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religion - Page 204

  • Les traditions chrétiennes de la France toujours plus contestées

    BOISSETTES (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) - La Cour administrative d’appel de Paris a récemment enjoint à la commune de Boissettes, près de Melun, de faire taire ses cloches. Les requérants avaient acheté en 2004 une maison en face de l’église (ci-dessus) de ce paisible village de 400 âmes et n’ont après coup pas supporté son carillon. La commune eut beau présenter une pétition signée par la moitié du village, ainsi que le témoignage du vieil instituteur indiquant que les cloches marquaient les heures déjà avant la Seconde Guerre mondiale, rien n’y fit. Les juges considérèrent que le maire n’avait pu justifier d’un usage local antérieur à… 1905 !

    http://fr.novopress.info/

  • La laïcité n’est pas une idée républicaine mais une invention chrétienne

    De Jean-François Chemain dans La Nef :

    N"La tradition romaine est celle d’une religion civique, au service des intérêts de la Cité. Parce que le christianisme fut la première religion à refuser d’être instrumentalisée par le politique, et de le sacraliser, lui, et lui seul, fut persécuté. Quand l’Empire romain devint chrétien, à partir de la conversion de Constantin, au IVe siècle, le christianisme se mua en religion impériale, seule autorisée à partir de 392. L’empereur se mêle des affaires de la religion chrétienne, n’hésitant pas, par exemple, à intervenir dans les conciles. [...]

    Au IVe siècle, l’Empire est devenu chrétien, mais sa partie occidentale n’a pas tardé à s’effondrer. C’est alors que l’Église a pu conquérir une relative liberté et s’affirmer comme autorité spirituelle, mais aussi politique, puisqu’elle s’est trouvée, à partir de 752, à la tête d’un État. Commence une longue période où les héritiers de l’Empire romain, les Byzantins, les Carolingiens, le Saint Empire, ont tenté de la remettre sous leur tutelle. Elle a résisté, ce qui a conduit au Schisme d’Orient, l’empereur byzantin n’admettant pas que « son » Église obéisse à l’évêque de Rome. En Occident, la querelle a porté plusieurs noms : « querelle des Investitures » à la charnière des XIe et XIIe siècles, « lutte du Sacerdoce et de l’Empire » à la fin du XIIe siècle et au début du XIIIe... Les empereurs prétendaient nommer les papes et les évêques. Après la mort de l’empereur Frédéric II, en 1250, l’Empire était très affaibli, mais l’Église a alors vu naître d’autres concurrents : les États nationaux, dont les souverains, à leur tour, rêvent de contrôler « leur » religion. Cela a conduit à des schismes, comme en Angleterre, ou dans les pays protestants, où les considérations politiques n’ont jamais été étrangères à la rupture. En France, avec le gallicanisme, on n’en est pas arrivé là, mais au prix de l’octroi au roi de prérogatives religieuses, comme de nommer les évêques.

    La Révolution française a été marquée par un interventionnisme forcené de l’État dans les affaires de l’Église : confiscation de ses biens, interdiction des vœux monastiques, obligation pour le clergé de prêter serment à sa Constitution civile, puis fonctionnarisation du clergé, avec le Concordat de 1801, dans un climat de vexation et de contrainte contre ceux qui refusaient une telle ingérence. Pendant un siècle, en France, l’Église a vécu dans une soumission à l’État du fait de la rémunération du clergé – contrepartie de la renonciation à ses biens confisqués : un prêtre dont les propos déplaisaient au préfet était privé de son traitement, et les écrits du pape ne pouvaient être publiés en France qu’après validation par le Conseil d’État ! Pourtant, dès 1880, la IIIe République commence une guerre sans merci contre l’Église, dans le but avoué de l’éradiquer comme incompatible avec la démocratie. C’est ainsi que le vote de la loi de 1901 sur la liberté d’association a conduit à l’expulsion des congrégations, seules exclues de ce droit. La loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État, qui suspend la rémunération du clergé et nationalise les biens qui appartenaient encore à l’Église, n’était qu’une étape... Seule l’Union sacrée, au cours de la Première Guerre mondiale, a pu mettre fin à cet acharnement, et l’on a pu vivre un XXe siècle apaisé, même si les vieux démons anti-chrétiens ressortent régulièrement, notamment à gauche. [...]

    La conception religieuse des Lumières oscille entre l’athéisme au nom de la « raison », et un déisme niant toute révélation, avec un dieu théorique et lointain, « Être Suprême », « Grand Architecte », le tout dans un contexte où l’État, seule autorité rationnelle, serait un rempart contre le fanatisme des religions « positives ». On a là en germe tous les errements, depuis la Révolution française jusqu’à M. Peillon. L’État devrait non seulement contrôler la religion, mais même la produire, si ce n’est être objet de religion. C’est l’essence du totalitarisme.

