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France et politique française - Page 2837

  • Zemmour, lui, ne couche pas avec les politiques !

    On comprend qu’Éric Zemmour soit excédé par ces donzelles obsédées par leurs émotions, qu’elles brandissent tels les étendards de vérités absolues.

    Ça, c’est envoyé ! « Je les connais un peu mieux que vous, les politiques. Moi, je ne couche pas avec ! », a lancé Éric Zemmour à Gaël Tchakaloff, venue, toute minaudière, vendre sur Paris Première sa Divine Comédie, une compilation des ses tribulations simili-érotiques avec des hommes politiques.

    Dans Vanity Fair, le 5 avril dernier, elle se vantait, en effet, de « traverser la vie politique comme la vie amoureuse ». Les titres des chapitres sont, d’ailleurs, plutôt suggestifs : « Pénétrer », « Vivre », « Aimer », « Capturer », « Palper », « Trahir » « Frémir », « Détruire », « Extirper ». Et la dame est journaliste ? Romancière, aussi, comme Christine Angot ou Virginie Despentes. En plus glamour, mais pas moins collectionneuse.

    Divine Comédie ne parle jamais de politique. Mais de quoi, alors ? De ses flirts avec des hommes politiques, beaucoup d’hommes politiques, de tous bords, qu’elle harcèle dans leurs QG respectifs et appelle familièrement par leur petit nom : Bruno, Jean-Luc, Alain… Blond, brun ou chauve, de droite ou de gauche, qu’importe ? Elle les aime tous ! Ou presque, car elle connaît aussi des déceptions (« C’est décidé, Manuel, je ne le suivrai jamais plus ») et fait parfois la fine bouche : « [Benoît Hamon] ne m’intéresse pas plus aujourd’hui qu’hier » (il est vrai qu’il n’a pas la cote dans les sondages non plus).

    Elle voue, en revanche, une passion particulière au maire de Bordeaux, à qui elle avait consacré son ouvrage Lapins et Merveilles – 18 mois ferme avec Alain Juppé (on ne rit pas !). Mais sa « plus belle histoire d’amour », c’est Emmanuel Macron, dont les « billes bleues plongées dans les [siennes] » l’ont manifestement envoûtée !

    Bref, les grandes idées, les programmes des candidats, l’avenir de la France, elle s’en tape. La politique, elle ne l’analyse pas, elle la « ressent », elle la vit comme un « road trip », lit-on sur Wikipédia, à cent à l’heure. Un jour en jean et baskets pour plaire à l’un, l’autre en tenue affriolante pour plaire à l’autre. Et des SMS, beaucoup de SMS : « Si toutes les équipes de campagne regroupaient mes messages, il y aurait de quoi me faire interner », confesse elle-même cette « nymphomane politique ». Alors, réfléchir, dans ces conditions…

    On comprend qu’Éric Zemmour soit excédé par ces donzelles obsédées par leurs émotions, qu’elles brandissent tels les étendards de vérités absolues. Son bouquin ? Mais c’est tout ce qu’il déteste, Zemmour ! « Vous êtes, lui assène-t-il, l’incarnation paroxystique et caricaturale de ce que j’appelle le journalisme féminin, c’est-à-dire que vous ressentez, vous aimez, vous sentez, vous embrassez, vous cajolez, vous pénétrez, vous êtes pénétrée, que sais-je ? » Il savait bien où il mettait le doigt, notre Éric national !

    « Quand je vous lisais, je pensais à la phrase de Kierkegaard qui disait “L’homme est raison, la femme est substance” », lui lance-t-il encore.

    Misogyne, Zemmour ? Que voulez-vous, il exècre les femmes qui confondent le journalisme avec la mise en scène de leur pathétique et vulgaire pathos. Celles qui se croient libérées parce qu’elles écrivent avec leur cul en lieu et place de leur cerveau. Ou celles qui font de la promotion canapé la pierre angulaire de leur carrière.

    Si Zemmour est misogyne, alors, moi aussi !

    http://www.bvoltaire.fr/zemmour-lui-ne-couche-politiques/

  • T. de la Tocnaye : « Les 3 blocages économiques que fera sauter Marine Le Pen » #09

  • [Essai] : Organisations étudiantes, jeunesse révoltée et royalisme.

