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Limoges, Béziers, Nîmes : encore des flammes, encore des mortiers, encore des policiers et des pompiers pris pour cibles. Le même scénario usé jusqu’à la corde : des « jeunes » — toujours les mêmes, mais qu’on refuse de nommer — brûlent, pillent, agressent. Et l’État, tel un géant désossé, lève les bras au ciel, bredouille quelques mots creux sur « l’apaisement », envoie deux CRS et un tweet ministériel avant de retourner à son impuissance bien huilée.
L’INSEE publie comme chaque année les chiffres de l’État Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900, (fichiers téléchargeables ici).
Pour la 10ème année consécutive, Fdesouche publie en exclusivité le baromètre des naissances enregistrées en France sous prénom arabo-musulman.
Si l’on compare les bilans du méchant Milei le massacreur à la tronçonneuse des dépenses publiques et celui de notre sainteté Macron, Mozart de la finance et de la faillite, il n’y a pas de quoi se réjouir pour nous Français.
L’Argentine connaîtra la seconde croissance la plus forte au monde en 2025 avec un taux de 7,6 % ! Rien que ça.
Selon les informations d’Actu17, une fillette de 4 ans a été gravement blessée après avoir été percutée par deux hommes qui étaient sur des motocross lors d’un rodéo urbain à Bordères-sur-l’Échez (Hautes-Pyrénées; 5400 hab.).
Les idéologues gauchistes nous parlent des charmes du vivre-ensemble, de l’enrichissement multiculturel et bien sûr qualifient de « racistes » et de « fachos » les gens comme nous qui préférons l’entre-soi, où nous sommes très très largement majoritaires, nous les Blancs de culture catholique, même si notre ouverture peut accepter, en nombre très limité, et à condition qu’ils acceptent nos lois, des personnes d’une autre couleur, issues d’une autre culture, d’une autre religion et d’une autre civilisation.
Ce n’est pas du France « bashing » d’ailleurs, je ne suis pas parti me planquer à Dubaï pour ne pas payer les impôts en France. Non, je suis modestement en Normandie, et côté climat, ce n’est franchement pas Dubaï, même si le calva peut réchauffer les cœurs de même que les soirées devant le feu du poêle à bois.
Vous l’avez compris, l’objectif ici et de « réveiller » un peu les consciences françaises endormies.
« Rien à péter, de leur rentabilité », balançait Sandrine Rousseau à un média d’extrême gauche, comme l’a relevé BV. La pétition lancée par une étudiante sur le site de l’Assemblée nationale montre que la députée verte n’est pas aussi isolée qu’on le croit. Cette pétition a largement passé le cap du million de signataire, ce lundi soir.
Dans l’Indopacifique, les graves risques d’intégrité territoriale française mettent en évidence que le pouvoir n’est pas sur une ligne politique nationale. Loin de s’opposer à nos ennemis extérieurs pour défendre l’unité française, le pouvoir préfère désorganiser nos régions outre-mer.
Le terme de guerre civile revient en boucle pour décrire les phénomènes, pas nouveaux mais en multiplication, de violence sur la voie publique. Il faut faire le tri entre les violences de type territorial, qui consistent pour des « racailles », qui sont en réalité des bandes ethnico-religieuses qui interdisent l’accès de leur quartier à la polie, c’est à dire qui refusent la République et sa loi, au profit de la leur, dans laquelle le meurtre du dhimmi n’est pas puni. Mais il existe aussi une composante purement délinquante sur fond de trafic de drogue et de rivalités entre « entreprises » locales. Les deux sont en fait liées. La nouveauté est que cela quitte les quartiers et se propage aux villes moyennes, comme Nîmes ou Limoges très récemment et bien d’autres, encore, plus petites même. Le tout permis par une certaine retenue des forces de l’ordre qui savent que la justice cherche avec plus d’opiniâtreté, à savoir si le tir du policier était justifié, que savoir si le délinquant était bien en état de flagrant délit. Objectivement, l’arsenal juridique est d’une extraordinaire clémence avec les voyous qui se savent relativement à l’abri des foudres de la République qu’ils combattent.
Si les Français se chamaillent souvent et sur à peu près tous les sujets, il en est un qui, actuellement, recueille un large consensus : 80% d’entre eux veulent un gel (voire une baisse) des dépenses de l’État et la proposition de budget Bayrou ne fait pas l’affaire. D’ailleurs, pour 78% des Français, Bayrou lui-même ne fait pas non plus l’affaire.