Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

religion - Page 108

  • Un musulman vivant en Suède explique l’islam en toute franchise

    Sur une chaine de télévision suédoise en langue arabe un téléspectateur vivant dans le pays exprime librement sa vision de l’Islam :  « Nous allons combattre tous les non musulmans jusqu’à ce qu’ils deviennent musulmans ! » « Et nous allons prendre la Suède et toute l’Europe ». Une interview en direct à écouter jusqu’au bout.

     

    http://www.contre-info.com/

  • Il va y avoir des déménagements en Creuse

    Entre avril 2014 et mai 2015, 4 091 personnes ont été signalées comme étant en voie de radicalisation djihadiste en France. Telles sont les données recueillies par le Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR). Et voici la carte de ces signalements :

    CIo8GCLUwAEVdGZ

    Michel Janva

  • Dalil Boubakeur et les églises : un choc religieux autant que culturel

    Frédéric Saint Clair est mathématicien et économiste de formation. Il a été chargé de mission auprès du premier ministre pour la communication politique (2005-2007). Il est aujourd’hui Consultant Free Lance.

    ♦ FIGAROVOX/ANALYSE – Invité d’Europe 1 ce lundi, Dalil Boubakeur a proposé d’utiliser des églises vides pour y célébrer le culte musulman. Pour Frédéric Saint Clair, le recteur de la Grande Mosquée de Paris devrait commencer par s’interroger sur l’islam rigoriste.

    «Utiliser des églises vides pour servir au culte musulman». Cette proposition du recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, également président du controversé CFCM (Conseil français du culte musulman), risque encore une fois d’alimenter la polémique et d’hystériser un peu plus une société française en tension avec l’islam.

    Pourtant l’homme est sympathique, et lorsqu’il aborde ce sujet, on perçoit un désir de ne pas brusquer, de ne pas choquer, de ne pas heurter. Il sait qu’il aborde une question délicate et sa volonté de rapprocher les deux religions, chrétienne et musulmane, est patente et très certainement sincère. Néanmoins, son approche, ainsi que l’ensemble de son propos, témoigne d’une incompréhension vis à vis des rapports entre islam et société française.

    La société française est largement déchristianisée, et pourtant, l’idée que des musulmans puissent occuper des églises chrétiennes choque, voire agresse celle-ci. Non pas certaines communautés religieuses catholiques, lesquelles seraient probablement prêtes à ce dialogue interreligieux d’un genre nouveau, mais la population dans son ensemble, celle qui ne se rend qu’occasionnellement à l’église mais qui demeure attachée à ce patrimoine qu’elle veut continuer de considérer comme exclusivement chrétien. Il serait trop long de détailler ici les réticences de la société française à voir une partie de son patrimoine culturel «cédé» au culte musulman, car ces raisons sont multiples et parfois complexes, mais l’évidence de cette réticence est telle que l’on se demande pourquoi le représentant de l’islam de France – si l’on peut s’exprimer ainsi – a commis un tel impair. Pourquoi, parmi toutes les solutions qui s’offrent à lui, choisit-il de mentionner celle-ci en particulier, dont on sait qu’elle sera polémique?

    La réponse à cette question est contenue dans les propos réguliers que tient Dalil Boubakeur ainsi que nombre d’intellectuels et membres de l’élite politico-médiatique, propos que l’on a pu entendre ou lire à de nombreuses reprises depuis quelques mois. Le discours officiel, lorsqu’il considère la communauté musulmane, a opéré la catégorisation arbitraire suivante: d’un côté, les partisans d’un islam radical, fanatique et potentiellement terroriste; de l’autre, les partisans d’un islam modéré, tolérant et désireux de vivre en accord avec les lois de la République.

    On voit immédiatement où se situe le problème: cette grille de lecture manichéenne ne correspond pas à la réalité de la communauté musulmane de France; elle est donc incapable d’interpréter correctement les problématiques qui opposent islam et société française. Il manque un élément entre islam radical et islam modéré, un élément incontournable, visible médiatiquement, très présent sur les réseaux sociaux notamment, et qui est la clé qui permet de comprendre le malaise qui perdure au sein de la société. Un élément que l’on pourrait appeler «orthodoxie islamique». Le vrai problème qui clive la société française et la met sous tension est là, dans la nature de cette orthodoxie, et dans l’incapacité de l’élite à la reconnaître et même à la nommer.

