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France et politique française - Page 1813

  • François Boulo : « On peut briser le quinquennat d’Emmanuel Macron »

    Alors que le mouvement des Gilets jaunes approche de son premier anniversaire, François Boulo s’est rendu dans les studios de Sputnik. Avec l’avocat porte-parole des Gilets jaunes à Rouen et auteur de «La ligne jaune», il a été question de la crise sociale que traverse la France et de l’avenir d’une contestation qui monte dans le pays.

  • Blocage à la SNCF : méthode habituelle des salopards rouges.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Tandis que se profile à partir du 5 décembre prochain une grève illimitée dans les transports qui, à l'approche de Noël, pourrait bien paralyser entièrement le Pays, les chemins de fer sont, depuis vendredi, bloqués par un arrêt de travail sauvage camouflé sous le terme pudique de "droit de retrait".
    En droit français, le droit de retrait est le droit pour le salarié de se retirer d'une situation de travail présentant un « danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé ». Il est fondé sur l'article L. 4131-1 du Code du travail pour les salariés et sur l'article 5-6 du décret n°82-453 du 28 mai 1982 pour les fonctionnaires qui stipule que le droit de retrait a pour seul objectif la sauvegarde du salarié et ne peut servir à faire la promotion de revendications professionnelles.
    À l'évidence, ces dispositions sont totalement dévoyées par les preneurs d'otages syndicaux et les maîtres chanteurs gauchistes qui usent des méthodes habituelles des salopards rouges.
    La grève ne doit être qu'un ultime recours lorsque les salariés sont confrontés dans une entreprise à des atteintes manifestes  et établies à leur droits et à l'équité sociale. Et, lorsque la cohésion nationale et le service nécessaire de la chose publique sont mis en péril, la réquisition doit être la règle.
    Le Premier ministre et la direction de la SNCF ont évoqué l'éventualité de sanctions. Seront ils grondés ? Recevront-ils un avertissement pouvant déboucher sur un blâme donnant lieu à une réprimande formulée en trois exemplaires en cas de récidive? 
    Dans l'Etat fort que nous appelons de nos vœux, tout blocage des transports serait considéré comme un acte anti national et réprimé comme tel.
  • Marine Le Pen (RN) : « Je souhaite que le voile soit interdit dans l’intégralité de l’espace public et je le souhaite depuis des années »

    Invitée du Grand Jury de RTL, Le Figaro et LCI, la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, a estimé que le port du voile islamique était « une infraction » à la laïcité. Selon elle, « Le voile est un marqueur idéologique, identitaire ». Un marqueur qui « n’existait quasiment pas » il y a vingt ans et qui est « devenu un sujet (…) majeur et prégnant dans notre société » à cause de « l’immigration massive », source de « communautarisme ». Marine Le Pen poursuit : « Les femmes dans leur immense majorité qui portent le voile aujourd’hui, c’est soit par soumission, soit par sécession ».

    La patronne du RN plaide également pour une prohibition du salafisme car selon elle, « On a bien interdit un certain nombre d’idéologies totalitaires sur notre territoire », « le fondamentalisme islamiste (est) une idéologie totalitaire ».

    BFMTV / LCI

    https://www.tvlibertes.com/actus/marine-le-pen-rn-je-souhaite-que-le-voile-soit-interdit-dans-lintegralite-de-lespace-public-et-je-le-souhaite-depuis-des-annees

  • Dignité de l’homme : la grande braderie !

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    Les gendarmes, grâce à un tuyau venant des USA, selon Le Monde et l’AFP, ont réalisé, le mardi 15 octobre, plus d’une centaine de perquisitions à travers la France et ont saisi 130 flacons de pentobarbital, un barbiturique/anesthésique qui n’est plus autorisé pour les humains, mais qui peut être utilisé dans le cadre d’une  ou d’un suicide. Il figure même parmi les produits possibles au sein des cocktails administrés lors d’exécutions par l’administration pénitentiaire américaine. Une association, Ultime Liberté, serait dans le collimateur pour avoir fourni des conseils aux personnes qui ont commandé sur Internet leurs doses « au cas où ». Les produits étaient référencés en douanes comme des cosmétiques.

    Qui sont les clients ? Des personnes qui ne veulent pas être confrontées à des souffrances excessives lorsque se profilera la mort. Cet énoncé des motifs ne pose pas de problème ; qui veut souffrir ? S’il est vraisemblable que l’acharnement thérapeutique a reculé, ces dernières décennies, les , en France, souffrent d’un retard, d’un manque de développement honteux. La litanie des insuffisances se poursuit ici aussi : structures, personnels, formations, moyens… le refrain est connu !

