Affluence et bonne humeur pour le barbecue de fin d’année militante de la section lyonnaise ! Spectacle médiéval en prime ! Merci à nos hôtes et tous au CMRDS !
France et politique française - Page 3574
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Action Française : [Lyon] Barbecue de fin d’année
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Calais « zone de guerre » : camions pris d’assaut par les clandestins
Des touristes néo-zélandais ont filmé une scène choquante pour eux, hélas banale pour nous : les prise d’assaut de camions par des clandestins aux alentours de Calais.
La diffusion de cette vidéo intervient au moment où justement, les responsables d’un syndicat de transporteurs, Freight Transport Association, tirent la sonnette d’alarme et parlent désormais de « zone de guerre » pour décrire Calais. la vidéo fait grand bruit outre-Manche. On se souvient du cri d’alarme poussé par des chauffeurs anglais, boycottant Calais de peur que quelqu’un finisse par se faire tuer par les clandestins (voir tweet ci-dessous). Dans le même temps, des motards de la police ont filmé leur intervention sur la rocade de Calais, pour montrer à quel point la situation est tendue.
On ne peut interpeller personne, on les sort des camions et ils reviennent aussitôt. C’est sans fin…
explique David Michaux, du syndicat UNSA-Police. Il précise : “On veut aussi montrer que de nombreux migrants sont pacifiques mais aussi que certains, notamment les passeurs, n’hésitent pas à s’en prendre à nous, à nous provoquer, à avoir des comportements très limites.”
Crédit photo : capture d’écran de la vidéo de touristes montrant un camion pris d’assaut par les clandestins le 8 juin 2015
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Exclusif – Interview de Serge Federbusch 1/3 : les finances catastrophique de Paris
Serge Federbusch connaît la politique parisienne de l’intérieur et la décortique avec acuité dans une série d’entretiens accordée en exclusivité pour NOVOpress. Au menu du jour, les finances de la ville devenues folles. Revenez demain pour apprendre comment l’équipe municipale met à mal l’identité de la capitale. Auteur de « la marche des lemmings », ouvrage consacré à la manipulation politico-médiatique des attentats de janvier, Serge Federbusch reviendra enfin sur cette question.
NOVOpress :Monsieur Federbusch, vous avez été élu conseiller du Xe arrondissement de Paris de 2008 à 2014, président du Parti des Libertés, fondateur de Delanopolis.fr, premier site indépendant d’informations en ligne sur l’actualité politique parisienne. Merci pour votre éclairage « de l’intérieur » sur le fonctionnement de la Mairie de Paris et plus généralement sur l’état politique de Paris.
La mairie de Paris c’est une dette passée de 1 Milliard en 2001 — année d’arrivée de Delanoë à la Mairie — à 3.7 Milliards en 2013… Alors Paris, c’est une petite Grèce en puissance, qui pourrait se retrouver en faillite comme Detroit ?Serge Federbusch : Lorsque la gauche arrive au pouvoir municipal en 2001, la ville, malgré la campagne de dénigrement lancée par la gauche contre les Tiberi, est bien gérée. Les impôts sont bas, la dette anecdotique. Cette dernière a quadruplé en 14 ans de « socialoverdisme », soit un pourcentage d’augmentation bien supérieur à celui de la dette de l’État, pourtant en vive croissance. Mais le plus inquiétant est que cette hausse s’est faite malgré une forte augmentation des impôts et, surtout, malgré la divine surprise des recettes de droits de mutation (frais de notaires), portées par la hausse du prix de l’immobilier. Delanoë et Hidalgo ont réussi l’exploit de faire « exploser » la dette alors qu’ils bénéficiaient d’autres recettes en forte croissance.
NOVOpress : Lors des discussions sur le Budget 2015 Anne Hidalgo a « découvert » qu’il lui faudrait trouver de quoi combler « un gap de 400 millions d’euros ». Cette ignorance et cette panique sont très inquiétantes : ne peut – on craindre d’autres « découvertes » du même genre et une spirale sans fin de taxations, d’emprunts et de dépenses incontrôlées ?
Serge Federbusch : Naturellement, il s’agissait d’une surprise feinte, car Hidalgo sait parfaitement d’où vient le problème. La municipalité a engagé la ville des dépenses clientélistes très lourdes dont beaucoup ont des effets récurrents : logement social, embauches, etc. Elle n’ose pas tailler dans les subventions aux associations de copains et de coquins. Il lui faut donc augmenter les impôts de manière discrète et, surtout, continuer de faire croître la dette.
NOVOpress : Le montant total des subventions accordées aux associations est passé de 133 millions d’euros en 2001 à 203 millions d’euros en 2011 pour 3000 bénéficiaires. Une centaine de personnes travaillent à la mairie pour gérer ces subventions, mais quel est le niveau de contrôle réel sur l’utilisation de ces fonds publics, y a-t-il par exemple des rapports d’activité de ces associations présentés au conseil municipal ?
