France et politique française - Page 3385
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Gilles Lebreton défend les femmes mais pas le gaspillage ni la théorie du genre
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Lagarde, ce nain politique
On le sentait venir. On l’attendait. Le FN et Daech même combat ! On ne savait pas très bien d’où ni comment ça viendrait. Valls, Mélenchon ? Mais non : la comparaison émane de l’allié des Républicains, l’UDI Jean-Christophe Lagarde, celui qui avait qualifié Nadine Morano de « porte-parole du Ku-Klux Klan » et obtenu sa tête auprès de Sarko et notoirement l’un des maires les plus islamophiles de France.
Furieux des sondages qui annoncent un FN en hausse partout, le président de l’UDI a déclaré que la poussée annoncée du Front national allait « favoriser la propagande de Daech » :
« Le paradoxe, après les attentats, c’est de voir que l’extrême droite se renforce alors que c’est d’abord, à mon avis, quelque chose qui favorise la propagande de Daech. Parce que la propagande de Daech, c’est d’expliquer qu’on ne veut pas des musulmans en France, et si le vote c’est le vote FN, on va leur donner un boulevard pour expliquer que nous ne sommes pas un pays où tout le monde peut vivre en respectant les lois de la République. »Rappelons que Jean-Christophe Lagarde est l’un des vice-présidents du groupe d’amitié France-Qatar à l’Assemblée nationale et qu’il est l’un des maires de France qui a le plus favorisé l’islam dans sa commune de Drancy (Seine-Saint-Denis). Il a même avoué avoir trompé ses électeurs, en finançant pour 1,8 million d’euros la construction d’une salle municipale avec leurs impôts dans le but (non avoué) de l’utiliser comme mosquée : « Oui, je vous ai volontairement caché que ce serait une mosquée. (…) Je n’ai pas voulu l’annoncer à la population, car cela aurait forcément créé des tensions. »
C’est ce nain politique et magouilleur nauséabond, favorable au mariage gay et à l’adoption par les homos, qui est l’allié principal de Sarkozy et des Républicains. En votant pour les listes LR de Pécresse ou de Laurent Wauquiez qui ont dragué sans vergogne les électeurs de la Manif pour tous ces dernières semaines, ce sont ses candidats que vous envoyez dans les conseils régionaux.
Caroline Parmentier
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Agitprop
Petit rappel des principales techniques de manipulation largement utilisées par nos maîtres - avec un indéniable succès. L'origine de cette synthèse (faussement attribuée à Noam Chomsky) est perdue dans les méandres du net. Je reproduis une version "allégée" par mes soins du billet publié chez Les moutons enragés.
1 – La stratégie de la diversion
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.
2 – Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.
3 – La stratégie du dégradé
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
4 – La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
5 – S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisant, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental.
6 – Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
7 – Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.
8 – Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…
9 – Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !...
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Forum de la Dissidence (3è partie)
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Élections régionales : l’incertitude s’accroît à quelques jours du premier tour
– POLITIQUE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Il y a encore un mois, pour les régionales, on promettait une bérézina électorale au Parti Socialiste et un large succès au duo Les Républicains-UDI, le FN étant par ailleurs susceptible de remporter une ou au plus deux victoires symboliques.
La donne a changé avec les attentats islamistes du 13 novembre
Tandis que la cote de popularité du président Hollande grimpe en flèche (il a repris 20 points), le Parti Socialiste bénéficie d’un vote utile à gauche. Les électeurs se détournent en effet des petits partis de gauche, au profit du parti du gouvernement. Parallèlement, l’électorat de droite se droitise : depuis l’affaire Morano et les attentats, un nombre croissant d’électeurs passent des Républicains au Front National.
Résultat : les forces de gauche, du Centre-Droit et de la droite nationale s’équilibrent ; Les Républicains ne sont plus les grands favoris.Manuel Valls avait bien anticipé cette configuration
Comme nous l’avons détaillé dans notre bulletin du 18 novembre, le gouvernement savait qu’il existait une menace d’attentats imminente. Et il espérait bien en tirer profit sur le plan électoral. C’est ce qui explique que Manuel Valls, quelques jours avant le 13 novembre, avait affirmé que tout devait être fait pour barrer la route au Front National, jusqu’à un désistement dit républicain.Mais il faut aussi entendre par là un désistement des candidats du Centre-Droit !
