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France et politique française - Page 1825

  • Castaner ridiculisé : quand les moqueurs démontrent l’impasse des idées qu’ils défendent

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    Au lendemain de l’attaque à la préfecture de police de Paris, ce bon Christophe Castaner prend le taureau par les cornes. Les signes de radicalisation seront traqués impitoyablement. Une barbe qui pousse, une main de femme qu’on ne serre pas, un ramadan sans gluten, des prières ostentatoires sur le périphérique, et crac : signalement ! Et puis, il allait oublier, il y a aussi les clubs de sport où des pseudo-moniteurs embrigadent à tour de bras. Et puis quoi, encore ? Non, c’est tout pour aujourd’hui.

    Et les réseaux sociaux de s’amuser. Création du hashtag #SignaleUnMusulman visant à signifier que le ministre de l’Intérieur n’a fait que décrire, à peu de choses près, divers aspects de la pratique de l’islam. « Castaner en voie de ridiculisation », ironise Le Canard enchaîné.

    Sous couvert de moqueries mâtinées d’un nuage d’antiracisme, les auteurs de ces railleries ont, à leur insu, mis le doigt sur l’échec du multiculturalisme. Révélé la quasi-impossibilité de détecter des éléments potentiellement dangereux.

    Le fin limier Castaner sera effectivement bien en peine d’expliquer ce qui distingue un musulman assidu pacifique d’un musulman assidu belliqueux. Le député M’jid El Guerrab, dont le pacifisme à coup de casque de moto n’est plus à démontrer, a fait pertinemment remarquer que le ministre lui-même portait une barbe. À partir de quelle longueur s’inquiéter ? Le radicalisé rasé de près qui s’oblige à serrer les mains des femmes se repère comment ? Des chiens renifleurs de Coran vont-ils être déployés sur les lieux de travail ? Autant de questions sans réponses qui placent les partisans d’une immigration débridée devant une énigme insoluble. À la subjectivité des signes évoqués vient s’ajouter la simplicité de simuler une « normalité ». Usine à gaz et sac de nœuds. Ce Castaner qu’on a connu si pimpant, si pétulant… Dans quel état allons-nous le retrouver à la fin du quinquennat ?

    Avec leurs moqueries, parfois drôles, les détracteurs de la vigilance macronienne ne font donc qu’apporter de l’eau au moulin de l’horrible extrême droite. Ô miracle, le second degré humoristique de la bobosphère branchée se fait révélateur de l’utopie qu’ils défendent. Ne dites plus que le multiculturalisme est une impasse, vos adversaires s’en chargent.

    Jany Leroy

    https://www.bvoltaire.fr/castaner-ridiculise-quand-les-moqueurs-demontrent-limpasse-des-idees-quils-defendent/

  • Nutella contre Zemmour : la pâte à tartiner du politiquement correct

    Nutella a décidé de supprimer ses plages publicitaires pendant l’émission hebdomadaire de Paris Première « Zemmour et Naulleau ». Cette asphyxie d’un grand média, pour raisons politiques, par un groupe industriel et financier, est une première. La censure anti-Zemmour pourrait s’étendre à tous les autres grands médias. Elle pourrait être pratiquée par tous les autres groupes industriels et financiers. Déjà sont annoncés les boycotts anti-Zemmour de la MAIF, Groupama, Monabanq. Et qui après Zemmour ? Bellamy ? Brunet ? Lucchini ? Messiha ? (Pour ce dernier, c’est déjà fait.)

    Ce qui se passe actuellement est un phénomène absolument inédit dans l’histoire de notre pays, et même au-delà : la mise en place d’une dictature capitaliste, d’une authentique ploutocratie qui s’affiche comme telle, un régime où la puissance économique et financière devient seule décisionnaire pour le droit à l’expression dans le domaine politique, culturel et social.

