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France et politique française - Page 1882

  • Chronique de la France algérienne

    Chronique de la France algérienne

    A quelques minutes de la finale de la coupe d’Afrique, un homme “de type maghrébin” a roué de coups un enseignant guinéen après l’avoir traité de “sale noir”. A Rouen.

    Mamoudou Barry, enseignant-chercheur guinéen de 31 ans, a été passé à tabac à Canteleu et a succombé à ses blessures. Âgé de 31 ans, marié et père d’une fille de 2 ans, le jeune chercheur aurait d’abord été pointé du doigt par son agresseur, à la hauteur d’un arrêt de bus, alors qu’il rentrait chez lui en voiture avec son épouse :

    ‘Vous les sales noirs, on va vous niquer ce soir’ ».

    Mamoudou Barry est alors descendu de sa voiture pour demander des explications à l’homme qui l’interpellait. Ce dernier l’aurait alors roué de coups. C’est au quatrième coup qu’il est tombé sur la nuque.

    A Paris, les Champs-Elysées ont été envahis :

    Des supporters algériens fêtent la victoire de leur équipe, en France, avec des masques de Ben Laden… :

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  • Le tour de France, c’est politique

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    Le billet de Patrick Parment

    Contrairement aux apparences, le tour de France cycliste est un événement éminemment politique. Parce qu’il est d’abord une manifestation européenne, gauloise et franchouillarde. Parce qu’il est un regard géographique sur la France des champs et des campagnes. Par ce qu’il est depuis que la télévision en a fait une émission phare, un regard inégalé sur le paysage français et son patrimoine et qui en appelle à ces générations de Gaulois qui ont fait de notre pays ce qu’il est encore aujourd’hui.

    C’est-à-dire tout le contraire de ce monde d’immigrés qui n’ont rien à voir avec cette histoire. Si la France de demain devait succomber sous le poids démographique des extra-européens, alors c’en sera bel et bien fini de notre beau pays étant donné que ces « populations » ne seront jamais à la hauteur de notre histoire. Les fossés sont non pas raciaux mais culturels.

    Car ce que se garde bien de nous montrer ces reportages épurés d’images dérangeants, c’est que la plupart de ces villes que traverse le tour de France sont gangrenées par une immigration qui rend villes et villages de moins en moins sécures et bien souvent en proie à l’islamisation.

    Là où le tour de France est aussi éminemment politique, c’est dans les populations qui viennent applaudir les coureurs où l’on note surtout l’absence de ces populations exogènes issues pour la plupart du Maghreb, d’Afrique subsaharienne ou des races dérivées du continent indien.

    Eminemment politique encore ces foules franchouillardes qui sont aussi celle des Gilets jaunes, de tous ces mouvements qualifiés d’extrême droite sans compter le gros des troupes du Rassemblement national. Bref, tous ces réfractaires d’une France qu’on voudrait nous faire croire multiraciale quand ces « minorités » demeurent encore minoritaires ! Mais, la bien-pensance à l’œuvre dans les médias est aussi et surtout celle du parti pro-immigrés, d’une anti-France au masochisme malsain.  

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  • De la pluralité et de la fracture des droites

    6a00d8341c715453ef0240a4bdd250200b-320wi.jpgEn cette année 2019, le recul des forces socialistes et, plus généralement de gauche s'est manifesté presque partout. En Europe, le centre droit a pu ainsi engranger certains succès. En France, en revanche, il marque le pas. Le triste résultat de la liste Bellamy aux élections européennes du 26 mai ne saurait être considéré à cet égard, comme un simple accident de parcours.

    On peut considérer que le fractionnement des diverses oppositions et leur cloisonnement portent une grande part de responsabilité dans cet échec.

    Depuis quelque temps, pourtant, le concept d'un rapprochement au sein des forces de droite revient sur l'eau. Disons d'emblée notre sentiment : un tel concept peut être considéré à la fois comme l'un des plus utiles au redressement du pays ; cependant sa réalisation concrète se heurte aux plus évidentes objections.

    Repartons de la définition de la vie par Charcot : l'ensemble des forces qui s'opposent à la mort. Ainsi, que l'Utopie s'investisse dans ce qu'elle appelait, hier la construction du Socialisme, ou qu'elle prétende, aujourd'hui, vouloir sauver la Planète, l'ensemble des forces de conservation, qui contestent, à des degrés divers, ces dangereuses lubies, forme un tout.

    Par convention, depuis les États généraux de 1789, on fait siéger les uns à gauche, les autres à droite. Il faut certes une dose d'ingénuité pour préempter l'unité de naissance, la solidarité au sens physique du mot, le monolithisme des deux blocs ainsi définis.