    Au début de l’année 2017 a eu lieu un événement historique dans le paysage militant étudiant : l’Union Nationale des Etudiants de France (UNEF) s’est pour la première fois de son histoire laissée distancer par une autre organisation étudiante au Conseil National des Œuvres Universitaires et Sociales (CNOUS). La Fédération des associations générales étudiantes (FAGE) ayant obtenu 5 sièges, contre 3 pour l’UNEF, elle devient la première organisation étudiante de France.

    Cette nouvelle nous permet de faire un constat de la représentativité étudiante et de ses enjeux.

    Pour commencer faisons un bref rappel historique. L’UNEF prend forme en 1907 et regroupait alors et jusqu’en 1962 toutes tendances politiques et tous types de syndicalisme. A partir de 1962, l’UNEF explose en raison de divergences sur la position concernant la guerre d’Algérie, puis au fil des années, de nombreuses scissions font que l’UNEF se radicalise à gauche ; ce qui laisse émerger de nombreux mouvements tels que ceux des corporations étudiantes (se disant apolitiques) et l’UNI (l’union des étudiants de droite).

    Le principal représentant des corporations étudiantes (ensemble des associations locales ou de filières ayant pour but l’animation et l’amélioration de la vie étudiantes) est la FAGE.

    Depuis la loi Jospin de 1989, pour qu’une organisation étudiante soit représentative, elle doit avoir au moins un élu au Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche (CNESER). Seules trois organisations remplissent ce critère : FAGE, UNEF, PDE (Promotion et Défense des Etudiants).

    Les représentants étudiants interviennent absolument partout où il est question du milieu étudiant : dans chaque filière de chaque université, dans les conseils centraux des universités, dans les commissions pédagogiques nationales, dans les conseils d’administration de tous les CROUS, chaque université et chaque CROUS élit un représentant des étudiants dans leur gouvernance (vice-président étudiant).

    Les étudiants ont un droit de regard et de vote sur la plupart des décisions prises sur un plan stratégique, que ce soit au niveau local ou national.

    Maintenant que le contexte et l’enjeu de cette représentation sont posés, qu’en est-il de la représentation royaliste ?

    Le seul représentant du royalisme dans le milieu étudiant est l’Action Française étudiante, elle ne prend cependant pas ou peu parti aux élections.

    L’immersion du royalisme dans le milieu étudiant représente un réel enjeu de visibilité, car les jeunes se détournent de la vie politique en général, ils sont particulièrement insensibles et ne saisissent pas l’importance de la représentation étudiante, voire ne se sentent pas représentés par les mouvements qui leur sont proposés.

    Ce constat est démontré par le faible taux de participation à chaque élection, qui avoisine les 10 % en général, descendant même jusqu’à 7 % aux dernières élections des conseils d’administration des CROUS.

    Malgré cette faible représentativité, les organisations ont une tribune considérable sur les sujets de sociétés concernant la jeunesse, ainsi qu’une très grande visibilité.

    Au vu des faibles taux de participation, il est aisé pour une organisation royaliste de pouvoir se frayer une place dans ce paysage, et ainsi gagner une tribune médiatique supplémentaire, mais aussi de démontrer la connaissance des royalistes de ce milieu, puisque bon nombre de royalistes sont étudiants.

    L’enjeu est aussi de convaincre la jeunesse du modernisme de la vision royaliste en sortant des sentiers battus habituels du mouvement et de faire preuve d’une certaine proximité.

    S’imposer dans le milieu étudiant est donc une étape essentielle pour le retour dans la lumière de la vision monarchique.

    Julien Sanchez

    http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/social-et-economie/2402-essai-organisations-etudiantes-jeunesse-revoltee-et-royalisme

  • J’ai fait venir la guerre du Donbass à Paris !

    Nous savons tous quel est le fantasme ultime des faucons de guerre américains. Voulons-nous vraiment continuer à fermer les yeux sur le Donbass ?

