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France et politique française - Page 2036

  • Application de loi contre les “fausses nouvelles” : la censure en marche ?

    Application de loi contre les “fausses nouvelles” : la censure en marche ?

    Décriée lorsque Poutine fait voter le même type de loi en Russie, la loi contre les fausses nouvelles est passée comme une lettre à la poste en France. Si aucun média dominant ne la critique, c’est justement parce que ce sont les médias alternatifs ou de réinformation qui vont en être les victimes. Vous devrez donc compter sur France Inter, France info, France 2, le Monde etc pour vous informer…

    Ce post a vocation à ouvrir le débat notamment en raison du fait que cette loi va s’appliquer à l’occasion de la campagne électorale des européennes et des premiers signes inquiétants apparaissent. Ainsi, Vivien Hoch vient de recevoir ce message de Google :

    Vivien Hoch
     
    @vivien_hoch

    Reçu à l'instant de Google. Et bientôt le gouvernement va couper internet pendant les élections ?
    Comme ça il n'y aura que les canaux officiels radio, télé qui parlent de politique ? 

     
    144 personnes parlent à ce sujet
     
     Ce sont visiblement les prémices de l’application de la loi votée en France :

    Fin décembre, la loi contre les « fake news » a été publiée au Journal officiel. Le texte prévoit de nouvelles obligations pour les plateformes de diffusion, en particulier durant les trois mois précédents des élections générales (présidentielles, législatives, européennes, etc.).

    Une transparence devra être assurée par les opérateurs, du moins ceux dépassant un seuil de connexion. Ils devront alors révéler à chaque utilisateur « une information loyale, claire et transparente » sur l’identité de ceux qui ont payé pour promouvoir « des contenus d’information se rattachant à un débat d’intérêt général » et sur l’utilisation des données personnelles.

    En outre, ils rendront public le montant des rémunérations reçues en contrepartie de cette promotion « lorsque leur montant est supérieur à un seuil déterminé ».

    Facebook, Twitter et Youtube vont être directement concernés et c’est visiblement le cas pour le compte Twitter de Vivien Hoch

    Déjà, le texte fixe à cinq millions de visiteurs uniques par mois et par plateforme, le seuil de connexion au-delà duquel les obligations de transparence s’imposent. Un tel niveau devrait nécessairement concerner Facebook ou Twitter, Youtube/Google ou Dailymotion, et même un grand nombre d’acteurs ayant une certaine popularité.

    Ce qui est surprenant et inquiétant dans le message reçu par Vivien Hoch, c’est que Google demande “d’interrompre les annonces faisant la promotion de contenus d’information se rattachant à un débat d’intérêt général“. Et ce jusqu’à la fin des européennes. Il semblerait qu’il s’agisse d’une interprétation abusive d’une loi délicate à appliquer :

    Le régime est limité dans le temps. De même, la fausse information devra concerner des allégations ou imputations qui « ne recouvrent ni les opinions, ni les parodies, ni les inexactitudes partielles ou les simples exagérations », a prévenu l’institution. Le « lol » sur Twitter devrait donc être sauf. En outre, ces fausses informations seront « celles dont il est possible de démontrer la fausseté de manière objective ».

    Enfin, poursuivent les « Sages », « seule la diffusion de telles allégations ou imputations répondant à trois conditions cumulatives peut être mise en cause : elle doit être artificielle ou automatisée, massive et délibérée».

    En dépit de ces précautions supplémentaires, le Conseil constitutionnel a flairé un risque d’abus. Pour protéger la liberté d’expression, ce régime ne devra être activité qu’en présence de fausses informations dont le « caractère inexact ou trompeur est manifeste ». « Il en est de même, a-t-il ajouté dans sa réserve, pour le risque d’altération de la sincérité du scrutin, qui doit également être manifeste ».

    (…)

    Rappelons que le Conseil constitutionnel a quelque peu raboté la portée de l’expression « contenus d’information se rattachant à un débat d’intérêt général ». Ces informations ne sont que celles en « lien avec la campagne électorale ». Il appartiendra donc à chaque plateforme de déterminer celles en lien et celles qui ne le sont pas.

    Sous cette réserve interprétative, imposée à l’ensemble des institutions, il a jugé ces obligations conformes aux libertés et droits fondamentaux puisqu’elles visent à « fournir aux citoyens les moyens d’apprécier la valeur ou la portée de l’information ainsi promue et contribue par là même à la clarté du débat électoral ».

    Le décret notifié à Bruxelles est censé être applicable à partir du 15 avril. Il devrait ainsi s’appliquer lors des prochaines élections européennes, prévues entre les 23 et 26 mai 2019.

