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France et politique française - Page 2047

  • Yvan Blot et Guillaume Faye : sentinelles aux frontières

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    Par Jean-Yves Le Gallou ♦ Jean-Yves Le Gallou revient sur les parcours croisés de deux enfants d’une époque, récemment décédés : Guillaume Faye et Yvan Blot. Deux Européens, éveilleurs des consciences, sentinelles aux frontières.

    Rencontre solaire

    Yvan Blot et Guillaume Faye sont morts à quelques mois d’intervalles.
    Ils s’étaient rencontrés, juste après 1968, au Cercle Pareto, le cercle correspondant du GRECE à Sciences-Po. Ils refaisaient le monde sur la « Péniche », prenaient des pots chez Basile et se retrouvaient le soir, chez Yvan, rue des Canettes pour de mémorables canulars téléphoniques.

    Mais ils écrivaient aussi des articles et prononçaient des conférences : ils avaient alors à peine plus de 20 ans.

    Partis sur une telle lancée ils font preuve d’une grande fécondité intellectuelle dès les années 1970/1985.

    Foisonnement intellectuel

    Guillaume, devenu permanent du GRECE, multiplie les conférences, notamment lors des universités d’été de la Domus Europa près d’Aix-en-Provence. Il écrit aussi beaucoup de brochures et d’articles de revue. Il publie surtout deux livres majeurs: Le Système à tuer les peuples, livre prémonitoire sur les ravages de la mondialisation et de la société marchande. Et Nouveau discours à la nation européenne, brillant plaidoyer, hélas vain, pour l’Europe puissance.

    Yvan Blot publie – à 21 ans – un remarquable numéro de Nouvelle École sur Les théories économiques. Il y oppose les tenants de l’individualisme marchand à ceux qui prennent en compte les phénomènes d’identité et de puissance (List, Perroux, notamment). 50 ans plus tard, le texte n’a pas pris une ride!

    Puis, entré à l’ENA, et prenant quelques distances avec le GRECE, Yvan Blot cofonde le club de l’Horloge. Une nouvelle aventure politico-intellectuelle qui le conduit à publier Les Racines de la libertéqui aurait pu s’intituler Pas de démocratie sans le peuple !
    Il s’y intéresse longuement – 35 ans avant la popularité du RIC, le référendum d’initiative citoyenne – au modèle suisse et à la démocratie directe.

    Aventures radiophoniques et politiques

    Au tournant des années 1985, et jusqu’à la fin des années 1990, les voies d’Yvan et de Guillaume s’éloignent de la réflexion intellectuelle et vont sacrément… diverger.

    Yvan découvre le combat électoral en devenant conseiller général puis député RPR avant de continuer son engagement politique au Front national comme conseiller régional et député européen.

    Guillaume se lance dans des expériences médiatiques décalées à la Voix du lézard, à Actuel et à Skyrock où il se fait connaître sous le nom de Skyman. Il réussit à faire de son talent du canular téléphonique… une profession. Chapeau l’artiste !
    On se souvient encore des « peoples » affolés lorsqu’un inspecteur de police (imaginaire mais oh combien crédible !) les prévenaient que leur nom était associé à une livraison de drogues. Et de ces députés épanouis d’apprendre qu’on songeait à eux pour un poste de ministre.

    En 1999 l’aventure électorale de l’un, médiatique de l’autre, s’arrête.

    Paradis artificiels et retour sur Terre

    Guillaume qui a abusé du tabac, de l’alcool et d’autres paradis artificiels est sur le carreau. Il sera sauvé par deux personnes : Christophe Lespagnon qui lui refait les dents et Gilles Soulas qui le remet au boulot. En l’incitant à écrire et en publiant deux livres majeurs de lui : L’Archéofuturisme et La Colonisation de l’Europe. Sentinelle aux frontières du temps et des idées, le grand Faye est revenu et ne cessera plus d’écrire jusqu’à son dernier souffle.

