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religion - Page 201

  • Annales 2012 des actes de christianophobie en France

    Ce travail a été effectué par Daniel Hamiche, rédacteur en chef de l'Observatoire de la christianophobie. Extrait de l'introduction :

    "Plus de 490 actes de christianophobie perpétrés en France en 2012… C’est le bilan, très incomplet, mais impressionnant que l’on peut tirer de la compilation des articles parus sur ce blogue et portant sur des événements survenus cette année-là. Une telle étude ne peut être, en effet, qu’incomplète dès lors que les statistiques officielles sont rares ou non communiquées. Mon travail ne s’appuie donc que sur mes recherches dans la presse locale et sur les signalements spontanés de lecteurs de notre blogue – qu’ils en soient ici publiquement remerciés et que leur vigilance soit imitée par beaucoup d’autres…"

    Ce document au format pdf (26 pages) est téléchargeable ici.

    Michel Janva

  • Qui sont les Français qui partent combattre en Syrie? - leJDD.fr

    Il sont près de 700 Français ou résidents en France à avoir été répertoriés par les services français pour leur implication dans le conflit syrien. Un phénomène jugé particulièrement “inquiétant” par le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls. Récit de plusieurs destins de ces jeunes partis en Syrie combattre contre le régime de Bachar el-Assad.

    "Un élève sans histoire, plutôt bon élève, délégué de classe"

    C’est leur histoire qui a véritablement médiatisé la problématique des jeunes Français partant combattre dans des groupes djihadistes opposés au régime syrien. Deux lycéens de 15 ans et 16 ans, habitant dans la région de Toulouse, ont laissé tomber leurs études pour tenter de rejoindre la Syrie. Radicalisé par Internet, l’un des deux adolescents était pourtant décrit par son chef d’établissement comme "un élève sans histoire, plutôt bon élève, délégué de classe, investi". Les deux élèves ont finalement été retrouvés en Turquie dimanche et lundi avant d’être placés en garde à vue mercredi.

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  • La ténacité des sentinelles, des veilleurs, est assez puissante pour amener des changements législatifs majeurs

    Message du Duc d'Anjou aux Français, à la suite de la cérémonie à la mémoire du roi Louis XVI :

    "Depuis des années, dans mes interventions publiques, j’ai rappelé qu’il ne s’agit pas pour nous d’être des nostalgiques, mais d’être des artisans de l’avenir. Les exemples de grandes figures de la royauté vont dans ce sens. C’est à cela que sert la mémoire.

    Louis XVI que nous venons d’honorer à travers cette belle cérémonie nous y convie. Mais, en 2014, un autre roi nous y aidera aussi : Louis IX, Saint-Louis, dont nous commémorons le 800e anniversaire de la naissance, survenue en 1214, la même année que la bataille de Bouvines. Saint-Louis, par l’exemple de son œuvre et de sa vie, laisse une fondation solide sur laquelle il est toujours possible de construire. Son œuvre a été celle d’un roi qui a permis à la couronne de retrouver sa souveraineté face aux grands féodaux ; celle d’un roi qui a été habité par les valeurs chrétiennes pour réformer la justice et les institutions. Il a montré ainsi que l’éthique était au cœur de l’action publique. Voilà des principes encore bien actuels. Si actuels que, s’ils ne sont pas rappelés d’abord, puis remis au centre de l’action, notre société continuera à être instable et fragile.

    Mais aujourd’hui, que représentons-nous ? Que souhaitons-nous ? À quoi sert de s’inscrire dans une tradition millénaire ? Cela n’a vraiment de sens que si nous voulons apporter quelque chose à la société. Or, la société contemporaine est en pleine mutation. Je pense qu’elle a besoin de ce que la tradition représente et peut encore lui apporter.

    Souvent, on me demande si je suis prêt à reprendre la place que la tradition donne à l’aîné des Bourbons. Je réponds toujours à cela, comme mon père l’a fait avant moi, que notre position est d’une nature différente. Nos droits sont incontestables et viennent du fond des âges et ils reposent sur cette union entre une dynastie et un peuple. Nous assumons ces droits restant disponibles.

    Cette union a permis au royaume de France de se constituer peu à peu, du petit domaine entourant Paris, jusqu’aux frontières actuelles que Louis XVI s’évertuait à ouvrir au monde avec la Pérouse et les combats menés en Amérique contre l’Angleterre.

    Tel est le miracle capétien, celui de la France aussi.