    A suivre de près…

    https://www.lesalonbeige.fr/application-de-loi-contre-les-fausses-nouvelles-la-censure-en-marche/

  • Samedi prochain, 30 mars, à Rungis : 3e Fête du Pays réel organisée par Civitas

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    Source cliquez ici

    La 3e Fête du Pays Réel se déroulera le samedi 30 mars 2019, de 10h à 18h, à l’Espace Jean Monnet à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Une fête du Pays réel ? Qu’est-ce donc ? C’est la volonté, durant toute une journée, de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale.

    D’une part, de nombreux stands illustreront l’histoire, la foi, les coutumes, le patrimoine, la culture, le savoir-faire, la gastronomie et le dynamisme de ce Pays réel : éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs rivaliseront de talents et de richesses à vous faire découvrir. Sans oublier, bien sûr, la très longue liste d’auteurs pour petits et grands qui viendront dédicacer leurs livres ou bandes dessinées.

    Parmi les nombreux exposants inscrits : Action Familiale et Scolaire – ADMP – Artisanat Monastique – Art Terre Europa (peinture sur porcelaine, gravure sur bois, bijoux, artisanat médiéval) – Association Catholique des Infirmières et Médecins (ACIM) – Association de Catholiques du Val d’Oise – Association Missions – Beaverhill (produits bio et naturels) – Boutique de la Trinité – Brasserie Artisanale du Rhin – Caleana Major Art (pyrogravure, dessin et broderie) – Capucins de Morgon – Centre Grégorien Saint Pie X – Cercle National des Combattants (CNC) – Chœur Montjoie Saint-Denis – Civitas – Clémence Meynet (illustratrice) – Compagnie de la Sainte Croix – Cuirs de Caelis (maroquinier de tradition) – Deus Vult – Diffusia (livres et CD) – Dominicains d’Avrillé – Editions Apopsix – Editions Charlemagne – Editions Francephi – Editions Kontre Kulture – Editions Le Retour aux Sources – Editions Librim Concept –  Editions Saint Remi – Editions Reynald Secher – Editions Sel de la Terre – Editions Sigest – Entreprise Lussiaud – Formes et Ombres (objets médiévaux) – Ignace (dessinateur) – Kamouflages.com (matériel de sécurité) – Guillaume Le Baube (artiste peintre) – Librairie Française – Médias Presse Info / Médias Catholique Info – Ordre des Chevaliers de Notre-Dame – Patrimoine et Renaissance (tapisseries) – Parti de la France – Pinatel (dessinateur) – Réseau des Elus Locaux Catholiques – Rivarol – Rosa Mystica – SINJO – SOS Mamans – SOS Tout Petits – Synthèse nationale, Jean-François Talvez (photographe d’art), UNEC…

    Parmi les auteurs annoncés venant dédicacer : Frédéric Andreu, Gérard Bedel, François Belliot, Stéphanie Bignon, Franck Bouscau, Anne Brassié, Valérie Bugault, Lorris Chevalier, M. l’ambassadeur Henry Cuny, Lounès Darbois, Dr Nicole Delépine, Dr Jean-Pierre Dickès, Dr Xavier Dor, Bernard Gantois, Françoise Gondrée, Solange Graff-Triguel, Pierre Hillard, Roger Holeindre, Erwan Kerivel, Jean-Yves Le Gallou, Johan Livernette, Lysistrata, Jean-Claude Martinez, Claude Meunier-Berthelot, Philippe Prévost, Michèle Reboul, Catherine Rouvier, Philippe Randa, Pierre-Joseph Rubino, Reynald Secher, Marion Sigaut, Dominique Tassot, Ernest Kakou Tigori, Claude Timmerman, Hervé Ryssen, Jean-Michel Vernochet, Hristo Xiep…

    D’autre part, tout au long de la journée, des intervenants de qualité se succèderont à la tribune dans une salle réservée à cet usage. Après un mot spirituel de l’abbé Xavier Beauvais et un appel aux militants que prononcera Alexandre Gabriac, s’ouvrira le premier colloque organisé par le Conseil Scientifique de Civitas dont le thème général sera “Grand remplacement : mythe ou réalité” et qui sera décliné par les interventions suivantes :

    • Ouverture du Colloque par Hugues Petit, Maître de Conférences en Histoire du droit et des institutions, président du Conseil Scientifique de Civitas

    • Le grand remplacement, une réalité démographique ? Claude Timmerman, biologiste, statisticien, spécialiste de la génétique des populations

    • L’école « républicaine » contre la France, Claude Meunier-Berthelot, juriste qui a fait toute sa carrière dans l’Education nationale

    • Le grand remplacement vu d’Afrique, Bernard Lugan, historien, africaniste, professeur aux Ecoles de Saint-Cyr-Coëtquidan, il a enseigné à l’Ecole de Guerre, expert auprès du Tribunal Pénal International pour le Rwanda

    • Le mélange entre civilisations est-il possible ? Dominique Tassot,ingénieur des Mines et docteur en philosophie

    • Droit de la nationalité et grand remplacement, Franck Bouscau, professeur agrégé des facultés de droit

    • Le grand remplacement religieux, Abbé Chautard, recteur de l’Institut Universitaire Saint Pie X

    • Les grands mensonges sur le grand remplacement, Jean-Yves Le Gallou, ENA, inspecteur général de l’administration e.r., président de la Fondation Polemia

    • Le grand remplacement, un plan concerté, Pierre Hillard, docteur en sciences politique, spécialiste du mondialisme

    • Conclusion du colloque et de la Fête du Pays réel, Alain Escada, président de Civitas.

