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religion - Page 204

  • Vendredi 17 janvier, 30e veillée parisienne sur la "colère"

    Veillée

    Rendez-vous vendredi 17 janvier à 20h, au Mur pour la Paix, sur le Champ de Mars à Paris, pour méditer sur la colère, quelques jours avant le fameux 26 janvier, Jour de Colère :

    "La bonne colère, c'est le sentiment qui accompagne le désir et la justice" Aristote
    "Il n'est passion qui ébranle tant la sincérité des jugements que la colère" Montaigne

    Louise Tudy

  • Les Sentinelles de Bordeaux interpellent les passants

    Photos des Sentinelles de Bordeaux prises vendredi 10 janvier. On peut y voir des passants qui, dans un premier temps s'interrogent sur cette présence puis viennent questionner, c'est l'occasion de leur expliquer notre action, et souvent repartent en disant "bravo pour votre action", "la famille c'est sacrée ", "nous sommes avec vous" ou "ah oui, pour la filiation, il y a un problème !" "mais la GPA c'est de l'esclavagisme !"...

     

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    Michel Janva

  • Kosovo : les Chrétiens empêchés de célébrer les offices de Noël

    Nada allume des bougies devant l'autel. L’église de l'Assomption de la ville de Djakovica au sud du Kosovo se prépare aux offices religieux de Noël, célébrée le 7 janvier fidèlement à l’ancien calendrier julien. Si la joie de la Nativité du Christ demeure, la cérémonie s’en tiendra à son minimum. Nada rejoint ses trois consœurs dans la nef. Le prêtre orthodoxe n’arrive toujours pas. 
    Dehors, 150 Albanais étouffent l’entrée de l’église. Les poings levés, chargés de pierres, la foule se compacte pour bloquer l’accès à la rue. 
     « Pas de Chrétiens à Djakovica ! Pas de Noël au Kosovo! » 
    Ils étaient 12.000 Serbes orthodoxes en 1999. Elles ne sont plus que 4 en 2014. Plus un seul foyer chrétien ne vit à Djakovica. Seules quatre rescapées sexagénaires appelées affectueusement les « grands-mères de Djakovica», entretiennent l’église de la ville. Une église emblématique pour les Serbes du Kosovo. D’abord refuge en 1999 pendant la guerre, l’église de l'Assomption fut détruite au cours des pogroms antichrétiens de mars 2004. Dix ans plus tard, à la veille de la Nativité, c’est une église condamnée par une marée humaine. 
    Des persécutions sans pitié ni appel 
    Pour la première fois depuis la guerre, une centaine de Chrétiens de Djakovica réfugiés en Serbie ont formulé le vœu de célébrer la veille de Noël dans leur paroisse d’origine. Ils auront voyagé un jour durant pour arriver jusqu’au Kosovo et atteindre enfin leur ville d’antan. Finalement, ils n’auront pu caresser le parvis de l’église de l’Assomption que du regard depuis leurs sièges. A leur arrivée, les deux cars spécialement affrétés pour l’occasion ont été la cible de jets de pierre et de mouvements de foule obligeant les chauffeurs à rebrousser chemin. Les réfugiés de Djakovica n’assisteront pas aux offices religieux de Noël, empêchés par le rassemblement de 150 Albanais. 
    Hier soir, les passagers serbes ont tous été contraints de repartir de Djakovica sans même y avoir posé le pied. Plusieurs d’entre eux ont été blessés dont un grievèment à l’œil par éclats des vitres des cars pris pour cibles par les jets de pierre des manifestants albanais. 
    Le dernier apartheid en Europe 
    Pour Aleksandar Vulin, ministre du gouvernement serbe, invité à commenter les faits de la veille pour la télévision du Kosovo : « Hier, ce fut une triste journée pour les Serbes qui représentent le seul peuple en Europe à ne pas pouvoir se rendre dans une église pour y célébrer la Nativité ». Interdit lui-même de séjour à Djakovica, le ministre rappelle dans son interview que depuis la guerre pas un seul Noël ne s’est déroulé sans incidents à l’encontre des Chrétiens avant de conclure « à quand la fin de l’apartheid au Kosovo-Métochie ? » 
    Alors que le Kosovo constitue le seul territoire du continent européen à apparaître sur l’Atlas de l’intolérance 2014, Solidarité Kosovo condamne sévèrement l’atteinte à la liberté religieuse dont les Chrétiens du Kosovo-Métochie ont été cette année encore victimes à la veille de la Nativité. Deux ans auparavant c’était le Président serbe, Boris Tadic, venu assister aux cérémonies de Noël au monastère de Visoki Decani qui fut accueilli à Pec dans les mêmes conditions. 
    Revenue tout juste de son 30ème convoi humanitaire, Solidarité Kosovo exprime son fidèle soutien aux hommes et aux femmes qui, la foi chevillée au corps, vivent un nouveau Noël sous tension.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/01/kosovo-les-chretiens-empeches-de.html

