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religion - Page 204

  • Place Vendôme, les Sentinelles fidèles au poste, ont ouvert les bouteilles de champagne:

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    Il y a toujours une vingtaine de Sentinelles, place Vendôme.

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  • Le père Georges Vandenbeusch est arrivé en France

    La bonne nouvelle du jour c'est l'arrivée ce matin du père Georges Vandenbeusch en France :

    G

    Il a été accueilli à sa descente de l'avion par François Hollande, Mgr Daucourt, une dizaine de proches dont ses parents adoptifs et des membres du diocèse de Nanterre, auquel il est rattaché.

    «Je mesure bien la chance que j'ai. Il y a des otages qui sont restés terriblement longtemps».

    «J'étais sous un arbre pendant un mois et demi. Sept semaines ça fait beaucoup d'heures, quand on est otage et qu'on a rien à faire, rien à lire, personne à qui parler.»

    Le père Georges a dit avoir une pensée pour les six autres otages français dans le monde, et il a remercié le président camerounais Paul Biya pour sa libération. Il a également remercié tous ceux «qui ont prié» pour lui. Il doit passer des examens médicaux à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris.

    Les circonstances de sa libération restent floues. Laurent Fabius assure qu'aucune rançon n'a été versée. «La direction de Boko Haram a décidé de libérer le prêtre par compassion», a affirmé ce mercredi une source du groupe islamiste nigérian, responsable de l'enlèvement.

    «Le prêtre a offert ses services médicaux à des membres du groupe malades pendant sa période de captivité. La direction a ressenti qu'il n'y a avait plus besoin de le garder».

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • « Femen » après la profonation de la Madeleine, toujours l’impunité

    Difficile de faire plus ouvertement satanique que l'action de la Femen Héloïse Bouton

    Difficile de faire plus ouvertement satanique que l’action de la Femen Héloïse Bouton

    « Je portais un voile bleu orné d’une couronne de fleurs et tenais deux morceaux de foie de bœuf dans les mains, symbole du petit Jésus avorté. » expliquait Héloïse Bouton (prostituée de son état, en dépit du slogan « ni pute ni soumise ») après sa profanation de l’église de la Madeleine il y a une semaine, visant à défendre le droit d’avorter.

    Nous apprenons que la plainte aussitôt déposée par le curé n’a « pas eu de suites ».
    La cofondatrice de la branche française des Femen, Inna Shevchenko (celle qui a inspiré les nouveaux timbres) en rigole encore: « Rien ne s’est passé, Éloïse n’a pas été appelée par la police. Cela montre combien l’Église est devenue faible en France… »
    Elle n’a pas tort.
    La complaisance du gouvernement à l’égard des Femen et leur impunité totale (en dépit de multiples profanations et agressions) en dit aussi long sur la haine antichrétienne qui anime les autorités politiques.
    A comparer avec le hourvari médiatique et les gardes à vue suivies de contrôles judiciaires pour les quelques jeunes qui avaient occupé le toit d’une mosquée en construction…

    http://www.contre-info.com/

  • Un jour un livre : Reconquista ou mort de l’Europe, l’enjeux de la guerre islamique

    PARIS (NOVOpress) - À l’occasion des fêtes de fin d’année, les rédacteurs de Novopress vous proposent de découvrir une sélection de livres à travers des extraits choisis. Aujourd’hui, nous vous proposons un extrait d’un livre d’un des derniers grands érudits français sur l’islam, René Marchand, Reconquista ou mort de l’Europe, l’enjeux de la guerre islamique. Édité par Riposte Laïque en mars 2013, ce pavé de 380 pages est un condensé de connaissances sur l’idéologie islamique et de ses velléités totalitaires.

    À propos de l’ignorance des Européens à l’égard de l’Islam

     

    Il y a cinquante ans, les universités européennes comptaient plusieurs centaines d’érudits de l’Islam. Combien, aujourd’hui ? Une vingtaine ? Moins ?