    La politologie française, s'agissant des forces de droite, a été grandement influencée, depuis la publication de la thèse de René Rémond en 1954[1] par sa distinction fameuse entre légitimistes, orléanistes et bonapartistes.

    On la tient presque pour rigoureusement scientifique.

    Sans nier sa part de vérité, on ne peut cependant pas faire abstraction de la personnalité et des préjugés de l'inventeur de cette classification et de cet étiquetage. Toute sa vie, il a appartenu. à la famille démocrate-chrétienne. Or, le rapport de celle-ci aux équilibres politiques est toujours demeuré assez curieux et ambigu. Cette partie des catholiques, du moins en France, s’est employée, par exemple, de façon constante, à se démarquer des héritages conservateurs.

    En particulier, dans les années 1950, le MRP, qui en constituait l'expression partisane, vivait dans une contradiction permanente.

    D'une part, force centrale de la Quatrième république, il est dénoncé, par les communistes et par les amis de l'URSS, alors pesamment influents, comme Machine à Ramasser les Pétainistes.

    D'autre part, issus de la Résistance, et pour la plupart disciples directs ou continuateurs du Sillon de Marc Sangnier, ses cadres exècrent l'héritage des gouvernements de Vichy, et en particulier de tout ce qui se rapproche des idées maurrassiennes encore très prégnantes dans les cercles de droite.

    Secrétaire général de la Jeunesse Étudiante Chrétienne en 1943, Rémond, devenu une sommité universitaire, restera fidèle à ses convictions. Ses adversaires pourraient parler de parti pris. Il persista dans sa thèse jusqu'à son dernier souffle, survenu en 2007, après avoir rédigé en 2005 une mise à jour de son livre fondateur.

    L'année de sa première publication, 1954, ne fut pas seulement celle de Dien Bien Phu en Indochine et de la Toussaint rouge en Algérie. Ces événements provoquèrent l'éclatement et aggravèrent le déclin de la démocratie chrétienne en Métropole. Georges Bidault, pour ne citer qu'un exemple, devint alors un des principaux hommes politiques engagés dans la défense de l'Empire en Afrique du nord[2]. Mais la même période vit également s'affirmer de façon nette et profonde une coupure, durable depuis lors dans tout le spectre politique français. Elle s’est concrétisée par le vote du 30 août 1954, où la chambre des députés rejeta le projet d'une Communauté européenne de Défense, porté jusque-là par le gouvernement de Paris. Acmé du débat européen, associée aux idées de Robert Schuman, cette ligne de partage ne peut pas être négligée. Elle compte au moins autant que les vieilles étiquettes collées, sur les opinions de ses adversaires, par Rémond.

    Car, du haut de sa chaire, et de son apparente objectivité, le politologue catholique de gauche n'a cessé de les poursuivre de son hostilité recuite.

    Sa classification est devenue traditionnelle. Elle peut se révéler utile à nous éclairer. Mais elle ne doit pas nous aveugler.

    La tradition qu'il qualifie de bonapartiste remonte, en réalité, au boulangisme. Elle s'inscrit dans la popularité du thème de la Revanche, qui recrute dans les rangs du gambettisme, du blanquisme, dans le peuple de Paris. Elle culmine avec l'apparition en 1888 du journal La Cocarde. Elle s'agite contre le scandale de Panama. Un Maurice Barrès, qui le dirigea au milieu des années 1890, lui conférera un relatif prestige et connaîtra une considérable descendance littéraire. Tirage énorme : 400 000 exemplaires. Elle se continue, après 1918 avec la plupart des ligues. Aujourd'hui on pourrait, sans être démenti lui rattacher les souverainistes.

    Si l'on souhaite rattacher ces derniers au "bonapartisme" on se souviendra qu'un Philippe Séguin a consacré en 1990 un livre à la réhabilitation de Napoléon III sous le titre "Louis Napoléon le Grand"[3]

    Reste le problème qu'au cours du XXe siècle l'école nationaliste dominante, celle de l'Action française, exècre explicitement et l'héritage napoléonien. Maurras, Bainville, Daudet ont chacun consacré un livre[4] à la réfutation officielle du mythe.

    Ce que l'on peut donc seulement en dire c'est qu'il existe, à droite, un courant plus particulièrement attaché à la fonction militaire de l'État.

    On peut qualifier d'orléaniste une seconde tradition assurément moins militante que la précédente. Elle incarne les options politiques, assimilées au centre droit, qui privilégient la prospérité économique.