    Puisque la France ferme les yeux sur cette guerre terrible et fratricide en pleine Europe, j’ai décidé de la faire venir à Paris. Avec l’association Ouest-Est, nous avons fait rentrer en France (non sans difficultés) pendant une semaine une maman du Donbass et son jeune fils, Andrey. Andrey est un petit garçon de dix ans, il est mignon, poli et généreux, très généreux. Andrey ressemble aux petits Français de son âge mais la vie d’Andrey a basculé le jour où il a été frappé par des éclats d’un obus lancé par l’armée ukrainienne sur son habitation. Depuis, Andrey est en fauteuil roulant et ne peut plus se servir de ses jambes. Andrey viendrait d’Alep, de Mossoul ou du Mali, il aurait certainement eu droit à un « 20 heures » sur TF1 ou à une visite présidentielle, mais Andrey n’est qu’un petit chrétien russophone du Donbass dont la souffrance est volontairement occultée en France par les classes dirigeantes.

    Afin de mettre nos médias et politiques devant leurs responsabilités, nous avons présenté Andrey et sa maman à plus d’une dizaine d’élus de droite et de gauche. Nous avons également réalisé des interviews avec une dizaine de médias afin qu’ils se rendent compte de la réalité terrible de cette guerre commencée il y a bientôt trois ans et dont la comptabilité macabre totalise déjà 10.000 morts, 20.000 blessés et 1.000.0000 de réfugiés.

    C’est une catastrophe humanitaire en pleine Europe et l’heure est venue d’y mettre fin.

    L’objectif de notre opération n’est pas d’entrer dans le misérabilisme. On peut toujours se dire que la guerre a toujours existé et qu’on ne peut pas régler décemment les problèmes du monde entier. Oui, sauf que là, nous parlons de l’Europe. Là, nous parlons d’une guerre entre chrétiens. Là, nous parlons une fois de plus de la conséquence de l’ingérence de Washington en Europe qui, avec ses alliés oligarques, nazillons et Bernard-Henri Lévy, a conduit un pays souverain à la guerre civile.

    Au Donbass nous parlons d’une guerre au potentiel nucléaire en pleine Europe sur la frontière avec la Russie et nous savons tous quel est le fantasme ultime des faucons de guerre américains. Voulons-nous vraiment continuer à fermer les yeux sur le Donbass ?

     Plus de 101 enfants ont déjà été tués dans le Donbass depuis le printemps 2014. Andrey et sa maman ne font pas de politique, ils veulent juste vivre en paix. La France ne peut plus ignorer cette guerre épouvantable et doit réagir. Rappelons à nos médias et nos dirigeants la réalité du Donbass et exigeons la paix immédiatement, car la guerre en Europe, quand ça dégénère, nous savons très bien comment ça commence et comment ça finit.

    Pétition internationale pour la paix au Donbass et la fin immédiate des hostilités. Signez ici.

     dans Boulevard Voltaire
    Responsable d’une association humanitaire
  • Impôts : Mélenchon veut faire casquer les familles nombreuses

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    Jean-Luc Mélenchon aurait-il un problème avec les familles nombreuses ? Le candidat de la France insoumise qui en appelle à une révolution fiscale vient en effet de mettre en ligne un simulateur d’imposition qui permet de mieux comprendre quels en seraient les effets. Sur cette page, en entrant le salaire net mensuel de votre foyer (en réalité il faut entrer le revenu imposable) et votre situation familiale (marié, pacsé ou célibataire et nombre d’enfants à charge), chaque contribuable peut calculer ce qu’il paierait comme impôt sur le revenu si Jean-Luc Mélenchon devait emporter l’élection présidentielle.

    Son projet prévoit de faire passer le nombre de tranches d’imposition de 5 à 14 avec un taux maximal à 90%. On pense donc d’abord que le candidat de gauche, pourfendeur des inégalités sociales, s’attaque en priorité aux plus aisés. Mais, en testant ce simulateur on constate qu’une autre catégorie de la population est visiblement dans son collimateur: les familles de 3 enfants et plus.

    Globalement, si vous êtes célibataire et sans enfant, la « révolution fiscale » vous sera favorable jusqu’à un revenu imposable de 4.000 euros par mois. À ce niveau de rémunération, vous paierez un peu plus d’impôt sur le revenu mais un peu moins de CSG, puisque celle-ci deviendrait progressive. Au final, ce sera pour vous une opération blanche.
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  • Officiel - Al-Qaïda soutient (((macron))) !

  • Réunion publique de Marine Le Pen à Arcis-sur-Aube (11/04/2017) | Marine 2017

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