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France et politique française - Page 2327

  • Les Brigandes attaquées pour la chanson Promenade des Anglais : retard pour la sortie du nouvel album !

    Dans cette vidéo, nous voyons s’exprimer Patrick Jardin, père de Nathalie Jardin, tuée lors de l’attentat du Bataclan. Mais les personnes comme Patrick Jardin, qui se réveillent et partent en croisade contre la politique d’immigration incontrôlée, sont rares. La plupart des parents de victimes d’attentats s’écrasent, se mettent des œillères, se réfugient dans un faux « amour » aveugle qui devrait tout résoudre à coup de bougies et de slogans comme « Vous n’aurez pas notre haine ! ».

    C’est le cas des parents de la petite fille dénommée Léana, tuée à deux ans, lors de l’attentat du 14 juillet 2016, à Nice.

    Nous avions pris l’exemple de Léana pour notre chanson Promenade des Anglais. Cette chanson est une indignation face à la publicité faite lors de l’Eurovision pour la chanson Mercy, déplorant la naissance d’un migrant sur un bateau, alors que des enfants tués lors d’attentats islamistes n’ont jamais eu droit à un tel hommage culturel. Le refrain de la chanson Promenade des Anglais était donc « Léana, pour toi pas de chanson à l’Eurovision ». On y ajoutait plus loin : « On fait pleurer les cœurs, sur le sort de nos envahisseurs. » Bref, tout était dit, le but était de mettre en relief l’inversion du bon sens que nous vivons quotidiennement dans la France d’aujourd’hui.

    La chanson a d’abord été censurée par YouTube pendant toute la durée de l’Eurovision, avant d’être miraculeusement ré-autorisée à la fin du concours au mois de mai. Hasard ?

    Entre temps, nous avions reçu des courriels de la part des parents de ladite Léana, nous demandant de ne pas utiliser le nom de leur fille pour notre « propagande ». Ces courriels n’avaient pour nous aucune valeur, puisque le nom de Léana était sorti dans la presse et était donc de notoriété publique. Nous aurions fait un clip pour le vivre-ensemble, le pardon et l’assimilation du « bon Islam », la famille n’aurait jamais bronché pour l’utilisation du nom de Léana (sorti dans la presse, insistons là-dessus). Nous nous sommes alors dit : « Basta les autruches, si vous ne voulez pas ouvrir les yeux et vous battre, on le fait à votre place ! C’est un devoir. »

    Il y a quelques jours, la famille est revenue à la charge avec un avocat pour nous sommer de censurer la chanson. Quelle surprise lorsque nous avons vu le nom de l’avocat : il s’agit de Philippe SOUSSI, qui n’est pas seulement avocat, mais aussi Conseiller départemental des Alpes-Maritimes pour La République en Marche, ainsi qu’adjoint à la mairie… de Nice ! Mairie de Nice qui est tenue par le célèbre Christian Estrosi, lequel fut au cœur de nombreuses polémiques après l’attentat du 14 juillet 2016, notamment à cause du sulfureux « selfie » pris un an avant les faits avec Mohamed Lahouaiej Bouhlel, l’auteur de l’attentat (Estrosi parlera de « photo involontaire »).

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    Le maire de Nice Christian Estrosi avec Mohammed Lahouaiej Bouhlel, le conducteur du camion criminel (86 morts). Souriez monsieur le Maire, vous êtes filmé…

    On comprend donc les motivations de Philippe Soussi, représentant de la municipalité de Nice, pour faire censurer notre chanson Promenade des Anglais. Professionnelles, certes, mais aussi très politiques…

    Soussi, qui tient à nous apporter un maximum de soucis, nous a aussi demandé de censurer la chanson sur notre nouvel album à paraître, qui était déjà parti pour le pressage. Un retard est donc à prévoir quant à la parution de notre album « Aidez la France », initialement prévu pour ce mois-ci.

    Conclusion :

    La version originale de Promenade des Anglais a donc été retirée de YouTube pour le moment. Étant donné la puissance de tir que doit avoir monsieur Soussi, bien qu’il ne soit pas dans son bon droit selon nos avocats puisque le nom de Léana est public, nous éviterons de prendre des risques et nous graverons donc une version censurée de la chanson Promenade des Anglais sur notre nouvel album.

    La prochaine fois, on fera une chanson sur les enfants qui meurent de faim en Somalie, ça fera moins d’embrouilles. Et peut-être qu’on aura une chance de passer à l’Eurovision à la suite de Mercy…

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/09/13/les-brigandes-attaquees-pour-la-chanson-promenade-des-anglai-6084315.html

  • Le CSA à la sauce Pravda – Journal du jeudi 13 septembre 2018

    Médias / Le CSA à la sauce Pravda
    Alors que la réforme de l’audiovisuel doit être présentée avant la fin de l’année, le CSA a dévoilé 20 propositions pour être de la partie. Le but : étendre son pouvoir sur le numérique.