Serge Federbusch : Le contrôle est anecdotique. Il n’y a presque jamais d’évaluation de la pertinence des sommes dépensées. Ainsi, depuis des années, on vote des dizaines de milliers d’euros pour numériser une bibliothèque kurde dans le 10e arrondissement. Depuis le temps, les rares lecteurs de ces ouvrages ont eu le temps de se mettre à l’informatique c’est sûr ! La réalité est que cet arrosage clientéliste est indispensable au maintien de l’emprise socialiste et verdiste sur Paris.
NOVOpress : Il y a eu une augmentation de 20 % du nombre d’employés municipaux depuis l’arrivée de Delanoë en 2001. Pourtant il n’est pas sûr que les Parisiens puissent constater une amélioration de la qualité des services offerts. Il y a-t-il d’après vous une prise de conscience de la Mairie dans ce domaine et des mesures envisagées pour rendre cette gestion du personnel plus efficace ?
Serge Federbusch : Ils essaient depuis quelques années de limiter la casse, mais le mal est fait. La sous-productivité dans certains services, par exemple le balayage des voies publiques, l’urbanisme, les services centraux de la mairie avec des triplettes (cabinet/secrétariat général/grandes directions) partout est notoire.
NOVOpress : Le budget communication de la Ville de Paris, que vous appelez « la voix de son Maire » a augmenté sur la dernière décennie de 166 %, avec un effectif officiel d’environ 250 personnes. En voyant cette dérive ne peut-on penser que la Mairie de Paris n’est plus qu’une machine de pure propagande où les décisions stratégiques se font en fonction du « buzz » généré par un marketing politique et non plus pour le bien-être des Parisiens ?
Serge Federbusch : Le seul vrai métier de Delanoë c’était la com ». Quand il a voulu devenir président de la République, son emphase est devenue quasi ridicule. Cela étant, mis à part mon site, Delanopolis, il n’y a pas de médium critique qui suive l’actualité parisienne. Il a de ce point de vue réussi son coup et Hidalgo a chaussé ses pantoufles. Il serait intéressant de connaître le nom des journalistes hébergés dans les HLM parisiens. Si vos lecteurs ont des noms, ça m’intéresse.
NOVOpress : Delanoë puis Hidalgo poussent la candidature de Paris aux Jeux olympiques. Des millions ont été déjà dépensés pour séduire le comité d’organisation et la Mairie se veut rassurante : budget de 6 Mds € financés pour moitié par des fonds privés. Outre que jamais un budget n’a été tenu (Londres a coûté 11Mds € pour 3.2 prévus) quel intérêt pour Paris qui est déjà saturé sur un plan touristique et ne parvient pas à boucler son budget actuel sans augmentation des taxations locales ?
Serge Federbusch : « Les Jeux olympiques c’est le rêve des politiciens en mal de com » et sans imagination. Qui peut croire que le Grand Paris a un besoin prioritaire de deux ou trois stades et piscines géantes ?
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Manuel Valls ivre de pouvoir et accro à l’article 49 alinéa 3
Manuel Valls n’est pas un adepte du consensus et du dialogue. Il est enfermé dans sa tour d’ivoire, ivre de la puissance que lui accordent ses fonctions de Premier ministre. L’Assemblée nationale, et donc les Français, seront privés d’un débat en deuxième lecture sur la loi Macron. Ce texte est particulièrement controversé, et ce pour plusieurs raisons scandaleuses parfaitement objectives.
La loi Macron remet profondément en cause notre modèle économique et s’attaque à des secteurs qui n’étaient pas en crise. Cette loi fourre-tout, dont les sociétalistes font la promotion en expliquant qu’elle « modernisera l’activité économique », déréglementera des pans entiers de notre tissu socio-économique jusqu’alors préservés. Elle ne répond qu’à un objectif : préparer le terrain au traité transatlantique pour Bruxelles et Washington, et plaire aux marchés.
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RSA : Les départements s'inquiètent des dépenses incontrôlées
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François Hollande en Algérie : entre realpolitik et auto humiliation
Lundi 15 juin, durant quelques heures, François Hollande sera en Algérie, pays en état de pré-faillite, "dirigé" par un président moribond et gouverné par l’ "alliance des baïonnettes et des coffres-forts"[1].
L’Algérie est en effet au bord du précipice économique, politique, social et moral. Elle est dévastée par des avalanches successives de scandales comme ceux des détournements de fonds du programme de l’autoroute trans-algérienne (5 milliards de dollars de dessous de table pour un chantier de 17 milliards...), de la Sonatrach ou encore de la banque Khalifa ; or, il ne s’agit là que des plus médiatisés.
L’équilibre politique algérien repose sur un modus vivendi entre plusieurs clans régionaux et politiques qui se partagent les fruits du pouvoir au sein des deux piliers de l’Etat qui sont l’ANP (Armée nationale populaire) et la DRS (Département du renseignement et de la sécurité). Quant à l’ordre social national, il résulte d’un singulier consensus :
à l’intérieur, les dirigeants qui vivent de la corruption et des trafics en tous genres achètent le silence d’une population qui n’ignore rien de leurs agissements, par de multiples subventions,
à l’extérieur, ils entretiennent des mercenaires, journalistes et hommes politiques stipendiés, qui font fonctionner d’efficaces réseaux de communication permettant de donner une image rassurante du pays.
