Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé et médecine - Page 360

  • Drépanocytose : la carte de France du Grand Remplacement mise à jour

    Si0yyX2.jpg

    La drépanocytose est une maladie génétique qui ne concerne quasi-exclusivement que les populations extra-européennes : elle ne touche essentiellement que les personnes originaires des Antilles, d’Afrique noire mais aussi d’Afrique du Nord. (source

    Les chiffres (officiels) du dépistage permettent de dévoiler une partie des fameuses « statistiques ethniques » toujours interdites en France. En effet, du fait des particularités ethniques de la maladie, le dépistage en France métropolitaine ne concerne que les enfants à risque en raison de l’origine de leurs parents (il est par exemple systématique chez tous les enfants naissant en Guadeloupe, Martinique, Guyane, à la Réunion, à Mayotte). 

    Les données disponibles permettent ainsi d’appréhender dans toute son ampleur la réalité de la substitution démographique actuellement en cours (c’est aussi la raison pour laquelle certaines associations demandent un dépistage universel (aussi inutile que coûteux) afin d’éviter « la stigmatisation » [voir cet article] (la drépanocytose est parfois appelée « la maladie des Noirs » [source]). 

    Nous disposons à ce jour de trois séries de chiffres : 2005 -2010-2012. Deux cartes ont été publiées pour 2005 et 2010. Nous n’avons les chiffres de 2012 par région que sous forme de liste. 

    Fdesouche a regroupé ces trois séries en une seule carte, que nous présentons ci-dessus. 

    Comment comprendre la carte : en Ile-de-France, en 2012, 65,5 des nouveaux-nés ont été dépistés, car considérés comme « à risque ». Signification : en 2012, en Ile-de-France, 65,5% des nouveaux-nés avaient un ou deux parents « originaires des Antilles, d’Afrique noire mais aussi d’Afrique du Nord ». Ce chiffre s’élevait à 60 % en 2010 et à 54% en 2005. 

    Note : les chiffres de Paca / Corse et Pays-de-Loire /Poitou-Charente restent ambigus en raison du regroupement de zones

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • FUTUREMAG : Les exosquelettes : lève-toi et (re)marche !

    Connaissez-vous les exosquelettes ? Ces squelettes externes parviennent aujourd’hui à faire remarcher des paraplégiques. À l’occasion d’une course hors du commun à New York, rencontre avec Amit Goffer, l’inventeur de l’exosquelette ReWalk. En France, Alain de Rino, kinésithérapeute au centre de revalidation de Kerpape, l’utilise au quotidien et nous explique son fonctionnement.

    Il existe deux types d’exosquelettes : les exosquelettes amplificateurs de force et les exosquelettes d’assistance. Explication en images.

    Lire la suite 

    http://fortune.fdesouche.com/

  • L'épidémie d'Ebola «hors de contrôle» selon MSF

    La Guinée, le Liberia et la Sierra Leone comptent «60 foyers actifs» de fièvre hémorragique en grande partie due au virus Ebola, aujourd'hui «hors de contrôle» et qui menace de se propager à d'autres zones, a indiqué lundi l'ONG Médecins sans frontières (MSF).

    Cette épidémie «est d'une ampleur sans précédent de par sa répartition géographique, de par le nombre de cas et le nombre de victimes», a affirmé MSF dans un communiqué reçu par l'AFP à Dakar.

    «60 foyers actifs ont également été identifiés dans ces trois pays», a ajouté MSF, sans préciser la répartition géographique de ces foyers.

    «L'épidémie est hors de contrôle. Avec l'apparition de nouveaux foyers en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia, le risque d'une propagation à d'autres zones est aujourd'hui réel», a averti le docteur Bart Janssens, directeur des opérations de MSF.

