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religion - Page 107

  • Islam et immigration : réveil des nations européennes

    – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Dominique Venner a-t-il été entendu ? Serait-ce enfin l’heure du réveil après tant d’années de dormition ? Dans la lignée des rassemblements Pegida en Allemagne, des milliers de personnes ont manifesté samedi à Bratislava, capitale de la Slovaquie, contre les quotas d’immigrants que l’Union européenne envisage de répartir entre les pays-membres. On pouvait lire entre autres sur les banderoles le slogan « Multiculturalisme = génocide ». Au Danemark, les dernières élections législatives ont placé en 2e la droite anti-immigration avec 21,1 % des voix. Cette percée spectaculaire a obligé le Premier ministre socialiste-démocrate à démissionner.

    La Suisse connaît, elle aussi une forte mobilisation contre l’immigration… 
    En effet. La Suisse, connue pour son référendum anti-minaret, voit les lignes bouger sur la question migratoire. La journaliste genevoise Mireille Vallette, issue de la gauche, dont elle dénonce la bien-pensance, lance une plate-forme nommée l’Association Suisse Vigilance Islam. Il s’agira, je cite : « De défendre nos valeurs et notre civilisation, menacées par une religion totalitaire ». Fin de citation. Des gauchistes comme elle, on en redemanderait plus souvent.
    Par ailleurs, le chef du gouvernement du Tessin souhaite fermer les frontières face à l’afflux des demandeurs d’asile. En première ligne face à l’Italie, Norman Gobbi membre de la Lega s’inspirant de la Ligue du Nord entend ainsi préserver la Suisse.

    Les Européens prennent-ils enfin conscience de la fragilité de leur destin ? 
    Il semblerait. Partout en Europe, les esprits éclairés sont conscients qu’une société multiculturelle est par nature multi-conflictuelle. L’Autriche vient encore de nous en fournir la preuve. Un automobiliste a tué samedi trois personnes et blessé 36 autres en lançant son véhicule à pleine vitesse dans la foule. Présenté par les autorités et la presse complice comme un déséquilibré, Aymeric Chauprade a quant à lui dénoncé un attentat islamiste sur Twitter. Difficile en effet de ne pas faire le lien avec les événements similaires en France de décembre dernier. L’État islamique avait préconisé ce mode opératoire pour frapper l’Occident. Précisons à toutes fins utiles que le forcené ayant sévi en Autriche est d’origine bosniaque et n’était sous l’emprise d’aucune drogue ni alcool.

    http://fr.novopress.info/

  • Chaouat, CCIF : au PS, on aime les vrais musulmans

    Pour soutenir des capitulations aussi honteuses devant les représentants de l’islam, le PS ne pouvait pas trouver mieux qu’un politicien cynique et manœuvrier comme Cambadélis.

    Le nouveau chef du Parti socialiste, depuis ses jeunes années à l’OCI trotskiste jusqu’à ce jour, a toujours été un adepte du dicton : « La fin justifie les moyens. »

    Ayant compris que François Hollande a été élu grâce au vote de 93 % de musulmans, il s’efforce donc de réparer les dégâts du mariage homosexuel, et de reconquérir à tout prix ces voix précieuses pour 2017.

    Ainsi, la porte-parole du PS, Corinne Narassiguin, a-t-elle été envoyée en mission, pour le dîner annuel du Collectif contre l’islamophobie en France, le 29 mai dernier. Les contacts ont dû être fructueux puisque, dès le 1er juin, Cambadélis en personne recevait une délégation du CCIF. Ce dernier a demandé au PS d’intégrer dans son discours la lutte contre la montée de l’islamophobie. Traduction : légiférer contre la critique de l’islam, ce qui est un peu le contraire de l’esprit « Je suis Charlie ». Message reçu : à Poitiers, Cambadélis a repris ce thème dans son intervention, et Cazeneuve, place Beauvau, a ouvert des pistes sur la question, le 15 juin dernier, dans un discours de soumis trahissant tous les principes laïques.

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  • Le ramadan, une perversion du carême ?

