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religion - Page 107

  • Les attaques se multiplient…

    Les fatwas et autres appels à la guerre contre l’occident et plus particulièrement la France, lancés par l’Etat Islamique, semblent avoir été entendus. En effet depuis des semaines déjà se multiplient les actes d’hostilité contre tout ce qui symbolise notre culture et nos racines.
    Les quelques millions de musulmans présents sur notre sol ne sont certes pas coupables de ces forfaits, mais constituent un vivier favorable à ces attentats, qui vont du simple tag anti-chrétien, à la détérioration de monuments religieux, croix de cimetière, injures et agressions, jusqu’à des crimes sanglants comme à Besançon ou saint Quentin Falavier, tout dernièrement.

    Nos apprentis terroristes ont été ainsi dispensés d’aller se battre en Syrie ou en Irak, pour porter le Djihad en Occident. Pour l’instant c’est encore du « bricolage » mais il y a de fortes chances qu’à la faveur de l’arrivée de nouveaux réfugiés, quelques individus plus aguerris, puissent prendre bientôt la tête de petits groupes de guérilla susceptibles de semer des troubles plus conséquents. Leur but est d’allumer le feu un peu partout en Europe et de peser ainsi un peu plus sur nos gouvernants qui jusqu’à aujourd’hui n’ont été capables d’exercer une répression sévère que contre les mamans et les enfants en poussette de la Manif Pour Tous.

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  • La mairie de Perpignan vote une 2e mosquée

    A Perpignan, lors de la séance du Conseil Municipal du jeudi 25 juin, le maire Jean-Marc Pujol et toute la majorité Républicains ont voté la vente d'un terrain situé à l'ouest de la ville dans le quartier Mailloles: la parcelle en question, d'une superficie de 2400 m2 cédée pour un prix modique de 144 000€ (soit 60€ le M2 constructible!) à l'ASSATE (Association arabo-turque de l'Ensoleillée) permettra, en lieu et place de la petite salle de prière existante, la construction d'une grande mosquée et de salles de prières sur une emprise de près de 1000 m2.

    Ce vote fait suite à une promesse électorale de Jean-Marc Pujol lui-même, lors de sa campagne des municipales de 2014...

    Seuls les 12 élus du Groupe FN/RBM (présidé par Louis Aliot) se sont opposés dans sa forme à cette transaction, mettant notamment en alerte les pouvoirs publics sur la provenance des fonds nécessaires à la construction de cette nouvelle Grande Mosquée Perpignanaise.

    Michel Janva

  • Fermez les mosquées salafistes ! (Présent 8385)


    8385-Une

    Comment combattre un mal sans vouloir le nommer ? Si l’on esquive le mot, comment peut-on affronter sa réalité ? C’est pourtant ce que ne cesse de faire François Hollande.

    De Bruxelles, apprenant la tuerie en Isère, il a doctement révélé qu’il s’agissait « d’une attaque de nature terroriste ». Mais quel terrorisme ? Il a promis qu’il allait « éradiquer les groupes ou les individus responsables de tels actes ». Quels groupes ? Quels individus ? Ils n’ont ni visage, ni idéologie, aucune appartenance, comment éradiquer ces assassins anonymes ? Il sait pourtant que ne sont pas des terroristes péruviens du Sentier lumineux, ce sont des islamistes. Mais le mot lui écorche les lèvres. Car, si le président entend combattre le terrorisme, il lutte dans le même mouvement contre « l’amalgame » et « l’islamophobie », comme s’il s’agissait de maux aussi redoutables que le terrorisme lui-même. Dans « islamisme », il y a islam, il espère que ses périphrases le feront oublier aux Français. La vérité est qu’il ne veut faire nulle peine, même légère, aux musulmans qui, en 2012, ont voté à 93 % pour lui, il espère qu’ils recommenceront en 2017.