    Politique / Les voies de communication réhabilitées
    C’est un problème récurrent depuis maintenant deux décennies, les voies de communications françaises sont en piteux état ! Pour faire face à ce fléau, le gouvernement a annoncé un plan de réhabilitation qui, s’il aboutit, pourrait s’avérer bien utile.

    Paris / Grand Paris Express : une opposition face à un projet capital

    International / Vers une paix russo-japonaise ?
    Vladimir Poutine veut un traité de paix avec le Japon. Le président russe entend ainsi mettre fin à un désaccord remontant à la deuxième guerre mondiale… en cas de réussite la diplomatie russe pourrait sortir renforcée de ce “petit événement”.

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

    Lien Dtube

     
  • Nicolas Bay : « 72 migrants clandestins dans un petit village, c’est un scandale démocratique et une injustice ! »

    Le député européen Rassemblement national Nicolas Bay réagit au vote de l’article 7 par le Parlement européen contre la Hongrie de Viktor Orbán et à l’installation de migrants dans le petit village varois de Châteaudouble, dans le Var : « La venue de Marine Le Pen est légitime dans ce village où elle a obtenu près de 50 % des voix ! »

    Les députés européens ont sorti l’arme nucléaire contre Viktor Orban. C’est sous ce dénominatif qu’est qualifié l’article 7 des traités européens. Ils bannissent la Hongrie des débats européens.
    Quelle réaction avez-vous eue suite à cette décision de vos collègues ?

    Les institutions européennes sont dans une sorte de fuite en avant contre un pays et un gouvernement qui refusent les diktats de la Commission européenne. Ils refusent en particulier la politique de relocalisation forcée des migrants. C’est l’une des raisons pour lesquelles le parlement européen a déclenché l’article 7 qui va aboutir à priver la Hongrie de son droit de vote au Conseil.
    Cela révèle la vraie nature de l’Union européenne telle qu’elle est conduite aujourd’hui, c’est-à-dire, une Européenne punitive, coercitive qui nie la liberté des nations, refuse que les peuples puissent se défendre et qui est prête à tout pour museler l’expression populaire.
    Face à cela, nous avons eu une réaction de défense envers la Hongrie et Viktor Orban.
    Qu’avez-vous pensé du discours de Viktor Orban ?

    Une fois de plus, Viktor Orban a fait preuve d’une grande patience à l’égard des incessantes attaques dont il est l’objet. On l’a vu également défendre une ligne politique très claire. Pas du tout une ligne européenne. Il défend une Europe fondée sur les nations qui doivent être respectées, une Europe qui est capable de défendre son identité, notamment l’identité chrétienne à laquelle il a largement fait référence, à une Europe qui doit être celle des protections et des peuples et non pas une Europe des bureaucrates et des banquiers.
    Ce sont deux visions différentes qui s’affrontent.
    Le vote d’aujourd’hui au parlement européen est un vote de clarification politique. D’un côté, ceux qui veulent aller encore plus loin dans les défauts de l’Union européenne, son fonctionnement antidémocratique, les politiques de suppression de toutes protections et de toutes régulations économiques, la politique d’accueil, une immigration massive et anarchique. Et de l’autre, Viktor Orban, l’Autriche, l’Italie, la Pologne et nous au sein de notre groupe Europe des nations et des libertés qui défendons une vision totalement différente, à la hauteur du génie de notre civilisation et susceptible de donner à nos nations la puissance collective qu’elles ont perdue dans le cadre de l’Union européenne.
    Lors de votre intervention, vous avez opposé le camp des progressistes qui est constitué de Merkel et Macron en tête. Face à lui, le camp de l’Europe des nations qu’incarneraient Salvini et Orban.
    Est-ce l’Europe des nations contre l’Europe fédérale du progrès ?

    Je crois qu’il y a deux visions très claires. Mattéo Salvini et Viktor Orban en sont un peu aujourd’hui le fer de lance. Ils sont au pouvoir dans leur pays de cette Europe des nations et des protections.
    De l’autre côté, on a Emmanuel Macron avec le gouvernement socialiste espagnol de Monsieur Sanchez, lâché d’ailleurs en rase campagne par Angela Merkel qui est très fragilisée. Ils sont en situation de marginalisation et en échec total. Ils défendent encore ce vieux modèle du mondialisme, de la dérégulation totale et de la disparition des protections, alors que ce modèle n’était nulle part ailleurs sur la planète.
    Marine Le Pen a fait sa rentrée politique à Châteaudouble, un petit village du sud de la France.
    Pourquoi Châteaudouble ?
    En quoi ce village est important pour le Rassemblement national et Marine Le Pen ?

