
par Régis de Castelnau
Finalement, le spectacle donné par la bande de bricolos qui «gouvernent» la poignée de pays européens qualifiés de clownesque «coalition des volontaires» est absolument terrifiant.
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par Régis de Castelnau
Finalement, le spectacle donné par la bande de bricolos qui «gouvernent» la poignée de pays européens qualifiés de clownesque «coalition des volontaires» est absolument terrifiant.

Revoilà la thématique de la répartition des migrants : on parle bien des migrants originaires de la zone arabo-afro-musulmane évidemment, puisque n’a jamais été abordé le principe même d’une forme de répartition des Portugais, Espagnols et Italiens, venus en masse en France à une époque. Faire revenir sur le devant de la scène cette idée digne d’une dictature est l’aveu d’un constat d’échec, à la fois que ces gens se regroupent tous aux mêmes endroits, ce qui semble poser problème aux dirigeants, on se demande pourquoi d’ailleurs puisque ces gens sont vendus par la presse et la politique comme un « enrichissement ». On ne voit donc pas quel pourrait être le problème et pourquoi il faudrait envisager une répartition.

L’ouvrage est sorti officiellement le 7 mai et a immédiatement fait parler de lui en mettant en évidence des clivages quelque peu inhabituels.
Écrite par Charlotte Belaïch, journaliste à Libération, et Olivier Pérou, journaliste au Monde, cette enquête de deux ans se base sur plus de 200 interviews et témoignages concordants, sur des documents et des échanges écrits, et montre un parti qui fonctionne en mode autocratique, de manière souvent violente, et sur une logique de clan et d’exclusion.

A quelques encablures du sommet Choose-France, la grand-messe macroniste du « Nous sommes les plus attractifs », les bémols se multiplient de la part d’économistes qui semblent avoir décidé de ne plus se laisser bercer par les illusions de cette première place de l’attractivité en Europe. Oui, nous sommes toujours, en France, les plus attractifs pour les investisseurs. Oui, mais on compte les « projets » et pas du tout les réalisations, parce qu’entre les deux, il y a un monde. Les projets sont les illusions et les réalisations, bien en deçà des annonces. Second bémol : le solde des investissements : les entreprises françaises investissent plus à l’étranger que les étrangers n’investissent en France. Troisième bémol : le solde en terme d’emplois : non seulement les entreprises françaises créent à l’étranger des emplois qu’elles ne créent pas en France mais au solde des niveaux de compétences, nous sommes perdant, à importer de la main d’oeuvre sous qualifiée ou peu qualifiée, pour des emplois également peu qualifiés, pendant que nos travailleurs les plus qualifiés s’en vont. Quatrième bémol : l’ensemble de l’Europe est en régression en terme d’attractivité et la France reste dont en tête d’un groupe qui globalement descend. Et la tendance n’est pas bonne, au-delà de l’instantané flatteur mis en exergue par une presse dont tout le monde a bien compris qu’elle est aux ordres.

Alors que la proposition de loi sur les soins palliatifs fait l’unanimité, du moins dans son principe, tel n’est pas le cas de celle sur la fin de vie légalisant l’euthanasie et le suicide assisté.
Certains s'étonnent aujourd'hui du vide sidéral de l'intervention présidentielle télévisée de ce 13 mai 2025. Mesurons-en l'immense contradiction.
La chronique de Philippe Randa
Les agressions de pompiers défraient la chronique de la semaine dernière ! Auparavant, c’étaient d’autres agressions, plus ou moins dénoncées suivant l’origine des victimes et plus encore celle des agresseurs. Ainsi va notre doulce France, Emmanuel Macron regnant, tandis que deux ministres de l’actuel gouvernement se font particulièrement remarquer.

C’est une première. Le livre de François Bousquet lève le tabou médiatique et universitaire sur le racisme antiblanc. Une enquête à contre-courant qui fouille les non-dits d’un demi-siècle de déni officiel. Témoignages bouleversants et scènes de la vie ordinaire passées sous silence par les médias : l’auteur démonte l’aveuglement volontaire des élites qui, depuis quarante ans, récitent la fable d’un racisme à sens unique. Entretien-choc publié sur le site « Contre-poison » que nous republions ici.