    Prenons un exemple: dans le discours officiel sur la place de la femme au sein de l’islam, on entend parler de l’amour du prophète pour les femmes, du lien qui a pu être noué au sein de la mystique islamique entre le divin et le féminin, de la place des femmes dans le Coran, du caractère stigmatisant du voile pour les femmes, etc. Mais au quotidien, les français constatent depuis de nombreuses années une multiplication démesurée de nombre de femmes voilées. Un accroissement de la taille des voiles et même la présence dans les centres villes de nikab, ce voile intégral interdit par la loi, portés le plus souvent impunément. À ceci s’ajoutent des revendications pour que le port de ce voile soit encore plus présent, au sein des crèches, dans les écoles, dans les administrations, allant ainsi à l’encontre non seulement du principe de laïcité, mais de toute l’histoire culturelle d’un pays et de la sensibilité d’une nation. L’éclosion des partis politiques musulmans s’inscrit dans cette même volonté de positionner la culture islamique à un niveau politique, c’est à dire de lui faire une place légitime sur le territoire français, reconnue et légale. Cent fois ces questions ont été mentionnées: horaires séparés dans les piscines; menus hallal dans les cantines; médecins de sexe féminin pour ausculter les femmes musulmanes dans les hôpitaux, etc. Ces revendications communautaristes traduisent le constat que les français font de l’expansion de l’islam en France, et ne sauraient en aucun cas entrer sous le vocable d’«islam modéré». Elles entrent sous celui d’«islam orthodoxe».

    Le discours de Dalil Boubakeur, en prenant pour base un islam modéré, spirituel et tolérant, sans précaution oratoire supplémentaire, comme s’il représentait la totalité de la communauté musulmane de France à l’exception d’une poignée d’intégristes radicalisés, ouvre en réalité la porte aux revendications de cet islam orthodoxe et rigoriste. Et si l’islam modéré a toute sa place au sein de la République française, l’islam orthodoxe ne l’a pas. La question se pose donc: comment les autorités françaises et le CFCM pourront-ils pacifier la société civile vis à vis de la question de l’islam, maintenir une laïcité intelligente et respectueuse des cultes et faire une place à un islam réellement modéré s’ils demeurent aveugles – volontairement ou non – à l’existence de cette orthodoxie, à ses proportions et à ses revendications?

    Frédéric Saint Clair, 15/06/2015

    Source : FIGARO VOX Vox Société

    http://www.polemia.com/dalil-boubakeur-et-les-eglises-un-choc-religieux-autant-que-culturel/

  • Sauver les Français de la décapitation

    autoc-Revnatio.jpgUn communiqué du RF où tout est dit :

    « Pour la première fois en France, un homme – victime de l’invasion – a été décapité par des islamistes. On peut redouter qu’il soit le premier d’une longue série, à défaut d’un conséquent sursaut national.

    En effet, la France se trouve dans un état de conflit latent et il n’est pas absurde de penser que notre situation soit, dans quelques temps, celle de la Syrie ou de l’Irak.

    Etant donnés la situation française et l’échec inéluctable du multiculturalisme, la seule solution pour éviter le chaos et les horreurs que connaissent d’autres pays est une inversion massive des flux migratoires. C’est un impératif sécuritaire, autant qu’identitaire.

    Cela ne pourra se faire qu’en reprenant le pouvoir aux politiciens mondialistes et leurs maîtres – responsables de l’état de notre pays – et en rompant avec la mentalité individualiste et décadente qui règne aujourd’hui :

    c’est bien une révolution nationaliste qu’il faut en France, et vite !

    Le Conseil politique du RF »

    http://www.contre-info.com/

  • Les Sentinelles : ces mauvaises consciences du régime nihiliste

    Lu dans Présent :

    "Voilà deux ans maintenant que les Sentinelles veillent debout devant les lieux de pouvoir. Initialement, ce mouvement spontané est né à Paris en 2013 place Vendôme suite à l’arrestation et l’emprisonnement d’un militant de la Manif Pour Tous et fondateur des Veilleurs, Nicolas Bernard-Buss. En signe de protestation, une personne, vite rejointe par des centaines d’autres, s’était positionnée en face du ministère de l’(in)justice pris en otage par Christiane Taubira. Ils se sont relayés jour et nuit en attendant la libération de leur camarade. Les Sentinelles se sont inspirés des manifestants de la place Taksim à Istanbul en 2013. En étant immobiles, espacés tous les 3 mètres, le ministre de l’Intérieur turc avait reconnu qu’aucun trouble public ne pouvait être constaté et qu’il était décemment impossible de les réprimer. Le projet de construction d’un centre commercial à la place d’un parc pourtant cher à Erdogan, objet de leur contestation, a été abandonné.