    Yvan ne connaît pas les mêmes épreuves. Sorti du combat électoral après la scission du FN de 1999, il reprend sa carrière à l’Inspection générale de l’administration au ministère de l’Intérieur. Tout en retrouvant toute sa passion pour le combat des idées. Il publie lui aussi des livres majeurs sur L’Oligarchie au pouvoir et La Démocratie directe dont il fut l’infatigable promoteur. Il avait anticipé le mouvement des Gilets Jaunes. Quelle tristesse de savoir qu’il est mort un mois trop tôt pour le voir !

    Fidèle aux sources grecques de sa jeunesse, il publie aussi Nous les descendants d’Athéna. Et s’attache comme Faye à la lutte contre l’invasion migratoire avec L’Europe coloniséeLa Russie de Poutine sera aussi le titre de l’un de ses ouvrages et sans doute l’une de ses dernières passions intellectuelles.

    Le départ de deux Européens

    La mort d’Yvan comme celle de Guillaume ne sont pas passés inaperçus à l’étranger (Russie, Italie, Etats-Unis) ni dans les milieux identitaires et conservateurs français. De nombreux hommages accompagnent leur départ.

    Une très belle cérémonie catholique, selon le rite romain traditionnel, eut lieu pour Yvan Blot en l’église Saint-Germain l’Auxerrois. Devant une assistance nombreuse : intellectuels, militants, parlementaires, hauts diplomates russe, et anciens collègues du ministère de l’Intérieur, dont Claude Guéant. Yvan repose désormais en paix dans un village de Bourgogne.

    Le retour au soleil de Guillaume aura lieu ce mercredi 13 mars dans un petit cimetière du Poitou, au moment même où paraît son dernier livre Guerre civile raciale.

    Éveilleurs et sentinelles, que la terre vous soit douce, camarades !

    Jean-Yves Le Gallou 12/03/2019

    https://www.polemia.com/yvan-blot-guillaume-faye-sentinelles-frontieres/

  • Les Gilets Jaunes sommés de payer l’invasion migratoire.

  • Acte 18 des Gilets jaunes : l’opposition politique au gouvernement dénonce un laxisme policier volontaire

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Alors que certains policiers se révoltent contre des mises en garde à vue arbitraires, l’opposition au gouvernement critique de son côté un laxisme policier volontaire.

    Le taureau racaillo-gauchiste lâché dans Paris

    L’ultragauche révolutionnaire casse, la racaille issue des quartiers de l’immigration pille derrière. A défaut de pouvoir vivre ensemble, il est possible de détruire ensemble. Ce samedi, lors de la manifestation des Gilets jaunes, le taureau racaillo-gauchiste a fait de nombreux ravages dans la capitale : magasins saccagés, la célèbre brasserie du Fouquet’s vandalisée, affrontements avec la police, magasins pillés…

    Certaines personnalités médiatiques commencent à faire la différence entre les Gilets jaunes et la gauche révolutionnaire

    Dans un tweet remarqué, Marine Le Pen, photo à l’appui, a dénoncé les black blocs. « À Paris, les cagoules noires ont remplacé les Gilets jaunes. Les black blocs détruisent, brûlent, violentent toujours en toute impunité ».

    La plupart des politiques et des médias ont crié au bobard de Marine Le Pen

    Cependant, certains journalistes, comme Natasha Polony, ont admis qu’il existe une différence entre les Gilets jaunes et l’ultragauche qui tente de récupérer le mouvement. « A un moment, il va peut-être falloir cesser d’appeler ces personnes des Gilets jaunes ».

    Pour l’opposition politique, le gouvernement ferait preuve d’un laxisme volontaire

    Depuis le début des Gilets jaunes, les stratégies du gouvernement ont été nombreuses pour discréditer le mouvement : répression policière, diabolisation… La corrida racaillo-gauchiste ne serait qu’un moyen comme un autre pour faire sortir les Gilets jaunes de la place publique. Le gouvernement compterait officieusement sur la violence de l’islamo-gauchisme pour faire taire une parole démocratique qui n’a pu être réduite au silence depuis maintenant quatre mois.

    https://fr.novopress.info/213959/acte-18-des-gilets-jaunes-lopposition-politique-au-gouvernement-denonce-un-laxisme-policier-volontaire/
  • Black-Blocs, idiots utiles de la macronie