Et si cela ne se fait pas, le Premier ministre compte au moins sur le fait que les électeurs nationalophobes se tourneront au second tour vers les listes de gauche. Dans certaines régions, ce sont en effet les listes conduites par les socialistes qui apparaîtront comme la meilleure candidature du Système. Peut-être en Rhône-Alpes par exemple.
Si les résultats du premier tour sont serrés, on peut attendre des surprises au soir du second tour.[édité par NOVOpress]
En tout cas, le FN continue à faire peur, comme en témoignent les déclarations de François Patriat, président PS de la région Bourgogne, lors d’une réunion publique à Besançon :Daech fait le boulot du FN. S’il réussit à communautariser les gens, le but est atteint.
On voit par là que le PADAMALGAM, ça n’est pas pour tout le monde… Même si la primeur de ce type de dérapage doit probablement être attribuée à Jean-Christophe Lagarde. Il y en a d’ailleurs pour tous les goûts, car à ceux que Daesh ne ferait pas peur, le MEDEF a sorti hier l’amalgame avec l’extrême-gauche et le programme commun de 1981.
Marion Maréchal-Le Pen estime d’ailleurs que le patron du Medef, Pierre Gattaz
est en mission commandée pour tenter de faire peur au monde économique, mais qui n’est pas dupe. Les seules attentes qu’a le monde économique, ce n’est pas de savoir qui est aux affaires, mais de savoir si la fiscalité est avantageuse, si la sécurité est assurée, si le transport des salariés est assuré, tout simplement.« Malheureusement pour lui l’ensemble des suggestions qu’il fait sont reprises dans notre programme qu’il n’a manifestement pas lu », a-t-elle ajouté, affirmant notamment que le FN ne prônait pas une augmentation du SMIC, mais simplement des baisses de cotisations sur certains salaires les plus bas, ce qui augmente mécaniquement la rémunération du salarié.
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Face à LMPT, Marianne s'inquiète
La journaliste militante politiqueDelphine Legouté, rédactrice en chef du newsmagazine Marianne,s'inquiète sous le titre :
"Mauvaise nouvelle : la Manif pour tous a trouvé son filon pour les régionales"
Et elle écrit :
"La sortie de Marion Maréchal-Le Pen sur le Planning familial ? C'est eux. Celle de Valérie Pécresse sur la "théorie du genre" ? Toujours eux. Les obstinés de la Manif pour tous, peu audibles depuis la fin de leur combat d'arrière-garde contre le mariage gay, ont trouvé un nouveau filon pour les élections régionales. Depuis une semaine, une (petite) partie du débat politique tourne autour de leurs propres obsessions.
Pourtant, on ne peut pas dire que les questions familiales ou LGBT fassent franchement partie des compétences des régions. Mais la Manif pour tous a trouvé une pelote de laine à dérouler : celle des subventions du Conseil régional. Ajoutez à cela une série de rencontres avec des têtes de liste aux élections animées par un journaliste de Valeurs actuelles, et voici cette question invariablement posée : "si vous êtes élu-e, allez-vous supprimer telle ou telle subvention ?" [...]"
L'hebdomadaire Marianne aurait-il peur de perdre aussi ses subventions ? Selon le ministère de la culture et de la communication, Marianne a perçu1 504 222 euros d'aides financières de l'État en 2012.
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Isère: un candidat PS et responsable de SOS Racisme mis en examen pour viol et violences conjugales
Amar Thioune, président de SOS Racisme Rhône-Alpes, en 18e position sur la liste du PS aux régionales en Isère, a été mis en examen pour viol et violences conjugales, des faits qu’il nie, a-t-on appris mercredi auprès du parquet. « Les faits sont contestés et il bénéficie de la présomption d’innocence », a souligné Jean-Yves Coquillat, procureur de la République à Grenoble, confirmant une information du quotidien Dauphiné Libéré.