    Ce petit village varois de Châteaudouble est emblématique. C’est une commune qui compte un peu plus de 200 habitants à l’année et 500 pendant la période estivale. On impose à ce village 72 migrants clandestins logés aux frais du contribuable dans une ancienne maison de retraite réquisitionnée par le préfet.
    On assiste là à un scandale démocratique.
    Évidemment, la population n’a pas été consultée. Si elle l’avait été, elle aurait évidemment refusé cette relocalisation forcée de migrants. C’est également une injustice faite à nos compatriotes et en particulier aux plus modestes d’entre eux. On offre finalement le gîte et le couvert aux clandestins alors qu’on ne le fait pas pour les Français qui sont dans la précarité.

    Lors du cortège des élus, Marine Le Pen a été quelque peu bousculée.
    Est-ce que cela traduit une déficience de la présidente du Rassemblement national ou est-ce le fait d’une poignée de militants ?

    C’est incontestablement le fait de quelques dizaines de militants d’extrême gauche hargneux venus dans ce village de manière très artificielle puisqu’ils n’y habitent pas. Ils sont venus uniquement pour faire croire qu’il y aurait une opposition à Marine Le Pen.
    Je rappelle que Marine Le Pen a obtenu près de 50 % des voix dans ce petit village de Châteaudouble à l’élection présidentielle. Elle y est un peu chez elle. Elle a toute légitimité pour s’y rendre.
    En revanche, ces militants gauchistes n’ont rien à y faire. On voit qu’ils n’ont aucun autre argument que l’agressivité et la violence. Cela a le mérite de la clarté. D’un côté, on voit des élus responsables, comme Marine Le Pen et le Rassemblement national qui défendent les Français et de l’autre côté, des militants extrémistes qui agissent par idéologie et qui veulent imposer une immigration qu’eux-mêmes, à titre personnel, ne subissent pas. Ils veulent imposer l’immigration à ce petit village, mais eux-mêmes ne vont pas la subir au quotidien.

    Nicolas Bay

    http://www.bvoltaire.fr/nicolas-bay-72-migrants-clandestins-dans-un-petit-village-cest-un-scandale-democratique-et-une-injustice/

  • Politique & éco n°182 Populistes de tous les pays, unissez-vous ! Avec Georges Clément

    Olivier Pichon reçoit Georges Clément, chef d’entreprise, écrivain, président du Comité Trump France.

    1.Médine au Bataclan, le point de rupture est atteint
    – Pourquoi le Comité Trump France rejoint le CNRE ? (Conseil national de la Resistance européenne)
    – Les modalités économiques et démographiques du grand remplacement
    – “Si les français acceptent çà ils accepteront tout, une page sera tournée” Renaud Camus
    – Les précédents au bataclan : une mosquée à Ground Zéro, New York.
    – le combat victorieux de Pamela Geller

    2.L’affaire du gang des violeurs pakistanais
    – Le courage de Tommy Robinson
    – L’emprisonnement de T. Robinson et la maladie mentale des Européens
    – La justice contre le peuple
    – L’invraisemblable plainte contre Salvini
    – Quand les juges mettent en cause l’expression démocratique et la souveraineté des peuples et des Etats.
    – Médine au bataclan, une provocation !
    – Les paroles des chansons du rappeur sont les actes commis au Bataclan !
    – Que font les familles des victimes ?
    – Une marque de territoire, le peuple français a-t-il encore sa fierté ?
    – Le désespoir en question

    3. Trump aux côtés des populistes ?
    – Voir clair dans le brouillard médiatique
    – Trump pourra-t-il aider l’Italie à résoudre son endettement
    – Italie : se libérer de la contrainte de la commission européenne
    – Macron va-t-en guerre contre l’Italie ?
    – La question budgétaire aux USA, le budget de la défense en augmentation.
    – Dans la guerre civile froide qui se livre aux USA, Trump ménage les militaires
    – La question de la modernisation de l’arsenal US
    – Les relations avec la Russie de Poutine, problème des sanctions votées par le Congrès
    – La Russie la Turquie et l’Otan
    – La logique du choc et (maintenant) de la guerre des civilisations
    – La figure de McCain et des RINO (Republican in Name Only)
    – CNN, le NY Times, les démocrates : quand les tenants de la société permissive font la morale à Trump
    – La tournée de Steve Banon en Europe, un pôle pour soutenir les populismes en Europe

    Conclusion : la dissolution de la démocratie ne dissout pas le peuple.

    https://www.tvlibertes.com/2018/09/10/25627/politique-eco-n182-populistes-de-pays-unissez-georges-clement