    Certes les puissances d’argent n’ont jamais joué un rôle négligeable dans la vie politique française. Mais Nutella, c’est-à-dire le groupe Ferrero, groupe italien comptant 33 000 salariés et pesant 10 milliards d’euros, est allé là où personne n’avait osé aller : couper les vivres à une chaîne d’information, Paris Première, pour l’obliger à licencier Eric Zemmour. Immédiatement le groupe MAIF (3 milliards de chiffre d’affaires), Groupama (14 milliards de chiffre d’affaires), Monabanq (27 milliards de chiffre d’affaires) lui ont emboîté le pas. Une digue réputée infranchissable a été rompue.

    Rien d’autre que de l’ultracapitalisme

    Nous avons donc une coalition de grandes entreprises qui entendent dorénavant peser sur ce que les Français ont le droit d’entendre ou non. Et parce que la personne visée est marquée à droite, tout le camp de la gauche, et de la gauche de la gauche, sans parler du camp progressiste, trépigne de joie, ne réalisant pas vraiment que, grâce à sa campagne anti-Zemmour, elle déroule un tapis rouge à ce qui n’est rien d’autre que de l’ultralibéralisme, de l’ultracapitalisme, comme jamais la France et la planète n’en ont connu.

    Car quelle est la motivation de ces entreprises multinationales, dirigées par des milliardaires ? Il peut y avoir la peur d’un boycott par l’extrême gauche, l’idée que, sur les réseaux sociaux, une mauvaise réputation pourrait leur coûter quelques points de croissance. Mais l’e-réputation et la réputation tout court sont bien plus affectées par un accident industriel comme Lubrizol ou par des affaires à la Carlos Ghosn que par des publicités passées sur une chaîne qui donne la parole à Zemmour.

    Mais il y a sans doute d’abord le fait que les directions de ces entreprises, qui raisonnent en marché mondial, qui rêvent de délocalisations faciles, et dont les charges sociales tirent profit de l’immigration massive, veulent défendre leurs intérêts. Et leurs intérêts, c’est de supprimer les frontières, et de développer toujours plus de mobilité planétaire.

    Le nouveau capitalisme qui se dessine, avec cette stupéfiante immixtion publique de grands acteurs économiques dans la sphère politique, ne prend plus ses repères à Londres ou Washington, mais à Pékin : immense liberté capitalistique et total verrouillage de la liberté d’expression.

    Les Chinois ont tiré profit de ce modèle ces quarante dernières années. Mais Hong-Kong semble montrer que le système a ses limites. Il n’y a pas de raisons que les Français soient davantage enclins que les Chinois à avaler l’écœurante pâte à tartiner progressiste.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 10 octobre 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Antifas violeurs : Auto-dissolution du Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault

    Source : Lengadoc Info – Le Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault (GRAPH) a annoncé ce mardi dans un communiqué son auto-dissolution en raison d’une affaire de viol au sein même du groupe. Un viol qui n’est pas une première dans la mouvance antifa à Montpellier.
    Un viol « avéré » mais pas le premier chez les antifas

    L’éphémère GRAPH n’aura guère duré plus d’une année. Celui-ci a annoncé ce mardi que depuis la création du groupe « de nombreu.x.ses membres fondat.eu.r.ice.s ont quitté le collectif à la suite de la découverte d’un viol avéré dans [les] milieux militants et affinitaires mettant en cause un membre du groupe ».
    Si le GRAPH ne donne guère de détails sur les circonstances du viol et l’identité du violeur, on apprend dans le communiqué que ce dernier avaient des propos et une attitude « oppressantes » au sein du groupe au point de réveiller « des peurs, des souvenirs, des mal-êtres, etc, chez plusieurs d’entre nous ayant vécu des violences sexuelles ».
    Ce viol et les attitudes « oppressives » de cet individu ne semblent pas être des faits isolés au sein de la mouvance antifa locale. Déjà en 2014, un communiqué de militantes féministes dénonçait l’organisation du collectif antifa 34 qui était « gouverné par des individus blancs et masculins », une « hiérarchie bureaucratique, sexiste et autoritaire » à laquelle « s’ajoutent des cas d’agressions sexuelles dont les témoignages sont mis sous silence, la parole de la victime n’étant pas prise en compte et fortement délégitimée ».