    Lire la suite 

  • Les agences de mères porteuses utilisent la circulaire Taubira pour 'louer des ventres'

    Ce site de location d'utérus pour conception d'enfants donne toutes les indications pour violer la loi française et écrit notamment :

    "Nos mères porteuses accouchent toutes à la maternité d'État. Après elles font le document-déclaration chez le notaire (elles refusent ses droits parentaux en honneur des parents biologiques légitimes, selon l’article 123 du Code de famille), (au-dessus vous trouverez la formule en Français). Puis, l’état civil ukrainien prend leur certificat de maternité, (Extrait de la maison de naissance), aussi que la déclaration-renonciation chez le notaire, plus vos passeports et votre acte de mariage apostillé, pour finalement délivrer aux parents l’acte de naissance. Donc la mère porteuse ne figure plus en acte, seulement les parents de l’enfant. Voila comment l’enfant se déclare à votre nom."

    "Puis on vous traduit l’acte de naissance en francais, et on fait l apostille aupres de Ministere des affaires etrangérès à Kiev. Puis vous fixez le rendez-vous a l’ambassade de France a Kiev, et vous y reclamez un laisser-passer pour l enfant. Actuellement, vu l apparition du circulaire de Taubira, l’ambassade donne ce document vite (2-3 semaines maximum entre la date d’accouchement, et votre retour en France).Attention, le laisser-passer est un document qui vous permettra de rentrer légalement en France avec votre bebe, c’est a dire passer la frontiere. Ce n’est pas un document qui vous donne le droit de nationalité francaise. Au cas de necessite, on present les documents supplementaires a l’ambassade, au cas s ils le demanderont."

    Michel Janva

  • Cancer des enfants : de bons résultats qui gênent la "mafia pédiatrique"

    Dans l'affaire de l'hôpital de Garches, le docteur Nicole Delépine dénonce à la fois la "mafia pédiatrique", qui conteste ses méthodes (alors qu'elle n'a pratiqué aucune amputation en 30 ans pour le cancer des os, et son taux de guérison avoisine les 90%) et l'hypocrisie de l'Etat :

    "L’arrêt Mercier (1936) qu’elle cite à plusieurs reprises revient comme fil rouge du combat qu’elle mène depuis trente ans. « Le médecin ne s’engage pas à guérir mais à donner des soins. Des soins non pas quelconques, mais consciencieux, attentifs et conformes aux données de la science. »

    Mais cette éthique revendiquée semble déranger l’administration et d’autres médecins. « Le jour où l’on a dit qu’on sortait des essais thérapeutiques de l’EORTC (European Organisation for Research and Treatment of Cancer) pour appliquer d’autres méthodes publiées et certifiées, on est devenu des vilains petits canards, regrette-t-elle. Pourtant, on est l’un des rares services à n’avoir jamais eu de plaintes de patients en trente ans. » Une réputation sulfureuse qui s’étend au-delà des frontières de l’hôpital de Garches. Parfois les parents doivent braver des obstacles pour placer leurs enfants dans son service. « Quand j’ai prononcé le nom du Dr Delépine, on m’a dit que j’emmenais mon enfant dans le couloir de la mort et que j’étais un parent irresponsable », explique Sabrina, la mère de Llya, en rémission depuis un an et demi. Une autre mère d’ajouter : « Le médecin qui traitait ma fille m’a expliqué que Nicole Délepine était un charlatan qui ne soignait pas jusqu’au bout. Lorsque j’ai quand même quitté l’hôpital de Nantes, le juge aux affaires familiales m’a convoquée pour "mise en danger de la vie de ma fille". En fait, alors que je luttais pour sa santé, la plus grosse bataille a été contre l’administration », explique la mère d’Orlane, atteinte d’un cancer de la vessie, en rémission depuis 2007, sans avoir subi d’ablation de ses organes.

    [...] Cela fait donc trente ans que ses méthodes dérangent. Initialement à l’hôpital Hérold dans le XIXe arrondissement de Paris, le service a été menacé de fermeture en 1998, lors du départ du chef de service de l’époque, le Dr Desbois. Après trois déménagements, plusieurs manifestations et différentes révoltes des parents, l’histoire se répète. Aujourd’hui le service est à nouveau menacé de fermeture.