  • Contradictions républicaines

    6a00d8341c715453ef022ad3b08675200b-320wi.jpgCe 12 septembre L'Opiniondonnait la parole à deux représentants du parti qui s'intitule fièrement Les Républicains. L'un, le plus fougueux, le plus vigoureux et, pour certains lecteurs, sans doute le plus convaincant s'appelle Sébastien Pilard. Il est conseiller régional LR des Pays de la Loire et membre du bureau politique desdits Républicains. Il opine que l'on ne doit pas mettre la Hongrie au ban de l'Union européenne.[1]

    Le second, plus célèbre pour avoir fait voter une loi bioéthique dont il porte le nom Jean Leonetti, lui aussi membre du parti Les Républicains répondait au contraire, aux questions de Nicolas Beytout : Orban, dit-il, "s’est détaché des règles européennes et du PPE"[2] et, sans se démentir, il précise qu’il n’existe pas de porosités avec l’extrême droite, estimant en revanche qu’il n’y a pas de divergences entre le projet européen du parti et celui d’Alain Juppé.

    Nous nous trouvons dons en présence d'un débat. Le débat est toujours sain lorsqu'il est loyal, lorsque le juge est impartial et lorsqu'on laisse sa chance au fauve lâché dans l'arène. Toute la différence entre république et démocratie tourne autour de la conception du débat. Essence de la démocratie véritable, le débat ne saurait être attribué en propre au régime que l'on appelle république, sorte de projection de l'État jacobin avant-goût du totalitarisme. Il n'appartient guère en général aux gens qui se disent républicains. S'il caractérise plutôt la démocratie, au moins formellement, s'il devrait la caractériser, cela suppose toujours que les opinions s'expriment dans une libre confrontation.

    Toutes les opinions même religieuses, proclame la Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 laquelle, il est vrai, assortit ce principe de liberté d'une inquiétante réserve, d'ordre réglementaire.[3]

    La Cinquième république, depuis la saison 5 ou 6, transgresse allègrement les règles fondamentales de ce savoir-vivre ensemble en l'interprétant comme : aucune opinion ne doit dépasser dans les rangs, surtout pas une conviction religieuse, en particulier chrétienne.

    Pour en revenir au débat actuel, il convient de se souvenir que Juppé mérite bien d'être cité en référence des gens qui voudraient bouter Budapest hors du continent. Après, viendra le tour de Varsovie, puis celui de Vienne, puis peut-être celui de la Hollande ou du Danemark, et certainement l'Italie. Ils seront exclus d'une Europe restreinte au grand-duché de Luxembourg. Et ceci se ferait donc au nom de principes adoptés précisément comme déclaration unanime des États à Nice en 2000, sous la présidence Chirac, texte rédigé par deux grandes figures de la pensée, nommées Toubon et Juppé, énoncé que l'on ne peut corriger qu'à l'unanimité.

    La contradiction entre membres de ce parti, qui s'appelle de façon tellement significative mais à vrai dire également si cocasse, si choquante pour l'oreille, Les Républicains, ne se pose pas en pour Orban ou contre Orban. Elle oppose le principe même du politiquement correct, d'une part, et la libre expression des opinions ainsi que le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, d'autre part.

    Dans ce débat, car cela reste encore un débat sans se poser la question du rapport de l'intéressé aux canons de la beauté antique, on éprouve furieusement la tentation de défendre, contre les admirateurs et les disciples de Juppé, les méchants du film.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    [1] cf. Sébastien Pilard (LR): "Le procès d’Orban devant le Parlement Européen, c’est l’Europe dont nous ne voulons plus"

    [2] cf. Jean Leonetti (LR): "Orban «s’est détaché des règles européennes et du PPE"

    [3] Article 10. "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi."

    http://www.insolent.fr/2018/09/contradictions-republicaines.html

  • Loi Alimentation et Agriculture : les paysans français bientôt condamnés à la ruine ?

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    De manière frappante et mieux qu’un long discours, certains événements ont le mérite d’éclairer ce qu’est devenue la société. Cette loi, par exemple, intitulée Alimentation et Agriculture, relative aux rapports entre paysans et grande distribution, dont l’Assemblée nationale débat ce mercredi 12 septembre. But de la manœuvre : rééquilibrer la balance en faveur d’un monde agricole écrasé par une concurrence de plus en plus sauvage.

    Comme il se doit, Le Figaro nous prévient : « Ce système d’élaboration des indicateurs de prix se révèle complexe pour certaines filières agricoles de par leurs performances économiques inégales entre différentes exploitations agricoles ainsi que des estimations techniques inconciliables entre producteurs et distributeurs. » Bref, on sait déjà, au-delà du verbiage de circonstance, que ce n’est pas gagné d’avance.

