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France et politique française - Page 3548

  • FN : Sébastien Chenu place ses pions

    Lu dans Minute :

    2727_page_01"Coup de tonnerre dans les Pays de la Loire à six mois des élections régionales : Gaëtan Dirand n’est plus secrétaire départemental du FN pour le Maine-et-Loire. Il a remis, le 4 juillet, sa démission du poste qu’il occupait depuis avril 2011, expliquant qu’il ne se sentait plus en phase avec « la ligne politique du FN » ni avec « la stratégie de ses dirigeants ». Une annonce faite quelques heures après la venue du secrétaire général du FN, Nicolas Bay, à Montjean-sur-Loire pour un dîner-débat, soirée qualifiée par Pascal Gannat, tête de liste aux régionales, de « beau moment [...] de cohésion militante. » Que s’est-il donc passé ?

    En fait, la goutte d’eau qui a fait déborder la colère de Gaëtan Dirand est la décision prise par le FN d’investir, comme tête de liste aux régionales pour le Maine-et-Loire, le jeune Aymeric Merlaud, le protégé... de Sébastien Chenu! « Minute » avait raconté (n° 2698 du 17 décembre 2014) comment le cofondateur de GayLib, négociant son arrivée au FN, avait exigé et obtenu qu’Aymeric Merlaud, un étudiant, soit candidat aux élections départementales dans le Maine-et-Loire. L’idée était donc de lui faire un tour de piste avant de le propulser en tête de gondole aux élections régionales...

    Gaëtan Dirand, qui n’a même pas été consulté par la direction du FN, était un pilier du FN dans la région. Marié, père de quatre enfants, ancien parachutiste et fervent catholique – il fut aussi le patron du GUD, le syndicat étudiant –, ce cadre commercial a tenté jusqu’au bout d’empêcher la désignation de Merlaud dans un département qui a envoyé cinquante cars à la Manif pour tous. Pascal Gannat en sait quelque chose, lui qui avait caressé l’idée de contenter tout le monde – sauf les électeurs? – en plaçant plutôt le jeune homme à la tête de la liste... en Vendée ! On attend maintenant de savoir en quelles positions se trouveront Sébastien Chenu et sa maman, Marie-Christine Baudin, déjà candidate aux départementales, sur la liste de Marine Le Pen pour les élections régionales dans l’Oise..."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • "Il ne fallait pas faire de fœticide in utero, mais tuer le bébé après qu’il soit né"

    Un rapport glaçant de l’European Centre for Law and Justice sur « l’avortement tardif et les infanticides néonataux en Europe » a été publié, en soutien de la pétition qui sera présentée au Bureau de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

    Injections létales, étouffements, abandons… Tout est mis en œuvre pour que ces bébés – nés vivants au-delà de vingt semaines – meurent rapidement, dans la plus grande indifférence, sans aucune prise en compte de leur souffrance.

    « Le plus souvent, les parents ne sont pas informés de la survie de leur enfant et des causes réelles de sa mort ».

    Les équipes médicales et paramédicales expliquent que ces pratiques existent depuis de nombreuses années. Mme L. M., ancienne infirmière anesthésiste, rapporte ainsi qu’en 1987, une équipe a laissé un bébé « mourir de froid ». En 1963 déjà, Mme M. J., alors étudiante infirmière, a récupéré un nourrisson encore vivant dans un drap roulé en boule. Avec pour seule consigne de

    « le mettre dans un haricot [une cuvette, N.D.L.R.] et d’attendre ». « Nous étions là pour le regarder, ce petit être vivant, lui parler et caresser son petit corps pendant 45 minutes. […] Il s’est finalement arrêté de respirer et nous l’avons laissé sur le plateau»

    Selon une étude menée en 2000, 73 % des médecins français en néonatologie déclareraient qu’ils ont dans leur carrière administré aux nouveau-nés des produits médicamenteux pour les tuer. M. X. B., médecin, alors qu’il était externe, raconte avoir entendu le chef de service de génétique du CHU entrer

    « dans une sorte de fureur, en demandant combien de fois il devrait dire qu’il ne fallait pas faire de fœticide in utero, mais tuer le bébé après qu’il soit né ».

    Une étude publiée au Royaume-Uni en 2007, dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology a conclu qu’environ un avortement sur trente au-delà de seize semaines de gestation donne lieu à la naissance d’un enfant vivant. À vingt-trois semaines, le taux d’enfants vivants atteint 9,7 %. Selon une sage-femme suédoise, la proportion atteindrait même 25 %.

    Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ, rappelle qu’un

    « bébé prématuré, même né lors d’une tentative d’avortement tardif, est un être humain et doit bénéficier de soins et du droit à la vie comme tout être humain ».

    Le comité des affaires juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a émis le 23 juin un avis négatif, au motif que le sujet serait « trop sensible », pourrait questionner l’avortement, et diviser l’Assemblée. La décision du Bureau de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe est attendue pour le 31 août 2015.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/07/il-ne-fallait-pas-faire-de-f%C5%93ticide-in-utero-mais-tuer-le-b%C3%A9b%C3%A9-apr%C3%A8s-quil-soit-n%C3%A9.html

  • Marion Maréchal-Le Pen ne veut pas d’une région “black-blanc-beur”

    Tête de liste FN pour les régionales en PACA, Marion Maréchal-Le Pen a a lancé sa campagne au Pontet, le dimanche 5 juillet.

    Près de 2 500 personnes étaient présentes pour écouter un discours offensif de la tête de liste qui a notamment déclaré qu’elle ne voulait pas d’une région “black-blanc-beur” mais “bleu-blanc-rouge”.

    Faisant allusion au Grand remplacement en cours, Marion Maréchal-Le Pen a fustigé :

    le remplacement continu d’une population par une autre, qui apporte avec elle sa culture, ses valeurs et sa religion. Avec femmes qui se voilent, qui se cachent pour mieux nous cracher au visage.

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  • Thomas Guénolé persiste à vouloir déchristianiser les jours fériés

    Thomas Guénolé suggère, depuis un certain temps, de déchristianiser les jours fériés. Marion Maréchal-Le Pen avait vivement réagi à cette proposition dans l’entretien publié dans le trimestriel Charles.

    Pour le politologue, sa proposition ne constitue pas un “délire”. elle lui semble argumentée et réfléchie. Pour lui, “au sens strict de la loi de 1905 (la vraie), la laïcité est la séparation de l’Etat et des églises. Elle inclut, entre autres points, la stricte neutralité de l’Etat envers les opinions spirituelles de tous, quelles qu’elles soient. Cette neutralité s’applique même aux locaux de la puissance publique et aux individus, élus ou fonctionnaires, qui l’incarnent. Il est donc contraire à la laïcité –au sens de 1905 et sans même virer au laïcard– que six jours fériés de notre République le soient en référence à des fêtes religieuses”.

    Mais Thomas Guénolé va encore plus loin en défendant une France sans racines et sans identité :

     

    Votre France distingue les Français de souche et les autres. La mienne ne voit que des citoyens français.

    Votre France s’obsède pour certaines racines, chrétiennes, de l’arbre national. La mienne se préoccupe de son tronc laïc et de ses fruits républicains.

    Votre France est différentialiste: elle définit des castes dans la société, basées sur des différences essentialisées selon la couleur de peau, la religion, le pays d’origine; l’ethnie. La mienne est méritocratique: elle veut la réussite de chacun strictement selon son talent; elle veut l’intégration de tous, dans l’exigence que tous adhèrent aux valeurs républicaines (ces valeurs auxquelles vous-même n’adhérez pas).

    http://fr.novopress.info/

  • Pourquoi le chiffre de « 89 mosquées salafistes en France » est biaisé

    Le chiffre de 89 mosquées salafistes a été divulgué afin de rassurer la population, car sur 2400 mosquées (et 300 en chantier!) cela fait 3,7 %, une quantité ultra minoritaire. Mais à quoi se réfère cette typologie « salafiste » ? En réalité, ce chiffre ne correspond qu’à une sous famille salafiste, celle qui adhère à la vision de Ben Laden ou du « calife » Al-Baghdadi. Car il faut bien comprendre que le voie salifiya classique et majoritaire se réfère aux wahhabites dont les gardiens du temple sont les fameux savants et cheikhs (shouyouk) officiels de l’Arabie Saoudite : Al-Otheymine, Al Albani, Ibn Baz, Al-Fawzan, dont les héritiers actuels comme Haytham Sarhan enchainent les tournées dans les grandes mosquées françaises. Comme ils condamnent les méthodes d’Al-Qaida et de l’Etat Islamique, ils ne sont pas comptabilisés dans les mosquées « salafistes djihadistes/takfiristes ». Mais si leurs moyens pour arriver au pouvoir divergent, proposent-ils pour autant un islam moins modéré ? Pas du tout, les peines légales (hudûd) approuvées par ces pontes contemporains des universités de Médine ou de Riyad prescrivent de condamner à mort les musulmans coupables d’innovation dans leur religion (bida’) de tuer apostats (murtad), hérétiques (zindinq) homosexuels et d’expulser tout chrétien pratiquant de la Péninsule Arabe, entre autre.  Ce salafisme classique gangrène nombre de mosquées françaises, et même des grandes comme à Puteaux, Clamart, Pontoise, Mantes, Longwy, Chanteloup, Cannes, Roubaix, Massy, Le Mirail…
     