    La France a progressé dans le cadre de la royauté dont les institutions reposaient sur la défense des faibles, et sur les valeurs héritées du message chrétien dont la première est le bien commun. Saint-Louis en a été le modèle que ses descendants ont suivi.

    Le successeur légitime des rois de France doit conserver intact cet héritage, précieux trésor pour l’avenir. Ces valeurs ont fait leur preuve puisqu’elles ont permis à notre pays d’être gouverné et de progresser pendant huit siècles. Ce sont elles encore qui ont animé génération après génération les meilleurs de nos enfants. Cette permanence montre combien elles sont justes. Ce bien commun passe par l’unité nécessaire contre toutes les féodalités et les individualités qui veulent toujours s’imposer et imposer leur loi. Ce bien commun est aussi inspiré par le souci de la justice et du progrès social reposant sur la réalité et non l’idéalisme.

    Devant les interrogations de notre génération actuelle face aux erreurs passées, nous croyons bien que nous aspirons à un renouveau. Le Pape François agit dans le même esprit en dénonçant avec vigueur les dérives de toutes sortes, notamment éthiques, qui désagrègent notre société.

    Dans cette quête de renouveau et de sens, les jeunes se mobilisent. Ils retrouvent, faisant preuve d’une étonnante clairvoyance, le vrai, le juste et le beau. Ils l’expriment à leur manière et notamment à l’aide de tous les nouveaux modes de communication. J’y vois un message d’avenir. La ténacité de ceux qui ne furent d’abord que des sentinelles, des veilleurs, est assez puissante pour, peu à peu, amener des changements législatifs majeurs, comme l’Espagne nous en montre actuellement l’exemple. Nous savons que nous pouvons compter sur la puissance de la tradition et de ses réussites.

    La force de la royauté a toujours été de savoir s’adapter aux évolutions tant que celles-ci avaient pour finalité le bien de l’homme créé à l’image de Dieu. Cette vérité de Saint-Louis, qui fut encore celle des grandes réformes du XVIII siècle initiées par les rois Louis XV et Louis XVI et que la Révolution est venue détourner, demeure actuelle. Saurons-nous l’entendre et la mettre en œuvre ?

    Ce message est celui du présent et de l’avenir. Fidèle à la tradition royale française, je le porte, me sachant soutenu par l’exemple de mes ancêtres et par l’espoir qui vous anime."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manuel Valls déclare la guerre aux catholiques

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) - Manuel Valls, ministre de l’Intérieur – et des cultes – a déclaré dans Le Monde du 23 janvier que « les intégristes de l’ultradroite catholique, rejoints par une partie de la droite » sur le discours de l’avortement représentent une des premières menaces pour la République. Dans son discours, les catholiques sont à mettre au même plan que les intégristes islamistes, évoqués par le doux mot de banlieue.

    Être opposé à l’avortement et à sa banalisation suffit désormais pour recevoir l’infamante qualification et être mis dans le même sac que ceux qui veulent imposer la charia en France.

    Les socialistes appliquent le processus qui consiste à pousser hors du débat tout ce qui s’oppose à leur projet sociétal. Ce qui était modéré hier sera donc mécaniquement extrémiste demain. Une pétition a été lancée par l’Observatoire de la christianophobie et demande au président de la République de désavouer les propos de Manuel Valls. Elle a réunis plus de 2.500 signatures.

    http://fr.novopress.info/

  • Valls, l’intégriste laïciste, dénonce le « danger » catholique !

    Ce gouvernement de francs-maçons, de sans-culottes et de “tricoteuses” a déclaré la guerre aux chrétiens. Manuel Valls ne l’a pas dissimulé, mercredi dernier, lors d’une « rencontre sur la laïcité » organisé par le groupe socialiste de l’Assemblée nationale. Aux armes citoyens ! À moi les Fils de la Veuve ! : la laïcité est en danger ! La première menace vient, selon lui, « des intégristes de l’ultradroite catholique, rejoints par une partie de la droite » qui osent, crime irrémissible, se battre contre le “mariage” et l’avortement “pour tous”… « Il faut mener un combat parce qu’il y a danger », a-t-il martelé. Nous voilà prévenus…

    http://www.altermedia.info/france-belgique/christianophobie-fr/valls-lintegriste-laiciste-denonce-le-danger-catholique_97603.html#more-97603

  • Le communautarisme vient de faire son entrée dans le sport !

    Une équipe féminine de basket va disputer son premier match revêtue du voile islamique !