    Pis, en admettant que ce texte voie le jour – ce qui est loin d’être sûr –, les mesures « seront dans un premier temps mises en place sur une période d’essai de deux ans ». C’est-à-dire qu’un Parlement au pouvoir, réduit à sa plus simple expression, met en scène sa propre démission. Nos députés peuvent, d’ailleurs, bien voter ce qu’ils veulent, le droit européen primera toujours sur le droit français.

    Cité par le magazine Process alimentaire, l’avocat Nicolas Gransard, spécialiste du droit de la concurrence, prévient ainsi : « En l’état, il est très difficile de privilégier une production nationale, malgré des caractéristiques positives » par rapport à d’autres produits européens. Toute mesure privilégiant des produits nationaux se heurtera aux lois européennes de libre-échange des marchandises. » Voilà, au moins, qui est clair : l’État français a constitutionnellement organisé son impuissance.

    D’autres maux actuels sont encore ce lobbying forcené de multinationales – grande distribution et chimie – dont il n’est pas besoin d’être grand clerc pour voir ici la marque. Même les journalistes de RTL en convenaient ce matin, c’est dire. Traditionnellement, le pouvoir économique était jadis subordonné au pouvoir politique. C’est désormais l’inverse, en Europe comme aux États-Unis. Elle est bien lointaine, l’époque où la Maison-Blanche avait encore les moyens d’un loi antitrust suivie d’effets tangibles, toute aussi lointaine que celle où le général de Gaulle pouvait affirmer, sans provoquer l’hilarité générale que, « la politique de la France ne saurait se faire à la corbeille ».

    L’infernal binôme plus haut évoqué a donc toute latitude d’empoisonner les sols et les estomacs tout en poussant ce qui demeure de paysannerie à la ruine, quand ce n’est tout bonnement pas au suicide.

    Pourquoi les médias n’alertent-ils pas plus l’opinion publique, objectera-t-on ? Mais parce qu’il s’agit, avec l’industrie du luxe, des plus gros annonceurs, pardi ! Quel patron de presse prendrait le risque de se voir refuser cette manne publicitaire maintenant radios, journaux et télévisions sous perfusion ? Bien sûr, seul un État fort serait à même de faire contrepoids. Mais qui veut encore d’un État fort dans ces élites qui font l’opinion ?

    Les libéraux, qu’ils penchent à droite ou à gauche, estiment que ledit État fait partie du vieux monde et qu’un légitime contrôle des prix nous ramènerait au bolchevisme mitterrandien du 10 mai 1981, tandis que nos écologistes en peau de lapin, sclérosés par leur gauchisme infantile, affirment qu’un tel État serait « fasciste » par nature. Les uns s’en remettent à la sainte concurrence, les autres au « basisme autogéré », telles qu’en ont témoigné leurs nuits de parlote debout. De ces deux engeances, laquelle est la plus nuisible ? On ne sait que choisir…

    Alors, oui, cette triste affaire à l’issue malheureuse quasi annoncée – que cette loi passe ou non, elle aura été préalablement rendue inapplicable dans les faits – est tristement révélatrice de la période. En attendant les grandes jacqueries populistes annoncées ?

    http://www.bvoltaire.fr/loi-alimentation-et-agriculture-les-paysans-francais-bientot-condamnes-a-la-ruine/

  • IVG : la (tardive) prise de conscience de son caractère homicide

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    Bernard Plouvier

    Scandale chez les plus enragées des féministes ! Le 11 septembre 2018, le Président du Syndicat National des Gynécologues-Obstétriciens a osé énoncer une vérité qu’aucun médecin ne peut renier : « Nous ne sommes pas là pour prendre des vies ».

    Il est évident que cette phrase ne condamne pas les (plutôt rares) avortements thérapeutiques, soit une nécessité vitale pour la femme enceinte et qui définit l’Interruption Médicale de Grossesse.

    La déclaration de Bertrand de Rochambeau n’a porté que sur l’avortement volontaire, autrefois jugé criminel et que la Loi Veil du 17 janvier 1975 a dépénalisé. On peut nuancer son propos sur un seul point. L’avortement peut se justifier moralement dans les suites d’un viol : c’est une IMG pour raison d’ordre psychologique et eugénique, laissée à l’unique appréciation de la victime.

    L’IVG est objectivement – pour qui considère la chose de façon éthique, sans la moindre référence à un dogme religieux, politique ou sociologique – un Homicide. À ceci près qu’il est autorisé par la loi, de ce fait banalisé, et même remboursé par la Sécurité Sociale depuis le 31 décembre 1982, François Mitterrand ayant estimée « urgente » cette mesure, repoussée par une majorité de sénateurs.

    En France et chaque année, on assassine – c’est la définition du meurtre avec préméditation –environ 225 000 enfants, privés du droit de naître. Et, pour combler les vides, on importe de l’extra-Européen par million chaque décennie !