     

     
    Jusqu’à son expulsion en 2004 pour appels à la violence et liens avec l’islamo-terrorisme, le leader salafiste de la région lyonnaise Abdelkader Bouziane donnait des conférences à la Grande Mosquée de Lyon, qui n’est pourtant pas comptabilisée dans le chiffre des 89, correspondant à des petites salles de prières expurgé de toute « grande mosquée » afin de ne pas effrayer les français.
     
    Autre catégorie salafiste qui ne rentre pas dans le chiffre des 89 mosquées, le « salafisme réformiste » ainsi que les islamologues classent les Frères Musulmans, représentée ar l’UOIF. L’imâm Tareq Oubrou de l’UOIF affirmait dans une de ses conférences il y a encore quelques années:  « L’imam Al-Banna veut qu’on soit comme des salafistes car on interprète pas, car l’interprétation peut prêter à l’abus (…) tout homme qui réfute un verset formel du Coran, ou bien qui interprète un verset du Coran abusivement est considéré comme en dehors du cercle de l’islam » .L’idéologie des Frères Musulmans est aussi totalitaire que celle des wahhabites, même si ces deux groupes sont rivaux et se critiquent âprement. Il ne s’agit que de querelles intra islamistes portant sur le leadership de l’islam mondial. L’UOIF en France contrôle nombre de Grandes Mosquées telles que Caen, Poitiers, Mulhouse, Nîmes, Nice, Lille, Beauvais, Cergy etc.
     
    En quoi les cheikhs vénérés et invités par l’UOIF qui appellent à conquérir l’Europe et à tuer apostats, juifs et homosexuels, tout en soutenant les Frères d’Egypte qui ont attaqué des dizaines d’églises, seraient-ils à long terme moins dangereux ? Nous nous référons aux cheikhs Qaradawi, Suwaidan, Hijazi, entre autre.
     
    Donc pour résumer, si on ajoute aux mosquées salafistes/takfiristes préconisant le jihâd immédiat, les mosquées wahhabites s’abreuvant aux « savants » saoudiens, et les mosquées des Frères Musulmans, on atteint sans peine la moitié des mosquées en France.  En dépit de la difficulté à comptabiliser avec grande précision les petites salles de prières, qui, par hypothèse prudente, ont en moyenne les mêmes orientations que les grandes mosquées déjà acquises aux différents types de salafisme.
     
  • Entretien avec Michel Drac sur l’actualité économique et financière

    Entretien avec Michel Drac sur l’actualité économique et financière, réalisé le 23 mai 2015 par E&R Reims.

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    Questions de la partie 1 :

    - Sommes-nous sortis de la crise de 2008 ? 
    - 7min05 : Quels sont les impacts économiques de la récente chute du cours du pétrole ? 
    - 14min20 : Pouvons-nous prédire un krach obligataire à venir prochainement ? 
    - 18min35 : Dans la situation financière actuelle, où placer son argent ? L’or et l’argent sont-ils de bonnes options ? 
    - 25min : Pensez-vous que la Grèce va prochainement sortir de la zone euro et la faire exploser ?

    Questions de la partie 2 :
    - La Chine peut-elle amener le yuan à remplacer le dollar ? 
    - 3min15 : Une révolution énergétique relancerait-elle l’économie ? Le nucléaire au thorium est-il prometteur en ce sens ? 
    - 9min05 : Concernant le concept de BAD (Base autonome durable), quel est votre objectif ? Quel bilan en faites-vous aujourd’hui ? 
    - 13min : Selon votre expérience, quels sont les schémas de BAD qui fonctionnent et ceux qui ne fonctionnent pas ? 
    - 18min25 : Quelles sont vos impressions sur le dernier livre d’Emmanuel Todd,Qui est Charlie ?

    Question bonus :
    - Pouvez-vous détailler ce qui nous a amenés à cette crise de la dette ?