    Espace Jean Monnet, 47, rue des Solets 94 Rungis, entrée : 10 €

    Plan d'accès cliquez ici

    Toute la journée, venez nous retrouver sur le stand de Synthèse nationale :

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  • Portrait : Paul, 23 ans, étudiant et militant à Génération Identitaire. La vie est un combat !

  • Affronter le terrorisme intellectuel ou mourir – Clément Martin (Les Identitaires)

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    Les élections européennes approchent et, malgré une embellie récente, la liste « Les Républicains » peine à décoller. Crédité de 12 % des intentions de vote par les différents instituts de sondage, le parti de François-Xavier Bellamy semble être destiné à finir 3ème, loin derrière le Rassemblement national emmené par Jordan Bardella. S’il se confirme, cet échec ne manquera pas d’être instrumentalisé par les faux amis de la droite qui y verront la démonstration de l’absence de rentabilité électorale d’une ligne trop conservatrice (pourtant assez timorée en réalité). Nous assisterons à une campagne de pression, sur fond d’injonction de modération, c’est-à-dire de soumission à la gauche progressiste.

    La droite face au centre : ce que personne ne dit.

    Le politologue et sondeur Jérôme Sainte-Marie a relevé dans son ouvrage « Le nouvel ordre démocratique » plusieurs exemples démontrant l’inanité de cette volonté de faire plier la droite vers la gauche.

    • En 2007, Nicolas Sarkozy obtenait 31 % des suffrages au premier tour. Ce score, très important pour un candidat de droite, n’a jamais été égalé depuis. À l’époque, malgré une rude concurrence au centre avec la candidature de François Bayrou (qui avait atteint 18 %), le candidat de l’UMP avait réussi à siphonner l’électorat du Front national, récupérant 25 % des voix de ceux qui avaient voté pour Jean-Marie Le Pen en 2002.

    • On oppose souvent à cette campagne victorieuse la défaite de 2012. Pourtant, le détail des chiffres contredit cette analyse superficielle. En effet, les électeurs de François Bayrou s’étaient reportés au second tour sur Nicolas Sarkozy dans les mêmes proportions qu’en 2007 et les reports de voix centristes vers le candidat socialiste furent même moindres en comparaison. La campagne « à droite toute » ne fut donc pas de nature à effrayer les électeurs du centre.

    • Lors des primaires de la droite et du centre en 2016, de nombreux observateurs considéraient qu’en ouvrant la primaire et grâce à une participation forte, Alain Juppé aurait un avantage sur ses concurrents. Leur ligne « droitière » serait nécessairement pénalisée car s’adressant à des segments électoraux rétrécis. Le démenti fut cinglant, François Fillon arrivant finalement très largement en tête avec 44 % des suffrages et une participation totale de 4 millions d’électeurs.

    Les enquêtes d’opinions détruisent les mythes des adversaires de la « droitisation ».

    Le Cevipof (Le Centre de recherches politiques de Sciences Po) montre dans son étude « Vague 10 – Janvier 2019 » que la part de ceux qui se positionnent au centre a régressé et avoisine les 17 %. Dans le même temps, l’ensemble des individus se déclarant de « droite » progresse pour parvenir à 35 %. De plus, les questions identitaires (immigration et islamisation) continuent d’être des priorités pour les anciens électeurs de François Fillon. Enfin, plus de 20 % de ces derniers sont aujourd’hui tentés par le vote pour une liste du Rassemblement national.

    L’injonction modérantiste n’est rien d’autre que du terrorisme intellectuel.

    À la lumière de ces chiffres et de ces faits, on réalise à quel point cette volonté de soumettre la droite au politiquement correct ne repose sur aucune analyse sérieuse. Elle est purement idéologique et n’est certainement pas le reflet d’une quelconque attente des électorats. Il est donc temps de passer à la contre-offensive, de cesser de donner des gages et de s’excuser. Vainqueur celui qui cessera de se justifier !

    Clément Martin

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/214067/affronter-le-terrorisme-intellectuel-ou-mourir-clement-martin-les-identitaires/

  • Vous aimez l’UE ? Vous allez aimer les “droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine en Europe”

    Vous aimez l’UE ? Vous allez aimer les “droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine en Europe”

    Les races n’existent pas en France, aussi on se demande si nos autorités pourront respecter cette résolution votée hier au Parlement européen. Ce dernier

    invite les États membres et les institutions européennes à reconnaître que les personnes d’ascendance africaine sont particulièrement exposées aux racisme, à la discrimination et à la xénophobie et, de manière générale, jouissent de façon inégale des droits de l’homme et des droits fondamentaux, ce qui est la définition même du racisme structurel, et qu’elles doivent bénéficier, à titre individuel et collectivement, d’une protection contre ces inégalités, y compris par des mesures positives visant à promouvoir la jouissance pleine et égale de leurs droits;

    Et le racisme anti-blanc ?