    Alors que les médias nous saoulent d’informations et de commentaires sur le ramadan, que les supermarchés dressent ostensiblement  des rayons dédiés, ressortons ces quelques remarques pertinentes d’Yves Daoudal :

    Le ramadan n’est pas seulement une mauvaise copie du carême, c’est une perversion du carême (comme de nombreuses pages du Coran sont une perversion de la Bible, etc.).
    Le symbolisme du jeûne de carême est, notamment, la purification de l’âme par le retranchement de la nourriture du corps (car le jeûne purifie le corps). Mais le ramadan, c’est le contraire.
    Car si l’on jeûne dans la journée, la nuit on fait bombance (et on digère dans la journée). Dans les pays musulmans, la consommation alimentaire augmente de 30 % pendant le ramadan.
    (C’est pourquoi chez nous toutes les chaînes de supermarchés ont leurs rayons spécial ramadan, alors que, si le carême était vécu par les catholiques comme 40 jours de jeûne, il ne pourrait pas y avoir de rayons spécial carême, pour la bonne raison que le jeûne de carême c’est une réelle privation.)
    L’orgie de nourriture est telle que les hôpitaux sont pris d’assaut par des malades qui présentent tout l’éventail des pathologies liées à la surconsommation de nourriture (et grasse, et sucrée…), depuis la simple indigestion jusqu’aux crises cardiaques.
    Et il y a des émissions spéciales à la télévision pour demander aux gens de se modérer et donner des recettes de plats moins riches. En ce temps de dictature hygiéniste, le ramadan devrait être interdit.

    http://www.contre-info.com/le-ramadan-une-perversion-du-careme#more-13935

  • Civitas manifeste pour les chrétiens d’Orient et réclame des sanctions contre l’Arabie Saoudite et les pays alliés de l’Etat Islamique

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    Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées samedi après midi à Paris à l’appel de l’institut Civitas en soutien aux Chrétiens d’Orient persécutés. La manifestation qui visait les pays complices des persécutions est partie de la place St Augustin pour se diriger vers l’ambassade d’Arabie Saoudite. Ce rassemblement a reçu l’appui de nombreuses personnalités qui ont apporté leur concours au défilé par leur présence ou en relayant l’appel sur différents médias.

    manif-20-juin-2

    Sur une des banderoles on pouvait lire: « Il faut sanctionner l’Arabie Saoudite et les autres pays alliés de l’Etat Islamique » avec à l’extrémité une photo de François Hollande serrant la main du roi Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud d’Arabie Saoudite.

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  • Le toujours plus du pouvoir socialiste au profit de l’islam

    Après avoir vanté "la vertu de la laïcité" et "la neutralité religieuse de l'Etat", le ministre de l'Intérieur a annoncé exactement l'inverse.

    Devant un parterre de représentants de l’islam, Bernard Cazeneuve a clôturé la journée d’instance de dialogue par un discours fleuve et dithyrambique. « L’islam est en France pour y rester  » a dit Valls. Le ministre de l’Intérieur – avec les projets annoncés – lui remet en quelque sorte, à terme, les clefs de la maison.

    Après avoir vanté « la vertu de la laïcité » et « la neutralité religieuse de l’Etat », le ministre de l’Intérieur a annoncé exactement l’inverse.

    D’abord, « l’Etat doit naturellement assurer la protection des mosquées » (…), raison pour laquelle, face au « fléau » des actes antimusulmans, s’il veille déjà sur 1000 mosquées, il a décidé de consacrer neuf millions d’euros sur les trois prochaines années au financement d’équipements de sécurité, en particulier des caméras de vidéo surveillance.

    Concernant leur financement « Vous n’ignorez pas que la loi de 1905 impose à l’Etat une abstention rigoureuse »(…) … mais les représentants des musulmans n’ont pas dû beaucoup s’inquiéter, « ce principe n’exclut pas, comme vous le savez également, que les collectivités locales puissent faciliter l’aboutissement de certains projets de construction » (…)

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  • Les femmes iraniennes instillent l’espoir

    L’Iran étant le premier pays musulman à être tombé sous la férule islamique. Peut-être sera-t-il le premier à en sortir ?