    En 2016, c’est sur la ZAD de Las Rebes qu’une jeune femme de 19 ans avait été violée par plusieurs individus. En 2017, c’est au sein du squat antifa Le Royal Occupé qu’un viol avait été une nouvelle fois commis.

    Si une plainte a été déposée en 2016 pour le viol de Las Rebes, nous ignorons si les autres dénonciations ont fait l’objet d’une procédure judiciaire.
    Le GRAPH, un énième et éphémère groupe antifa à Montpellier
    Avec cette auto-dissolution, le GRAPH risque de ne pas marquer les mémoires militantes locales. Il faut dire que depuis quelques années, les groupuscules antifas se succèdent les uns aux autres sans une grande régularité : « Scalp 34 », « Montpellier Antifa », « Collectif Antifasciste 34 », « Montpellier Antifasciste et Populaire », etc. D’ailleurs le communiqué du GRAPH annonce qu’une nouvelle structure verra bientôt le jour…

    Petit dernier de la bande, le GRAPH s’est fait connaître pour ses affiches appelant à la violence et pour avoir tenté de s’opposer (sans grand succès) à un hommage à Jeanne d’Arc.

    https://www.medias-presse.info/antifas-violeurs-auto-dissolution-du-groupe-revolutionnaire-antifasciste-et-populaire-de-lherault/113182/

  • Europe : Macron humilié – Journal du vendredi 11 octobre 2019

    1) Europe : Macron humilié

    La protégée d’Emmanuel Macron, Sylvie Goulard, ne sera finalement pas commissaire européen. Une nouvelle gifle pour le chef d’Etat français qui se voyait encore récemment en champion de l’Union européenne…

    2) Lubrizol : une lueur après le nuage ?

    Deux semaines après l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, les interrogations sont toujours là. Malgré de nouvelles analyses, chacun se renvoie la balle des responsabilités et les habitants continuent à payer le prix fort.

    3) L’Equateur au bord du chaos

    VO : Depuis le début du mois, l’Equateur s’embrase après la suppression des subventions sur les carburants. Sous l’impulsion des indigènes, les manifestations parfois violentes s’enchaînent à Quito, la Capitale, forçant le président, Lenin Moreno, à délocaliser le gouvernement.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/europe-macron-humilie-journal-du-vendredi-11-octobre-2019

  • Le « trou de la sécu » atteindra les 5,4 milliards d’euros cette année

    Contrairement aux annonces faites par le Gouvernement fin 2018, qui prévoyait qu’en 2019, «pour la première fois depuis 18 ans, le régime général et le fonds de solidarité vieillesse (FSV) [seraient] excédentaires à hauteur de 700 millions d’euros», le «trou de la sécu», plutôt que de disparaître, atteindra cette année 5,4 milliards d’euros.

    Dans un rapport public publié mardi 8 octobre, la Cour des comptes explique cette tendance par le coût (2,7 milliards d’euros) des mesures d’urgence économiques et sociales de la fin de l’année 2018, aussi appelées «lois Gilets Jaunes», et par des prévisions trop optimistes, la masse salariale soumise à cotisation ayant augmenté moins que prévu avec un impact de 1 milliard d’euros.

    Depuis le début des années 1990, la sécurité sociale connaît un déficit permanent, (sauf en 2000-2001), que la récession économique de 2009 a porté à un niveau inédit. L’accumulation des déficits annuels a fini par constituer une dette sociale qui représente encore près de 120 milliards d’euros en 2019, répartis entre deux organismes, la Caisse nationale des Urssaf (l’Accos) et la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES).

    Source : RT

    https://www.tvlibertes.com/actus/le-trou-de-la-secu-atteindra-les-54-milliards-deuros-en-2019

  • Sleeping Giants ou le totalitarisme « soft » qui veut tuer

    Qui sont les Sleeping Giants qui veulent interdire Eric Zemmour d'antenne et utilisent des méthodes fascistes pour formater l'information selon leurs idées?