  • La Russie fête Noël et se démarque de l’Occident décadent

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    C’est le 7 janvier, soit le 25 décembre dans le calendrier julien, que l’Eglise orthodoxe russe fête Noël. Cette année, la célébration de la Nativité de Jésus-Christ est marquée à Moscou d’un cachet particulier. En effet, dans la cathédrale du Christ-Sauveur sont exposés à la vénération des fidèles jusqu’au 13 janvier les présents déposés à la crèche de Bethléem par les trois rois-mages venus y adorer le Rédempteur.

    Il y a deux milliers d’années, les plaquettes d’or, l’encens et la myrrhe offerts à l’enfant-Dieu par les rois-mages ont été soigneusement conservées par la sainte Vierge qui, à la fin de sa vie terrestre, les a remis avec son voile et sa ceinture à la communauté chrétienne de Jérusalem. Au IVème siècle, ils ont été acheminés à Constantinople, capitale de l’Empire romain d’Orient. Par la suite, face au péril islamo-ottoman, les précieuses reliques ont été transférées au monastère Saint-Paul, sur le mont Athos, d’où elles sont sorties pour la première fois il y a quelques jours pour être exposées à la contemplation des chrétiens à Moscou, puis Saint-Pétersbourg, Minsk et Kiev.

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  • Trappes : stop au laxisme face à l'islamisation !

    Souvenez-vous l'été dernier : en portant un "niqab" (interdit par la loi) puis en insultant au nom d'Allah les policiers venus la contrôler ("Allah va vous écraser, Allah va vous niquer, fils de pute"), Cassandra Belin, jeune femme de 20 ans convertie à l'Islam, a directement été la cause de violentes émeutes à Trappes.
    La jeune femme - qui n'a même pas pris soin de se déplacer au Tribunal - a été jugée pour ces faits hier à Versailles. Bilan ? Un tout petit mois de prison (avec sursis) et une amende de 150 euros pour le voile.
    Le Bloc Identitaire condamne fermement le laxisme de la Justice de Christiane Taubira, qui vient par ces sanctions pitoyables d'envoyer un signal très clair à tous ceux qui préfèrent leur loi islamique à celles de la France.
    Cette affaire s'ajoute aux nombreux contrôles de femmes voilées qui ont tourné à l'émeute (Marseille, Argenteuil...) à tel point que les policiers n'osent même plus faire appliquer la loi. Et quand on voit la faiblesse des sanctions, en effet, mieux vaut pour eux rester dans le fourgon.
    Face à l'échec total du "multiculturalisme", le Bloc Identitaire rappelle que l’islam est incompatible avec l'identité multimillénaire de la France.

    Loi appliquée ou non, nous serons toujours aux côtés de nos compatriotes pour faire bloc face à l'islamisation !

    http://www.bloc-identitaire.com/actualite/3002/trappes-stop-laxisme-face-islamisation

  • Le triste sort des chrétiens dans le monde

    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) - En ce début d’année 2014, le bilan de l’année 2013 est assez triste pour les chrétiens dans le monde. S’il faut saluer l’excellent travail réalisé par l’équipe de l’Observatoire de la christianophobie, c’est par quelques chiffres affligeants que nous commençons cette nouvelle année. En 2013, ce ne sont pas moins de vingt deux opérateurs pastoraux, dont dix neuf prêtres et deux religieuses qui ont été tués, soit près de deux fois plus qu’en 2012. L’Amérique du Sud, l’Afrique, l’Inde, le Proche Orient, les Philippines et l’Italie sont concernés par ces meurtres.

