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France et politique française - Page 2115

  • Thibault répond au Quotidien

    Thibault répond au Quotidien

    Thibault est un Gilet Jaune dont une intervention dans un reportage de Vincent Lapierre a été beaucoup partagée sur les réseaux sociaux. L’occasion pour les médias, dont Quotidien, de salir le mouvement des Gilets Jaunes en caricaturant Thibault. Celui-ci a décidé de leur répondre…

  • Théo / Gilets Jaunes : Charlotte d’Ornellas dénonce le deux poids deux mesures d’Emmanuel Macron sur les violences policières fandetv | 30/01/2019

    Charlotte d’Ornellas (Valeurs Actuelles) : «Emmanuel Macron n’a même pas fait cas des Français qui ont perdu un oeil ou une main. Il prend fait et cause pour les forces de l’ordre alors qu’il avait soutenu Theo envers et contre toute attente de l’enquête.» – CNEWS, 30 janvier 2019, 17h

    http://www.fdesouche.com/

  • GILETS JAUNES, VICTIMES D'UNE JUSTICE D'EXCEPTION - DAVID LIBESKIND

  • Des principes pour assurer l’harmonie au sein de la société

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    Ligne Droite cliquez ici

    Rétablir l’harmonie au sein de la nation est une nécessité vitale car c’est par l’harmonie que notre civilisation pourra de nouveau s’épanouir, que les valeurs pourront reprendre leur place et notre société être remise en ordre. Mais l’harmonie ne reviendra que par l’application de principes aujourd’hui diabolisés comme l’homogénéité, la préférence, la régulation, l’autorité ou la sélection. Autant de principes politiquement incorrects dont Ligne droiteestime qu’ils doivent être portés par la droite nouvelle afin de créer dans la durée des rapports harmonieux au sein de la société.

    Des règles exigeantes

    Si l’harmonie est une nécessité pour la nation et la civilisation, elle ne résultera pas en effet de la méthode Coué, des bons sentiments ou de prétendues mobilisations médiatiques. Le Système peut bien glorifier le partage, la solidarité et le vivre ensemble, les médias et le show-biz faire la promotion de la charité laïque, rien de tout cela ne mettra un terme au chaos qui règne dans notre société car rien de tout cela n’est créateur d’harmonie. Celle-ci ne pourra en effet être atteinte ou à tout le moins approchée que si des règles exigeantes sont posées et respectées.

    L’homogénéité

    La première est l’impératif d’homogénéité. Une société constituée de groupes intrinsèquement différents sera en effet vouée aux tensions et aux conflits. Les éléments hétérogènes qui la composent ne peuvent en effet qu’entrer en compétition et s’opposer les uns aux autres, chacun cherchant à imposer ses normes, ses mœurs ou ses traditions. Il est donc indispensable de veiller à conserver un haut degré d’homogénéité ethnique, religieuse, culturelle, économique et sociale pour assurer l’harmonie de la société. S’il n’en va pas ainsi, il n’y a pas d’harmonie et c’est le désordre qui s’installe. Telle est d’ailleurs la situation de la France d’aujourd’hui qui, en raison de l’immigration de peuplement qu’elle subit depuis de nombreuses années déjà, ne respecte nullement le principe d’homogénéité et connaît de ce fait un chaos croissant.

    La préférence

    Dans une société peu homogène, il demeure cependant possible de créer un minimum d’harmonie grâce au principe de préférence. Un principe qui consiste schématiquement à donner à chacun sa juste place en instaurant une hiérarchie entre ceux qui constituent le corps homogène de la société et ceux qui contribuent à le rendre hétérogène. En matière d’immigration, ce principe dit de préférence nationale établit que les Français bénéficient de droits et d’avantages qui ne sont pas accordés aux nouveaux venus. Une différenciation qui permet à chacun de connaître sa place légitime. Les citoyens de souche, confortés dans le sentiment d’être chez eux dans leur pays, seront rassurés et sécurisés. Quant aux étrangers qui arrivent, ils ne pourront que considérer ce principe comme normal et être incités à tous les efforts pour respecter l’identité du pays qui les accueille et, le cas échéant, pour s’y assimiler.