    Combattre ou nier le christianisme, c’est affaiblir la laïcité, écrivez-vous ; pourriez-vous nous expliquer cela ?

    La laïcité est une exigence de l’Église, qui refuse de n’être qu’un instrument des États. Ils ne le lui pardonnent pas. On a glissé de la distinction entre les deux ordres, coopération féconde, à leur séparation, dans un contexte d’anticatholicisme d’État. Mais puisque l’Église est la racine de la laïcité, lutter contre elle revient à tuer l’arbre qui, bientôt, ne donnera plus de fruits. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • VALLS, MINISTRE CHRISTIANOPHOBE : SOUTENONS L'AGRIF !

    ACTION PÉNALE CONTRE LE MINISTRE DES CULTES POUR PROVOCATION À LA DISCRIMINATION ENVERS LES CHRÉTIENS.

    Dans sa directive de ce 6 janvier 2014 adressée aux préfets à propos de Monsieur Dieudonné, Monsieur Manuel Valls, ministre de l’Intérieur et des cultes, [...]

    ...donne pour instruction de « susciter, proposer ou valoriser des initiatives de sensibilisation et de pédagogie préventives contre les comportements racistes, antisémites, antimusulmans ou intolérants ».

    On est proprement stupéfait de constater qu’est exclue explicitement de cette directive la prévention du racisme et des actes anti-chrétiens.

    Cette discrimination est aussi significative qu’intolérable en une période où les attaques contre les chrétiens ne cessent de se multiplier, et notamment à Paris où deux profanations abominables ont été récemment perpétrées dans l’église Sainte-Odile et l’église de la Madeleine. Mais manifestement Monsieur Manuel Valls n’a cure de ce que font les Femen ou le dévastateur de Sainte-Odile. Il se rend donc lui-même coupable d’une odieuse discrimination envers les chrétiens et enjoint ses préfets de discriminer de même.

    Pour lui, à l’évidence, les chrétiens et leurs lieux de culte ne doivent manifestement pas être protégés à l’instar des autres communautés.

    L’ AGRIF entend saisir la Cour de Justice de la République et a confié cette procédure à son avocat maître Jérôme Triomphe du barreau de Paris.

    L’AGRIF

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?VALLS-MINISTRE-CHRISTIANOPHOBE

  • Tocsin pour nos cloches de France

    Il a bon dos, le malheureux dormeur du dimanche matin à qui la justice donne raison aujourd’hui.

    Pour faire un village (« faire village », diraient les ineptes adeptes de la novlangue), il ne suffit pas d’aligner des pavillons bien proprets, de planter un rond-point européen à chaque entrée et d’installer en plein milieu une agence bancaire pour ménages surendettés. Pour faire un village, il faut aussi beaucoup de temps, des histoires de familles, de clochers. Un village, c’est construit sur des fondations datant souvent du Moyen Âge, parfois de l’Antiquité. Pour faire un village, il faut surtout une âme.

    Et cette âme en France, elle a un son, une voix presque, celle des cloches de nos églises. Elles ont leurs ennemis, aujourd’hui. Passons sur les quelques citadins exilés en cambrousse, lève-tard qui ne supportent pas d’être dérangés pendant leur câlin dominical. La campagne est, pour eux, ce qu’elle était pour la malheureuse Marie-Antoinette dans son hameau : un charmant décor où l’on ne doit pas marcher sur une bouse de vache. La bêtise pouvant franchir les portes du prétoire, ils gagnent parfois au tribunal. On l’a vu récemment.

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  • 3 évêques déjà annoncés à la Marche pour la vie

    Mgr Aillet , Mgr Cattenoz et Mgr Benoît-Gonnin ont annoncés leur venue à la Marche pour la vie à Paris le 19 janvier.

     

    Le père Daniel-Ange a également annoncé sa participation :

     

    "J'aurais la joie de me rendre à la marche pour la vie. J'espère que les mots d'ordre porteront aussi sur les atrocités de l'euthanasie et du suicide assisté. D'une telle urgence ! Ardente et lumineuse nouvelle année".

    Michel Janva

  • David Bereit sera à la Marche pour la vie

    David Bereit, directeur national des 40 days for Life viendra en France exprès pour la Marche pour la vie.

    4Par ailleurs, Frédéric Pichon, président du cercle des avocats contre la répression policière, a rejoint le comité de soutien de cette Marche.