    En France, la préfecture de police n’a pas eu les mêmes scrupules. Toujours prompte à réprimer les mouvements pacifistes, les sbires de la république n’ont pas lésiné sur les moyens pour intimider ces nouveaux contestataires : contrôles d’identité, bousculades, coups de matraques, gaz lacrymogènes, entraves à la liberté de circulation… Leur événement anniversaire de mercredi soir, place Vendôme, n’a pas échappé à la règle. En vain. Les Sentinelles ont essaimé dans toute la France (devant le tribunal de Lyon, le Parlement européen de Strasbourg, les mairies et préfectures…), et même au-delà, en Italie, en Espagne ou encore en Belgique.

    Jour et nuit, bravant le froid, la pluie ou la chaleur, ils se relaient pour veiller, pacifiquement mais avec détermination, afin de protester et d’alerter sur les attaques incessantes faites envers le Bien commun : famille traditionnelle, droits de l’enfance et filiation biologique, protection de la vie, sort des chrétiens d’Orient… Par leur présence discrète mais continue, ils sont la mauvaise conscience des puissants qui ne peuvent pas ne pas les voir en rentrant dans leurs lieux de pouvoir. Ils sensibilisent également les passants qui s’arrêtent pour discuter avec eux. Comme disait Dominique Venner, « notre monde sera sauvé par les veilleurs postés aux frontières du royaume et du temps. » Les Sentinelles sont de ceux-là."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Neuvaine radiée de Facebook

    Communiqué de La Neuvaine :

    N"A tous ceux qui suivent notre actualité sur facebook : Nos pages France La Neuvaine et La Neuvaine ont été radiées sans préavis le 25 juin. Ce désagrément est sans conséquence sur votre inscription à nos envois hebdomadaires.

    Pour nous suivre sur Facebook, rendez-vous désormais surLaneuvainepourlafrance

    Merci des relais de cette information que vous pourrez faire autour de vous ! Ce sont plus de 8 000 abonnés qui ne savent plus où nous trouver...

    Michel Janva

  • La charité réelle consiste à s'opposer au Grand Remplacement

    Extrait d'un communiqué de Jacques Bompard à propos de son opposition à l'immigration :

    "(...) La charité imposerait d’accepter silencieusement cette invasion en la maquillant de bons sentiments. Disons-le tout net : les anathèmes visant ceux qui cherchent à protéger une Civilisation, un équilibre national et une identité sont abjects.

    La politique n’est pas une science de la morale, qui concerne la libre conversion et le consentement prudent au don de chacun, mais bien une praxis inscrite dans la réalité. La politique n’est pas un assemblage d’images chocs cherchant à instrumentaliser l’émotion légitime devant les être fracassés par notre monde. La politique consiste en une reconsidération totale de la réaction à apporter à ces enjeux mondiaux.

    On ne peut remettre en cause la marchandisation du monde sensible dans les attentats faits contre la Vie (GPA, avortement de masse, euthanasie) et utiliser la « moraline » des destructeurs de l’ordre naturel pour encourager directement ou indirectement le déracinement populations entières.J’adhère parfaitement au discours du pape François à Lampedusa :l’Europe et le monde doivent voir avec consternation et pitié les embarcations d’immigrés sombrant en MéditerranéeJe ne remets certainement pas en cause ceux qui font preuve de bonté à Calais, je ne veux cependant pas oublier celles qui sont violentées dans le même temps. Mais cette honte n’a de sens que si elle permet de reconsidérer les racines profondes de ce mal : guerres impérialistes en Syrie, en Libye, en Irak ou en Afrique, dictature du cosmopolitisme financier sur les Nations et sur les institutions internationales, orchestration du déracinement des peuples au profit d’un immonde village global.

    L’avancée vers une société multiculturelle n’apporte en vérité que la diversification des racismes et des conflits : explosion des viols et des violences dans les zones d’attente, abandon de la France périphérique, délaissement des plus de cinq millions de chômeurs nationaux, coûts abyssaux des politiques de sécurité, de logement, d’aides sociales, d’éducation à apporter, subventions aux associations antifrançaises.

    Aussi, la charité réelle ne peut-elle plus que s’incarner dans une politique de totale fermeté contre le Grand Remplacement. Il y a en France plus de 5 millions d’immigrés, plus de 6 millions de descendants d’immigrés et une islamisation indéniable de bien des portions de notre territoire. Cette situation ne peut que mener à terme à l’explosion sociale et civile. La France se perdrait alors, à avoir trop voulu sauver ceux qu’elle aurait repoussé (...)"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attentat islamique en Isère

    Attentat islamique dans la société de gaz et produits chimiques Air Products à Saint-Quentin-Fallavier en Isère. Forte explosion, plusieurs blessés, un homme décapité par les terroristes.