    Les associations de promotion de la mort en blouse blanche continuent de réclamer le droit à l’euthanasie et au suicide assisté. Le député Jean-Louis Touraine, grand chantre du progressisme, a même confié à Libération, fin septembre, qu’une fois la loi de bioéthique passée, il déposerait de nouveau un texte sur l’aide active à mourir. Ce bon docteur en médecine semble ne pas montrer autant d’énergie ni un tel empressement pour développer les soins palliatifs.

    Bien sûr, les médias sont très compréhensifs avec ces contrebandiers en substance létales. Avec eux, une instruction à décharge suffit. Le consensus implicite entre les oligarques qui détiennent ces médias est sans doute d’alléger les charges futures des assurances dites sociales (maladies, retraites) en abrégeant la vie des bénéficiaires : ça coûte moins cher pour l’État qui paye ! Ne doutons pas que les médias nous gaveront d’histoires pleines de pathos où une mort douce sera préférable à toute autre option. Il se trouvera bien assez de politiciens progressistes pour y voir un combat sociétal porteur pour leur aura. Mais c’est l’avant-vente de la grande braderie de la dignité de l’homme. C’est aussi le chant du cygne de la médecine conçue comme un art : elle deviendra, sous peu, une simple prestation de service marchand – elle a déjà commencé, d’ailleurs.

    Peut-être que les efforts des gendarmes ne sont qu’un combat d’arrière-garde. Les promoteurs de l’utilitarisme appliqué à la vie humaine veulent toucher les dividendes de la désespérante affaire Vincent Lambert. Désabolir la peine de mort pour les faibles et les malades, désabolir l’esclavage avec les trafics de gamètes et d’enfants, et bientôt le servage des mères porteuses. Les mots ne sont pas de moi mais d’Antoine de Saint-Exupéry dans sa lettre à un général resté anonyme : « Je hais mon époque de toutes mes forces. L’homme y meurt de soif. » Qui, pour lui donner à boire ? Je vais relire le dialogue de Jésus et de la Samaritaine (Jean, chapitre IV).

    Rémy Mahoudeaux

    https://www.bvoltaire.fr/dignite-de-lhomme-la-grande-braderie/

  • Les vrais chiffres des mosquées radicales en France sont plus élevés que l’estimation des politiques

    Breizh Info – Le Figaro Magazine rapporte le chiffre de 80 mosquées salafistes pour la seule région Île-de-France. Pour l’Observatoire de l’islamisation, les chiffres du nombre de mosquées radicales en France sont bien plus élevés que l’estimation qu’en font les politiques depuis quelques semaines. 

    Une semaine après l’attentat de la Préfecture de police, des personnalités politiques de droite présentent le nombre de cent mosquées salafistes en France, en se basant sur un chiffrage datant de plus de dix ans. Déjà, une étude du Service central du renseignement territorial de juin 2016 relevait 120 mosquées salafistes hors Préfecture de police de Paris qui ne relève pas de sa zone de surveillance, avec une hausse de 170 % entre 2010 et 2016. Si on ajoute les vingt mosquées salafistes de la petite couronne parisienne surveillées par la PPP, le chiffre était déjà de 140. Le 10 juillet 2018 Le Figaro[1] révélait le chiffre de 132 mosquées salafistes toujours pour la zone de compétence du SCRT. Donc le chiffre dépasse les 150 pour toute la France. On est donc bien au-delà du chiffre de cent évoqué par les responsables du RN et de LR.

    Mais pourquoi se limiter aux seuls lieux de cultes salafistes, alors que l’organisation Tabligh appliquant le même type d’islam que les Talibans (courant Déobandi) est une grande pourvoyeuse de terroristes depuis trente ans ? Le SCRT comptait 147 mosquées Tabligh en 2017. Ce mouvement très hiérarchisé et encadré par la direction indo-pakistanaise, avec des stages obligatoires pour ses cadres et des missions de prosélytisme pour ses militants de base, reste une pépinière de « radicalisés ». Khaled Kelkal, Zacarias Moussaoui, Djamel Loiseau ont en effet été formés et recrutés par le Tabligh avant de passer à l’action. Plus récemment, les six familles de djihadistes français de Lunel partis en Syrie ont été fanatisés dans la mosquée Tabligh de Lunel.