    Sur le plan social et économique en tout cas, en s’attaquant au portefeuille, car tel est l’objectif de Sleeping Giants, lancé aux Etats-Unis dans la foulée de l’élection de Donald Trump. L’opération de délation de toute pensée autre, visant en même temps à asphyxier les lieux d’expression de cette pensée, et donc la liberté d’expression, a ensuite essaimé en Europe et s’est installée en France.
    Sleeping Giants France a été lancé en février 2017.
    Il se présente ainsi : « Actuellement, nous comptons plus de 5000 géants (dont plus de la moitié sont de facto des géantes - le risque de ne pas être paritaire serait trop grand… NDE). Combattre la haine et l’emprise des fake news permet à chacun de se positionner, c’est un combat universel qui ne dépend pas des convictions politiques. Plus de 980 annonceurs ont bloqué Boulevard Voltaire, et des centaines ont retiré leur publicité du site auto-revendiqué fasciste Breizatao, jusqu’à ce que la régie Google Ads se décide enfin à exclure définitivement ce dernier ».
    À première vue, le lecteur pourrait croire à une opération de type Gorafi.
    Il n’en est rien, c’est très sérieux et les acteurs de cette opération ne semblent pas s’apercevoir combien ils combattent pour une vision totalitaire de la politique.
    Historique du groupe français

    « Les fondateurs de Sleeping Giants ont immédiatement compris que la prolifération d’informations racistes, sexistes, xénophobes, homophobes et antisémites était incontestable. L’information manipulée et/ou fausse (fake news) et les articles prônant la haine semblaient fleurir partout, du jour au lendemain. En recherchant l'origine du financement de ces articles par les encarts publicitaires, Sleeping Giants a découvert que les annonceurs étaient, en fait, extrêmement nombreux. Des gros et des petits, chacun contribuant à reverser des millions à des sites comme Breitbart News - le plus gros poisson du domaine - grâce à leurs publicités. Pourtant, étonnamment, ils n'avaient aucune idée que leurs annonces apparaissaient sur ces sites en raison de ce que l'on appelle « la publicité programmatique », un réseau complexe de placement d'annonces qui cible le consommateur plutôt que des sites spécifiques. Armé de cette information, Sleeping Giants a commencé à avertir les annonceurs de leur présence sur Breitbart News ».

    L’objectif est clair : « informer » - mais le terme dénoncer paraît de meilleur aloi - les entreprises que leurs annonces apparaissent sur des sites « racistes, sexistes, xénophobes, homophobes et antisémites ».
    Les caractéristiques de ces sites étant par avance et nature jugées « incontestables ».
    Une délation hors de tout procédé judiciaire normal, démocratique, et en dehors de tout Etat de droit. En effet, qui, sinon le droit (et une condamnation) peut déterminer si un organe de presse ou un média répond à ces caractéristiques ?
    Pour l’opération Sleeping Giants, la question ne se pose pas en ces termes : il y a des pétitions de principe et des évidences.
    Les Sleeping Giants Français se sont décidés, disent-ils, en particulier « au vu des plans d’expansion de Breitbart en Europe ». C’est pourquoi ils se disent « déterminés à minimiser l’espace public pour les propos haineux. Les réseaux de propagande tels que Breitbart constituent une véritable menace pour les sociétés ouvertes et le discours démocratique ».
    Un caractère militant en faveur de la mondialisation sous toutes ses formes, et un aveu : est considérée comme dangereuse toute autre conception politique et sociale.
    Les Sleeping Giants, c’est… la liberté par l’interdiction de la liberté.
    Sa première obsession est de faire disparaître Boulevard Voltaire.
    Du Orwell en sa forme la plus parfaite.
    Le système, comme chez Orwell, fonctionne aussi sur la peur.
    Conséquence : 4000 entreprises américaines ont retiré leurs annonces du site Breitbart et elles sont déjà plus de 1000 à être européennes.
    Comment cela fonctionne-t-il ?
    Ce sont « des milliers de géants qui travaillent nuit et jour pour les informer de leur présence sur ce site à leur insu ».
    De géants ? Voici :
    « Tout le monde peut aider. C'est simple. Suivez simplement les instructions sur le tweet épinglé sur notre page Twitter :
    1. Visitez le site ciblé, prenez la capture d'écran d'une annonce à côté d'une partie de leur contenu.
    2. Tweetez l’image avec une note polie à destination du compte twitter de la société, tout en nous taguant !
    3. Si la société répond, demandez-leur de confirmer le retrait de leurs annonces du site.
    4. Une fois la confirmation obtenue, retweetez-nous en indiquant CONFIRMÉ »
    Il y a des personnalités condamnées à Nuremberg ou adulées à Moscou à la bonne époque qui auraient adoré ce mode de fonctionnement.
    Comment dénoncer ?
    Et si un délateur n’est pas sur Twitter ?