    Étant seuls responsables du choix des politiciens qu’ils ont hissés aux apparences du pouvoir, les Français sont coupables des lois immorales, dépourvues de toute référence éthique, concoctées par les honorables « élus du peuple ».

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Maurras et le Fascisme [5]

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    Par Pierre Debray

    C'est une étude historique, idéologique et politique, importante et profonde, que nous publions ici en quelques jours. Elle est de Pierre Debray et date de 1960. Tout y reste parfaitement actuel, sauf les références au communisme - russe, français ou mondial - qui s'est effondré. L'assimilation de l'Action française et du maurrassisme au fascisme reste un fantasme fort répandu des journalistes et de la doxa. Quant au fascisme en soi-même, si l'on commet l'erreur de le décontextualiser de sa stricte identité italienne, il reste pour certains une tentation, notamment parmi les jeunes. On ne le connaît pas sérieusement. Mais il peut-être pour quelques-uns comme une sorte d'idéal rêvé. Cette étude de Pierre Debray dissipe ces rêveries. Elle s'étalera sur une dizaine de jours. Ceux qui en feront la lecture en ressortiront tout simplement politiquement plus compétents. LFAR

    4012843030.3.jpgCertes Mussolini laisse subsister le capitalisme. C’est uniquement pour des raisons d’opportunité. Le premier ministre de la justice de l’État fasciste, M. Rocco, constate qu’une certaine liberté économique n’est préservée que parce que « l’aiguillon de l’intérêt individuel est le plus efficace des moyens, pour obtenir le maximum de résultat, avec le minimum d’effort ». En réalité, l’initiative privée ne subsiste qu’autant qu’elle accepte la direction de l’État. Quand Mussolini écrit que « c’est l’État qui doit résoudre les contradictions dramatiques du capitalisme », il ne tient pas un autre langage que Lénine. Il s’autorise, d’ailleurs, de l’exemple du grand doctrinaire marxiste, qui lui aussi a rétabli, momentanément, une liberté économique relative. Qu’importe puisque le capitalisme subit une métamorphose radicale, en devenant, selon l’expression de Lénine (photo), « capitalisme d’État ». Dans le discours de Trieste du 20 septembre 1920, Mussolini reconnaît que la mise en place d’un État prolétarien serait prématurée. « Le prolétariat, explique-t-il, est capable de remplacer d’autres valeurs sociales ; mais nous lui disons : avant de t’étendre au gouvernement d’une nation, commence par te gouverner toi-même, commence par t’en rendre digne techniquement et auparavant moralement parce que gouverner est une chose terriblement complexe, difficile et compliquée » ... Ainsi tout comme Staline, Mussolini rejette l’État prolétarien à l’horizon de l’histoire, mais avec beaucoup plus de franchise. On pourrait dire du fascisme qu’il est, par quelques côtés, un stalinisme honnête, ou, selon l’optique, un stalinisme honteux.

    En attendant que le prolétariat soit en mesure d’assumer, en tant que classe, la direction des affaires publiques, il n’est d’autre recours pour le socialisme, qu’il soit de type stalinien ou de type fasciste, que dans le jacobinisme. M. Alfredo Rocco a montré, peut-être à son insu, que la conception fasciste de l’État se modèle sur celle de Jean-Jacques Rousseau, de Robespierre et de Saint-Just. « Le gouvernement », selon lui, « doit être entre les mains d’hommes capables de s’élever au-dessus de la considération de leurs propres intérêts et de réaliser les intérêts historiques et immanents de la collectivité sociale considérée comme unité qui résume l’ensemble des générations ». De même, selon Rousseau et les Jacobins, la volonté générale ne s’identifie pas à la majorité, mais aux citoyens vertueux, ne fussent-ils que quelques-uns, qui ont abdiqué toute volonté particulière ou si l’on préfère tout amour-propre, au sens qu’ont donné à ce mot les moralistes du siècle classique. 

    M. Rocco va jusqu’au bout de la dure logique jacobine lorsqu’il affirme que « tous les droits individuels sont des concessions de l’État faites dans l’intérêt de la société ». Le droit de propriété, l’initiative privée dans la production ne sont respectés que parce qu’ils apparaissent conformes à l’intérêt de la société. Du moment que les citoyens vertueux, en l’occurrence les membres du parti, estimeront que l’intérêt de la société a changé, ils nationaliseront l’ensemble de l’économie. M. Rocco est au demeurant parfaitement conscient de la filiation jacobine de sa pensée car il célèbre le relèvement de l’État « dans la seconde phase de la Révolution (française) et pendant la période de l’empire napoléonien ». Néanmoins, les fascistes n’afficheront que du mépris pour Rousseau. C’est, de leur part, simple inconséquence. Pour l’avoir mal lu, ils le tiennent pour un individualiste. Sous l’Occupation, M. Marcel Déat (photo)leur en fera le reproche mérité. 