    Une Iranienne exilée aux États-Unis a ouvert une page Facebook afin que ses compatriotes restées au pays puissent y déposer la photo de leurs cheveux sans hijab. Elles sont des milliers à avoir répondu à son appel et posté des clichés souvent artistiques où l’on sent l’aspiration profonde de ces dames pour une liberté totale d’habillement. Les autorités religieuses n’ont pas encore réagi mais que pourraient-elles faire ? Le site est basé hors d’Iran. Elle ne pourront pas le fermer. Je doute que la police religieuse cherche à identifier chacune des contrevenantes afin de leur infliger une amende. Elles sont trop nombreuses ! Le soutien en Iran à cette initiative est fort. Même des femmes qui personnellement veulent porter le hijab militent afin que chacune ait le droit de choisir de couvrir ou pas ses cheveux.

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  • Véronique Lévy : "Une église n'est pas un objet de consommation qu'on peut recycler"

    Véronique Lévy, convertie au catholicisme, nous livre un beau texte dans Famille chrétienne, en réaction aux propos de Dalil Boubakeur et de Mgr Dubost :

    "Simple coïncidence ? J’apprends les propos de Mgr Dubost le 16 juin, fête de la dédicace de la cathédrale Notre-Dame de Paris. S’élevant dans le ciel de la cité, fruit miraculeux de la foi des pauvres, des chastes et des martyrs, elle illumine la ville, sentinelle fidèle de cet Amour qui a vaincu la mort. Peut-on séparer la forme de son fond ou la lettre de son cœur ? Les pierres de nos églises et le message de salut qu’elles respirent ? Non… au risque de glisser vers le déni, d’effacer une parole vive, se couper d’une source où l’homme peut se désaltérer.(...) L’église est l’hôpital des âmes blessées. Tout est ordonné autour de ce Cœur battant au fond du tabernacle.

    N’est-elle pas un signe visible de cet Amour qui se dit encore par elle et en elle à travers des gestes simples et maternels, dans l’eucharistie, une main qui bénit et pardonne, ou les chants berçant nos cœurs et nos corps. L’élancement des voûtes en croisées d’ogives, la lumière diffuse des vitraux aux bleus vibrants, aux pourpres incandescents ; le sourire tendre d’une Vierge de pierre transperçant nos impasses, nos prisons, nos abandons. La Croix traversant nos croix…

    Toute cette beauté n’est-elle pas un avant-goût de la liturgie céleste, un prélude au Royaume où l’homme « s’assoit parmi les princes » ? Non plus le pion interchangeable, le xx ou le xy anonyme d’une enquête statistique, mais un être unique rendu à l’image et à la ressemblance de Dieu.

    Une église n’est pas un objet de consommation courante qu’on peut recycler en parking, restaurant ou même en un autre lieu de culte. Elle a été consacrée à Dieu : Un, indivisible et pourtant trine.

    Que diraient les adeptes de la tolérance, du dialogue interreligieux soumis à la pensée unique et tiède d’une dictature invisible, économique et aveugle si, à contre-courant du politiquement correct, on transformait une synagogue en fast-food ou une mosquée en temple évangélique ? On crierait au scandale et on aurait raison.

    Mais il est facile d’incriminer l’État, les mairies… Les églises construites après 1905 sont à la charge des diocèses. Les mots de Bernanos résonnent, tragiques, prophétiques, dans Français si vous saviez : « Je le dis, je le répète, je ne me lasserai jamais de proclamer que l’état du monde est une honte pour les chrétiens. Nous répétons sans cesse avec des larmes d’impuissance, de paresse et d’orgueil que le monde se déchristianise. Mais le monde n’a pas reçu le Christ, c’est nous qui L’avons reçu pour lui, c’est de nos cœurs que Dieu se retire, c’est nous qui nous déchristianisons, misérables ! »

    C’est aux évêques, à nous tous baptisés, cellules vives du Corps du Christ, de réintégrer notre cœur, Son Cœur, battant dans le secret du tabernacle, là où Il attend, démuni comme dans la crèche, donné jusqu’à l’extrême, libre en son éternité offerte à tous.

    Dans la petite église de Saint-Damien, par trois fois le Christ s’anima et dit à saint François d’Assise : « Va François, et répare mon église en ruine ! ». Cette demande du Seigneur est brûlante d’actualité. Elle appelle au réveil, à exprimer sans peur, dans l’émerveillement d’une naissance, la joie de l’Évangile.(...)"

    Louise Tudy

  • Éditorial de L’Action Française 2911 : DE L’HUILE SUR LE FEU...