    « Pas de problème. Vous pouvez toujours être un géant.Nous avons une page Facebook qui est également une excellente ressource. Vous pouvez entrer en contact avec les entreprises sur Facebook.Vous pouvez également envoyer l’image et le texte d’information par courrier électronique ou appeler les entreprises directement. Faites-leur savoir qu'elles font de la publicité sur le site ciblé, et que vous vous demandez si elles seraient prêtes à retirer leurs annonces.Si elles confirment, essayez d’obtenir la confirmation dans un e-mail ou même un sms et publiez cela sur notre compte Facebook. »

    Nous sommes dans une époque où, au mépris de l’Etat de droit, c’est-à-dire de ce qui fonde un véritable « vivre ensemble » depuis plusieurs siècles, n’importe quel individu peut décider de ce qui est illégal ou non concernant l’expression publique, en contribuant à provoquer la faillite d’entreprises médiatiques dont il ne partage pas les idées politiques.
    Le menu propose un tutoriel afin « d’exclure une annonce d’un site ciblé ».
    Avec l’entreprise/annonceur concernée, le contact se fait donc par un tweet prédéfini, suivant la consigne du tweet épinglé sur le compte de Sleeping Giants :

    « Votre campagne publicitaire apparaît sur le site Boulevard Voltaire qui promeut fake news et idées sexiste/racisteCela ne correspond pas à vos valeurs ?Pas de soucis il vous suffit d'un clic pour le retirer de votre listing »

    Et quand un annonceur, sous la pression, de peur de perdre des clients, accède à l’injonction, cela se termine ainsi, toujours sur twitter :

    « CONFIRMÉ Depuis plus de 110 ans en France, @SwissLife_Fr construit l’avenir sur la solidité. Le respect de tous leurs client.e.s et employé.e.s, la neutralité et expertise sont à la base de la qualité de l’assurance qu'ils fournissent. »

    Sleeping Giants est clairement une opération militante menée par des activistes.
    Exactement le type d’opération qui bénéficiera de la loi Avia, laquelle favorise les groupes organisés spécifiquement pour détruire la visibilité de leurs adversaires politiques.
    Des soutiens de la presse de grand chemin
    Les Sleeping Giants reçoivent le soutien de médias officiels, au nombre desquels : BFM, Slate, Télérama, Les Inrocks, Médiapart, Le Monde, L’Expansion, etc…
    France Inter en pointe
    L’exemple le plus clair de soutien à l’action d’activistes, est (surprenant ?) venu de France Inter.
    Le 12 août 2019, la radio publique, censée être attachée à la liberté d’expression comme à l’Etat de droit, évoquant l’action d’un « collectif de citoyens », comprendre des personnes membres du « camp du Bien », écrit que leur but est de « prévenir les annonceurs que leurs publicités arrivent sur des sites d’extrême droite ».
    L’émission est à la gloire des activistes et clairement délatrice de Boulevard Voltaire, média initialement fondé par Robert Ménard.
    France Inter prend clairement parti pour cette initiative « citoyenne », forcément citoyenne.
    Presse officielle, médias publics, pouvoir politique par le biais de la loi, activistes et simples citoyens unis : tout le politiquement correct s’organise afin de « lutter » contre toute opposition.
    L’enjeu ?
    Le contrôle de la parole publique, de la vérité et, de là, de ce qui peut et doit être pensé.
    Plus de tribunaux, plus de droit, plus de séparation des pouvoirs mais des autodafés.
    Préparez vos extincteurs.
  • « Conglomérat de sous-merdes », « Salafistes » : Marlène Schiappa dérape à nouveau sur la Manif Pour Tous