    La régulation

    Dans le même esprit, la régulation représente elle aussi une règle exigeante propre à créer l’harmonie. Car en l’absence de régulation, ce sont les forces brutes de la nature, de l’économie ou de la société qui prévalent, écrasant les faibles, créant des injustices et provoquant du désordre. Aussi l’harmonie passe-t-elle par un minimum de régulation collective comme par exemple la régulation des échanges aux frontières. Le fait de pouvoir décider qui rentre et qui sort du pays permet de renforcer la sécurité intérieure mais aussi de maîtriser l’immigration. De même, la régulation des échanges commerciaux internationaux permettrait de corriger le dumping social, écologique et monétaire que subit notre pays. Cette régulation aux frontières pourrait, par le retour à une concurrence loyale, mettre un terme au désordre économique et social engendré par le libre-échangisme international et, ce faisant, aller vers plus d’harmonie en France et en Europe.

    La sélection au mérite

    Encore faut-il que dans ce domaine, comme plus généralement dans toute la société, soit établi le principe de la sélection au mérite. L’harmonie exige en effet que chacun reçoive en fonction de son talent, de son travail, et du service qu’il rend à la collectivité. Vouloir traiter tout le monde de façon égalitariste ou, pis encore, utiliser les individus comme des pions pour instaurer partout une représentation préétablie de certaines catégories ne peut en effet que créer de l’injustice et de l’inefficacité. Ainsi en est-il des discriminations dites positives qui favorisent arbitrairement certains individus en raison de leur ethnie ou de leur sexe, une pratique génératrice de frustrations et de dysfonctionnements. De même, l’interdiction faite aux universités de sélectionner les étudiants en fonction de leur travail, de leur talent et de leur mérite est profondément malsaine car les plus brillants ne peuvent progresser comme ils le méritent et les moins doués perdent leur temps dans un cycle d’études qui n’est pas adapté à leurs qualités propres. L’harmonie passe donc là aussi par l’instauration du principe de la sélection au mérite.

    L’autorité

    L’harmonie exige enfin l’impératif d’autorité car, si l’on sélectionne les plus aptes pour occuper les postes de responsabilité, il est nécessaire de leur donner les moyens d’exercer leurs fonctions. Ce qui implique avant tout la reconnaissance et l’acceptation de leur autorité. La tendance actuelle à vouloir communautariser les décisions de façon à diluer les responsabilités et à limiter le pouvoir des décideurs est dangereuse car elle détruit l’autorité et conduit à la disparition des chefs. Or, si les chefs légitimes n’existent plus, ce sont des personnages indignes ou illégitimes qui s’empareront de leur pouvoir. Et c’est le chaos qui s’installera.

    Impératif d’homogénéité, sélection selon le mérite, préférence, régulation et autorité, autant de leviers que Ligne droite estime indispensable d’actionner pour rétablir un minimum d’harmonie dans notre pays.

  • « Gilets jaunes » : Christophe Castaner veut que la justice poursuive Eric Drouet pour son appel au « soulèvement »

    Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a dit mardi 29 janvier souhaiter que la justice poursuive l’une des personnalités des « gilets jaunes », Eric Drouet. Après avoir appris la blessure à un œil samedi d’une figure du mouvement social, Jérôme Rodrigues, le groupe Facebook La France en colère !!!, créé par Eric Drouet, avait décrété dans un communiqué « l’état d’urgence du peuple » et « appelé à un soulèvement sans précédent par tous les moyens utiles et nécessaires pour que plus personne ne soit victime de ces blessures de guerre ».

    « C’est un appel à l’insurrection. C’est quoi ‘tous les moyens utiles et nécessaires’ ? Les boules de pétanque jetées sur les policiers, c’est déjà fait. Les pavés, c’est déjà fait. Les cocktails Molotov, c’est déjà fait, a affirmé Christophe Castaner sur BFMTVCette dernière déclaration relève à mon sens de l’infraction pénale. Nous ferons ce qu’on appelle un article 40 pour que le procureur décide s’il veut poursuivre ou pas. Vous vous rendez compte qu’il appelle à utiliser de nouvelles armes alors qu’aujourd’hui il y a des cocktails Molotov ? »

    Eric Drouet a rapidement réagi : « Voilà, Castaner porte plainte contre moi ! Je commence vraiment à être fatigué de ce gouvernement », a-t-il publié sur le même groupe Facebook.

    http://www.fdesouche.com/1149051-gilets-jaunes-christophe-castaner-veut-que-la-justice-poursuive-eric-drouet-pour-son-appel-au-soulevement

  • Tepa interpelle le Premier ministre sur la loi Pompidou-Rothschild de 1973

    A Sartrouville (Yvelines), dans le cadre du Grand Débat National, Tepa interpelle le Premier ministre Edouard Philippe sur la loi Pompidou-Rothschild de 1973.

    https://www.medias-presse.info/tepa-interpelle-le-premier-ministre-sur-la-loi-pompidou-rothschild-de-1973/104328/
  • Quatre membres de Génération Identitaire ont été placés en garde à vue hier

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Il s’agit de Clément Galant, président du mouvement, de Romain Espino, porte-parole, et de deux autres militants, dont une maman enceinte de huit mois. Ils ont été auditionnés et relâchés dans la journée.