    Le parlement européen a également inventé un nouveau mot, en estimant

    que la participation active et authentique des personnes d’ascendance africaine sur les plans social, économique, politique et culturel est essentielle à la lutte contre l’afrophobie et à l’intégration de ces personnes en Europe;

    Nos eurodéputés demandent une nouvelle loi mémorielle :

    encourage les institutions européennes et les États membres à reconnaître officiellement l’histoire des personnes d’ascendance africaine en Europe, y compris les injustices passées et présentes et les crimes contre l’humanité, comme l’esclavage, la traite transatlantique des esclaves ou les actes perpétrés dans le cadre du colonialisme européen, de même que les grandes réussites et les contributions positives réalisées par ces personnes, en observant, aux niveaux européen et national, la Journée internationale de commémoration des victimes de l’esclavage et de la traite transatlantique des esclaves et en consacrant un mois de l’année à l’histoire noire;

    Je vous passe le reste du délire, c’est par ici. Mais cela vous donne un aperçu de l’utilité de nos parlementaire grassement payés. Une résolution est en effet à l’initiative de parlementaires, contrairement aux directives, issues de la Commission.

    https://www.lesalonbeige.fr/vous-aimez-lue-vous-allez-aimer-droits-fondamentaux-des-personnes-dascendance-africaine-en-europe/

  • LREM : la liste Loiseau, une drôle de basse-cour

    LREM : la liste Loiseau, une drôle de basse-cour

    La liste LREM aux européennes, c’est une véritable Cour des Miracles. Nous y trouvons des membres de LREM, des anciens du PS, du Parti radical, de LR, des proches d’Alain Juppé, un Europe-Ecologie Les Verts, un ancien député italien, quelques journalistes recasés, les inévitables homosexuels

    Derrière Nathalie Loiseau, celle qui se découvre opportunément tête de liste en plein débat face à Marine Le Pen, on découvre Pascal Canfin, un ancien ministre de Hollande. Le Canard enchainé avait ironisé sur lui en révélant qu’il avait refusé d’embarquer dans un avion pour le Mali car il y avait un Malien expulsé.

    Le ministre délégué au Développement Pascal Canfin a décidé “en conscience” de ne pas embarquer vendredi dans un avion partant pour le Mali où il aurait dû participer à une réunion sur le développement, en raison de la présence d’un Malien frappé d’expulsion. C’était une décision du ministre “prise en conscience”, a dit mardi son entourage, renvoyant aux propos de Pascal Canfin à l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné qui a révélé l’affaire, et ajoutant qu’il “ne souhaitait pas commenter davantage”.

    • Marie-Pierre Vedrenne,
    • Jérémy Decerle
    • Catherine Chabaud, journaliste, déléguée à la mer et au littoral sous Hollande, avait soutenu l’Aquarius, ce navire favorisant l’immigration.
    • Stéphane Séjourné, 6e sur la liste, est un militant LGBT pacsé avec Gabriel Attal, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Education nationale.
    • Fabienne Keller (7e), la vice-présidente d’Agir et proche d’Alain Juppé.
    • Bernard Guetta, ancien journaliste de France Inter 
    • Irène Tolleret, Conseillère départementale de gauche de l’Hérault
    • Stéphane Bijoux, directeur des rédactions des télés Outre-mer chez France Télévision.
    • Sylvie Brunet, membre du CESE
    • Gilles Boyer, ancien directeur de campagne d’Alain Juppé
    • Stéphanie Yon-Courtin, juppéiste, maire de la commune Saint-Contest dans le Calvados
    • Pierre Karleskind, proche de Richard Ferrand, vice-président du Conseil régional de Bretagne
    • Laurence Farreng, proche de François Bayrou et actuelle directrice de la communication de la ville de Pau.
    • Dominique Riquet, successeur de Jean-Louis Borloo à Valenciennes, Parti radical, député européen.
    • Véronique Trillet-Lenoirélue régionale PS passée chez LREM,
    • Pascal DurandEELV, député européen.
    • Valérie Hayer, vice-présidente du Conseil départemental de la Mayenne.
    • Christophe Grudler, Modem, conseiller départemental du Territoire de Belfort.
    • Chrysoula Zacharopoulou, gynécologue-chirurgienne et co-fondatrice de l’association Info-endométriose (Grèce).
    • Sandro Gozi, ancien député italien, ancien secrétaire d’État italien aux affaires européennes, fédéraliste, membre du Parti Démocrate (italien), il a fait partie du cabinet de Romano Prodi, président de la Commission européenne. Il a participé à la réunion du Groupe Bilderberg de 2017.
    • Ilana Cicurel, avocate, ancienne directrice générale de l’Alliance israélite universelle.
    • Max Orville, MODEM
    • Catherine Amalric, membre du mouvement radical, médecin et adjointe au maire à Aurillac
    • Guy Lavocat, membre du Club XXIe siècle, qui milite pour la diversité…
    • Charline Mathiaut, gestionnaire immobilier
    • Xavier Fournier, ancien LR, conseiller municipal de Nantes.
    • Nawel Rafik-Elmrini, avocate et adjointe aux affaires européennes à Strasbourg
    • Mao Péninou, proche de Cambadélis, ancien adjoint d’Anne Hidalgo à la Mairie de Paris.