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    POUR LE « DÉBAT SEREIN ET APAISÉ » : C’EST ENCORE RATÉ !

    Marlène Schiappa récidive et dérape à nouveau en « likant » un tweet odieux. Un comportement indigne d’une ministre de la République. Le mouvement demande des excuses sans délai.

    Au surlendemain de la 1ère manifestation contre la PMA sans père et la GPA qui a rassemblé des centaines de milliers de manifestants, la Secrétaire d’Etat à l’égalité Femme-Homme a « liké » sur Twitter un message d’un certain M. Alex Dimeck-Ghione, s’adressant à La Manif Pour Tous et la qualifiant de « conglomérat de sous-merdes, pas même bonnes à faire pousser des champignons. Vous êtes de la même engeance que les salafistes, et devez être considérés avec la même crainte. » (Sourcecopie d’écran ci-après)

    Ces propos sont graves. Il est plus grave encore qu’un membre du gouvernement les soutienne ainsi publiquement, avec la mention « j’aime ». Notre pays a été frappé par le terrorisme islamiste à de multiples reprises au cours de dernières années et il y a quelques jours encore au cœur même de Paris. Faire un amalgame odieux entre le terrorisme et la foule de manifestants rassemblés pour défendre le droit des enfants à ne pas être volontairement privés de père est indigne d’un membre du gouvernement. Cet amalgame est doublé d’une insulte caractérisée : « sous-merdes ».

    Comment un membre du gouvernement peut-il soutenir et souscrire à de tels propos qui, tout à la fois, insultent les sympathisants de La Manif Pour Tous et relativisent le terrorisme islamiste ? Alors que le Président de la République avait appelé à un « débat serein et apaisé » sur les questions de bioéthique, l’attitude de Marlène Schiappa est une fois de plus à l’opposé.

    La Secrétaire d’Etat n’en est pas à son premier dérapage. En février dernier, elle avait évoqué des « convergences idéologiques » entre La Manif pour tous et les « terroristes islamistes » dans une interview à l’hebdomadaire Valeurs Actuelles. Après une demande répétée de La Manif Pour Tous et l’annonce d’une saisine de la Cour de Justice de la République, Marlène Schiappa avait présenté ses excuses dans un communiqué, affirmant que « depuis près de deux ans au gouvernement », « [elle] défend aussi (…) une forme de bienveillance dans le débat d’idées » et qu’« [elle souhaite] depuis le début de [ses] missions [s’adresser] à tout le monde, sans sectarisme. » Force est de constater qu’elle agit en réalité à l’inverse.

    Copie d’écran du tweet du 8 octobre à de M. Alex Dimeck-Ghione, Président du centre LGBT du Mans,
    liké par la Secrétaire d’Etat Marlène Schiappa

    « Nous attendons de nouveau des excuses car on ne peut laisser passer ces amalgames scandaleux et ces insultes visant des centaines de milliers de personnes » souligne Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. « La manifestation de dimanche s’est déroulée dans un climat paisible, ce qui est notable compte tenu du climat ambiant et des violences à déplorer dans tant de manifestations depuis le début de ce quinquennat » précise-t-elle.

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  • Pierre Yves Rougeyron Entretien d'actualité septembre 2 Brexit - Trump - Greta