Or, ce système qui fonctionnait grâce à la rente pétrogazière est aujourd’hui bloqué par l’effondrement des cours du pétrole. En un an, le prix du Sahara blend algérien est ainsi passé de 110 dollars le baril à moins de 60 ; or, selon le FMI ( mai 2015), dans l’état actuel de l’économie de l’Algérie, le prix d’équilibre budgétaire de son pétrole devrait être de 111 dollars le baril.
Résultat : au premier trimestre 2015, les recettes cumulées du budget de l’Etat ont baissé de 13% par rapport à la même période de 2014 ; quant aux recettes de la fiscalité pétrolière, leur recul fut de 28%. Dans ces conditions, les 200 milliards de dollars de réserves de change dont disposait l’Algérie avant la chute des cours du pétrole fondent comme neige au soleil et le Fonds de régulation des recettes (FRR) alimenté par les ventes des hydrocarbures et dans lequel l’Etat puise pour tenter de prolonger la paix sociale n’est plus alimenté.
La situation est donc gravissime[2]. D’autant plus que les parts de marché de la Sonatrach en Europe vont baisser en raison de la concurrence de Gazprom qui fournit le gaz russe entre 10 à 15% moins cher que celui produit par l’Algérie. Sans compter que depuis 2014, devenu autonome grâce à ses gisements non conventionnels, le client américain qui représentait entre 30 et 35% des recettes de la Sonatrach a disparu...
Autre phénomène angoissant pour les autorités algériennes, le prix du gaz naturel liquéfié lié au prix du pétrole et des produits raffinés va de plus en plus être aligné sur le prix du gaz naturel américain, ce qui, selon les experts devrait mettre le GNL algérien entre 30 et 40% de ses prix antérieurs. L’Algérie est donc bien au bord du précipice. [....]
La suite sur le blog officiel de Bernard Lugan
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Francois-Hollande-en-Algerie-entre
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Reportage : « Demain, la France des déserts médicaux… »
Reportage d’Armel Joubert des Ouches pour Reinformation.tv : 60 % des médecins s’installaient en médecine libérale il y a 30 ans. Ils ne sont plus que 30 % aujourd’hui. Ils sont 90.600, ils seront 5.000 de moins en 2020. Que se passe t-il donc ? Une politique au coup par coup, une augmentation des contraintes administratives ; il y eu également le numérus clausus qui a fait chuter le nombre d’étudiants en médecine durant plusieurs années. Fixé annuellement par le gouvernement, le nombre d’étudiants « choisi » pour entrer en seconde année de médecine a été volontairement limité durant des années. Or, il faut en moyenne 10 ans pour former un médecin.
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Régionales : Ouverture à gauche de l'équipe Estrosi
Jean-Jacques Aillagon fut ministre de la culture de 2002 à 2004 sous les gouvernements Raffarin. En 2012 Jean-Jacques Aillagon vire à gauche dans une tribune de « Libération » en annonçant « Le 22 avril prochain, je voterai François Hollande ». Jean-Jacques Aillagon est connu des lecteurs du Salon Beige pour ses "koonseries".
Aujourd'hui, il rejoint l'équipe de campagne de... Christian Estrosi.
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Les Gavroches : La mort s'invite au Sénat les 16 et 17 juin - Concert public le 21 juin à Paris
Après l'Assemblée Nationale, la Mort est de retour. Le 16 et 17 juin, elle rôde au Sénat.
Le Gouvernement a ouvert la boîte de Pandore.
Il a libéré la parole des pro-euthanasie.
les Gavroches dénoncent cette attaque contre la société.Les Gavroches organisent un grand concert pour la fête de la musique : dimanche à 20h00, sur le parvis de Notre Dame de Paris.
"Les Gavroches sortent dans la rue le 21 juin avec violon, cornemuse, piano et guitare, de la voix, du rythme et beaucoup d'ambiance !" -
Aymeric Chauprade absent du groupe constitué autour du FN au Parlement européen [Add.]
L'absence de Jean-Marie Le Pen et, dans une moindre mesure, de Bruno Gollnisch au sein du nouveau groupe constitué autour du FN au Parlement européen n'aura surpris personne. En revanche, l'absence d'Aymeric Chauprade, qui a accompagné Marine Le Pen dans son voyage en Egypte, est plus surprenante."Je ne serai pas membre d'un groupe parlementaire qui n'a pas été proposé à Jean-Marie Le Pen. C'est une certaine conception de l'honneur (...)J’ai été élu sur une liste avec Jean-Marie Le Pen : on m’a dit qu’il n’y serait pas, je n’y serai pas non plus. Mais je voterai comme le groupe, c’est fait en bonne intelligence avec Marine Le Pen"Comme la création d'un groupe nécessite 25 élus de 7 nationalités différentes, le groupe Europe des Nations et des Libertés a réussi à voir le jour grâce au ralliement de la britannique Janice Atkinson exclue en mars de l'Ukip pour des "soupçons graves de nature financière", liés à des dépenses élevées.Addendum : selon son assistant parlementaire, Aymeric Chauprade n'a pas pu apposer sa signature sur la demande car il est en déplacement aux Fidji.