    « Tous les signaux étaient ces dernières semaines au rouge pour qu’un attentat de cette nature se produise sur le territoire national », selon une source des services de sécurité intérieure.
    Ce matin, vers 10 h, une forte explosion retentit dans l’usine de gaz et produits chimiques Air Products, qui s’embrase. Le fort déploiement de pompiers et de gendarmes permet de circonscrire rapidement l’incendie, qui a néanmoins blessé plusieurs employés de la société, et de lever rapidement les doutes quant aux causes de la catastrophe.
    Les premiers témoignages recueillis font en effet état de deux personnes impliquées : la première aurait pénétré dans l’entreprise et ouvert plusieurs bonbonnes de gaz, revendiquant d’être de Daesh, des drapeaux islamistes en main.
    On évoque aussi une voiture qui aurait fait irruption dans la société peu avant 10 heures, effectuant du rodéo dans la cour afin de percuter des bonbonnes de gaz présentes sur le site.
    Rapidement, la tête d’in homme décapité a été retrouvée accrochée au grillage de la société, couverte d’inscriptions en arabe. Il ne s’agirait pas d’un employé de la société Air Products.
    Aussitôt, un important dispositif policier a été déployé pour quadriller la région et renforcer la sécurité.

    Peu avant 11 h 30, un homme connu de la DGSI et des services antiterroristes a été interpellé, nous ignorons à l’heure qu’il est s’il s’agit d’un des auteurs de l’attentat. Selon des informations du Dauphiné Libéré, un homme serait toujours activement recherché circulant à bord d’un véhicule ce matin avant l’attentat qui aurait fait des allées et venues devant la société ciblée. Depuis, l’un des suspects a été identifié et arrêté, selon Bernard Cazeneuve :

    Une personne a été assassinée, décapitée et le parquet antiterroriste de Paris a été saisi de cette enquête. L’identité du criminel est en cours de précision. Il s’appelle Yassin Salhi. Il a fait l’objet d’une fiche S en 2006 pour radicalisation, non renouvelée en 2008. Aucun casier judiciaire. La victime est en cours d’identification.
    Le sang froid d’un pompier a permis l’arrestation du criminel.

    Tandis que François Hollande est attendu cet après-midi à un Conseil de défense qui se réunit en urgence ce vendredi à 15 heures à l’Élysée, certains ont aussitôt sais l’occasion pour récupérer l’événement au profit de la loi Renseignement, à l’instar de Jean-Jack Queyranne, président de la région Rhône-Alpes :

    J’éprouve un sentiment d’horreur face à la barbarie qui vient de se produire en Isère ce matin au cœur de notre région. Je veux avant tout exprimer ma solidarité aux victimes, leur famille et leurs proches. La loi sur le Renseignement a toute sa justification : il faut cesser toute forme d’angélisme en la matière devant les menaces. Il faut aussi éviter que la peur ne s’installe. Comme en janvier, toutes les composantes de la Nation doivent s’unir pour faire face au danger. C’est la Nation qui doit combattre la terreur.

    Sans surprise, Jean-Christophe Cambadélis a aussitôt sorti le PADAMALGAM magique. Nous voilà rassurés, il n’y a aucun lien entre cet attentat islamique commis par un certain Yassin Salhi d’une part, l’islam et les musulmans d’autre part.

    http://fr.novopress.info/189818/attentat-islamique-en-isere/#more-189818

  • Au Lavandou, la messe est interdite pour ne pas attiser les tensions confessionnelles

    Dans la lignée des accommodements raisonnables et autres capitulations devant l’islam dit de France, le maire UMP du Lavandou, Gil Bernardi, vient d’interdire dans sa ville la célébration de la messe estivale « en plein air » qui s’y tenait depuis plus de 20 ans. Les raisons louables invoquées étant,« dans un contexte de tensions confessionnelles » et à la suite des événements du 7 janvier 2015, « de ne pas attiser les critiques des adeptes de la laïcité, comme à ne pas exposer les paroissiens au geste d’un déséquilibré ou d’un fanatique ».

    Et si j’étais moi-même ce déséquilibré ? Alors, oui, je l’avoue, je fais mon coming out : je suis un déséquilibré car j’ai peur de l’islam.

    Heureusement, je suis aussi Charlie et je marche main dans la main pour la « liberté d’expression » et celle, encore permise, de penser. Ai-je donc le droit, en République Charlie, de lire le Coran, les hadiths, d’étudier l’histoire de l’idéologie islamique depuis son avènement et d’apprécier, ainsi, sa véritable nature ? Ai-je le droit de critiquer l’islam, de le désapprouver, de contredire ses préceptes, de mettre en évidence ses mensonges, de condamner la violence immanente qui suppure de ses dogmes, les affabulations de son prophète et la vérité sur celui-ci, ses meurtres, ses massacres, ses pillages, ses persécutions des femmes et des mécréants ?

    Lire la suite