    En ce qui concerne le mouvement des Frères musulmans, dont un ex-président de l’UOIF admettait être membre[2], on dénombre 170 mosquées où la littérature des théoriciens de la confrérie justifiant le djihad armé offensif est très présente (lire cette enquête de terrain). Rappelons cette phrase de Hani Ramadan qui fut longtemps un des principaux conférenciers itinérants de l’UOIF avant son interdiction de séjour :

    « Le monde musulman est en ébullition. Cette force peut et doit être orientée vers un État islamique, un État appliquant le Coran et la Sunna.(…) Les musulmans ne retrouveront jamais leur bonheur perdu s’ils ne reviennent pas au jihad et ne cherchent pas à établir un État islamique ». (Hani Ramadan, Sermons du vendredi rappels et exhortations, éditions Tawid, 2011, page 465.)

    Beaucoup d’imams et prédicateurs des Frères musulmans de l’UOIF (rebaptisé Musulmans de France) sont de nationalité étrangère, et le ministère de l’Intérieur ne sera pas crédible dans sa lutte contre l’« hydre islamiste » tant qu’ils seront toujours tolérés sur notre sol. Ils ont été identifiés par le Centre des études du Moyen-Orient basé à Paris.

    Article paru sur Breizh Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/les-vrais-chiffres-des-mosquees-radicales-en-france-sont-plus-eleves-que-lestimation-des-politiques

  • Julien Langella : « Le premier écosystème d’un homme, c’est son peuple ! »

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    Entretien téléphonique avec Julien Langella, porte-parole d’Academia Christiana ♦ Le premier colloque annuel d’Academia Christiana se tiendra le 26 octobre 2019, à Paris, sur le thème : « Regards croisés sur notre identité » et sera organisé en partenariat avec la revue Éléments.
    Les orateurs de qualité se succéderont, qu’ils soient catholiques, païens, athées ou agnostiques pour évoquer la question brûlante de l’identité.
    Nous avons interrogé Julien Langella, par téléphone, sur ce colloque, sa vision de l’identité et sur les troubles au sein de l’Eglise sur ce sujet clivant.
    Polemia

    Promouvoir le Beau, le Vrai et le Bien

    Polémia : A lire le programme, on a l’impression que païens et chrétiens tenteront de régler leurs différends ! N’y parlera-t-on pas trop de religion au détriment de l’identité ?

     Julien Langella : Alors, l’objectif n’est pas du tout de verser dans le débat contradictoire. Notre objectif n’est pas non plus d’être dans l’œcuménisme narcissique où on s’auto congratulerait d’être d’accord sur presque tout.

    Notre but c’est de faire se croiser des regards qui peuvent varier sur l’identité, car nous n’avons pas la même foi et parfois pas les même convictions philosophiques. Certains héritages nous touchent par exemple plus que d’autres selon nos convictions. Pour nous, l’héritage médiéval et peut-être pour les néo-païens un héritage germanique ou grec ou encore plus ancien.

    Ces regards identitaires, bien que différents, veulent promouvoir le Beau, le Vrai, le Bien, les vertus de liberté, de force, de grandeur, de recherche du noble geste… Cela nous parle évidemment à nous catholiques, puisque ce sont toutes ses valeurs qui ont été portées au pinacle par le catholicisme médiéval…

    Je pense que l’on peut s’entendre sur ces questions-là avec des néo-païens ou des athées…

    Le but finalement n’est pas de parler de nous mais de parler de notre identité avec ce que nous sommes.

    Polémia : Etant donné la qualité des intervenants, le colloque s’annonce comme un moment de grande intelligence. Quel est son objectif affiché ?

    Julien Langella : Le premier objectif affiché, c’est de faire se rencontrer et se parler des gens qui échangent déjà de manière informelle mais, cette fois-ci, de manière publique afin d’assumer des positions qui nous sont communes sur la défense intégrale et intransigeante de notre identité et de notre longue mémoire.

    Mais la question identitaire n’est pas seulement culturelle. Elle est aussi économique. Quel système économique est le mieux à même de promouvoir notre identité, de la valoriser et de la protéger ?

    Il en est de même pour la question écologique. Quelle écologie identitaire, sachant que le premier écosystème d’un homme, c’est son peuple ?

    Polémia : L’ambition est-elle d’établir un programme commun ?

    Julien Langella : Non, l’objectif n’est pas de faire une Convention de la Droite Identitaire. Ce que l’on souhaite faire, c’est une démonstration de force d’une droite authentique qui soit identitaire et antilibérale. Ce sont nos deux chevaux de bataille.