    Ce que l’égorgeur isérois a en commun avec les autres terroristes, ce n’est pas seulement l’islamisme, c’est d’être bien connu de la police. Yassin Salhi figurait au fichier « S », c’est-à-dire des personnes signalées comme ayant un lien avec l’islamisme radical, comme les frères Kouachi, Amedy Coulibaly, les tueurs du 7 janvier, comme Mohamed Merah ou cet autre qui a attaqué trois militaires à l’arme blanche à Nice. Après chaque attentat, Cazeneuve nous « rassure » : ils étaient connus de nos services.
    Tous fichés, ou presque. Tous recensés, tous répertoriés, tous signalés et tous perdus de vue, tous oubliés, tous enfuis, tous négligés et tous, finalement, ont frappé, tué, massacré ou égorgé.
    C’est qu’il y en a tellement qu’on ne peut pas les suivre à la trace, comprenez-nous ! Les policiers ne sont pas assez nombreux. Et alors ? Il faut donc en recruter autant que nécessaire ou, au moins, en prendre la décision, c’est cela « tout faire » pour combattre le terrorisme. Ce n’est pas rester les bras ballants en déplorant dans un soupir résigné le manque d’effectifs. D’autant que, lorsque le gouvernement le veut, il le peut. Dès lundi sont prévus 200 policiers de plus en renfort dans les rues de la capitale. Il n’a fallu que quarante-huit heures pour en décider et trouver les hommes. C’est à cause de la guerre. Pas celle que nous livre le terrorisme islamique, non, celle qui sévit entre taxis et chauffeurs d’UberPop, que la police veut verbaliser massivement.

    La nécessaire répression doit s’accompagner de l’extinction de ces foyers de propagande islamiste que sont les mosquées salafistes, comme le demande Marine Le Pen. Tous les salafistes ne sont évidemment pas de la graine de terroriste, mais tous les terroristes, ou presque, sont salafistes. C’est pourquoi le gouvernement tunisien, après l’attentat de Sousse, a annoncé la fermeture des 80 mosquées de cette obédience, comme avant en Égypte. Hollande sera-t-il plus protecteur de ces musulmans-là que ces chefs d’État musulmans ?

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • Un musulman vivant en Suède explique l’islam en toute franchise

    Sur une chaine de télévision suédoise en langue arabe un téléspectateur vivant dans le pays exprime librement sa vision de l’Islam :  « Nous allons combattre tous les non musulmans jusqu’à ce qu’ils deviennent musulmans ! » « Et nous allons prendre la Suède et toute l’Europe ». Une interview en direct à écouter jusqu’au bout.

     

    http://www.contre-info.com/

  • Il va y avoir des déménagements en Creuse

    Entre avril 2014 et mai 2015, 4 091 personnes ont été signalées comme étant en voie de radicalisation djihadiste en France. Telles sont les données recueillies par le Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR). Et voici la carte de ces signalements :

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    Michel Janva

  • Dalil Boubakeur et les églises : un choc religieux autant que culturel

    Frédéric Saint Clair est mathématicien et économiste de formation. Il a été chargé de mission auprès du premier ministre pour la communication politique (2005-2007). Il est aujourd’hui Consultant Free Lance.

    ♦ FIGAROVOX/ANALYSE – Invité d’Europe 1 ce lundi, Dalil Boubakeur a proposé d’utiliser des églises vides pour y célébrer le culte musulman. Pour Frédéric Saint Clair, le recteur de la Grande Mosquée de Paris devrait commencer par s’interroger sur l’islam rigoriste.

    «Utiliser des églises vides pour servir au culte musulman». Cette proposition du recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, également président du controversé CFCM (Conseil français du culte musulman), risque encore une fois d’alimenter la polémique et d’hystériser un peu plus une société française en tension avec l’islam.

    Pourtant l’homme est sympathique, et lorsqu’il aborde ce sujet, on perçoit un désir de ne pas brusquer, de ne pas choquer, de ne pas heurter. Il sait qu’il aborde une question délicate et sa volonté de rapprocher les deux religions, chrétienne et musulmane, est patente et très certainement sincère. Néanmoins, son approche, ainsi que l’ensemble de son propos, témoigne d’une incompréhension vis à vis des rapports entre islam et société française.

