
Dès le dimanche soir, diverses voix me firent comprendre que Gérald Darmanin avait mis toutes ses forces dans la conquête de Beauvau. On m’indiquait qu’il menaçait de quitter le gouvernement s’il ne l’avait pas. Pour ma part, n’ayant pas ce désir intime, je décidai de m’en remettre à la décision du chef de l’Etat.