    Nous faisons ce colloque pour montrer qu’il existe des gens suffisamment intelligents pour pouvoir parler ensemble de ces sujets-là, pour combattre ensemble sur ces sujets-là, pour défendre ensemble leur identité et faire ensemble cette synthèse à laquelle une partie de la droite échappe, engoncée dans son tropisme libéral et bourgeois. Nous voulons dynamiter tout cela et unir les intelligences et les cœurs autour de cet espoir afin d’accoucher d’initiatives concrètes.

    Nous, à l’Academia Christiana, nous sommes un institut de formation et nous avons par exemple des gens de chez nous qui conseillent des personnes qui vont se présenter aux élections municipales dans quelques mois.

    Identité charnelle et culturelle

    Polémia : Aujourd’hui, de nombreux travaux de généticiens viennent confirmer définitivement que les populations humaines diffèrent génétiquement – et de manière significative – entre elles. Selon vous, l’identité d’un peuple est-elle avant tout culturelle ou génétique ?

    Julien Langella : Pour moi, l’aspect génétique, l’aspect biologique, l’aspect racial – comme on le disait à une époque où on avait encore le droite de le dire, mais tout cela signifie de toutes manières exactement la même chose – fait partie intégrante de notre identité et doit être défendu.

    Je crois que le bon Dieu a fait des humanités différentes et on ne doit pas s’excuser d’aimer une belle peau rose constellée de grains de beauté. On ne doit pas s’excuser de vouloir que les Européens restent des blancs. En effet, je crois qu’il existe des différences biologiques. Dans le monde anglo-saxon, la recherche à ce sujet est bien plus libre que chez nous. Il y a chez eux un aspect pragmatique qui nous fait défaut.

    Il suffit de regarder la répartition des prix Nobel en sciences dures… Il n’y a quasiment que dans les faux prix Nobel comme celui de la Paix que vous avez des extra-européens qui sont représentés.

    Regardez les sprints, regardez les sports à explosion comme le basket… Il est évident que les Africains sont sur-représentés.

    Pour moi, cette réalité fait partie de l’identité. Cependant, c’est une condition nécessaire mais pas suffisante pour définir notre identité. Pour moi, un Européen est évidemment un blanc. D’ailleurs, le cardinal Joseph Ratzinger, futur pape Benoit XVI, disait : « L’Europe est en voie d’extinction ethnique. » Il ne dit pas démographique. Il emploie le terme « ethnique ». Cela signifie que, pour lui, l’Europe est de moins en moins blanche.

    Donc pour nous, c’est un véritable problème. On doit affronter ça sereinement et l’analyser sans aucun tabou. Jean-Paul II disait : « Toute vérité est nôtre. »

    Je suis ravi de voir que des analyses scientifiques viennent confirmer ce que je pense d’instinct sur la question raciale.

    Quant à l’aspect culturel, je pense qu’il n’y a qu’un seul moyen de devenir Français ou Européen, c’est d’en hériter. Et, éventuellement, on peut le devenir par infusion dans un milieu gaulois, patriote et spirituellement enraciné.

    L’Eglise en pleine tourmente identitaire

    Polémia : Vous évoquerez le combat identitaire et l’Eglise. Quel regard portez-vous sur le raport actuel de l’Eglise à l’identité ? Du pape François au curé de campagne, la préoccupation identitaire ne semble pas la priorité de l’Eglise !

    Julien Langella : En Europe occidentale, oui. Dans le reste du monde, pas du tout.

    C’est-à-dire que le discours du pape François, au niveau de l’Eglise universelle, est en réalité très minoritaire. Quand on entend Mgr Turkson ou le cardinal Sarah, on entend un discours anti libéral et anti-immigration ! Pour eux, un monde sans frontières, c’est d’abord un monde sans limites, notamment économiques. En ce moment, au sein de l’Eglise, c’est en effet le chant du cygne des vieux cathos gauchistes qui sont en train de mourir, krach démographique oblige, et qui poussent leur dernière complainte.

    On sait que l’Eglise a traversé d’autres pontificats catastrophiques et elle s’en est toujours relevée. Quand tous les empires se sont écroulés, nous sommes là depuis 2 000 ans.

    Je pense qu’on a le devoir de dire au pape François : « Attention ! » Quand il parle politique, identité ou immigration, c’est Bergoglio qui parle et nous ne lui devons aucune allégeance !