    https://www.lesalonbeige.fr/lrem-la-liste-loiseau-une-drole-de-basse-cour/

  • La France à feu et à sang

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    Tandis que Castaner s'éclate sur la piste de danse...

    Pendant que la crise des gilets jaunes semble préoccuper prioritairement nos forces de l’ordre, le criminologue Xavier Raufer a listé, pour Boulevard Voltaire, une liste non exhaustive de l’état du pays réel. Tandis que nos politiques s’égosillent à cor et à cri sur la menace qui plane sur la République, le pays réel est en proie au chaos provoqué par cette insécurité du quotidien qui gangrène nos villes et nos campagnes…

    Essonne : la police municipale d’Étampes prise dans une embuscade.
    Corse : un homme tué par balle en plein cœur de Sartène dans un règlement de comptes.
    Grenoble : un homme gravement blessé par balle après une course-poursuite et une fusillade.
    Bassin d’Arcachon : braquage au kiosque de la gare de Gujan-Mestras.
    Marseille : une jeune femme mortellement poignardée, probablement pour son téléphone.
    Pas-de-Calais : une femme de 71 ans « massacrée » à son domicile, un SDF en garde à vue.
    Argent de la drogue en France : « Le marché des stups, c’est 3,5 milliards d’euros en espèces. »
    Alerte-commerces-Soissons – vol main armée, deux stations-service, tentative aussi en centre-ville – homme africain, 20 ans, en scooter.
    De nuit, trois hommes cambriolent une dizaine de commerces de l’Ille-et-Vilaine au Morbihan.
    À Villers-Semeuse, la boulangerie Chocolat Pistache braquée pour 150 euros.
    Nantes : blessé par balle en pleine rue, un homme dans un état critique.
    Créteil : un homme attaqué à coups de machette en pleine rue.
    Nantes : le violeur de l’île de Nantes arrêté. Il s’agit d’un mineur isolé de 17 ans.
    Un mort par balle dans une cité sensible de Hyères.
    Strasbourg : « Insécurité, intimidations, incivilités, nuisances sonores », des résidents de l’hyper-centre à bout interpellent les élus.
    Braquage au magasin Aldi de Maignelay-Montigny.
    Un homme grièvement blessé par balle à Lille-Fives.
    Embuscade et fusils d’assaut : deux morts dans un règlement de comptes à Marseille.
    Saint-Denis : nouvelle intrusion violente au lycée Paul-Éluard ; enseignants et élèves s’inquiètent.
    Pillage des campagnes, Saône-et-Loire – 2018 : +60 % de vols sur 2017, dit la gendarmerie.
    Les Ulis : braquage à la station-service du centre commercial.
    Torcy : un camion de cigarettes attaqué par un commando armé.
    Près de Nantes, un adolescent de 16 ans braque une pharmacie.
    Alençon. Le bar-tabac Le Khé braqué. Deux commerces braqués en une semaine à Alençon.
    À Gournay-en-Bray, un homme allant travailler est braqué par deux hommes armés.
    Grenoble : les policiers attaqués au cocktail Molotov dans le quartier Mistral.
    Trappes : les cambrioleurs de la pharmacie avaient de 11 à 13 ans.
    Le boulanger de Barbonne-Fayel braqué et ligoté au petit matin.
    Cambriolages : un phénomène en explosion dans les Côtes-d’Armor.
    Val-d’Oise : un jeune homme entre la vie et la mort après s’être fait tirer dessus.
    Braquage à main armée au magasin Lidl de Comines.
    Gard – Braquage dans un bar : appel à témoins des gendarmes.
    Braquage éclair au tabac presse de Châtenois-les-Forges.
    Nord – Braquage au Narval : « Il m’a dit qu’il allait tirer, alors je lui ai dit bah tire ! »
    Besançon : une boulangère braquée au couteau.
    Isère : un jeune homme grièvement blessé par balle en pleine rue.
    Var : une figure du grand banditisme tuée par balle.
    Oise : un homme abattu de deux balles dans la tête en pleine rue, à Creil.
    Mayenne : un commando braque un camion transportant de la drogue.
    Bassin du Puy : 196 cambriolages et un braquage en 2018.
    Marseille: un jeune homme blessé à la kalachnikov dans les quartiers nord.
    Bordeaux : une fusillade fait deux blessés, sur fond de guerre des bandes.
    La délinquance continue de progresser dans le Pays de Châteaubriant.
    Nantes : un fourgon transportant des colis attaqué dans la zone Atout-Sud.
    Lyon : un homme torturé et tué à coups de couteau, la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.
    Grenoble : le quartier Mistral secoué par de nouvelles violences.
    Paris : rixe mortelle sur fond de racket.
    Mayenne : des braqueurs armés en fuite après une course-poursuite avec les forces de l’ordre.
    Paris : drogue, vols et incivilités minent les quartiers du nord-est.
    Braqués à leur domicile, des bijoutiers de Saint-Lô témoignent.
    Villefranche-sur-Saône : braquage dans une boulangerie de Béligny.
    Beaujolais – Jassans-Riottier : braquage en plein centre-ville à La Poste.
    Grenoble, nuit de violences urbaines, le cantonnement des CRS attaqué par 40 individus.
    Braquage dans une station-service à Strasbourg : le voleur part avec le véhicule de l’employé.
    Braquage dans une boulangerie à Toulouse.
    Braquage dans un centre commercial d’Ozoir-la-Ferrière.
    Nancy : braquage au couteau chez Aldi.
    Saône-et-Loire : un mort et un blessé dans un règlement de comptes.
    Drôme: des cambriolages en famille et en série.
    Saint-Denis : lynchage d’un homme de 22 ans – son pronostic vital est engagé.