    Comme un marronnier dans la presse, la question du « droit du sol », stupidement opposé au « droit du sang » — la France connaît les deux — revient à intervalles réguliers dans le débat politique à la faveur des raz-de-marée migratoires que subit le pays sur son sol non seulement métropolitain, mais aussi ultra-marin.

    Sarkozy, qui n’est pas à une indécence prêt, y est même allé de son petit couplet, à la faveur du déplacement de Manuel Valls, le 13 juin dernier, à Mayotte, notre 101e département. Les Mahorais auraient souhaité que le Premier ministre prononçât des paroles fortes sur la question des clandestins. Les pouvoirs publics les estiment en effet à 70 000, soit un tiers de la population, essentiellement des Comoriens qui, contrairement aux Mahorais, ont choisi l’indépendance en 1975. C’est ainsi que Mamoudzou, la capitale de l’île, est devenue la première maternité de France, l’indépendance ne s’étant pas traduite pour les Comoriens par une élévation de leur niveau de vie... Mais peut-être le refus de traiter la question des clandestins n’a-t-elle pour seul objectif, partagé par une droite qui fit tout pour exclure en 1975 Mayotte-la-Française de la communauté nationale, de créer une situation irréversible de submersion de la population de souche, justifiant à terme le largage d’une île où les Mahorais seraient devenus minoritaires... On sait que les Comores n’ont jamais renoncé à l’annexion de Mayotte.

    Quoi qu’il en soit, Valls n’a pas répondu à l’attente des Mahorais. Et ne s’est même que fort peu intéressé à la question des clandestins sur une île, rappelons-le, conservée à la France grâce à l’Action française et à la détermination de Pierre Pujo — ce qu’Olivier Stirn, le ministre de Giscard chargé à l’époque de brader nos territoires ultra-marins, reconnut publiquement. Faut-il s’en étonner quand le gouvernement accepte l’arrivée en métropole chaque année de dizaines de milliers de clandestins dont aucun, ou presque, n’est reconduit à la frontière ? Quand il est prêt à encourager l’appel d’air que constituerait, par dérogation au Règlement Dublin II, la répartition entre les différents Etats membres de l’Union, à la demande du président de la Commission européenne, des migrants qui atteignent, toujours plus nombreux, l’ « Eldorado » européen via la Méditerranée et l’Italie ? Quand, une fois arrivés en Europe, Schengen leur permet d’y voyager librement et de s’installer là où les prestations sont les plus avantageuses, avant d’y être — c’est du moins le cas en France — naturalisés par brassées ? Quand, enfin, nos politiques, de droite comme de gauche, font du droit du sol un sacro-saint « principe républicain », alors qu’il remonte à un arrêt du Parlement de Paris de 1515, voire à l’édit du 3 juillet 1315 de Louis X le Hutin ? Encore faut-il qu’il y ait un « sol », c’est-à-dire un Etat souverain, maître de ses frontières, ce qui n’est plus le cas de la France. Dès lors le « droit du sol » est devenu le droit d’être envahi. Remettre en cause, au moins pour mieux l’encadrer, ce qui n’est pas un dogme, mais une pratique historique correspondant à une période de maîtrise des flux migratoires, est devenu une nécessité vitale.