« Son épouse a déposé plainte et une enquête a été diligentée. Comme les faits sont contestés, on a ouvert une information judiciaire » confiée à un juge d’instruction indépendant, a précisé le magistrat. Placé en garde à vue lundi, Amar Thioune a été mis en examen pour viol et violences sur conjoint et laissé libre sous contrôle judiciaire le lendemain. Les faits en cause remontent à la nuit du 7 au 8 octobre.
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« Grand Remplacement : aller à l’essentiel » : un point de vue italien par Andriano SCANCIA
Andriano Scancia est un intellectuel italien qui porte ici son regard sur le « Grand Remplacement ».
Responsable culturel de CasaPound, organisation italienne à vocation sociale et d’inspiration nationaliste-révolutionnaire et néo-fasciste, il rend grâces à Renaud Camus d’avoir identifié le nœud de la question, l’axe central autour duquel faire tourner l’ensemble du discours sur l’immigration.
Polémia
Le concept de Grand Remplacement est né de la plume de Renaud Camus, intellectuel pluriforme et controversé transalpin, très éloigné de tous les clichés de l’intellectuel de droite, fréquentant les avant-gardes intellectuelles, de Roland Barthes à Andy Warhol, et homosexuel déclaré. Il vit aujourd’hui dans un château et consacre la plus grande partie de son temps à dénoncer la substitution des peuples européens par des peuples allogènes du fait de l’immigration incontrôlée.
Aujourd’hui, la thèse du Grand Remplacement trouve un large écho parmi tous les mouvements identitaires et, malgré quelques réticences de la part de Marine Le Pen, est entré dans le discours du Front national. En Italie, seul Matteo Salvini s’en fait le portevoix.
Il n’est pas nécessaire d’apprécier l’ensemble de l’œuvre de son auteur (on pense en particulier à certaines de ses positions ouvertement pro-israéliennes) pour admettre l’efficacité du concept. Il est en tout cas nécessaire de rendre grâces à Camus d’avoir identifié le nœud de la question, l’axe central autour duquel faire tourner l’ensemble du discours sur l’immigration.
Le débat sur l’intégration est obsolète
Le Grand Remplacement rend notamment obsolète le débat sur l’intégration, ce terme qui s’interprète comme le lent procédé de « digestion », par la collectivité homogène, d’éléments étrangers afin qu’ils soient assimilés sans effet de rejet. Mais qu’en est-il de l’intégration dans un contexte où l’intégrité initiale de l’ensemble qui devrait assimiler n’existe plus ? dans un quartier peuplé à 90 % d’allogènes, qui doit s’intégrer ?
Le scénario selon lequel les Européens sont minoritaires sur leur propre territoire rend secondaires tous les autres discours.
Le scénario dans lequel les Européens sont en minorité sur leur propre territoire rend donc secondaires tous les discours sur l’effet criminogène (pourtant clair) de l’immigration, ou de ses coûts économico-sociaux, ou sur les problématiques religieuses et culturelles qui lui sont liées, tout comme perdent leur sens les analyses sur les motivations des exodes et les questions sur qui « fuit la guerre » ou qui ne la fuit pas.
L’immigration doit être rejetée ontologiquement
Au moment même où elle risque d’effacer la civilisation européenne, l’immigration doit être rejetée ontologiquement, refusée en tant que telle, toute autre considération faisant partie d’une tactique contingente et de la rhétorique politique occasionnelle. Ce n’est pas parce que les immigrés respectent les lois et paient leurs impôts qu’ils deviennent « acceptables », sinon dans une logique myope de courte durée.
Il existe cependant deux objections qui sont souvent faites aux « anti-remplacistes » (comme Camus appelle ceux qui adhèrent à sa thèse). Le Grand Remplacement serait :
1. Une fausse lecture de la réalité.
2. Une vision complotiste et paranoïaque.
Ni fausse lecture de la réalité…
À la première objection – celle selon laquelle, en substance, il n’y a aucun Grand Remplacement, que les immigrés représentent une infime minorité, il y en aurait même trop peu – on peut répondre par deux contre-objections. La première étant que, bien qu’en admettant que les statistiques officielles sur la présence immigrée seraient bonnes (on voit pourtant assez mal comment le nombre officiel de clandestins présents en Italie pourrait être précis et juste, étant donné qu’ils sont justement entrés illégalement dans le pays…), elles sont de toute façon sans valeur du fait de la volonté déclarée d’importer, dans un futur plus ou moins proche, des quantités astronomiques de nouveaux allogènes en Europe (250 millions, d’après La Repubblica et ses « économistes »).