    Le problème, c’est que, il y a un siècle et demi, personne ne connaissait le visage du pape ! Il y a une hypertrophie médiatique qui fait qu’on en a fait une star ! Et dans certains diocèses français, à la même époque, on ne connaissait même pas la tête de l’évêque… L’Eglise, c’était le curé du coin ! L’Eglise subit donc une dérive libertaire et gauchiste mais aussi une crise de taille. Le gigantisme et l’hypertrophie médiatique m’inquiètent énormément.
    Cependant, au milieu de la crise, ça me rassure beaucoup de voir le nombre de vocations dans les milieux traditonnalistes. L’Eglise de demain ne sera pas celle que nous subissons aujourd’hui. Et nous avons le devoir, avec charité et respect filial, de dire : « Là, vous vous trompez ! » J’invite tous les catholiques à dire à leur curé : « Je crois que vous vous trompez. »

    Le pape Benoit XVI disait : « La charité dépourvue de vérité n’est qu’une coquille vide. » Je crois que nous sommes en plein là-dedans.

    Entretien téléphonique avec Julien Langella

    https://www.polemia.com/julien-langella-premier-ecosysteme-homme-peuple/

  • Entre Castaner et Zemmour, les Français ont choisi

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    Qui pouvait faire pire audience que Xavier Bertrand à « Vous avez la parole », l’émission de Léa Salamé et Thomas Sotto ? Qui pouvait, jeudi soir, faire pire audience que le téléfilm de TF1 Olivia (4,15 millions de téléspectateurs), le film La Vache, diffusé sur France 3 (2,75 millions) et le documentaire de M6 La Meilleure Offre (1,85 million) ? Christophe Castaner (encore lui), en véritable serial loser de l’Audimat™, a à peine rassemblé 1,2 million de téléspectateurs. Faire pire que La Vache

    Et pourtant, les Français auraient eu bien des raisons de regarder l’émission. Ces quinze derniers jours ont été marqués par l’attentat sanglant de la préfecture de police, des manifestations historiques de policiers et de pompiers, une nouvelle affaire du voile. Et il paraît que l’homme est ministre de l’Intérieur. On savait Christophe Castaner décrédibilisé aux yeux des Français (70 %) depuis sa communication le jour de l’attentat. On sait, désormais, que les Français n’attendent rien de lui, si ce n’est son départ qu’ils ont intégré, qu’ils anticipent.

    Et ce n’est pas l’adversaire qui lui avait été trouvée, la députée LFI Clémentine Autain, venue expliquer la radicalisation par la disparition des services publics, qui allait ramener de l’Audimat™. La ficelle était d’ailleurs un peu grosse : convoquer encore plus idéologue et complaisante envers l’ politique que lui pour redonner une once de crédibilité à un ministre en voie d’extinction. Cela ne marche que pour des marcheurs.

    Mais l’autre nouvelle de l’Audimat™, cette semaine, c’était, bien sûr, la nouvelle émission d’Éric Zemmour sur CNews qui, pour sa première, a fait tripler le score de la chaîne.

    Alors, Castaner ou Zemmour ? Les urnes télévisuelles ont répondu. Et Christophe Castaner sait que, pour sa reconversion, il ne peut même pas compter sur cette option. Sa carrière « hanounesque » s’est arrêtée au rôle de chauffeur de salle d’un certain… Emmanuel Macron.

    Pascal Célérier

    https://www.bvoltaire.fr/entre-castaner-et-zemmour-les-francais-ont-choisi/

  • La musulmane Nadia Remadna accuse La France Insoumise de radicaliser les jeunes des banlieues

    Nadia Remadna est une mère de famille musulmane qui a fondé l’association Brigade des Mères dans le but de mobiliser les mères musulmanes pour que leurs enfants ne tombent pas dans l’islamisme et le terrorisme ou la délinquance.

    Sur un plateau de télévision, elle explique comment le parti La France Insoumise sème la haine contre la France et pousse à la radicalisation des jeunes des banlieues.

    Voir la video sur MPI

  • Franc succès pour le banquet organisé par le Parti de la France avec Jean-Marie Le Pen aujourd'hui dans l'Oise

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    Thomas Joly, secrétaire général du PdF, recevait ce samedi Jean-Marie le Pen dans son département.

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    Synthèse nationale était au rendez-vous.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Sept personnes soupçonnées de financement du terrorisme mises en examen dans la Drôme

    Sept personnes, dont trois prisonniers du centre pénitentiaire de Valence (Drôme), ont été mises en examen vendredi pour « financement du terrorisme » et « association de malfaiteurs terroriste » à l’issue de quatre jours d’interrogatoire, selon une source judiciaire. Elles sont soupçonnées d’avoir récolté de l’argent destiné à des femmes djihadistes actuellement détenues dans le nord de la Syrie, afin de les aider à fuir.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/sept-personnes-soupconnees-de-financement-du-terrorisme-mises-en-examen-dans-la-drome