    Michel Janva

  • Valls n’a pas condamné la profanation de l’église Sainte Odile de Paris (XVIIe)

    Les dégradations commises dans l’église parisienne Sainte-Odile suscitent une vive émotion Après l’intrusion violente des Femen dans l’église de la Madeleine (Paris, 8e) le 20 décembre, les dégradations commises samedi après-midi par un homme dans l’église Sainte-Odile (Paris 17e) ont suscité de très vives réactions des catholiques sur les réseaux sociaux.

    Samedi 4 janvier en milieu de journée, « un homme a cassé des chandeliers, une statue, ouvert le baptistère et endommagé l’autel » de cette église située dans le 17e arrondissement, dans le nord-ouest de la capitale, a déclaré à l’AFP le diocèse de Paris. Cet homme avait d’abord assisté à une messe et s’était fait remarquer en « s’esclaffant en pleine célébration », a précisé l’adjoint au maire de l’arrondissement chargé de la sécurité, Geoffroy Boulard, qui s’est rendu sur place.

    Des paroissiens l’ont surpris pendant ces dégradations et l’ont pris en chasse mais l’homme, qui n’a rien dit de ses motivations, a réussi à s’enfuir. Après la plainte déposée par le curé, le P. Christian Malcor, et l’ouverture d’une enquête, la police a arrêté un suspect le lendemain. [...]

    La suite sur La Croix

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Valls-n-a-pas-condamne-la

  • Joie et réconfort au Kosovo : la mission de Noël 2013 de Solidarité Kosovo s’est achevée avec succès

    Joie et réconfort au Kosovo : la mission de Noël 2013 de Solidarité Kosovo s'est achevée avec succès
    PARIS (NOVOpress/Solidarité Kosovo) - Le retour en France des bénévoles de l’association humanitaire Solidarité Kosovo a signé la fin de la mission de Noël 2013, jeudi en fin de journée. Les membres de l’équipe ont rejoint leurs foyers après un long périple humanitaire de 4.500 kilomètres. En sept jours, le convoi de Noël aura desservi 12 enclaves chrétiennes du Kosovo et de la Métochie pour y distribuer plus de 45m3 de matériel humanitaire d’une valeur de 80.000 euros.

    Comme à chaque fin d’année depuis 9 ans, Solidarité Kosovo a remis en main propre des vêtements chauds neufs, du matériel scolaire, des jouets et des vivres aux familles serbes du Kosovo les plus démunies.

     

    Joie et réconfort au Kosovo : la mission de Noël 2013 de Solidarité Kosovo s'est achevée avec succèsSous les yeux émerveillés des enfants et le regard curieux des aînés, les huit bénévoles déchargeaient les camions selon une organisation bien rodée. Placé en ligne, au pied des cartons, chaque membre de l’équipe remettait tour à tour un présent  au creux des bras des enfants : un colis-cadeaux, un manteau, une paire de chaussures, un jouet… Placés sur le sommet de la pyramide des cadeaux reçus, les friandises et douceurs de Noël laissaient à peine entrevoir les petites frimousses rayonnantes de bonheur.

    Joie et réconfort au Kosovo : la mission de Noël 2013 de Solidarité Kosovo s'est achevée avec succèsRelayées par la presse serbe, les distributions se sont enchaînées à un rythme soutenu durant cinq jours. Des monastères aux écoles en passant par les villages où vivent les familles les plus isolées, la mission de Noël 2013 n’aura oublié personne.

    Le succès de ce 9ème convoi de Noël témoigne du développement de l’association. Grâce à la générosité de ses 8.000 donateurs en France et à son partenariat efficace avec l’Église serbe sur place, Solidarité Kosovo conclut une année riche en chantiers humanitaires.

    Amorcée sur le terrain aux côtés des Serbes du Kosovo, 2014 s’éveille avec la promesse d’un engagement solidaire toujours plus efficace en faveur des Chrétiens persécutés du Kosovo-Métochie !

    L’équipe de Solidarité-Kosovo présente ses plus beaux vœux et adresse ses plus chaleureux remerciements à ses fidèles soutiens !

    Pour aider l’association Solidarité Kosovo à poursuivre ses actions, c’est ici. Solidarité Kosovo étant une association loi 1901 reconnue d’utilité publique vous pourrez déduire de vos impôts 66% du montant de votre don.

    http://fr.novopress.info/151329/joie-reconfort-au-kosovo-mission-noel-2013-solidarite-kosovo-sest-achevee-succes/#more-151329

  • Accusée de faire passer des messages codés aux islamistes égyptiens

    INTERNATIONAL - L'enquête est encore en phase préliminaire. Le parquet égyptien vient d'auditionner des responsables du groupe de télécommunication britannique Vodaphone. Lire la suite »

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