Ainsi, même si les immigrés étaient vraiment « peu nombreux » actuellement, il existe bien une volonté claire et affichée d’en importer tant et plus.
La seconde contre-objection est que le Grand Remplacement est déjà objectivement en marche dans certaines villes et dans certains quartiers : il n’est point besoin de toujours aller chercher à consulter les statistiques démographiques des périphéries du nord de Paris, de Marseille ou de Bruxelles, il suffit de penser au cas emblématique de cette école de Brescia et de sa classe de CP sans Italiens. Ce sont des exemples toujours plus fréquents et qui sont en soi alarmants et déstabilisants sans que l’on ait besoin d’attendre la fin du processus.
… Ni vision complotiste
La seconde accusation faite aux anti-remplacistes est de les rendre coupables de proposer une nouvelle théorie du complot. Pourtant, à ce jour, sont bien référencés et documentés les intérêts du business migratoire des Soros, des Rothschild, des « coop » [Coopératives de gauche] et des ONG qui font des profits sur l’accueil, et Camus lui-même a déclaré, au cours d’un entretien récent au Libero : « Personne n’est à l’origine de ce projet […]. Je crois surtout à la force de gigantesques mécanismes historiques, économiques et idéologiques et même ontologiques au sein desquels les institutions et les hommes ne sont que des engrenages parmi tant d’autres. » Le Grand Remplacement est une dynamique historique objective, non pas un plan diabolique. Il est toutefois nécessaire de souligner que le Grand Remplacement bénéficie de soutiens explicites (pensons à certaines études de l’ONU, à certaines déclarations du pape Bergoglio ou, en Italie, à certaines propositions du Parti démocrate) qui rendraient de toute façon inutile toute trame obscure.
Le Grand Remplacement et la bataille pour l’essentiel
Le Grand Remplacement est donc un concept opérationnel fondamental. En sachant bien l’articuler et surtout en sachant lui opposer les outils conceptuels et politiques à sa mesure, se jouera le futur de quelque chose de bien, bien plus grand que nous-mêmes.
Andriano Scancia
• D’abord mis en ligne sur Polémia, le 27 octobre 2015.
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Dimanche prochain, la Provence mettra Marion dans la crèche de PACA
La Provence va montrer qu’elle est l’exemple de ce que la France ne peut plus supporter.
La Provence-Alpes-Côte d’Azur est une région qui est sensible depuis plus longtemps que les autres à ce que nos élus appelaient un vote de mécontentement, le vote FN ou pour la droite souverainiste.
Terre d’accueil historique de toutes les victimes des guerres civiles et totalitaires d’Europe, des papes, des juifs, des protestants, des guerres de construction des pays voisins, servant de « poubelle » de la France par ses bagnes, l’accueil des réfugiés de la France occupée jusqu’en 1942, des pieds-noirs après les Français de Tunisie et du Maroc, la Provence a accueilli aussi les Africains à qui l’on avait fait croire à la France comme les harkis, puis encaissé les soubresauts post-coloniaux du Maghreb. Sa capacité d’intégration, de tolérance et de respect n’est donc pas récente. La PACA n’a jamais été raciste !
La raison du vote FN est l’autisme des élites parisiennes et ses spadassins parachutés : les habitants refusent d’accepter la morale doctrinaire des intellos de Paris, qui légifèrent en croyant connaître la région parce qu’ils y passent un mois par an quand le soleil efface les différences et dans des zones protégées d’où les conseils généraux écartent leurs population défavorisées par des lois d’urbanisme visant à exporter les « racailles » dans les villages et villes de l’arrière-pays. -
JT du Mercredi 02 Décembre 2015 - Dans le Nord : le "tout sauf Marine" en marche