    Note du C.N.C. : Michel Drac interviendra à Lille avec Maurice Gendre sur le Traité transatlantique à l'occasion de notre conférence de rentrée au mois de septembre.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Pédagogistes : l'école des cancres

    L'idéologie « pédagogiste », qui imprègne les nouveaux programmes, poursuit à travers l'école la chimère de l'égalité... et a fini par déboucher sur la pire forme d'élitisme.

    « Changer la société pour changer l'école, changer l'école pour changer la société ». Cette maxime des Cahiers pédagogiques, revue mensuelle du CRAP (Cercle de Recherche et d'Action Pédagogique) qui « promeut un militantisme pédagogique » « dans la mouvance des mouvements d'éducation nouvelle », pourrait résumer les ambitions de ce que Ton appelle le « pédagogisme » et le vice original qui, depuis plus d'un demi-siècle, a progressivement détruit renseignement en France.

    Cette idéologie vient, à l'origine, des Etats-Unis, où elle a produit les mêmes catastrophes qu'en France. Au début du XXe siècle le philosophe américain John Dewey (1859-1952), pour faire de l'école un « instrument de démocratisation radicale de la société américaine », écrit le professeur Henri Nivesse (1), s'attaque aux notions traditionnelles de discipline et de programmes. « Ces présupposés idéologiques vont entraîner une série de conséquences pratiques qui aboutiront, un demi-siècle plus tard, à un véritable désastre : un "illettrisme fonctionner touchant 60 millions d'Américains », constate Henri Nivesse.

    En France, l'irruption de l'idéologie égalitaire à l'école date du plan préparé entre 1944 et 1947 par les communistes Paul Langevin et Henri Wallon, successivement nommés à la tête de la Commission ministérielle d'études pour la réforme de l'enseignement par René Capitant, ministre de l'Education nationale dans le gouvernement provisoire formé par le général De Gaulle. Ce plan, qui a inspiré les réformes qui ont suivi, visait à établir une école unique (unification des filières et des structures d'enseignement), pour former les enfants dans un même moule et réaliser ainsi l'égalité sociale. Le contenu et la forme des enseignements n'étaient cependant pas mis en cause. Cette nouvelle étape allait s'imposer à la faveur des événements de Mai 68, notamment avec le sociologue néo-marxiste Pierre Bourdieu, qui affirma dès 1964 que renseignement dispensé par l'école républicaine reproduisait la culture bourgeoise et favorisait les élèves issus de la bourgeoisie : l'égalité des chances n'existait donc pas. Cette critique s'accompagnait de la contestation des savoirs et des modes de transmission (y compris le découpage en disciplines).

    Les connaissances deviennent un outil de discrimination

    Le problème, en effet, n'est plus tant de transmettre des connaissances que créer les conditions d'une « école de masse ».

    En parallèle de la pensée des sociologues à la Bourdieu, sévit celle des « pédagogistes », dont le principal doctrinaire est Philippe Meirieu, professeur en sciences de l'éducation à l'université Lumière-Lyon 2 et inspirateur de la loi d'orientation sur l'éducation de Lionel Jospin en 1989, qui déboucha sur la création des IUFM (instituts universitaires de formation des maîtres) et du Conseil national des programmes. Ce personnage est plus influent dans les rouages de l'Education nationale que le ministre lui-même. Ceci explique sans doute que Xavier Darcos, ministre de l'Education de Nicolas Sarkozy avant le calamiteux Luc Chatel, n'ait pas davantage lutté contre cette pensée, qu'il accusait pourtant d'être à l'origine de l'échec scolaire, touchant 15 % des élèves « qui entrent chaque année au collège avec de graves lacunes en lecture, en écriture ou en calcul ».

    Selon les pédagogistes, le professeur ne doit plus être le détenteur d'un savoir à transmettre, mais un pédagogue dont la mission consiste à aider les « apprenants » à construire eux-mêmes, en tâtonnant, leurs propres savoirs. Dans cette optique, les connaissances elles-mêmes apparaissent comme un outil de discrimination et d'exclusion, et les disciplines sont condamnées au bénéfice de la « transdisciplinarité » un thème que l'on retrouve dans les nouveaux programmes de Najat Vallaud-Belkacem, qui font la part belle au pédagogisme.

    Le résultat ? Jamais l'école n'a été aussi réellement inégalitaire: au sein de l'Education nationale « pédagogiste », seuls les meilleurs élèves arrivent à s'en tirer. Et si Révolution il y a, c'est une révolution de la médiocrité.