    L’image contient peut-être : 1 personne, foule et plein air
    La violence d'extrême gauche, c'est comme une fourmi qui parle anglais et javanais: ça n'existe pas.
    Rappelons, pour bien situer le niveau de lutte RÉELLE contre la violence RÉELLE exercée depuis des années en matière de manifestations publiques, qu’une obscure commission d’enquête parlementaire sur la lutte contre la violence des groupuscules d’extrême-droite a été montée début 2019, à la demande de la France Insoumise, en guise de hochet. 
    Si vous avez connaissance de manifestations violentes, récurrentes, de mises à sac de masse, commises par ces groupes, l'Inspecteur Gadget est preneur.
    Cette commission, qui s’est déconsidérée jour après jour et dont même le rapporteur LREM Adrien Morenas (c’est dire!) dénonce les dérives partisanes et la tournure de vaudeville, sert en réalité principalement à sa contestable présidente issue de l’extrême-gauche héraultaise, Muriel Ressiguier, à traquer ses opposants politiques locaux.
    Cette commission s’est notamment ridiculisée en essayant (puis renonçant) d’auditionner des personnalités politiques telles que Marion Maréchal ou Marine Le Pen, mais surtout en tentant d'intégrer parmi ses membres respectables le député ex-LREM M’jid El Guerrab particulièrement au fait des questions de violence pour avoir défoncé le crâne du socialiste Boris Faure à coups de casque de moto (et toujours pas jugé et toujours député). 
    Honte de rien, ils osent tout, comme chacun sait, c’est à cela qu’on les reconnaît.
    Pendant ce temps, et contrairement à ce qu’affirmait péremptoirement la journaliste du Parisien Jannick Alimi hier soir en direct sur BFMTV, il N’EXISTE PAS de commission d’enquête parlementaire sur les violences d’extrême-gauche dans ce pays. 
    Tout simplement. 
    Aussi invraisemblable que cela puisse paraître. 
    Existe pas. Môme Néant.
    La seule obsession idéologique de ce régime post-socialiste est de lutter contre les «populistes» gilets jaunes ou autres Gaulois réputés réfractaires et lépreux.
    La délinquance qui depuis des années sabote tous les mouvements sociaux en les radicalisant hystériquement et en saccageant les centres villes est laissée libre de croître et de prospérer. 
    La seule rhétorique employée par cet exécutif vise l’extrême-droite (réelle ou putative). 
    La seule obsession sans cesse rebachée est celle d’un retour fantasmagorique des heures sombres. Anne Hidalgo a été jusqu’à halluciner, pathétique Bernadette Soubirous de la post-modernité, des violences d’extrême-droite samedi sur les Champs.
    Aucun combat réel n’est mené contre les véritables fauteurs de troubles blacks-blocs et antifas connus depuis des années. 
    Au contraire, ils bénéficient de la mansuétude idéologique des gouvernements, soit par proximité politique, soit parce qu’ils permettent de saper en les discréditant tous les conflits sociaux. 
    Et c'est à tordre le cou au mouvement des gilets jaunes qu'ils vont encore servir cette fois-ci.
    Tout comme aucune action sérieuse n’a été entreprise samedi contre eux, se baladant tranquillement en centre-ville avec des disqueuses, des meuleuses, des tronçonneuses.
    Alors, les moulinets, les coups de menton, les mises en scène théâtrales, les réveils tardifs et sélectifs : merci mais non merci.

  • Politique-Eco n°207 avec Jean Messiha : « Oui, le RN a un programme économique ! »

    Derrière le brillant énarque du Rassemblement National, Jean Messiha, se cache un débatteur hors-pair (BHL s’en souviendra longtemps) qui se bat avec conviction et avance des propositions de bons sens. Il est l’invité du magazine à succès « Politique-Eco » d’Olivier Pichon assisté de Pierre Bergerault.