     

    En France, le tarissement du vivier que constituaient les études classiques, avec latin et grec : les « humanités », a eu des effets dévastateurs. Nos universitaires qui se consacrent à l’étude de l’Islam médiéval – et ignorer l’Islam du moyen âge, c’est ne rien comprendre à l’Islam contemporain – sont chaque année moins nombreux. Ceux qui ont une connaissance fine et critique des textes classiques – et on ne pénètre intimement l’Islam que par une connaissance à la fois vaste et précise de l’arabe, sa langue matricielle – sont les derniers spécimens d’une espèce en voie de disparition.
    Et la situation n’est pas près de s’améliorer. (…)

     

     

     

    Autre question : y a-t-il au sein de l’Assemblée nationale, du Sénat, du Conseil constitutionnel, qui ont mission de légiférer sur la présence de l’Islam en France, un seul individu (non-Musulman s’entend, Français de souche) qui se soit donné la peine de s’initier suffisamment à la langue arabe pour lire un verset du Coran ou le titre d’un quotidien arabe, qui s’est fait commenter par un spécialiste indiscutable les termes arabes qui constituent l’essentiel du droit musulman ?

     

    Les derniers érudits français ne sont jamais invités sur les grands médias. Serait-ce parce qu’Anne-Marie Delcambre, Dominique Urvoy, Marie Thérèse Urvoy… quand ils parlent de l’Islam en France, tiennent des propos forts inquiétants, à contre courant du tiédisme dominant ?

     

    Presque systématiquement les questions de notre actualité la plus préoccupante sont traitées par des étrangers : des Libanais chrétiens, des Musulmans maghrébins…Ce n’ est pas diminuer les qualités de ces journalistes et essayistes que de dire que, lorsqu’il s’agit de commenter ce qui se passe dans les banlieues de nos grandes villes, ils ne peuvent pas avoir l’instinct, le ressenti immédiat, le feeling, d’un auvergnat ou d’un breton pour pénétrer le ressenti de nos compatriotes, par exemple devant la multiplication des voiles féminins ou l’édification d’une mosquée, l’islamisation progressive de notre pays, sa possible libanisation. Comment pourraient-ils appréhender pleinement la surprise, puis le rejet instinctif éprouvé par les autochtones devant les greffes culturelles imposées, des viols de l’identité…alors que leur sensibilité personnelle profonde s’est formée, pendant l’enfance et la jeunesse, dans des régions où l’Islam était la banalité même- au reste, un Islam peu politique, bien différent de l’Islam actuel ? Leur cerveau gauche, rationnel, peut comprendre, mais leur cerveau droit, affectif, ne « sentira » pas et influencera forcément sur leurs analyses. (Le même constat peut être fait à propos de certains pieds-noirs, politiciens ou historiens)

     

    (…)

     

    Selon les critères Occidentaux

     

    En ce qui concerne le droit, la morale et la vie en société d’une manière générales, les musulmans estiment que les principes qui les régissent sont d’une essence qui les place bien au-dessus des Occidentaux.

     

    Aux droits (conjoncturels, discutables, révisables) de l’homme (faillible), ils opposent les droits d’un dieu éternel et omniscient ; aux lois des hommes, la loi d’Allah ; à l’humanisme, l’absolu…La différence est à la fois de nature et de degré. Elle positionne les Occidentaux comme ontologiquement en dessous des Musulmans.

     

    Quand ils se comparent aux Occidentaux en prenant uniquement les mêmes critères de qualité que ceux-ci, les musulmans se sentent également supérieurs :
    - La moralité : ils obéissent à un code moral, autrement exigent que celui des Occidentaux, qui leur impose une conduite irréprochable à tout instant ; ils ne boivent pas d’alcool et ne consomment pas de drogues ; leurs femmes ne sont pas impudiques ; la licence sexuelle et la pornographie leur sont inconnues…
    - La justice et le droit : leur justice est d’une grande clarté et ils l’appliquent avec rigueur.
    - L’argent : la finance musulmane interdit le prêt à intérêt. Etc.

