Les « excuses » tardives de la désormais ex-rectrice de l’académie de Versailles, Charline Avenel, à travers un entretien donné au Parisien le 23 septembre dernier, n’ont pas fini de faire couler de l’encre.
On ne fera pas de procès d’intention à cette haute fonctionnaire, lorsqu’elle avoue avoir « été bouleversée en apprenant le décès de cet élève » et qu’elle a été « effondrée » lorsqu’elle a découvert, il y a une semaine, dans la presse, l’existence de ce courrier. En revanche, comment ne pas s’interroger sur sa tentative, plutôt maladroite d’ailleurs, pour se dédouaner et trouver des « excuses » afin que l’opinion comprenne que tout cela, au fond, n’est pas sa faute ?