France et politique française - Page 349
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Macron totalement humilié
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Inversion accusatoire
Le Monde se surpasse encore avec un article à charge contre les parents qui s’interrogent pourtant à juste titre sur le contenu de certains programmes scolaires.
Dans un monument d’objectivité (euphémisme), l’article dénonce la pression mise sur les établissements. Mais la pression est ailleurs :
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[ENTRETIEN] Une lueur d’espoir pour la paysannerie française ?
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Scandale du château de Grignon : des meubles d’exception vendus pour une bouchée de pain par l’état (MàJ : le château réquisitionné pour les migrants africains en provenance de Mayotte)
04/01/2023
« Je reconnais qu’il y a eu une erreur. On n’aurait jamais dû vendre certains meubles. » Alain Caumeil, à la tête de la Direction nationale d’interventions domaniales (DNID), ne le nie pas. Le mobilier du château de Grignon dans les Yvelines, berceau de l’agronomie française depuis Charles X (1826) et classé monument historique depuis 1941, n’aurait pas dû quitter ses murs dans ces circonstances.
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Le salon de l’agriculture, un emblème illusoire et politisé (Pour le Figaro Vox)
Chaque année, le salon de l’agriculture s’impose comme une manifestation populaire où se pressent des familles de tout milieu mais aussi un événement politique majeur, notamment à la veille d’élections. Le déplacement ultra médiatisé du chef de l’Etat à la porte de Versailles a pris, à chaque mois de février, une dimension rituelle. L’image d’Epinal de Jacques Chirac, le « président sympathique », flattant le « cul des vaches » et partageant avec des paysans une assiette de charcuterie et un verre de vin rouge, reste gravée dans la mémoire des Français. Le temps de présence consacré au salon de l’agriculture est perçu par les responsables politiques comme un levier des sondages de popularité.
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L’état du PAYS en mode BRASSENS (chanson parodique)
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Manif de Dol… Il serait peut-être temps d’arrêter les bêtises…
Bernard Germain
Samedi 24 février 2024, Reconquête appelait à une manifestation contre l’installation d’un centre d’accueil pour mineurs non accompagnés (MNA) à Dol de Bretagne (35).
Grosse émotion des immigrationnistes sur place. Le discours des pro-migrants est des plus simples : « On ne va pas les laisser refaire un nouveau Callac ».
Refaire un nouveau Callac ?
Malheureusement, il n’y a aucun risque que cela arrive car depuis notre succès à Callac contre la mise en œuvre du projet Horizon, le duo Nicolas Bay (secrétaire général) – Damien Rieu (animateur des réseaux sociaux) n’a eu qu’une préoccupation : dénoncer la manière dont nous avons mené le combat et gagné à Callac.
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De crise en crise, de provocation en provocation, le chaos permanent est-il voulu et recherché et si oui, pourquoi?
« Il a fallu faire un choix et l’Elysée n’a pas tardé à faire celui de la FNSEA. Face à l’invitation des Soulèvements de la Terre au grand débat organisé au Salon de l’agriculture en présence d’Emmanuel Macron, le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, avait refusé d’y participer. Difficile d’organiser ces discussions sans le syndicat agricole majoritaire en peine crise des agriculteurs et sur leur propre terrain. La présidence est alors revenue sur sa décision et a finalement décidé de ne plus convier les Soulèvements de la Terre à l’événement. Retour sur un rétropédalage diplomatique. » Organiser un nouveau « grand débat » au salon de l’agriculture en y invitant Soulèvement de la terre était, de toute évidence, le moyen le plus sûr de remettre le feu aux poudres.
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Face aux agriculteurs, Macron avance masqué
Le double langage n’est pas seulement une pratique islamique. Emmanuel Macron l’utilise sans vergogne, notamment quand il s’adresse aux paysans en colère. L’imam de Bagnols-sur-Cèze (Drôme), Mahjoub Mahjoubi, expulsé sur le champ vers la Tunisie pour ses propos anti-France, va assurer ce lundi par son avocat, en référé liberté, avoir été mal compris de Gérald Darmanin. La taqîya autorise ces mensonges. Ils dissimulent en l’occurrence la volonté d’instaurer le califat dans un monde islamisé. C’est pourquoi la parole des représentants musulmans s’est décrédibilisée. Mais celle du chef de l’Etat ne vaut pas mieux.
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« MNA dehors, agriculteurs d’abord ! » : à Dol-de-Bretagne (35), des habitants s’opposent au futur centre d’accueil de migrants mineurs isolés, implanté par le Conseil départemental
Une quarantaine d’opposants au futur centre d’accueil de mineurs isolés se sont rassemblés à Dol-de-Bretagne ce samedi 24 février à l’appel du parti d’extrême droite “Reconquête” et du groupuscule rennais l’Oriflamme. En réaction, 200 habitants et sympathisants de gauche sont venus témoigner de leur soutien à ce projet à l’appel de plusieurs partis de gauches.
“MNA [Mineur non accompagné] dehors, agriculteurs d’abord” versus “Jeune migrant bienvenu à Dol-de-Bretagne”. Des slogans qui en disent long sur la vive tension qui règne ce samedi 24 février dans cette petite commune d’Ille-et-Vilaine de 6 000 habitants. Une centaine de membres des forces de l’ordre y était d’ailleurs déployée pour éviter des débordements.