    Xavier Raufer

    http://www.bvoltaire.fr/la-france-a-feu-et-a-sang/

  • Lycée Paul Éluard à Saint-Denis

    6a00d8341c715453ef0240a44b7ad1200c-320wi.jpgQuittez la stupidité, nous recommande la Bible au livre des Proverbes[1], et vous vivrez. Au départ, je dois encore avouer avoir d'abord souri en lisant les caricatures de Fabrice Erre enseignant et auteur de BD.[2]

    Nous vivons en effet dans l'illusion, que l'on cultivait dans mon enfance, d'appartenir à un peuple intelligent. Certains employaient même sans honte et sans se sentir le moins du monde chauvins l'expression de peuple "le plus intelligent de la Terre".

    Cette planète a pourtant tourné, semble-t-il, beaucoup d'eau polluée a coulé sous les ponts de la Seine, et certains spécialistes évaluent même à 4 points de quotient intellectuel en 10 ans le recul des Français[3]. On nous assure cependant, sans doute pour nous rassurer que le phénomène touche, à une moindre mesure, la plupart des pays occidentaux. Bref, quant à la bêtise et à ses progrès, que l'on n'arrête pas, on est les champions.

    S'agissant d'un individu, les théoriciens des tests d'intelligence, et notamment leur regretté concepteur Hans Jürgen Eysenck (1916-1997), insistent plutôt sur la permanence de la personnalité.

    L'abaissement supposé ou mesuré du niveau moyen de QI d'une population suggère plutôt, dès lors, la modification de sa composition.

    Si l'on osait croire à l'hérédité, en vertu de l'adage selon lequel les chiens ne font pas des chats, on pourrait imaginer que la descendance des idiots submerge celle des génies.

    Écartons cette hypothèse pessimiste, imaginons au contraire un monde de bisounours.e.s, écriture inclusive oblige, évidemment égalitaires. On ne naîtrait pas chat ou chien, pensent probablement à l'unisson les maîtres du politiquement correct. On le devient, comme la théorie du genre professe par ailleurs, sans sourciller, que l'on devient homme ou femme, ou autre chose.

    Et de toute évidence le processus passe par le moule de l'éducation nationale monopoliste d'État. Les grands penseurs de l'Onu, de l'UNESCO, etc. nous confirment chaque jour que l'éducation doit être considérée comme une quantité, un droit, un service public, par conséquent mesurable en termes budgétaires. Et ils ne peuvent que nous inciter à réfléchir, un jour ou l'autre, à la masse financière injectée dans les mains de ce qu'un esprit polémique, sûrement pessimiste, appela un jour la Fabrique des crétins[4].

    Car si la brutalité gagne tous les jours du terrain, à l'encontre des infirmières aux urgences hospitalières comme des professeurs dans les écoles, si les médecins et les pompiers n'osent plus se rendre dans certains quartiers, ce n'est pas seulement le fruit du coca-cola et des jeux électroniques.

    C'est aussi l'œuvre d'une administration quadrillée par la FSU marxiste, d'une institution, d'un monument national, envahi par trois générations de soixante-huitards, producteurs progressifs de l'abêtissement d'un peuple et de l'abaissement d'une nation.