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n207-avec-jean-messiha-oui-le-rn-a-un-programme-economique

  • “savoureuse” mais bien vaseuse omission

    lallegorie_de_la_simulation_musee_des_beaux-arts_angers_14932303058-236x300.jpgLe 11 mars, nous rapportions sur notre blogue cette nouvelle offensive de contrôle et de verrouillage de l’information, sous le prétexte de la lutte contre les fake news, fausses nouvelles et autres infox - voir ici ou encore ici, lancée par l’agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l’information (ENISA). L’ENISA a appelé à la mise en place de législations dans chacun des pays de l’UE. Euractiv expliquait le 15 mars que trois jours auparavant,« le Parlement européen (avait) adopté de nouvelles règles sur les campagnes politiques (…). La nouvelle règlementation, adoptée par 586 voix pour, 55 contre et 24 abstentions, a pour vocation d’imposer des sanctions financières aux partis politiques pan-européens qui utiliseraient de manière illégale et délibérée des données personnelles à des fins électorales.» Fort bien? Mais cet article s’arrête surtout sur l’adoption le 13 mars , par 489 voix contre 148 voix contre et 30 abstentions, d’«une résolution, qui condamne fermement les  actions de plus en plus agressives  à l’encontre des pays européens et du voisinage de l’UE.» Sont plus particulièrement dans le collimateur la Russie, la Chine, l’Iran et la Corée du Nord. La résolution encourage «tous les pays européens à évaluer la situation sur leur territoire et à reconnaître la nécessité imminente d’une orientation stratégique pour répondre à la guerre de l’information hostile. »

    La résolution en question a été «rédigée par l’eurodéputée polonaise Anna Fotyga qui préside la sous-commission parlementaire sur la sécurité et la défense.» Mme Fotyga est membre au parlement du groupe Conservateurs et réformistes européens (ECR) mais aussi dans son pays du parti national conservateur PiS, actuellement pouvoir. Les relations historiquement très tendues entre une Pologne prête a payer pour le maintien d’une division blindée américaine sur son sol et la Russie expliquent en grande partie qu’ Anna Fotyga ait déclaré que l’UE « ne peut plus nier le fait que nos institutions et sociétés sont la cible de la propagande hostile du Kremlin, qui fait partie d’une stratégie plus large. » « Nous avons mis l’accent sur la nécessité de maintenir la liberté d’expression et la liberté des médias tout en luttant contre la propagande hostile et la désinformation, et sur le rôle des médias indépendants et le journalisme de qualité », a-t-elle encore déclaré en séance plénière.

    Il faudrait être naïf bien sûr, pour ne pas croire que les puissances sus-nommées et pointées du doigt par Bruxelles, ne se battent pas non plus sur le front de l’information, voire de la désinformation. Pour autant, il n’est guère étonnant au vu de l’obsession que la Russie de Poutine suscite au sein des réseaux atlanto-bruxellois, parangons de transparence, d’équité démocratique, de refus de toute basse propagande et de probité cela va sans dire, que ses propos véhéments aient rencontré un grand écho au sein de beaucoup de groupes politiques…

    Il est ainsi martelé que «les eurodéputés veulent surtout  alerter l’opinion publique sur les campagnes de désinformation russes, qui constituent la principale source de désinformation d’Europe.» Une «propagande hostile» « qui a pour but de fragiliser les fondations et les principes des démocraties européennes, ainsi que la souveraineté de tous les pays du partenariat oriental. »

    Ce qui est le plus savoureux dans cet étalage de vertueuses dispositions contre les fake news de l’axe du mal,  c’est quand la journaliste qui a écrit cet article, Alexandra Brzozowski, souligne benoîtement, l’air de rien, que «la position a été adoptée le jour où une étude majeure a été publiée par le groupe de la société civile Avaaz (une association internationale de lanceurs d’alerte, NDLR) , affirmant que les fake news ayant circulé sur le mouvement des Gilets Jaunes ont atteint plus de 105 millions de vues sur Facebook».« Plus de 100 millions de vues pour les fake news, c’est énormeCe chiffre montre à quel point le mouvement des Gilets Jaunes a été infesté par la désinformation , a déclaré Christoph Schott, directeur de campagne chez Avaaz.  Il faut tirer les sonnettes d’alarme partout en Europe tout de suite. Les élections européennes approchent et seront le test ultime pour les systèmes immunitaires de nos démocraties. »