     

    Mais c’est sans doute sur un point que les Occidentaux ne les attendent pas, que les Musulmans contemporains éprouvent le plus fierté : la rationalité.
    - Leur religion est née « dans la lumière de l’histoire » ; Mahomet est un homme ordinaire, né d’une homme et d’une femme ; on ne lui attribue pas de miracle ; ses actions et ses paroles ont été établies de manière scientifique, par la critique interne et externe de ses textes.
    - Leur monothéisme n’est pas contaminé par des dogmes absurdes, par de l’idolâtrie humaine, par la croyance aux miracles.
    - La supériorité intrinsèque de l’Islam est prouvée par ses victoires sur beaucoup d’autre religions et le fait que, une fois convertis, éclairés sur la rationalité de l’Islam, les peuples ne reviennent jamais à leur ancienne foi.
    - La victoire finale de l’Islam, donnée comme certaine par Allah et son Envoyé, n’est-elle pas hautement probable pour un esprit rationnel si l’on considère son expansion continue ?

     

    Les Européen, et au premier rang les Français qui se veulent si « cartésiens », n’imaginent pas à quel point ces Musulmans, dont les coutumes et comportements leur semblent souvent dénués de logique, sont imprégnés de la conviction de leur supériorité sur eux au plan de la rationalité. Pensent-ils parfois que la plupart des Musulmans ne comprennent pas pourquoi les « chrétiens » ne se convertissent pas à l’Islam par simple effet de raisonnement ? Pour contrebattre ces idées, encore faut il savoir qu’elles sont au centre de la mentalité commune à la majorité des Musulmans.

     

    Les Occidentaux devraient prendre en considération la « rationalité » de l’Islam et des Musulmans pour un motif qui n’est pas de pure théorie : les enquêtes établissent que beaucoup de jeunes Occidentaux convertis à l’Islam ont commencé par rejeter les dogmes chrétiens qui sont des « mystères », comme la Trinité, qu’ils ont été séduits, d’abord, par la simplicité-pourquoi ne pas le dire : la rationalité ?- du credo et des pratiques de la religion musulmane.

     

    René Marchand, Reconquista ou mort de l’Europe, l’enjeux de la guerre islamique. Éditions de Riposte Laïque (mars 2013). Acheter sur Amazon.

    http://fr.novopress.info/150205/jour-livre-reconquista-mort-leurope-lenjeux-guerre-islamique/#more-150205

  • Christianophobie : la "justice" fait taire le clocher d’une église

    Jusqu’à présent, les cloches tintaient toutes les demi-heures à Boissettes, en Seine-et-Marne. Un riverain agacé avait porté l’affaire devant le tribunal administratif. D’ici mercredi, les cloches doivent faire silence.

    C’est une véritable guerre de clocher qui divise la commune de Boissettes, en Seine-et-Marne. La vie de ce petit village de 400 habitants était jusqu’à présent rythmée, notamment, par le tintement toutes les demi-heures de la cloche de l’église. Seulement, la municipalité vient d’être condamnée par la cour administrative d’appel de Paris, relate Le Parisien . Les cloches devront d’ici mercredi cesser de marquer l’heure de jour comme de nuit. La justice estime que la loi de 1905 de séparation de l’Église et de l’État fait du bâtiment un bien communal. Toutefois, son utilisation, comme celle des cloches, reste affectée à un usage religieux. Certains « usages locaux » ne peuvent être maintenus que s’ils datent d’avant 1905, ce qui n’est pas le cas de Boissettes.

    L’affaire remonte à 2006. Un couple de riverains agacés saisit, à l’époque, le tribunal administratif de Melun. Leur maison se trouve juste en face de l’église. Ils ont acheté le bien peu de temps auparavant. « Nous n’avons jamais demandé à ce que tout s’arrête, mais simplement une trêve de 22 heures à 6 heures, en réglant ça à l’amiable, explique le plaignant dans Le Parisien. On voulait juste dormir. » En 2010, la justice lui donne raison et propose un compromis : les cloches s’arrêteront de sonner entre 23 heures à 6 heures. La décision mécontente toutefois le maire, Jean-Pierre Legrand, qui fait appel. « J’ai voulu défendre une tradition qui remonte à 1967, se justifie l’élu. Deux cents personnes du village ont signé une pétition pour le maintien de cet usage civil. »

    La commune s’est finalement conformée à la décision du tribunal administratif. Mais, entre-temps, la justice suit son cours. Et la cour administrative d’appel de Paris condamne la mairie à verser 1000 euros au couple de riverains, tout en ordonnant l’arrêt des cloches. Le maire devra également prendre un arrêté pour autoriser l’usage civil des cloches de l’église dans des cas de périls exigeant un prompt secours. Jean-Pierre Legrand s’inquiétait de voir cette affaire faire jurisprudence. Dans les précédents cas, la justice n’a pas toujours tranché en faveur du plaignant. En 2004, un habitant de la commune de Férin, dans le Nord, avait déjà réussi à faire taire le carillon de l’église, qui sonnait matin, midi et soir. Le maire avait fait appel. La cour administrative d’appel de Douai était finalement revenue sur la décision, estimant que la nuisance sonore ne portait pas atteinte à l’ordre public.

    Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Christianophobie-la-justice-fait

  • La morale au crible des religions

    C'est le dernier "conseil de lecture", de l'Abbé de Tanouarn. Il fait référence à la la collection Studia arabica publiée par les Editions de Paris, et nous propose un extrait de la contribution de Marie-Thérèse Urvoy, sur l'Islam.

    "On observe que les commentaires coraniques soulignent chacun de son angle de vue le caractère purement extrinsèque de la préférence divine. La liberté d'agir et de choisir n'engendre pas véritablement l'acte, car Dieu seul est le créateur des actes humains selon la plupart des doctrines islamiques (excepté les Mu'tazillites). De fait la vertu dans la morale coranique est ramenée à une dénomination extrinsèque qui n'est que la répercussion sur l'homme de la préférence (tafdil) divine. L'homme ne s'enrichit pas de vertu par ses actes, mais au contraire, ce sont les actes que Dieu fait perdurer pour leur accorder une récompense qui est sans proportion avec eux : devenus sujets de la préférence divine, ils constituent la véritable vertu de l'homme presque au-delà de lui-même. La vertu islamique n'est pas une parure intérieure de l'âme, elle est l'état d'une âme dépouillée d'elle-même dans ses actes d'obéissance, toute abandonnée à Dieu, exhaussée au dessus d'elle-même par son identification au don gratuit et disproportionné des récompenses que Dieu avait promis par un acte pur de la volonté et qu'il accorde généreusement au seul croyant fidèle. Dans ce sens la morale coranique débouche sur la mystique. L'affirmation qu'il n'y a pas de morale en islam, en ce qu'elle a d'abrupt, n'est pas un paradoxe".

    On trouve des enresgitrements de cette spécialiste éminente, sur le site de Lumière 101.

    Paula Corbulon

  • 4 000 à 5 000 « Européens » combattraient chez les islamistes en Syrie

    D’après une source des services belges de sécurité, à l’heure actuelle, « Al-Qaïda a sous la main quatre à cinq mille combattants djihadistes déployés en Syrie et détenteurs de passeports d’un pays de l’espace Schengen ».

    Si la menace concerne en premier lieu l’Irak et la Syrie, une autre source belge, policière, évoque la volonté des animateurs de filières syriennes d’exporter, à terme, la capacité de combat aujourd’hui réunie en Syrie vers le Maroc et la Tunisie.

    En Belgique, les services de renseignement et de police reconnaissent être « noyés » par l’importance des filières syriennes. On estime qu’environ 200 « Belges » (vraiment belges ou immigrés) sont ou ont été combattants en Syrie, dont 120 à 140 sont actuellement sur place et une vingtaine sont décédés.

    D’autres filières terroristes alourdissent également la charge. Ainsi, par exemple, la Somalie continue à attirer des combattants belges.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • La société d’aujourd’hui hait le mariage

    Marie-toi et sois soumise ! Provocateur mais inspiré de saint Paul, ce titre est celui d’un essai d’une journaliste italienne, qui vient d’être édité en Espagne par l’archevêque de Grenade mis en cause en France par Marianne (numéro 868, du 7 au 13 décembre). Réponse de l'auteur, Costanza Miriano, dans un entretien accordé à L'Homme Nouveau :

    S"Le livre s’intitule Marie-toi et sois soumise, c’est une série de lettres destinées à des amies sur les thèmes du mariage, de la féminité, de l’identité masculine et féminine, de l’éducation. En téléphonant à une amie qui ne se décidait pas à se marier, je me suis rendu compte que ses objections quant au mariage reflétaient celles de tout le monde. J’ai aussi réalisé que le fait de ne pas s’engager « pour toujours » la rendait profondément malheureuse. Ce livre a commencé avec 800 exemplaires. Il y a eu ensuite dix-huit réédi­tions, c’est devenu un modeste phénomène éditorial en Italie. Mon livre a été traduit en Espagne et en Pologne. Les versions française (prévue aux éditions de l'Emmanuel pour mi-2014) et portugaise sont en cours de traduction. [...]