    1458427873.2.jpgAinsi Mussolini était parfaitement justifié de proclamer, dans son discours de Milan du 5 février 1920 : « Le seul, l’unique socialiste peut-être qu’il y ait eu en Italie depuis cinq ans, c’est moi ». Drieu la Rochelle (photo) aura tout aussi raison d’intituler l’un de ses ouvrages Socialisme fasciste. D’ailleurs puisque le fascisme est action avant d’être doctrine, il est aisé de prouver que l’évolution qui transformera l’agitateur romagnol en dictateur s’est opérée sans solution de continuité. Sans doute l’histoire est-elle écrite par les vainqueurs, et ceux-ci, soucieux de déshonorer politiquement Mussolini, se sont-ils efforcés de le présenter comme un ambitieux qui, pour satisfaire ses appétits, a trahi la cause de sa jeunesse. Rien n’est plus contraire aux faits. 

    Le 7 juin 1914 fut sans doute la date décisive de l’existence politique de Mussolini. Ce jour-là, une bagarre éclata à Ancône. Trois ouvriers furent tués, ce qui provoqua une grève générale dans l’Italie tout entière. Elle se développa avec une brutalité extraordinaire. Des églises brûlèrent. À Ravenne, un général fut arrêté par les manifestants. Partout, des conseils ouvriers se constituèrent. Mussolini, alors rédacteur en chef de l’Avanti, le quotidien du parti socialiste, estimait qu’il fallait organiser révolutionnairement les masses en lutte. La majorité du parti décida contre lui d’empêcher la « démonstration » de se transformer en insurrection. 

    Persuadé qu’il n’y avait rien à espérer du Parti, Mussolini s’en sépara en octobre parce qu’il avait décidé de faire campagne en faveur de l’intervention de son pays aux côtés de la France. Le 15 novembre, il fondait le Popolo d’ltalia, « quotidien socialiste » et groupait ses partisans dans « les faisceaux d’action révolutionnaire » qui devaient être, selon leurs statuts, « les libres groupements des révolutionnaires de toutes les écoles, de toutes les croyances et doctrines politiques. » On a reproché à Mussolini d’avoir reçu des subsides de la France, ce qui est certain. On devait reprocher de même à Lénine d’avoir rejoint son pays en traversant l’Allemagne dans un wagon plombé. En fait, Mussolini n’était pas plus l’agent de Poincaré, que Lénine ne le sera de Guillaume II. S’il avait choisi de militer en faveur de l’intervention militaire de son pays, c’était exactement pour les mêmes raisons que Lénine lorsqu’il prêchait « le défaitisme révolutionnaire ». Les deux hommes adoptaient certes des attitudes opposées, mais contre un ennemi commun : la social-démocratie réformiste et opportuniste, qui défendait, en Italie comme en Russie, la politique « bourgeoise », ici l’égoïsme sacré, là la guerre.  ■  (A suivre)

    Lire les article précédents ...

    Maurras et le Fascisme  [1]  [2]  [3]  [4]

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/09/07/maurras-et-le-fascisme-5-6082707.html

  • Et si on donnait d’abord à manger aux Français qui ont faim ?, par Caroline Parmentier

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    En France en 2018, sous le couple Macron qui se plaît à dire qu’il « mange le plus léger possible », soit « dix fruits et légumes par jour et beaucoup de fruits de mer », un Français sur cinq a des difficultés à se procurer de la nourriture pour assurer trois repas par jour.

    Ce sont des témoignages qui serrent le cœur : « Je travaille et je gagne 1 300 euros par mois », témoigne une mère seule. « J’ai 600 euros de loyer et 400 euros de charges incompressibles. Il me reste 10 euros par jour pour m’habiller et me nourrir avec mes deux enfants. Je ne fais moi-même qu’un repas par jour à deux euros. Jamais de viande ni de poisson. C’est vite vu, c’est en général du pain, avec ce que je peux mettre dessus. »

    « L’alimentation est souvent la variable d’ajustement face à des dépenses contraintes comme le loyer ou l’énergie », observe Amandine Lama d’Ipsos. On a généralement renoncé entre temps aux vacances, aux loisirs et aux soins médicaux. Quand l’AME (aide médicale aux étrangers en situation irrégulière) continue de nous coûter plus d’un milliard par an…

    Qu’ils mangent de la brioche du Lidl !