    Ces gardes à vues font suite à l’opération « Defend Europe » organisée par Génération Identitaire au col de l’Échelle durant l’été 2017. Une première enquête, au mois d’avril dernier, a dû être abandonnée faute d’infraction ou de plainte. Le procureur de Gap les accuse cette fois d’« immixtion dans une fonction publique », celle de la gendarmerie de Briançon, et d’exercice d’une activité « dans des conditions de nature à créer dans l’esprit du public une confusion avec l’exercice d’une fonction publique ».

    Les Identitaires, quant à eux, se sont toujours défendus en s’appuyant sur l’article 73 du Code pénal qui permet aux simples citoyens d’appréhender eux-mêmes un malfaiteur surpris en flagrant délit, lorsqu’il encourt de la prison ferme.

    https://fr.novopress.info/213434/quatre-membres-de-generation-identitaire-ont-ete-places-en-garde-a-vue-hier/

  • Loi “anti-casseurs” : vers une sélection des manifestants ? – Journal du mercredi 30 janvier 2019

     

    Loi “anti-casseurs” : vers une sélection des manifestants ?

    Mardi, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a pris la parole devant les députés pour défendre sa loi dite “anti-casseurs”. Un projet dont les contours s’apparentent à une véritable sélection des manifestants.

    80 km/h, un bilan partiellement positif ?

    Six mois après l’entrée en vigueur de la limitation à 80 km/h sur le réseau secondaire, le premier ministre, Edouard Philippe, a annoncé une baisse de la mortalité routière pour 2018. Un bilan en apparence positif pour une mesure contestée.

    Venezuela : Maduro tend la main à l’opposition

    Après la tentative de coup d’Etat de Juan Guaido, le président vénézuélien au pouvoir Nicolas Maduro s’est dit ouvert à de nouvelles élections législatives… pas sûre que ce gage de bonne volonté suffise aux puissances étrangères qui veulent sa tête… la construction d’un mythe autour de son opposant est d’ailleurs déjà en marche.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/loi-anti-casseurs-vers-une-selection-des-manifestants-journal-du-mercredi-30-janvier-2019

  • Prélèvement à la source : l’administration fiscale n’a pas fait son travail correctement

    Prélèvement à la source : l’administration fiscale n’a pas fait son travail correctement

    Vérifiez vos feuilles de paie. Voici ce qu’écrit Economie Matin :

    Contrairement à ses engagements, l’administration fiscale n’a pas respecté le délai qu’elle avait négocié avec les éditeurs de logiciels de paie. Les fichiers au format “XML” télétransmis devaient en effet parvenir aux services de paie et aux comptables au plus tard le 23 janvier. Or, dans nombre de cabinets comptables, les premiers fichiers ont commencé à arriver “au compte-gouttes” dans l’après-midi du lundi 28 ! Soit le jour où les fiches de paie sont établies dans beaucoup de services paie… Sachant que chaque fichier doit être récupéré manuellement par le responsable du dossier, et associé à l’espace reservé à l’entreprise dans le logiciel de paie, on imagine aisément le courroux et le désarroi des comptables. Mardi 29 janvier, dans la journée, certains fichiers CRM nominatifs et financiers n’étaient pas encore parvenus aux entreprises. Combien de centaines de milliers ? Ou de millions ?

    Pourquoi ? Sybilline, la DGFiP (Direction Générale des Finances Publiques) explique que ce “taux non personnalisé” ou “taux par défaut” s’impose “en cas d’échec d’identification d’un individu”. Lors des différents tests réalisés au cours des derniers mois, des problèmes d’identification des contribuables ont effectivement été remontés. Mais Gérald Darmanin a déclaré à plusieurs reprises, et encore en début de mois, que ces bugs avaient été résolus.

    Manifestement, c’est faux. Lors de notre enquête, nous avons découvert que nombre de fichiers informatiques (appelés CRM nominatif, et CRM financier), transmis par l’administration fiscale aux entreprises, étaient toujours truffés d’erreurs, contrairement aux promesses du ministre de l’Action et des Comptes Publics.