    La société française est largement déchristianisée, et pourtant, l’idée que des musulmans puissent occuper des églises chrétiennes choque, voire agresse celle-ci. Non pas certaines communautés religieuses catholiques, lesquelles seraient probablement prêtes à ce dialogue interreligieux d’un genre nouveau, mais la population dans son ensemble, celle qui ne se rend qu’occasionnellement à l’église mais qui demeure attachée à ce patrimoine qu’elle veut continuer de considérer comme exclusivement chrétien. Il serait trop long de détailler ici les réticences de la société française à voir une partie de son patrimoine culturel «cédé» au culte musulman, car ces raisons sont multiples et parfois complexes, mais l’évidence de cette réticence est telle que l’on se demande pourquoi le représentant de l’islam de France – si l’on peut s’exprimer ainsi – a commis un tel impair. Pourquoi, parmi toutes les solutions qui s’offrent à lui, choisit-il de mentionner celle-ci en particulier, dont on sait qu’elle sera polémique?

    La réponse à cette question est contenue dans les propos réguliers que tient Dalil Boubakeur ainsi que nombre d’intellectuels et membres de l’élite politico-médiatique, propos que l’on a pu entendre ou lire à de nombreuses reprises depuis quelques mois. Le discours officiel, lorsqu’il considère la communauté musulmane, a opéré la catégorisation arbitraire suivante: d’un côté, les partisans d’un islam radical, fanatique et potentiellement terroriste; de l’autre, les partisans d’un islam modéré, tolérant et désireux de vivre en accord avec les lois de la République.

    On voit immédiatement où se situe le problème: cette grille de lecture manichéenne ne correspond pas à la réalité de la communauté musulmane de France; elle est donc incapable d’interpréter correctement les problématiques qui opposent islam et société française. Il manque un élément entre islam radical et islam modéré, un élément incontournable, visible médiatiquement, très présent sur les réseaux sociaux notamment, et qui est la clé qui permet de comprendre le malaise qui perdure au sein de la société. Un élément que l’on pourrait appeler «orthodoxie islamique». Le vrai problème qui clive la société française et la met sous tension est là, dans la nature de cette orthodoxie, et dans l’incapacité de l’élite à la reconnaître et même à la nommer.

    Prenons un exemple: dans le discours officiel sur la place de la femme au sein de l’islam, on entend parler de l’amour du prophète pour les femmes, du lien qui a pu être noué au sein de la mystique islamique entre le divin et le féminin, de la place des femmes dans le Coran, du caractère stigmatisant du voile pour les femmes, etc. Mais au quotidien, les français constatent depuis de nombreuses années une multiplication démesurée de nombre de femmes voilées. Un accroissement de la taille des voiles et même la présence dans les centres villes de nikab, ce voile intégral interdit par la loi, portés le plus souvent impunément. À ceci s’ajoutent des revendications pour que le port de ce voile soit encore plus présent, au sein des crèches, dans les écoles, dans les administrations, allant ainsi à l’encontre non seulement du principe de laïcité, mais de toute l’histoire culturelle d’un pays et de la sensibilité d’une nation. L’éclosion des partis politiques musulmans s’inscrit dans cette même volonté de positionner la culture islamique à un niveau politique, c’est à dire de lui faire une place légitime sur le territoire français, reconnue et légale. Cent fois ces questions ont été mentionnées: horaires séparés dans les piscines; menus hallal dans les cantines; médecins de sexe féminin pour ausculter les femmes musulmanes dans les hôpitaux, etc. Ces revendications communautaristes traduisent le constat que les français font de l’expansion de l’islam en France, et ne sauraient en aucun cas entrer sous le vocable d’«islam modéré». Elles entrent sous celui d’«islam orthodoxe».

    Le discours de Dalil Boubakeur, en prenant pour base un islam modéré, spirituel et tolérant, sans précaution oratoire supplémentaire, comme s’il représentait la totalité de la communauté musulmane de France à l’exception d’une poignée d’intégristes radicalisés, ouvre en réalité la porte aux revendications de cet islam orthodoxe et rigoriste. Et si l’islam modéré a toute sa place au sein de la République française, l’islam orthodoxe ne l’a pas. La question se pose donc: comment les autorités françaises et le CFCM pourront-ils pacifier la société civile vis à vis de la question de l’islam, maintenir une laïcité intelligente et respectueuse des cultes et faire une place à un islam réellement modéré s’ils demeurent aveugles – volontairement ou non – à l’existence de cette orthodoxie, à ses proportions et à ses revendications?