    Or, comme l’avait souligné medias-presse info, il faut savoir qu’Avaaz est une entité assez trouble, vaseuse car sponsorisée (au moins dans un passé proche) par George Soros, une des pièces de la galaxie propagandiste mondialiste. Ainsi, l’organisation Migrants offshore aid station (MOAS) qui affrétaient des bateaux chargés de débarquer sur les côtes européennes des immigrés clandestins (migrants) était ainsi «financée à hauteur de 500.000 dollars par l’ONG Avaaz, elle même une émanation de MoveOn.org qui (…) organise des manifestations en faveur de l’accueil des immigrés illégaux. Or MoveOn.org appartient à George Soros. »

    Le site Ojim le notait pareillement, Avaaz «peut être incluse dans les outils médiatiques des réseaux George Soros dans la mesure où elle exerce une pression médiatique dans le sens de ses intérêts. Que ce soit par exemple en lançant des campagnes internationales contre son alter-ego et concurrent : le milliardaire  conservateur  Ruppert Murdoch, propriétaire de Fox News et d’autres mass-médias réputés de droite ou bien en attaquant Donald Trump au niveau international (…). Si actuellement l’ONG Avaaz – mot qui signifie voix  – affirme ne plus être directement financée par Soros, elle n’aurait pas pu prendre l’ampleur qu’elle a ensuite connue sans son appui dès son lancement.»

    Une information, tout sauf anodine qu’Euractiv, constate Bruno Gollnisch aurait pu porter à la connaissance de ses lecteurs, à moins de considérer ce média comme un propagateur de fausses nouvelles, d’infox…par omission.

    https://gollnisch.com/2019/03/19/savoureuse-mais-bien-vaseuse-omission/

  • Violences à Paris/Black Blocs : des gilets jaunes demandent « des comptes » à l’exécutif

    Après les violences du 18ème samedi de mobilisation, des gilets jaunes s’adressent, ce dimanche, à l’exécutif. Thierry-Paul Valette, co-fondateur des « Gilets jaunes citoyens », a annoncé avoir demandé « audience » à Emmanuel Macron, « une réunion de crise« , pour obtenir « des acquis conséquents pour les gilets jaunes et les citoyens« .

    « Nous demandons par ailleurs des comptes concernant le laisser aller manifeste avec les Black Blocs qui ont saccagé les Champs-Élysées », indique Thierry-Paul Valette.

    « Nous ne sommes ni des parias ni des terroristes et avons le droit à toute la considération de la République, plus précisément celle d’Emmanuel Macron ! « , a-t-il écrit dans un communiqué. […]

    Autre représentant des gilets jaunes, Hayk Shahinyan, président fondateur du Mouvement alternatif citoyen (MAC), a lui demandé « sans délai la démission du ministre de l’Intérieur Christophe Castaner pour inaptitude à la fonction « .[…]

    bfmtv

    http://www.fdesouche.com/1177103-violences-a-paris-black-blocs-des-gilets-jaunes-demandent-des-comptes-a-lexecutif

  • Alexandre Langlois : « Le vrai responsable de tout ce chaos, c’est M. Castaner »

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    Polémique au sujet de la gestion de l’acte XVIII des gilets jaunes par le gouvernement et la préfecture de police de Paris.

    Alexandre Langlois réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    Grosse polémique à la suite de la gestion de l’acte 18 des gilets jaunes. Cette manifestation a été particulièrement violente avec énormément de dégâts matériels.
    La responsabilité de la hiérarchie de la police est en cause, notamment le préfet de police et le ministre de l’Intérieur. Comment a été géré cet acte 18 ?

    L’acte 18 n’a pas été mieux géré que les autres. Cela fait depuis le mois de décembre que nous disons que la gestion du maintien de l’ordre est catastrophique, en particulier sur le mouvement des gilets jaunes. On n’a que le résultat de ce qui se passe depuis plusieurs mois . Cette fois-ci, le résultat est amplifié puisque les policiers sont de plus en plus épuisés, de moins en moins efficaces, et le commandement est toujours aussi désorganisé.

    Les bruits courent que le ministre de l’Intérieur aurait été sévèrement réprimandé. On parle également d’une démission possible du préfet de police.
    Cette décision politique sera un bon signal envoyé aux forces de l’ordre ?