    Il y avait bien eu, ici ou là, des projets de compétitions féminines auxquelles devaient participer des sportives voilées, mais ils avaient tous échoué : le bon sens tenait bon. Hélas ! le bon sens vient de lâcher prise : une équipe féminine de basket va disputer son premier match revêtue du voile islamique !

    Pour une première, c’est une première, mais ce n’est pas une première sportive : c’est une première communautariste, la pire de toutes, celle qui bafoue ouvertement l’esprit du sport lui-même, puisque le sport transcende toute religion 1.

    Évidemment, les naïfs verront dans cette extension du voile les progrès du « vivre-ensemble », alors que les lucides auront compris qu’il s’agit d’un pas supplémentaire dans la course à l’islamisation de notre pays. Quant aux inconditionnels de la « différence », ils se réjouiront de cette initiative, vu qu’ils ne condamnent pas ceux qui bafouent les lois de la République dès lors qu’ils sont d’obédience musulmane.

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  • Une des photos du jour

     

    Ukren Ukraine, prêtres entre forces de l'ordre et manifestants.

    Lahire

  • Pas très catholique…

    Le site de Francetv info ne manque pas de le relever, «hasard du calendrier, les deux François vont se rencontrer pour la première fois le jour de la Saint-François. Le chef de l’Etat est reçu par le pape, (ce) vendredi 24 janvier, alors qu’il est à la recherche d’une réconciliation avec l’électorat catholique français, en majorité hostile à sa politique.» «Ce dialogue avec le pape est un message fort d’attention aux catholiques français » est-il expliqué par l’Elysée. Une réconciliation qui a peu de chance d’aboutir tant l’arrivée du candidat du PS et de sa majorité  au pouvoir s’est caractérisée par des gestes, des actions, des réalisations profondément anticatholiques et foncièrement contraires aux valeurs helléno-chrétiennes qui ont forgé notre civilisation. En ce sens, les mauvaises  orientations du sarkozysme ont non seulement été poursuivies mais aussi  amplifiées. Là aussi, le  changement ce n’est pas maintenant.

     Samuel Pruvot, auteur de François Hollande, Dieu et la République, interrogé sur le site de Francetv info,  rapporte que François Hollande est « aujourd’hui agnostique.» «Il ne tranche pas, un peu comme en politique, où ses opposants lui ont souvent reproché son manque de décision.». Certes, il  constate aussi que «(les) trois amis parmi les plus proches (de M. Hollande), Bernard Poignant, Jean-Pierre Mignard ou encore Jean-Pierre Jouyet, sont considérés comme des catholiques de gauche». Pour autant, l’influence de ces derniers semble en tout cas de peu d’effets sur le chef de l’Etat car  «(sa) laïcité revendiquée a été d’autant plus mal perçue par la communauté catholique que le chef de l’Etat a multiplié les maladresses à l’égard de l’Eglise.»

     Dans l’article du Monde consacré à cette voyage officiel au Vatican, il est expliqué que « le président sait (…) que sur le dossier (du mariage pour tous), il a péché par là où il s’était justement engagé: sa promesse de campagne d’une France apaisée, abîmée par l’ampleur de la mobilisation et la radicalisation d’une partie des opposants. »

     Mais ce grief n’est pas le seul. Plus largement, et la parole est donnée ici à « un responsable de l’Eglise catholique en France »,  les représentants de la Conférence des évêques de France (CEF) ont alerté le pape sur «(les)  débats actuels en France sur l’avortement ou la fin de vie », lequel  «pourrait rappeler au président les valeurs chrétiennes sur la dignité de la personne humaine

      Bernard Podvin porte-parole des évêques de France s’interroge : « Fallait-il rouvrir le débat sur l’avortement ? Fallait-il évincer brutalement les responsables religieux du Comité consultatif national d’éthique ? Fallait-il ignorer la pétition envoyée au Conseil économique, social et environnemental sur le mariage pour tous ?. Il « déplore aussi la réaction tardive des autorités face aux provocations survenues dans des églises.»

     « On sent une difficulté à appréhender le phénomène religieux et un raidissement des deux côtés , note aussi le secrétaire général de la CEF, Olivier Ribadeau-Dumas. Même le message du gouvernement  publié in extremis le 25 décembre à 16 heures  pour souhaiter un bon Noël aux chrétiens leur laisse un goût amer, alors que « des ministres fêtent l’Aïd ou Kippour avec les autres croyants ».