    Le triste sort des chrétiens dans le mondeEn dehors des opérateurs pastoraux, la situation s’est considérablement détériorée pour les chrétiens en 2013

    En Syrie, en Irak (photo ci-contre), en Egypte (photo en Une) et plus généralement dans le monde musulman, les populations chrétiennes pâtissent de l’influence grandissante des organisations islamistes et de la barbarie des conflits locaux.

    C’est aussi le cas en Corée du Nord. Globalement, l’épiscopat estime à plus de 170.000 le nombre de personnes tuées en 2013 car chrétiennes ou assimilées. Pire encore, les fêtes de Noël ont à nouveau été l’occasion pour des terroristes hindouistes de brûler une église et des habitations de chrétiens au Népal, et pour les milices nigérienne, syrienne ou soudanaise d’assassiner des chrétiens.

    Ce terrible bilan épargne-t-il l’Europe ?

    Pour l’instant il est exact que le nombre d’assassinats de chrétiens est heureusement faible en Europe. Cependant, la violence se déchaîne de plus en plus contre la religion catholique, avec l’émergence de mouvements largement subventionnés comme les Femen, complaisamment décrites par les médias de l’oligarchie. De même, les profanations d’églises sont toujours plus fréquentes et rarement condamnées comme dernièrement à Malaga en Espagne, mais aussi à Paris où l’église de la Madeleine a été souillée en toute impunité. Des crèches ont aussi été saccagées en Hongrie et en Belgique.

    http://fr.novopress.info/151585/triste-sort-chretiens-monde/#more-151585

  • Les traditions chrétiennes de la France toujours plus contestées

    BOISSETTES (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) - La Cour administrative d’appel de Paris a récemment enjoint à la commune de Boissettes, près de Melun, de faire taire ses cloches. Les requérants avaient acheté en 2004 une maison en face de l’église (ci-dessus) de ce paisible village de 400 âmes et n’ont après coup pas supporté son carillon. La commune eut beau présenter une pétition signée par la moitié du village, ainsi que le témoignage du vieil instituteur indiquant que les cloches marquaient les heures déjà avant la Seconde Guerre mondiale, rien n’y fit. Les juges considérèrent que le maire n’avait pu justifier d’un usage local antérieur à… 1905 !

    http://fr.novopress.info/

  • La laïcité n’est pas une idée républicaine mais une invention chrétienne

    De Jean-François Chemain dans La Nef :

    N"La tradition romaine est celle d’une religion civique, au service des intérêts de la Cité. Parce que le christianisme fut la première religion à refuser d’être instrumentalisée par le politique, et de le sacraliser, lui, et lui seul, fut persécuté. Quand l’Empire romain devint chrétien, à partir de la conversion de Constantin, au IVe siècle, le christianisme se mua en religion impériale, seule autorisée à partir de 392. L’empereur se mêle des affaires de la religion chrétienne, n’hésitant pas, par exemple, à intervenir dans les conciles. [...]

    Au IVe siècle, l’Empire est devenu chrétien, mais sa partie occidentale n’a pas tardé à s’effondrer. C’est alors que l’Église a pu conquérir une relative liberté et s’affirmer comme autorité spirituelle, mais aussi politique, puisqu’elle s’est trouvée, à partir de 752, à la tête d’un État. Commence une longue période où les héritiers de l’Empire romain, les Byzantins, les Carolingiens, le Saint Empire, ont tenté de la remettre sous leur tutelle. Elle a résisté, ce qui a conduit au Schisme d’Orient, l’empereur byzantin n’admettant pas que « son » Église obéisse à l’évêque de Rome. En Occident, la querelle a porté plusieurs noms : « querelle des Investitures » à la charnière des XIe et XIIe siècles, « lutte du Sacerdoce et de l’Empire » à la fin du XIIe siècle et au début du XIIIe... Les empereurs prétendaient nommer les papes et les évêques. Après la mort de l’empereur Frédéric II, en 1250, l’Empire était très affaibli, mais l’Église a alors vu naître d’autres concurrents : les États nationaux, dont les souverains, à leur tour, rêvent de contrôler « leur » religion. Cela a conduit à des schismes, comme en Angleterre, ou dans les pays protestants, où les considérations politiques n’ont jamais été étrangères à la rupture. En France, avec le gallicanisme, on n’en est pas arrivé là, mais au prix de l’octroi au roi de prérogatives religieuses, comme de nommer les évêques.