    Qu'on vienne d'y décider, dans les bureaux d'un ministère où règne M. Blanquer, qu'on n'enseignerait même plus en histoire le nom de la bataille fratricide de Verdun, peut n'être considéré que comme un symbole. Un épiphénomène. Un point de détail.

    Qu'on me laisse encore une dernière occasion de bénéficier d'un petit espace de libre expression pour observer que cela en dit long aussi bien sur le respect dû aux ancêtres, que sur la conscience de la nécessaire réconciliation franco-allemande[5], et plus généralement sur la prétention d'éduquer à ce qu'ils appellent la citoyenneté.

    On ne peut donc que conseiller aux observateurs, de mieux suivre l'actualité terrifiante du lycée Paul-Éluard de Saint-Denis, où les professeurs sont contraints de faire grève, d'autres de réclamer leur droit de retrait devant la violence, répétée et impunie, depuis des mois et des années, de bandes rivales, etc.

    Oui : le lycée Paul-Éluard, à Saint-Denis. Tout un programme.

    Saint-Denis, autrefois ville royale, impunément profanée, si longtemps un vieux fief de l'appareil stalinien.

    Éluard ce poète communiste qui faisait croire à "Paris capitale de la douleur" et qui proclamait joliment que "le monde sera beau je persiste et je signe".

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Proverbes IX, 6
    [2] cf. "Il n'y a pas de fatalité. Une année au lycée".
    [3] cf. article du Point publié en 2017 "Le QI des Français en chute libre"
    [4] titre du livre "La fabrique du crétin : La mort programmée de l'école" de Jean-Paul Brighelli, paru en 2005 aux éditions Gawsewitch.
    [5] certains la croyaient scellée par De Gaulle en 1962, avec le chancelier Adenauer en la cathédrale de Reims, on vient d'apprendre que c'était la faute aux [très méchants] Américains.

    https://www.insolent.fr/

  • Christian Estrosi condamné pour avoir diffamé Philippe Vardon

    Christian Estrosi condamné pour avoir diffamé Philippe Vardon

    Philippe Vardon, membre du Bureau national du Rassemblement National et vice-président du groupe RN au Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, se réjouit :

    Il y a deux ans, à l’occasion d’une séance plénière du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Christian Estrosi m’avait gravement diffamé, m’accusant d’effectuer des “saluts nazis”. Le Tribunal correctionnel de Nice vient de le condamner à me verser 4000 euros, au titre des dommages et intérêts et du paiement des frais de justice. Une amende de 5000 euros avec sursis vient se rajouter à cette peine.
    Que cette condamnation vienne rappeler une fois de plus à tous ceux qui voudraient salir ma personne et mes engagements que je ne laisserai rien passer. Je considère que les mensonges et insultes, tels qu’Estrosi et d’autres les affectionnent, participent au grand dégoût du politique qui touche nos compatriotes. Pour ma part, j’y préférerais toujours les faits, le débat argumenté – fut-il vif, et la confrontation des visions et des projets.
  • Reconstruire un État fort qui se fasse respecter

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    Ligne Droite cliquez ici

    Devenu tentaculaire et omniprésent, incarné par une armée de fonctionnaires, l’État multiplie aujourd’hui les règlements, les taxes et les impôts. Mais il s’agit en réalité d’un État faible qui s’acharne sur les honnêtes citoyens alors qu’il est incapable de faire observer les lois de notre nation à ceux qui le défient. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme indispensable de reconstruire un État fort, qui puisse reprendre le contrôle du territoire, se faire respecter par tous et qui, dans le même temps, soit capable de maîtriser les finances publiques et de réguler l’économie et le social.

    L’État, ennemi du Système

    L’État fort a en effet disparu en France car il est le grand ennemi des tenants de l’idéologie libérale libertaire qui, depuis la fin du XXe siècle, ont entrepris sa déconstruction méthodique.

    Les néo-libéraux ne voyant en lui qu’une menace contre les droits individuels pensent donc qu’un État faible qui réduit l’action publique à la mise en œuvre de l’état de droit et au respect des contrats, assurera mieux la liberté des personnes.

    Quant à l’oligarchie mondialiste, elle s’appuie sur cette idéologie pour réclamer la privatisation la plus large des fonctions étatiques et offrir ainsi, au prétexte d’une efficience supérieure, de nouveaux marchés aux grandes entreprises. Elle estime de surcroît que l’affaiblissement des États favorise l’émergence de la « gouvernance mondiale », qu’elle appelle de ses vœux.

    L’État illégitime, obèse et impuissant

    Ligne droite rejette cette idéologie pernicieuse qui n’a nullement amélioré la situation des Français, comme on le leur promettait. Au contraire, les libertés se sont réduites, l’insécurité et la violence ont explosé et les services publics fonctionnent moins bien qu’avant. L’État est devenu dès lors illégitime car à la fois tentaculaire et impuissant.