    Frédéric Saint Clair, 15/06/2015

    Source : FIGARO VOX Vox Société

    http://www.polemia.com/dalil-boubakeur-et-les-eglises-un-choc-religieux-autant-que-culturel/

  • Sauver les Français de la décapitation

    autoc-Revnatio.jpgUn communiqué du RF où tout est dit :

    « Pour la première fois en France, un homme – victime de l’invasion – a été décapité par des islamistes. On peut redouter qu’il soit le premier d’une longue série, à défaut d’un conséquent sursaut national.

    En effet, la France se trouve dans un état de conflit latent et il n’est pas absurde de penser que notre situation soit, dans quelques temps, celle de la Syrie ou de l’Irak.

    Etant donnés la situation française et l’échec inéluctable du multiculturalisme, la seule solution pour éviter le chaos et les horreurs que connaissent d’autres pays est une inversion massive des flux migratoires. C’est un impératif sécuritaire, autant qu’identitaire.

    Cela ne pourra se faire qu’en reprenant le pouvoir aux politiciens mondialistes et leurs maîtres – responsables de l’état de notre pays – et en rompant avec la mentalité individualiste et décadente qui règne aujourd’hui :

    c’est bien une révolution nationaliste qu’il faut en France, et vite !

    Le Conseil politique du RF »

    http://www.contre-info.com/

  • Les Sentinelles : ces mauvaises consciences du régime nihiliste

    Lu dans Présent :

    "Voilà deux ans maintenant que les Sentinelles veillent debout devant les lieux de pouvoir. Initialement, ce mouvement spontané est né à Paris en 2013 place Vendôme suite à l’arrestation et l’emprisonnement d’un militant de la Manif Pour Tous et fondateur des Veilleurs, Nicolas Bernard-Buss. En signe de protestation, une personne, vite rejointe par des centaines d’autres, s’était positionnée en face du ministère de l’(in)justice pris en otage par Christiane Taubira. Ils se sont relayés jour et nuit en attendant la libération de leur camarade. Les Sentinelles se sont inspirés des manifestants de la place Taksim à Istanbul en 2013. En étant immobiles, espacés tous les 3 mètres, le ministre de l’Intérieur turc avait reconnu qu’aucun trouble public ne pouvait être constaté et qu’il était décemment impossible de les réprimer. Le projet de construction d’un centre commercial à la place d’un parc pourtant cher à Erdogan, objet de leur contestation, a été abandonné.

    En France, la préfecture de police n’a pas eu les mêmes scrupules. Toujours prompte à réprimer les mouvements pacifistes, les sbires de la république n’ont pas lésiné sur les moyens pour intimider ces nouveaux contestataires : contrôles d’identité, bousculades, coups de matraques, gaz lacrymogènes, entraves à la liberté de circulation… Leur événement anniversaire de mercredi soir, place Vendôme, n’a pas échappé à la règle. En vain. Les Sentinelles ont essaimé dans toute la France (devant le tribunal de Lyon, le Parlement européen de Strasbourg, les mairies et préfectures…), et même au-delà, en Italie, en Espagne ou encore en Belgique.

    Jour et nuit, bravant le froid, la pluie ou la chaleur, ils se relaient pour veiller, pacifiquement mais avec détermination, afin de protester et d’alerter sur les attaques incessantes faites envers le Bien commun : famille traditionnelle, droits de l’enfance et filiation biologique, protection de la vie, sort des chrétiens d’Orient… Par leur présence discrète mais continue, ils sont la mauvaise conscience des puissants qui ne peuvent pas ne pas les voir en rentrant dans leurs lieux de pouvoir. Ils sensibilisent également les passants qui s’arrêtent pour discuter avec eux. Comme disait Dominique Venner, « notre monde sera sauvé par les veilleurs postés aux frontières du royaume et du temps. » Les Sentinelles sont de ceux-là."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Neuvaine radiée de Facebook

    Communiqué de La Neuvaine :

    N"A tous ceux qui suivent notre actualité sur facebook : Nos pages France La Neuvaine et La Neuvaine ont été radiées sans préavis le 25 juin. Ce désagrément est sans conséquence sur votre inscription à nos envois hebdomadaires.

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    Michel Janva