    La Révolution française a été marquée par un interventionnisme forcené de l’État dans les affaires de l’Église : confiscation de ses biens, interdiction des vœux monastiques, obligation pour le clergé de prêter serment à sa Constitution civile, puis fonctionnarisation du clergé, avec le Concordat de 1801, dans un climat de vexation et de contrainte contre ceux qui refusaient une telle ingérence. Pendant un siècle, en France, l’Église a vécu dans une soumission à l’État du fait de la rémunération du clergé – contrepartie de la renonciation à ses biens confisqués : un prêtre dont les propos déplaisaient au préfet était privé de son traitement, et les écrits du pape ne pouvaient être publiés en France qu’après validation par le Conseil d’État ! Pourtant, dès 1880, la IIIe République commence une guerre sans merci contre l’Église, dans le but avoué de l’éradiquer comme incompatible avec la démocratie. C’est ainsi que le vote de la loi de 1901 sur la liberté d’association a conduit à l’expulsion des congrégations, seules exclues de ce droit. La loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État, qui suspend la rémunération du clergé et nationalise les biens qui appartenaient encore à l’Église, n’était qu’une étape... Seule l’Union sacrée, au cours de la Première Guerre mondiale, a pu mettre fin à cet acharnement, et l’on a pu vivre un XXe siècle apaisé, même si les vieux démons anti-chrétiens ressortent régulièrement, notamment à gauche. [...]

    La conception religieuse des Lumières oscille entre l’athéisme au nom de la « raison », et un déisme niant toute révélation, avec un dieu théorique et lointain, « Être Suprême », « Grand Architecte », le tout dans un contexte où l’État, seule autorité rationnelle, serait un rempart contre le fanatisme des religions « positives ». On a là en germe tous les errements, depuis la Révolution française jusqu’à M. Peillon. L’État devrait non seulement contrôler la religion, mais même la produire, si ce n’est être objet de religion. C’est l’essence du totalitarisme.

    Combattre ou nier le christianisme, c’est affaiblir la laïcité, écrivez-vous ; pourriez-vous nous expliquer cela ?

    La laïcité est une exigence de l’Église, qui refuse de n’être qu’un instrument des États. Ils ne le lui pardonnent pas. On a glissé de la distinction entre les deux ordres, coopération féconde, à leur séparation, dans un contexte d’anticatholicisme d’État. Mais puisque l’Église est la racine de la laïcité, lutter contre elle revient à tuer l’arbre qui, bientôt, ne donnera plus de fruits. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • VALLS, MINISTRE CHRISTIANOPHOBE : SOUTENONS L'AGRIF !

    ACTION PÉNALE CONTRE LE MINISTRE DES CULTES POUR PROVOCATION À LA DISCRIMINATION ENVERS LES CHRÉTIENS.

    Dans sa directive de ce 6 janvier 2014 adressée aux préfets à propos de Monsieur Dieudonné, Monsieur Manuel Valls, ministre de l’Intérieur et des cultes, [...]

    ...donne pour instruction de « susciter, proposer ou valoriser des initiatives de sensibilisation et de pédagogie préventives contre les comportements racistes, antisémites, antimusulmans ou intolérants ».

    On est proprement stupéfait de constater qu’est exclue explicitement de cette directive la prévention du racisme et des actes anti-chrétiens.

    Cette discrimination est aussi significative qu’intolérable en une période où les attaques contre les chrétiens ne cessent de se multiplier, et notamment à Paris où deux profanations abominables ont été récemment perpétrées dans l’église Sainte-Odile et l’église de la Madeleine. Mais manifestement Monsieur Manuel Valls n’a cure de ce que font les Femen ou le dévastateur de Sainte-Odile. Il se rend donc lui-même coupable d’une odieuse discrimination envers les chrétiens et enjoint ses préfets de discriminer de même.

    Pour lui, à l’évidence, les chrétiens et leurs lieux de culte ne doivent manifestement pas être protégés à l’instar des autres communautés.

    L’ AGRIF entend saisir la Cour de Justice de la République et a confié cette procédure à son avocat maître Jérôme Triomphe du barreau de Paris.

    L’AGRIF

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?VALLS-MINISTRE-CHRISTIANOPHOBE