    Ce n’est pas la provocation du recteur de la mosquée de Paris et président du Conseil français du culte musulman, Dalil Boubakeur, appelant sur Europe 1 le lundi 15 juin à « utiliser des églises vides pour servir au culte musulman », c’est-à-dire au grand remplacement d’un culte par un autre, qui favorisera le « vivre ensemble » si cher à nos élites. Nos églises devraient-elles faire les frais des dissensions internes à l’ « islam de France » et de la peur de Dalil Boubakeur de se voir dépasser par les fondamentalistes ? Il avait déjà appelé le 5 avril dernier, au cours du rassemblement annuel des musulmans de France, organisé chaque année lors des fêtes pascales, à doubler le nombre des mosquées. A-t-il cette fois cherché, pour montrer son intransigeance, à saborder la première réunion, organisé ce même jour, de l’instance de dialogue avec l’islam de France voulue par Manuel Valls ? Selon ce dernier, « l’islam suscite encore des incompréhensions, des a priori, du rejet chez une partie de nos concitoyens, des amalgames. [...] Il faut donc [...] faire jaillir au grand jour ce qu’est la réalité de l’islam de France. » Il n’est pas certain que par sa provocation Dalil Boubakeur ait aidé Valls à lever les « incompréhensions » et à « faire jaillir au grand jour ce qu’est la réalité de l’islam de France », du moins dans le sens souhaité par le Premier ministre. « Les églises ne sont pas des bâtiments multi-usage », a rappelé l’évêque de Pontoise, Mgr Lalanne, également représentant de la Conférence des évêques de France, qui s’est dit, sur RTL, ce même lundi, « totalement opposé » à ce projet. Et de rappeler que « les églises sont des lieux sacrés, qui [...] ne peuvent être utilisées à un autre dessein qu’à l’expression de la foi chrétienne. [...] on ne doit pas jouer avec les symboles. » Il est dommage que Dalid Boubakeur n’apparaisse plus comme cet interlocuteur dans lequel Pierre Pujo, voyait un « grand musulman français » (L’AF du 12 février 1995) préconisant « un islam modéré, respectueux des mœurs et des traditions françaises » (L’AF du 6 novembre 2003). Dans nos propres colonnes (L’AF du 12 juin 1997), le recteur souhaitait, après avoir évoqué le sacrifice des musulmans français lors des deux conflits mondiaux, « gagner l’estime et la sympathie » de nos lecteurs et « améliorer une situation psychologique actuellement défavorable aux musulmans de France » en rappelant que, « dans l’Islam, l’amour de la Patrie est un élément de la foi ». Dans son commentaire de la Charte du culte musulman en France de 1994, n’avait-il pas du reste souligné « l’attachement tout maurrassien des musulmans à la France » avant de se réclamer (Le Point du jeudi 20 avril 2006) d’ « un amour de la patrie aussi fort que celui de Maurras ou de Barrès » ?

    Un islam français acculturé, c’est-à-dire respectueux de l’identité nationale, qui est indéfectiblement chrétienne, est non seulement possible mais nécessaire. Encore faut-il que ses représentants les plus écoutés ne jettent pas de l’huile sur le feu des passions identitaires en justifiant, par des provocations inutiles, des craintes qu’il est facile d’instrumentaliser en ces temps troublés.

    François Marcilhac -L’AF 2911

    PS : Le fait que la mosquée de Paris ait par la suite envoyé un communiqué de presse aux médias, dans lequel le président du CFCM revient sur ses propos, ne change rien au nôtre.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-de-L-Action-Francaise,9149

  • KOSOVO : C’EST UN IMAM QUI LE DIT

    Quand à propos des origines ethniques du Kosovo la vérité sort de la bouche d’un imam ça vaut le coup de le faire savoir.

    Irfan Salihu, L’imam de la ville de Prizren au Kosovo s’est attiré les foudres de sa communauté pour avoir déclaré que les albanais pouvaient remercier l’Empire Ottoman d’être à l’origine de leur présence au Kosovo. D’après ses recherches, les albanais n’y représentaient en 1445 qu’1% de la population face à l’écrasante majorité de la population serbe.

    irfan-salihu

    Ce sont bien les turcs qui ont introduit les albanais au Kosovo pour leur distribuer des terres a-t-il tenu à préciser. Les responsables de la principale organisation des musulmans du Kosovo, la BIK, ont aussitôt réagi en suspendant l’imam de ses fonctions. Celui-ci aurait pu ajouter que le processus d’épuration ethnique subi au cours des siècles par les chrétiens orthodoxes du Kosovo depuis 1389, a franchi grâce à l’intervention six siècles plus tard de l’OTAN en faveur des albanais une dernière étape qui s’est traduite par l’expulsion de 250000 serbes du Kosovo.

    Source : serbianna.com

    Source Article from http://www.national-hebdo.net/KOSOVO-C-EST-UN-IMAM-QUI-LE-DIT

    http://www.altermedia.info/france-belgique/national-hebdo/kosovo-cest-un-imam-qui-le-dit_137004.html#more-137004

  • Veillée exceptionnelle ce soir à Paris

    Après la Manif pour tous, les veilleurs vous invitent à les rejoindre, avec sac de couchage et tapis de sol pour ceux qui sont prêts à rester tard. La veillée débutera à 21h30, place Louis Lepine.

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    Louise Tudy