    Le premier problème de cet étiquetage-là, est qu'il ne s'intéresse plus, depuis longtemps, à la cause des princes d'Orléans.

    Ceux-ci, pourtant, n'ont jamais cessé de s'investir dans les combats politiques, cherchant ailleurs leurs partisans.

    Et surtout, jamais les grands intérêts économiques n'ont vraiment encouragé les orientations politiques droitières mais bien plutôt le centre-gauche. Dans la fameuse thèse historique de Beau de Loménie sur les dynasties bourgeoises, les présentant comme la quintessence de l'orléanisme historique, il est constaté que les grands habiles ont toujours misé sur les dérivatifs, ce que nous appelons aujourd'hui les réformes sociétales[5].

    Quant à la plus authentique des traditions de droite, la qualifier simplement de légitimiste fait quand même bon marché de l'histoire des royalistes avant 1 830. Son apport ultérieur à la question, qui divisa les monarchistes français entre 1830 et 1883, ne saurait figer un tel courant d'opinion. Certes, sous la monarchie de Juillet, des figures comme celle d'Alban de Villeneuve-Bargemont ou Armand de Melun se rattachent au parti légitimiste de l'époque. Mais on perd très vite la trace du choix dynastique chez leurs successeurs, dont l'audience reste considérable. Les idées sociales d'Albert de Mun (1841-1914) et de René de La Tour du Pin (1834-1924) ont inspiré les encycliques fondamentales publiées par l'Église romaine à partir de 1891, et jusqu'à celle de Jean-Paul II, Centesimus Annus de 1991. L'apport décisif d'un Frédéric Le Play (1806-1882) à l'élaboration scientifique de la sociologie, démontrant le rôle de la famille comme cellule fondamentale de la société peut difficilement être réduit à un mot comme légitimisme[6].

    Défendre, aujourd'hui, la patrie et l'entreprise, le métier et la propriété, l'enracinement et la région, les libertés et la famille, mais aussi l'ordre, ce ne sont pas des thèmes contradictoires.

    Cela correspond à des fonctions sociales, à la fois différentes et solidaires. Cela implique au contraire de ce que sous-entend la thèse de Rémond, des sensibilités tout à fait complémentaires. C'est être, d'une manière ou d'une autre, un homme de droite.

    Lorsque Chateaubriand, associé en 1818 à Villèle[7], contribue à la création de la revue le Conservateur, mot qu'il invente alors, que les Anglais reprendront en 1832, les Allemands en 1927, les Américains en 1953, etc. il se réfère au roi, à la charte et aux honnêtes gens. C'était il y a un siècle.

    L'entente de ces diverses droites conditionne, aujourd'hui comme hier, le salut commun.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] La première édition est publiée en 1954 aux éditions Aubier sous le titre La Droite en France de 1815 à nos jours. Continuité et diversité d'une tradition politique. Réédité et mise à jour en 2005.
    [2] Dans son livre "Algérie l'oiseau aux ailes coupées" (ed. Table Ronde, 1958, 254 pages) il dénonce l'indépendance accordée en 1954 aux deux protectorat voisins Tunisie et Maroc.
    [3] L'ouvrage a été publié chez Grasset. Son titre répond aux poèmes satiriques des Châtiments rédigés à Jersey en 1852, où Victor Hugo le fustige en l'appelant Napoléon le Petit..
    [4] cf. "Napoléon avec la France ou contre la France" Maurras 1932 sur le site Gallica ; Bainville "Napoléon" publié en 1931, réédité par Gallimard avec une préface de Patrice Guenifey en 2005 ; Léon Daudet Deux idoles sanguinaires, La Révolution et son fils Bonaparte, sur le site Gallica ; réédité par Albin Michel.
    [5] En ce sens le macronisme apparu en 2017 pourrait être considéré comme son le dernier avatar.
    [6] Terme compris aujourd'hui par surcroît dans un sens très différent du XIXe siècle, presque contradictoire...
    [7] Leur rupture en 1824 est sans doute une des causes des catastrophes ultérieures.

    https://www.insolent.fr/

  • Nadine Morano traitée de raciste pour avoir dit ce qu’elle pensait de Sibeth Ndiaye

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    Nadine Morano n’a pas la langue dans sa poche. C’est, d’une certaine façon, ce qui fait son charme et la distingue d’autres politiciens, dont les seules compétences sont de savoir manier la langue de bois. En 2015, avant les élections régionales, elle avait créé le scandale en déclarant : « Nous sommes un pays judéo-chrétien, le général de Gaulle le disait, de race blanche, qui accueille des personnes étrangères. » Aujourd’hui, on lui reproche de s’en prendre aux origines de Sibeth Ndiaye, la porte-parole du gouvernement.