    Hervé Bizien Monde & Vie

     

    Henri Nivesse, les fondements idéologiques du « pédagogisme », Les Cahiers de l’éducation n° II,mai 2008.

  • 4 Vérités - Florian Philippot : "L’Union européenne est un projet ringard"

    Florian Philippot était l'invité des 4 Vérités ce lundi 6 juillet. Il est largement revenu sur le résultat du référendum en Grèce.

    Au lendemain du référendum grec sur de nouvelles mesures d'austérité, le vice-président du Front national s'est félicité du "non", lundi 6 juillet. "C'est un souffle de liberté parce qu'il y a eu un chantage inadmissible et que la Grèce a voulu dire 'non' à tout ça et 'non' à une politique qui ne fonctionne pas", a-t-il déclaré sur France 2.

    Selon lui, les mesures imposées par l'Union européenne ont conduit à une "austérité massive qui a fait dégringoler le PIB de 25%, qui a doublé la pauvreté, fait diminuer les pensions de retraite"...

    "La dissolution de l'euro"

    Le numéro 2 du FN a également estimé que c'était "une bonne nouvelle pour nous, contribuables français parce que, si le 'oui' était passé hier, il aurait fallu ressortir le carnet de chèques". Florian Philippot a considéré que ce "non" allait "permettre d'ouvrir une nouvelle porte, une nouvelle possibilité".

    Désormais, "l'objectif qu'on doit se fixer est la dissolution de l'euro", a préconisé le vice-président frontiste. "Il n'y a pas de solution dans ce système : il suffit qu'un pays connaisse une crise pour que l'ensemble de la zone euro soit affecté". "Cette monnaie-là n'est pas viable", conclut Florian Philippot pour qui "l'Union européenne est un projet ringard".

    Francetv info :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFyEZVlAFstcEPRjC.shtml

  • Christiane Taubira s'est opposée à la mise sur écoute des prisons

    Il existe un aspect peu connu de la construction  de la loi liberticide sur le renseignement adoptée le 24 juin dernier, qui permet au premier ministre de place sur écoute quiconque sur simple décision administrative. C'est que ces possibilités d'écoutes ne s'appliqueront pas dans les prisons françaises là où l'islamisme radical se développe si facilement...

    Et on doit cette exception à ...Christiane Taubira :

    "Guillaume Larrivé a vu rouge. Alors que côté opposition, il a été, avec Eric Ciotti, l'un des plus grands défenseurs du texte sur le renseignement voulu par le gouvernement, le député Les Républicains de l'Yonne a décidé de s'abstenir mardi matin et de ne pas voter le texte dont il est co-rapporteur, pour son application. Il s'insurge en effet que le renseignement pénitentiaire ait été sacrifié sur l'autel de la commission mixte paritaire et que «le statu quo demandé par Christiane Taubira sur le sujet l'ait emporté" (source)

    "Paradoxe suprême de la loi sur le renseignement adoptée le 24 juin : un usage potentiellement généralisé des interceptions pour traquer et prévenir le terrorisme, mais pas dans les prisons, là même où Chérif Kouachi achève de se radicaliser... Christiane Taubira, la garde des Sceaux, s'est opposée à ce que le service du renseignement pénitentiaire puisse procéder à la sonorisation des parloirs et des cellules" (source)

    Les violeurs, assassins et terroristes n'ont jamais connu un ministre de la justice aussi attentionné à leur égard.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Laïcité : le méchant Ménard, la gentille Hidalgo

    Le maire de Paris est dans le camp du bien, puisque socialiste, quand celui de Béziers est dans celui du mal, puisque soutenu par le FN.

    Elle est maligne, Anne Hidalgo ! D’habitude, elle annonce publiquement qu’elle va commémorer le ramadan dans sa mairie un mois auparavant, afin que les Parisiens sensibles au dialogue interreligieux et aux charmes du multiculturalisme puissent communier ensemble autour d’un cocktail d’amande et de lait.

    Et cette année, pas de publicité, seulement des invitations à la carte. Piégés, les affreux islamophobes qui voulaient manifester, et qui guettaient fébrilement l’annonce depuis plusieurs semaines ! Ils n’auront eu que quelques heures, ce lundi, pour confectionner banderoles et pancartes, et tenter d’effectuer quelques rappels sur les principes laïques devant une mairie qui sera sans doute bien protégée.

    Grand silence, également, des grands prêtres de la libre-pensée, dont on se souvient de l’activisme quand le très méchant maire de Béziers avait osé installer une crèche dans le hall de sa mairie.

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