    A deux jours de la présentation du plan-pauvreté en 13 mesures de Macron, 27% des Français répondent à Brigitte qu’ils n’ont pas les moyens financiers de s’acheter quotidiennement des fruits et légumes. Ils n’ont qu’à manger de la brioche du Lidl, pensera-t-elle peut-être, car après tout contrairement à elle, ce n’est pas grave que les pauvres soient gros. C’est en effet l’un des paradoxes bien connu de la précarité : les régions où les Français sont les plus pauvres sont aussi celles où l’on trouve le plus de cas d’obésité. La faute notamment à la mauvaise bouffe, aux sodas à 0,99 euros et aux graisses saturées.

    Le Secours populaire français relève mardi dans un baromètre annuel IPSOS que 39 % de la population a été confrontée à des « privations multiples » en 2018. Un chiffre en hausse. Derrière ce chiffre il y a des familles, des enfants. « L’intensification de la pauvreté en France poursuit une tendance inquiétante. » Près d’un Français sur trois reconnaît avoir du mal à payer des actes médicaux mal remboursés (56% pour les foyers les plus modestes).

    Autre chiffre qui devrait interpeller le « président des riches » qui rêve de plein emploi et de lendemains qui chantent, tout en continuant d’accueillir massivement une immigration ruineuse et illégale : la majorité des personnes interrogées (81%) sont convaincues que leurs enfants seront plus vulnérables face à la pauvreté que leur génération. Sentiment éminemment anxiogène pour des parents. Ce n’était pas le cas il y a seulement dix ans, où les Français étaient persuadés que leurs enfants vivraient mieux qu’eux.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 12 septembre 2018

  • Nouvelles étatisations sur ordonnance

    6a00d8341c715453ef022ad36a62e7200c-320wi.jpgParmi les images les plus belles et les plus suggestives de la Bible, l'une reste le plus souvent mystérieuse aux yeux des incroyants, quand elle ne suscite pas leur ironie : il s'agit de la diminution, de génération en génération, de la longévité, elle-même évidemment mythique, des patriarches. L'explication tient dans ce message, réaliste quoique macabre, de la progression du péché dans un monde coupé de la lumière divine.

    On pourrait en notre temps, déceler d'autres signes, bien différents sans doute, tels que l'effrayante prolifération des actes criminels monstrueux, impunis et sanglants, à l'encontre d'enfants ou de personnes sans défense.

    Mais le règne du mensonge paraît plus annonciateur encore des malheurs futurs, quand rien ne vient les corriger.

    À plusieurs reprises, depuis la loi sécurité sociale de Simone Veil en 1993, et notamment Chiraquo regnante en 2004, il avait été affirmé, comme un principe intangible, on a même parlé de règle d'or, que la séparation comptable de la protection sociale et du budget de l'État demeurerait définitivement étanche. C'est même en application de cette affirmation que fut institué le principe d'un rapport annuel de la Cour des comptes remis au parlement à la veille des débats budgétaires. Le premier en date fut diffusé en septembre 1995 et il se révélait tellement désastreux que l'on crut alors possible une réforme d'ensemble de ce système que le monde nous envie mais ne copie guère.

    En fait de réforme il fallut alors se contenter de son exact contraire, sous le nom de plan Juppé.

    Annoncé en novembre 1995, ficelé grâce à une nième réforme de la constitution votée en février 1996, les décrets se prolongeant jusqu'en 1997, ce désastreux programme multiplia les nuisances technocratiques. Il institua notamment une médecine sans médecins, grâce au numerus clausus.

    Et il mit en route une étatisation rampante de tous les protagonistes du système, désormais fonctionnarisés.

    Certes, il existe encore des îlots remarquables de compétences, de dévouements, de véritables vocations, des jeunes appelés par un feu sacré, que l’on trie trop souvent, hélas, en première année sur la base de leurs capacités en mathématiques. La dégradation continue de progresser dans les couloirs de nos antichambres de la mort. L'image biblique ne se dément pas.

    Or, une nouvelle réforme, présentée une fois de plus comme purement comptable, va mettre une fois de plus les organismes de prévoyance sociale sous la coupe de l'État. Celui-ci leur imposera de nouvelles exonérations mais il n'en assumera pas les coûts. Le même tour de passe passe a été ainsi imposé aux collectivités locales sans que personne n'y ait pris garde au départ.

    Nos ministres intègres, Agnès Buzyn et Gérald Darmanin, pour justifier la nouvelle mesure, s'appuient sur un rapport technocratique. Le document a été rédigé, à la demande du gouvernement, par Christian Charpy et Julien Dubertret, deux hauts fonctionnaires aux carrières bien représentatives. Ces deux personnages parlent à cet égard de nouvelles solidarités : puisque l'assurance maladie, à force de déremboursements, est parvenue à se rapprocher de l'équilibre comptable, elle doit voler au secours de cet État, toujours impécunieux, mais toujours généreux avec l'argent des autres.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2018/09/nouvelles-etatisations-sur-ordonnance.html