     Signe de cette « défiance » et du sentiment de « deux poids, deux mesures », une lettre au pape, rédigée par trois fidèles à la veille du voyage, a recueilli en une semaine quelque 100 000 signatures.» Cette lettre ouverte approche aujourd’hui allègrement les 120 000 signatures. Ses auteurs, de jeunes catholiques français, ont été reçus par la Nonciature apostolique et la missive  sera  remise au Pape.

     Une lettre  qui demande au pape François de se faire « l’interprète », auprès du président  de la république, « du profond malaise et de l’inquiétude grandissante de nombreux catholiques de France ». Président autiste qui n’a pas écouté l’opposition des Français «  à la loi dite du mariage pour tous , loi injuste qui prive délibérément l’enfant de son droit élémentaire à avoir un père et une mère, et qui ouvre la voie à la marchandisation du corps humain.»

     Un gouvernement et sa majorité qui ont multiplié « la promotion (…) de régressions majeures de droits fondamentaux de la personne humaine, sous les coups de boutoirs de la culture de mort ».  Et  de citer l’assouplissement, des « conditions de recherche sur les embryons humains » ; l’extension du « délit d’entrave à l’avortement » « à la simple expression d’une parole critique de l’avortement et de ses conséquences », « au mépris de la liberté d’expression qui était jusqu’à présent le fondement de notre démocratie ».

     En outre « le gouvernement pose des jalons pour faire voter une loi autorisant l’euthanasie », tandis que le ministre de l’Education nationale (Vincent Peillon, NDLR) qui est le promoteur actif de la théorie du Gender à l’école, a affirmé clairement sa volonté d’« arracher l’élève à tous les déterminismes », et donc aux « déterminismes familiaux ». « C’est ainsi le droit des parents à élever leur enfant conformément à leurs convictions qui est menacé.»

     Enfin, alors que « les moqueries et les attaques de la part des plus hautes instances pleuvent (…)», les profanations d’églises se sont multipliées récemment à l’initiative (…) des Femen (…). Les suites judiciaires ont toutes été étouffées. Beaucoup de catholiques de France ne peuvent s’empêcher de faire le rapprochement avec la sévérité unanime et justifiée des réactions lorsque ce sont d’autres communautés religieuses qui sont attaquées en France ».  « Les catholiques de France sont las d’être un groupe religieux de qui l’on puisse se moquer en toute impunité ».

     «  Face à ce flot de reproches notait l’article du Monde évoqué plus haut, un sujet au moins semble laisser les catholiques de marbre : la vie sentimentale du président ». Est-ce si certain ? Car  affirme Bruno Gollnisch, l’absence basique de morale  est au cœur de la pitoyable affaire Hollande-Gayet-Trierweiler.

     Comment ne pas adhérer au constat de Christine Boutin qui note que «la façon dont est traitée (Valérie Trierweiler) est un véritable scandale. La façon (de François Hollande, NDLR) de traiter ce problème n’est pas acceptable, c’est inhumain (…). Il prend les femmes les unes après les autres, il traite sa concubine, que l’on appelait Première dame, comme un Kleenex. (…). M. Hollande a révélé par cette affaire privée son véritable caractère. »

     Un « homme méchant» selon certains témoignages recueillis dans son entourage  par une  journaliste politique du JDD, Cécile Amar, dans son livre «Jusqu’ici tout va mal», consacré à M. Hollande et  fruit de dix années passées dans son sillage. Or, le seul capital qui restait a ce dernier auprès des Français, si l’on en croit les sondages, était justement  celui de la «sympathie» qu’il semblait dégager, à défaut de la compétence et du courage…

     « Adepte du mariage pour tous mais pas pour lui » comme le relevait dernièrement Jean-Marie Le Pen, M. Hollande, autoproclamé «président normal » ( ?) s’est refusé, comme il aurait pu le faire  une fois élu à a présidence, de légaliser son union par le biais du mariage avec Mme Trierweiler. Cela aurait donné un semblant de légitimité au coûteux cabinet de cette dernière installé au palais de l’Elysée et financé indûment  par les contribuables.

     Cela aurait évité également à Valérie Trierweiler de connaître le sort décrit  par Mme Boutin, tant il est vrai que le mariage traditionnel, est une institution qui a aussi pour objet de protéger la femme en tant qu’épouse.

     Une évidence niée par  les féministes de gôche, toujours promptes à hurler au machisme, toujours présentes quand il s’agit de donner de la voix pour défendre  le mariage pour tous ou les Femen, mais bien silencieuses ici

    http://gollnisch.com/2014/01/24/pas-tres-catholique/