    Le vrai responsable de ce chaos est monsieur Castaner. Si monsieur Castaner ne démissionne pas, aucun signal n’est envoyé aux forces de l’ordre.
    Même si monsieur Delpuech, préfet de police, n’est pas forcément à la hauteur sur la gestion des gilets jaunes, on pourrait avoir l’impression qu’on fait le ménage sur l’affaire Benalla en se servant du prétexte du maintien de l’ordre.
    Ce serait un double non-sens. Donc, soit c’est monsieur Castaner, soit on continue comme avant.
    Les LBD ont été reconfigurés pour être moins efficaces, semble-t-il. Cela a coïncidé avec un regain de violence vis-à-vis des forces de l’ordre. Un camion de gendarmes a été retourné et un gendarme a évité de peu de lynchage.
    Selon vous, faudrait-il réarmer plus massivement les forces de l’ordre ?

    Pas forcément. Si jamais, on reçoit des ordres cohérents pour rétablir l’ordre, on peut. Mais, comme toujours, il faut avoir les renforts nécessaires pour intervenir, savoir où intervenir et déployer les forces de l’ordre. S’il y a un véritable danger de mort par lynchage, je rappelle que nous pouvons faire usage de l’arme à feu.
    Il y a toujours une peur d’utiliser la mauvaise arme au mauvais moment, car il y a un risque de prendre une vie ou de mutiler quelqu’un. Mais si jamais c’est pour protéger une vie ou éviter que quelqu’un se fasse tuer, alors nous avons les moyens de réagir. A propos du LBD la question n’est pas vraiment de savoir s’il faut les rééquiper ou les modifier, mais il faudrait qu’on ait une formation adéquate pour tirer sur les bonnes personnes et non que ce soit la foire d’empoigne, comme nous avons pu le constater depuis le début des manifestations des gilets jaunes.
    Le syndicat Vigi a publié un communiqué rappelant que 86 policiers s’étaient suicidés depuis la prise de fonction d’Emmanuel Macron, 68 depuis le préfet Delpuech et 28 depuis la nomination de Christophe Castaner au ministère de l’Intérieur.
    Cet épuisement des policiers ne va-t-il pas aggraver ce fléau qui touche la Police nationale ?

    Cela va aggraver toutes causes des suicides. Les causes sont des horaires de travail complètement pathogènes, des cycles de travail compliqués, le manque des jours de repos, l’impossibilité d’avoir une vie sociale et familiale épanouie et équilibrée. On a tous besoin, à un moment donné, de se reposer et de voir autre chose.
    Tout cela est aggravé avec le mouvement de gilets jaunes, parce que nous avons une gestion des ressources humaines proches du niveau 0. On ne nous paie pas nos heures supplémentaires et on nous dit que, de toute façon, nous sommes corvéables à merci et que nous ne sommes que des numéros. On nous dit aussi qu’on va refaire des mesures complètement ubuesques qui peuvent être prises uniquement dans un bureau, mais qui sont totalement incohérentes sur le terrain.
    Tout le cocktail est réuni pour que la situation continue à s’aggraver.

    http://www.bvoltaire.fr/alexandre-langlois-le-vrai-responsable-de-tout-ce-chaos-cest-m-castaner/

  • Le test osseux sur clandestins : politiquement incorrect ?

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le Conseil constitutionnel a étudié la pratique utilisée par le juge des enfants pour attester l’âge prétendu de supposés mineurs isolés étrangers. L’analyse consiste à déterminer à partir d’une radiographie du poignet de la main, l’âge de personne dont on souhaite établir si elle est ou non mineure.

    L’enjeu est grand puisque le nombre de clandestins prétendant être mineurs a triplé en 3 ans. Et, rappelons que les droits au séjour, hébergement ou encore protection juridique sont nettement renforcés pour un mineur.

    Si comme tout test scientifique, celui en cause comporte sa marge d’erreur, le cœur du problème est qu’il n’existe aujourd’hui aucune méthode infaillible pour dédire ou confirmer les dires de ces immigrés affluant à grandes vagues.

    https://fr.novopress.info/213949/le-test-osseux-sur-clandestins-politiquement-incorrect/