    À l’origine, une petite phrase de Sibeth Ndiaye, qui avait déclaré, après la démission de François de Rugy : « Nous avons conscience que nos concitoyens ne mangent pas du homard tous les jours, bien souvent c’est plutôt des kebabs. » Ce qui a provoqué cette réaction de Nadine Morano : « Outrée mais habituée à entendre ses inepties débitées souvent en tenue de cirque. » Voilà qu’elle l’attaque aussi sur son style vestimentaire ! Il n’en fallait pas plus pour que la majorité se déchaîne contre le « racisme » supposé de la députée européenne et lui assène une volée de bois vert.

    Marlène Schiappa sort ses griffes pour défendre sa collègue du gouvernement : « Vive Sibeth Ndiaye, ses compétences, son panache, son parler-vrai, rôle modèle pour des milliers de filles ! »Gilles Le Gendre, président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, menace l’impertinente : « Les propos ouvertement racistes de Nadine Morano sont indignes d’une responsable politique. Vous devez les retirer et présenter vos excuses, sous peine de poursuites. » Qu’elle se le tienne pour dit ! Mais la “langue de vipère” de répliquer : « Il ne faut rien dire parce qu’elle est noire, c’est ça ? Et supporter ses inepties répétées ! Elle représente la France et pas sa seule petite personne ! »

    Laissons à nos lecteurs le soin de prendre parti dans cette querelle. Ce que personne ne peut contester, c’est que Sibeth Ndiaye a vécu dans un milieu indépendantiste, comme elle l’atteste dans un entretien au magazine Elle : « Mon enfance s’est nourrie du récit de la lutte pour les indépendances à laquelle mes parents, étudiants venus des colonies, ont participé. » Elle a bénéficié de l’enseignement dispensé en France par les affreux « colonialistes », tout en militant à l’UNEF, la voie royale pour se lancer dans une carrière politique, puis au PS, où elle participa, avec Stanislas Guerini et Benjamin Griveaux, à la campagne avortée de Dominique Strauss-Kahn.

    Elle soutint, ensuite, Martine Aubry, fut chargée de mission « Presse et communication » au cabinet d’Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, poste qu’elle conserva quand un certain Emmanuel Macron lui succéda. Et c’est ainsi que tout a commencé. Les mauvaises langues diront qu’elle est opportuniste. Ce qu’il y a de sûr, c’est qu’elle a de la suite dans les idées. Nous ne nous aventurerons pas, pour ne pas subir le même opprobre que Nadine Morano, à nous étonner qu’à peine naturalisée (elle le fut en 2016), elle connut cette ascension.

    Gérald Darmanin, dont le parcours politique n’est pas exempt de retournements de veste, a peut-être vu juste quand il commente : « Qu’est-ce qui gêne Nadine Morano ? Son style vestimentaire ou que Sibeth Ndiaye soit Française, et pire encore, Ministre de la République ? » Des goûts et des couleurs, on peut toujours discuter, mais il est des choix qui sont significatifs. Quant à son accession à des responsabilités gouvernementales, si tôt après sa naturalisation, elle peut légitimement surprendre, même si elle répond aux penchants multiculturels de notre Président. Qui se ressemble s’assemble.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/nadine-morano-traitee-de-raciste-pour-avoir-dit-ce-quelle-pensait-de-sibeth-ndiaye/

  • Supporters algériens en France : Marine Le Pen demande la déchéance de nationalité

    marine.jpgLa présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, s’est à nouveau exprimée au sujet des incidents provoqués par des supporters de l’équipe nationale algérienne en France. Le Pen a demandé que ces « actes barbares » soient punis.
    S’exprimant dans une vidéo publiée sur son compte Twitter, Marine Le Pen, a tenu à souligner « que ce qui se passe en France à l’occasion de ces matchs [de l’Algérie] est profondément choquant et inquiétant ».
    Afin de mettre fin à cette situation, Le Pen suggère « un arrêt immédiat de toute nouvelle immigration et un changement strict de politique ». Pour elle, la France doit expulser « les fauteurs de troubles étrangers. Les binationaux qui se livrent à des actes anti-français doivent être déchus de leurs nationalités et renvoyés ».

  • Stéphanie Bignon décrira l’état des communes au seuil de 2020 et proposera une stratégie de reconquête lors de l’UDT du Pays Réel (16 au 18 août 2019)

    Stéphanie Bignon, experte en engins et bâtiments sous-marins, est par ailleurs présidente de Terre et Famille, agricultrice, embre du Conseil Scientifique de Civitas, et était jusqu’il y a quelques semaines adjointe au maire de sa commune.

