massifs possèdent justement les médias et de ce fait jusqu’à la macronie elle-même.

    François-Dominique Armingaud, ancien Responsable de sécurité informatique chez IBM pour Qora.com

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/quel-est-le-bilan-de-limmigration-en.html

  • Royalistes : Formation et militantisme : Bordeaux, Clermont Ferrand, Compiègne, Ile de France, Lyon, Toulon...

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/18/formation-et-militantisme-bordeaux-clermont-ferrand-compiegn-6183824.html#more

  • Grande manifestation contre l’islamisme à Paris le 17 novembre

    Le 3 octobre dernier, la France a de nouveau été frappée par le terrorisme islamiste. Mickaël Harpon, Martiniquais converti à l’islam, a froidement assassiné quatre de ses collègues de la préfecture de police de Paris en les poignardant à plusieurs reprises. Harpon était habilité secret-défense alors qu’il fréquentait des imams salafistes fichés par la DGSI. Un islamiste était donc infiltré au plus haut niveau de l’État, du jamais vu dans toute notre Histoire.

    Tragique ironie, en novembre 2017, la préfecture de police de Paris avait interdit la manifestation contre l’islamisme organisée par Génération Identitaire à l’occasion des 2 ans de la tuerie du Bataclan, interdiction qui a finalement été annulée par la justice.

    Face à ce nouveau bain de sang démontrant l’existence d’un ennemi intérieur, Génération Identitaire appelle à descendre dans la rue pour dénoncer les djihadistes et tous ceux qui les soutiennent.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur ce lien : https://www.facebook.com/events/404324040247077/

    https://fr.novopress.info/215852/grande-manifestation-contre-lislamisme-a-paris-le-17-novembre/

  • LOI ALIMENTATION : UN PREMIER BILAN DÉSASTREUX

  • Jean-Paul Brighelli : « Se retrouver voilé à certains moments, c’est une action militante ! »

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    La polémique du voile agite, une fois de plus, la société française après l’affaire du conseil régional de Bourgogne-France-Comté.

    En présence d’un vide juridique concernant les accompagnatrices de sorties scolaires, faut-il légiférer ?

    Réponse de Jean-Paul Brighelli, pour qui « le voile est une occupation vestimentaire avant l’occupation légale ».

    L’affaire du voile continue d’alimenter la chronique. Avant d’analyser l’aspect politique de la chose, a-t-on le droit d’être voilée lorsqu’on accompagne son enfant en sortie scolaire ?

    Légalement, oui c’est possible. C’est très utilisé par des militantes ou des militants qui envoient des missiles sous forme féminine encapuchonnée. J’ai eu l’occasion de voir des parents d’élèves à Marseille qui arrivaient pour des conseils de discipline ou des conseils d’administration voilées des pieds à la tête. Elles enlevaient leur voile à la sortie et se retrouvaient en mini-jupe comme n’importe quelle cagole marseillaise. Se retrouver voilée à certains moments est une action militante.
    Dans la vidéo enregistrée au Conseil régional de Bourgogne, la mère de famille est hilare. Elle est écroulée de rire parce que son « truc » a marché à 100 %. Elle sait qu’elle va faire le buzz et qu’on va oublier ce qui s’est passé à la Préfecture de police il y a quatre jours. C’est un cheval de Troie.

    Est-ce vraiment une volonté militante affichée, claire et réfléchie ?

    Peut-être pas quand on habite dans le 7e arrondissement de Paris comme la plupart des ministres, mais à Marseille oui !
    Mes élèves algériennes me disent qu’il y plus de femmes voilées à Marseille qu’à Alger.
    C’est une action délibérée. Qu’on ne vienne pas me dire que c’est un vêtement comme un autre.
    Céline Pina qui s’y connaît un peu en islamisme a très bien souligné dans Le Figaro que le voile n’est pas un vêtement, mais un signe. C’est une façon de faire signe et de dire aux femmes qui ne sont pas voilées « moi, je suis pure et toi tu ne l’es pas ».
    C’est une façon de dire aux hommes « moi, je suis une femme comme il faut et je suis une vraie croyante ».
    Elles occupent le terrain par le vêtement en attendant de l’occuper légalement. Il est tellement significatif que certains médias n’avaient rien osé dire.
    Quand quatre flics se font égorger comme des « poulets » à la Préfecture de Police de Paris, on ne peut pas tellement dire quoi que ce soit. Quand je pense que certains ont eu le culot d’essayer de faire une manif de soutien à l’assassin qui avait commis cet acte. Que fait Hadama Traoré en liberté ? Je le demande !

    Politiquement, que traduit la réaction de Jean-Michel Blanquer ?

    Il a très bien réagi en disant que la loi ne l’interdit pas, mais qu’il préférait qu’on s’abstienne parce qu’on est dans une société laïque et qu’il faudrait peut-être légiférer à un moment ou à un autre. Immédiatement, Édouard Philippe a dit :« il est hors de question de légiférer ». Il trouve pourtant bien le temps de légiférer pour des lois qui élimineraient le père en France.
    Tous les médias de gauche et les médias pédagogiques comme le cafépédago et tous ceux que Blanquer a en ligne de mire, en ont rajouté une couche en demandant un changement de ministre. Ils n’ont pas réussi leur coup sur la réforme du lycée, alors ils essaient de réussir leur coup sur le sociétal. Ils ne se rendent pas compte que ce sociétal est absolument vital. Si on lâche quelque chose sur la laïcité, si on passe de la laïcité pure et dure à la laïcité à géométrie variable telle que la voit Jean-Louis Bianco et l’observateur de la laïcité, on est absolument foutu !
    J’ai l’habitude de dire que la laïcité, c’est comme « je t’aime ». À « je t’aime », vous ne pouvez rien rajouter sans diminuer l’expression. Je t’aime bien, je t’aime beaucoup, c’est moins bien. La laïcité ouverte, à géométrie variable et aménagée n’est plus du tout la laïcité. Il faut savoir si nous voulons continuer à vivre dans un État républicain, libre et laïc ou si nous voulons baisser les bras et la culotte en même temps.

    Pour écouter l’interview, c’est ICI.

    https://www.bvoltaire.fr/jean-paul-brighelli-se-retrouver-voile-a-certains-moments-cest-une-action-militante/