    Le bug le plus courant : le vrai faux numéro de Sécurité Sociale

    L’erreur, le bug le plus classique ? Un numéro de Sécurité Sociale ou NIR erroné. Et pas qu’un peu ! Dans un exemple de bug qui nous a été donné à consulter, le numéro de sécu du salarié à imposer commence par 1 72 02 75. Un numéro signifiant qu’il s’agit d’un homme (1), né en février 1972 (7202), à Paris (75). Or, dans le fichier transmis par l’administration fiscale, ce même salarié était identifé sous le numéro 1 83 12 76, autrement dit un homme né en décembre 1983, en Seine-Maritime ! Un expert en informatique consulté par nos soins croit déceler dans une telle erreur une “incrémentation automatique” des données. Autrement dit, certaines données sont entrées dans la machine, +1. 1972 devient en effet 1983 dans cet exemple, soit + 1 aux dizaines, et + 1 aux unités. Quand à la Seine (75), elle se transforme en Seine-Maritime (76), toujours +1.

    Mais il y a pire encore : la suite du “faux” numéro de Sécurité Sociale détecté par le comptable, mais pas par l’administration fiscale, aurait normalement dû déclencher une alerte, car les incohérences sont trop nombreuses. Votre numéro de Sécurité Sociale (inventé sous Vichy, pour identifier individuellement chaque citoyen) désigne en effet aussi la commune dans laquelle vous êtes né, et le numéro d’ordre sur les fichiers d’Etat civil ! Or, dans le cas en question, ce vrai-faux salarié/contribuable était censé avoir vu le jour dans la première commune de son département, sur un numéro de registre ne comportant… aucune naissance ! “Si Bercy s’était vraiment donné les moyens de traquer les bugs, ils auraient écrit des bouts de code capables de vérifier les numéros de Sécu”. D’autant plus que les numéros de Sécurité Sociale sont aussi dotés d’une clef de contrôle, comme les cartes bancaires, permettant justement de s’assurer que le numéro est correct..

    Le taux neutre, une vraie sanction financière pour certains

    Le problème de l’application du taux neutre à des salariés “inconnus” de Bercy, ou non reconnus, donc, en raison de ce genre de bugs, c’est que cela peut rapidement faire très mal financièrement. Prenez par exemple une salarié se trouvant dans la tranche de rémunération allant de 1988 à 2578 euros. Pour cette tranche, le barème établi par l’administration fiscale le soumet à un taux neutre de 9%. Autrement dit,  pour un salaire de 2000 euros net, 180 euros d’impôts (PAS) seront prélevés, et il lui restera 1820 euros de salaire net, après impôt.

    Et c’est là qu’est l’os. Car ces 180 euros, ce prélèvement à la source indû, l’employeur n’a pas d’autre possibilité que de l’envoyer au fisc ! Quand bien même le salarié ne devait pas être soumis au taux neutre… Pire encore : l’employeur est tenu d’appliquer le taux neutre, jusqu’à ce que l’administration fiscale lui en envoie un autre. Or, Bercy s’est ménagé une confortable soupape de sécurité. Les services fiscaux disposent en effet de droit de deux mois pour corriger et transmettre un nouveau taux, une fois contacté par le contribuable couroucé par l’erreur. Contribuable auquel l’on souhaite d’ailleurs bon courage, le service dédié au prélèvement à la source étant désespérément désormais sur messagerie, assorti d’un message automatique proposant de laisser son numéro de téléphone… Cerise sur le gâteau : si un salarié détecte une erreur le 5 février, le fisc pourra traîner jusqu’au… 5 avril pour la corriger ! Autrement dit, ses salaires de janvier, de février et de mars seront indument ponctionnés, sans autre forme de procès. S’il s’agit de 180 euros, et que son taux personnalisé est de 0, il lui manquera 540 euros sur son compte au début du mois d’avril. Et le contribuable salarié ainsi lésé devra encore entreprendre une autre démarche en parallèle, afin de récupérer auprès du fisc les sommes indues…

    Prélèvement à la source : le fisc a deux mois pour rectifier l’erreur

    Autant dire que les comptables et les responsables de la paie de millions d’entreprises en France vont s’arracher les cheveux, en essayant de tenter de débusquer les bugs que Bercy a nonchalamment télétransmis. Et comme ils ne pourront rien faire d’autre que d’appliquer le taux par défaut, le fameux “taux neutre”, chaque fois que l’information sur le taux personnalisé leur manquera, ils vont aussi sérieusement se créper le chignon avec les salariés mécontents… Vous avez dit simplification ?

    https://www.lesalonbeige.fr/prelevement-a-la-source-ladministration-fiscale-na-pas-fait-son-travail-correctement/