    Elle interviendra lors de la deuxième université d’été du Pays Réel, du vendredi 16 au dimanche 18 août, près de Poitiers. Stéphanie Bignon décrira notamment l’état des communes au seuil des élections municipales de mars 2020 (la situation des grandes, moyennes et petites communes, leurs dislocation par le pouvoir central et par les partis maçonniques, la dépossession de compétences par les communautés de communes et intercommunalités) et proposera une stratégie de reconquête.

    Pour vous inscrire à cette université d’été et vous préparez avec soin à cet enjeu municipal, contactez le secrétariat dédié : 06 61 29 29 37 – udtcivitas@yahoo.com

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  • La niaiserie journalistique française

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    A propos, il reste quelques albums, Apocalypse Flamby d'Ignacecliquez là

    Lu sur Forum SI :

    CAN : L’ALGÉRIE GAGNE LA COUPE ET LA RÉPUBLIQUE HUMILIE LA NATION FRANÇAISE

    Le vendredi 19 juillet en fin de soirée, l'Algérie a gagné la Coupe d’Afrique des nations et des milliers de supporters algériens déchaînés ont immédiatement occupé les Champs-Elysées, de même qu’ils descendaient dans les rues d’autres grandes villes françaises, par exemple à Marseille.

    A l’heure où ces lignes sont écrites, soit le 20 juillet à 0 heure 10, aucun incident grave n’a encore été signalé. Mais le vrai problème n’est pas là. Il est que, alors que la République interdit aux Gilets jaunes, c’est-à-dire à des Français qui sont ici dans leur propre pays, de manifester sur les Champs-Elysées, elle laisse une population étrangère encercler l'Arc de triomphe, soi-disant pour « exprimer sa joie ».

    Tout ceci est scandaleusement immonde. Une fois de plus, la République montre à quel point elle déteste la France et les Français.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/07/20/la-niaiserie-journalistique-francaise-6165373.html

  • Loi Santé : vers la régularisation des médecins étrangers

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    La récente loi Santé s’est penchée sur le statut des médecins ayant obtenu leur diplôme hors de l’Union européenne. Ils seraient environ 4.000, et s’ils n’existaient pas, de nombreux hôpitaux auraient mis la clé sous la porte depuis longtemps.

    Officiellement interdits d’exercer en France, ces praticiens (parfois apatrides ou réfugiés) sont toutefois employés sous diverses étiquettes dans notre service public hospitalier, avec un double avantage pour celui-ci. Une précarité de statut proche du siège éjectable qui les oblige à accepter les sujétions les plus pénibles, et une rémunération proche de celle d’une aide-soignante : pour lui-même, l’État accommode toujours les règles qu’il impose au privé.

    Or, certains de ces médecins sont excellents, polyglottes parfois passés par les meilleurs services internationaux, avant que la situation politique de leurs pays ne les en chasse. D’autres ont reçu une formation réelle et validée, mais d’un niveau inférieur aux normes européennes. Certains, enfin, après quatre ou cinq ans d’études, ont purement et simplement acheté un coup de tampon à un fonctionnaire véreux et/ou auto-désigné à l’occasion d’un marasme politique.

    L’évaluation de leur réelle aptitude à prendre en charge notre santé a fait l’objet de divers systèmes successifs (commissions, examens, recertifications, stages, etc.) dont l’incohérence et le télescopage ont plongé certains contingents dans le vide juridique et des situations inextricables.

    C’est ce que que la loi Santé veut régulariser d’ici à la fin 2021, une commission (la dernière ?) allant être mise en place pour étudier leurs dossiers afin de certifier leurs niveaux de compétences et leur délivrer une autorisation d’exercice. Parfois à titre temporaire, le temps que la commission étudie leur dossier. Le cas échéant, un « parcours de consolidation des compétences » pourra être prescrit.

    Quant aux nouveaux arrivants de pays hors Union européenne, ils ne pourront exercer en France qu’après avoir passé un examen, appelé de liste A, ou avoir étudié dans des universités européennes.

    Mais comment les hôpitaux, déjà exsangues, financeront-ils l’augmentation de la masse salariale qui résultera inexorablement de ces dispositions ? C’est un autre dossier, et peut-être le plus épineux.

    Richard Hanlet

    https://www.bvoltaire.fr/lois-sante-vers-la-regularisation-des-medecins-etrangers/