    Que s’est-il passé en Espagne à la publication de votre livre ?

    J’ai reçu un premier coup de fil me demandant, abruptement, d’expliquer en 1 mn 40 ce que signifiait le mot soumission. Puis un autre et ainsi de suite. J’ai finalement appris que trois partis politiques espagnols, PP (Parti populaire, centre droit), PSOE, (Parti socialiste ouvrier espagnol) et IU (Gauche unie) avaient demandé le retrait de mon livre à la vente. Pourquoi ? Pour incitation à la violence faite aux femmes. J’en suis restée stupéfaite. Je voulais que l’on me dise quel était le passage de mon livre qui serait une incitation, ou une justification, la plus minime soit-elle, à la violence d’un homme envers une femme. En réalité, mes détracteurs n’avaient pas lu mon livre, c’était le mot « soumise » qui leur créait un problème.

    Le titre de votre livre est inspiré de la lettre de saint Paul ?

    Oui. J’ai repris, avec ce mot soumission, la lettre de saint Paul aux Éphésiens. S’ils veulent brûler mon livre, alors ils doivent aussi brûler la Bible ! Et puis, en faisant des recherches, j’ai vu que de nombreux livres étaient en vente en Espagne avec, dans leurs titres, ce mot « soumission », mais il s’agit là de soumission érotique, et non spirituelle. Je crois plutôt que c’est le « Marie-toi » de mon titre qui pose un vrai problème. La société d’aujourd’hui hait le mariage, le mariage est le contraire exact de l’idée d’autodétermination qui est la valeur suprême de l’homme contemporain. L’homme d’aujourd’hui n’accepte plus rien, pas même qu’on lui dise s’il est un homme ou une femme ! Il veut être complètement dégagé de tout lien, libre. Le mariage, c’est exactement l’inverse : accepter, spontanément, volontairement, d’être dépendant, de se définir par rapport à quelqu’un, d’assumer la responsabilité de nouvelles vies, d’adhérer à une réalité toujours égale, d’être fidèle. Tout le contraire de l’idéal contemporain, dans lequel l’homme s’imagine toujours libre de faire de nouvelles expériences. [...]

    Le mot soumission qui veut dire obéissance est un mot inaudible aujourd’hui. Je le comprends si on ne sait pas à qui réellement obéir. Nous, en tant que chrétiens, nous acceptons d’obéir parce que nous savons que notre Pasteur est bon, qu’Il nous guide vers ce qui est juste. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • « Ni la République, ni l’Etat, ni le corps médical n’est propriétaire de la vie humaine »

    Mgr Philippe Barbarin, cardinal archevêque de Lyon, a mis en garde mercredi sur Europe 1 sur les conséquences d’une éventuelle nouvelle loi sur la fin de vie. Rappelant qu’il avait « frôlé la mort: infarctus, triple pontage« , Mgr Barbarin a estimé qu’on avait « pris admirablement soin » de lui.

    « On fait très attention à ce que nous souffrions le moins possible. J’ai une reconnaissance énorme pour le monde médical. Je trouve qu’on doit donner un très grand respect à chaque vie humaine et d’une manière toute particulière à ceux qui souffrent. Mais au fond, ni la République, ni l’État, ni le corps médical n’est propriétaire de la vie humaine. On n’a pas un droit sur la vie et la mort de quelqu’un ».

    « Si on veut changer une loi alors qu’elle a 8 ans, non mais c’est quoi, une loi ? C’est la loi sur l’euthanasie ou l’euthanasie de la loi ? » « Il faut quand même faire très attention à ce qu’on fait : une loi, c’est très important comme fondement dans une société ».

    http://www.riposte-catholique.fr/riposte-catholique-blog/breves/ni-la-republique-ni-letat-ni-le-corps-medical-nest-proprietaire-de-la-vie-humaine