    L’État a en effet accentué son emprise sur les Français pour orienter leur façon de vivre, les soumettant par exemple au vivre ensemble ou leur indiquant comment ils doivent se comporter avec leurs enfants ou avec leur conjoint. Devenu une gigantesque bureaucratie en charge de la vie privée des citoyens, il ne cesse de réduire leurs libertés concrètes en multipliant les réglementations, les taxes et les impôts.

    Mais dans le même temps l’État n’assure plus correctement ses fonctions essentielles. Les services publics paupérisés se retirent des territoires et sacrifient leurs investissements. Les racailles n’ont plus peur de la police ni de la justice. Ce sont au contraire les forces de l’ordre, sous-équipées, qui n’osent plus s’aventurer dans les zones de non-droit. Quant aux frontières, elles sont devenues inexistantes pour le plus grand profit des passeurs et des trafiquants. 

    L’État n’est désormais fort que vis-à-vis de ceux qu’il devrait protéger, comme les Français des classes moyennes et populaires qu’il accable de règlements et de taxes. Mais à l’égard de ceux qu’il devrait contraindre, comme les voyous, les lobbies, les islamistes, les clandestins ou les puissances économiques ou financières, l’État se montre d’une grande faiblesse.

    Ligne droite dénonce cet abandon et préconise le retour d’un État fort et respecté.

    Restaurer la prééminence du pouvoir politique

    Pour ce faire, Ligne droite propose d’abord de renforcer le pouvoir politique et donc de restaurer la primauté de l’exécutif et la légitimité du législatif, conformément d’ailleurs aux principes de la Ve République. La durée du mandat présidentiel devra dans cet esprit être portée à sept ans afin de permettre au président d’agir dans la durée. Le gouvernement des juges sera démantelé et pour ce faire la suprématie des députés et sénateurs élus sur les juges nommés sera rétablie. Enfin, le système électoral sera revu pour que l’Assemblée soit de nouveau représentative de la réalité du peuple.

    Reprendre le contrôle du territoire

    Pour Ligne droite le retour à un État fort exige ensuite de restaurer la souveraineté politique de la France sur son territoire. Ce qui implique que l’État retrouve le contrôle de ses frontières, maîtrise l’immigration et reconquière les zones de non-droit. Autant d’exigences impératives sans lesquelles l’État continuera d’être bafoué et avec lui la France et les Français. Malgré les graves difficultés qui se présenteront, il est possible atteindre ces objectifs et Ligne droite a explicité par ailleurs les moyens d’y parvenir.

    Reconstruire des forces de sécurité qui imposent le respect

    Tout cela suppose cependant que les forces de l’ordre, les services de renseignement et les armées soient de nouveau prioritaires tant pour leurs équipements que pour le soutien qu’ils reçoivent du pouvoir. Tout doit être fait pour que les forces de sécurité reprennent pleinement confiance en elles-mêmes et inspirent le respect et la crainte chez les voyous. Un État fort est un État qui sait mater ceux qui le défient et ne tolère pas que certains s’exonèrent impunément des règles qu’il édicte. La remise à niveau organisationnelle et budgétaire de la police et de l’armée doit donc constituer une priorité, tout comme la réforme de la politique pénale qui doit permettre de neutraliser durablement les voyous, les groupes séditieux, les délinquants et les terroristes.

    Retrouver la maîtrise des finances publiques

    Le retour d’un État fort exige par ailleurs le rétablissement de l’équilibre des finances publiques. Un impératif pour rendre sa liberté de manœuvre à l’État et éviter qu’il se trouve soumis au chantage des institutions financières internationales ou de la Commission européenne.

    Pour réduire en conséquence les dépenses publiques, Ligne droite préconise une profonde réforme qui mette un terme au foisonnement des agences et services administratifs, qui réduise le millefeuille de l’organisation territoriale française, qui supprime les dépenses de transfert et les subventions aux associations dont l’utilité économique et sociale est douteuse. Si l’on ajoute à cela la préférence nationale dans l’accès aux prestations, il sera possible de retrouver des finances saines qui rendent son autorité à l’État.

    Assurer la régulation de l’économie et du social

    Un État fort doit aussi retrouver son rôle d’arbitre du bien commun en matière économique et sociale pour corriger les errements du marché ainsi que les initiatives intempestives qui ne seraient pas conformes à l’intérêt national.

    Mais il doit aussi être porteur d’une stratégie industrielle volontariste et s’affirmer à nouveau comme l’initiateur de projets d’envergure. Les grandes réalisations, notamment celles des années soixante – soixante-dix, dont s’enorgueillit à juste titre notre pays ne sont pas le fruit de l’initiative spontanée du marché, elles résultent de l’action publique qui a mis en mouvement l’initiative privée. Pour Ligne droite, un État fort doit retrouver au XXIesiècle l’esprit pionnier des grands administrateurs de jadis qui ont fait avancer la France en relevant de grands défis collectifs par la mobilisation du génie national.

    Il n’y aura pas de renouveau national et civilisationnel sans un État fort.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/