    « J’ai appris dans la presse la fermeture du service en raison de mon départ à la retraite. Mais je ne veux pas partir. Je préfèrerais claquer sur le terrain », s’amuse-t-elle. Même si elle partait, d’autres médecins pourraient reprendre le service. « L’administration oppose le fait qu’il n’y ait pas de médecins ici ; c’est du baratin absolu, s’insurge-t-elle. Ceux qui ont demandé leur mutation dans mon service n’ont pas été entendus », à l’instar d’Eléonore Djikeussi. Ce qui excède le docteur, c’est l’hypocrisie du procédé. D’un côté, on la félicite pour ses résultats, de l’autre on l’asphyxie en lui interdisant de recruter, ou en enlevant des lits, passés de 60 en 1986 à 10 aujourd'hui. [...]

    Les parents, eux, sont nombreux à louer l’efficacité de la méthode. Mais aussi la disponibilité du médecin et de ceux dont elle a su s’entourer ainsi que la chaleur et l’humanité qui règne dans le service. Ils sont 22 000 à avoir signé une pétition pour assurer sa survie. L’association Ametist s’est créée pour revendiquer les bienfaits des méthodes de Nicole Delépine. Une plainte contre X a été déposée par cette association de parents au tribunal de Nanterre pour « délaissement » d’enfants. Dimanche, certains d’entre eux étaient cloîtrés depuis plus d'une semaine dans la chapelle de l’hôpital, en grève de la faim, pour que le service reste ouvert et que le combat de Nicole Delépine soit entendu. [...]"

    Michel Janva

  • Appareil génital féminin à louer : prostitution ou altruisme ?

    La jouissance de la partie basse (vagin) s’appellerait prostitution, et celui de la partie haute (utérus et ovaires) de l’altruisme rémunéré ! Tweeter 

    Le site d’informations médicales « Egora.fr » nous apprenait, fin juin, que des hôpitaux belges lançaient un site Internet, où les donneurs de sperme et d’ovocytes pourraient laisser des messages anonymes aux enfants issus de leurs gamètes, afin d’améliorer leur image de marque, et ainsi lutter contre la pénurie des dons.

    L’initiateur du site, lui-même issu d’un don de sperme d’après cet article, justifie son action par le fait qu’au Danemark et en Espagne, où la publicité est autorisée, il n’y a pas de manque de donneurs. Il oublie de préciser qu’en Espagne, (40% des dons d’ovules de l’union européenne), la « donation » est rémunérée, et les jeunes femmes qui participent à ce marché, de manière épisodique ou régulière, le font pour améliorer leurs fins de mois, comme l’affirme un article paru dans la presse espagnole en mai 2013 (MIA n° 1389)

    Lire la suite

  • Garches : les grévistes accueillis à l'école Ste Geneviève

    Suite à l'expulsion des grévistes de la faim de l'hôpital de GarchesLe Parisiennous informe que les parents ont finalement quitté Garches en fin d'après-midi pour Le Port-Marly. Laurence Godfrin, porte-parole des familles, annonce :

    «Grâce au père Bruno, les familles ont trouvé refuge dans l'école privée Sainte-Geneviève, au 15, rue Jacques-II». «Les parents vont y passer la nuit et continuent leur grève de la faim. Et les lieux sont ouverts au public».

    La mobilisation se poursuit pour le maintien du service du Dr Delépine.

    Vidéo prise hier par le SB :


    Garches par Le_Salon_Beige 

    Michel Janva

  • Les Moissons du Futur (Rediff)

    Après Le Monde selon Monsanto et Notre poison quotidien, voici le troisième numéro de la trilogie de Marie-Monique Robin. Les Moissons du Futur est une enquête résolument optimiste sur les remèdes possibles à la crise alimentaire qui touche la planète. Une enquête menée sur quatre continents dans laquelle elle montre que l’agroécologie peut nourrir le monde.

    (Réalisé par Marie-Monique Robin – France/Belgique 2012)

  • Bernard-Henri Lévy sous l’emprise de la drogue

    Bernard-Henri Lévy, dit BHL, maître à penser psychédélique ? Sa compagne Arielle Dombasle confirme au cours d’un entretien télévisé que le philosophe préféré des mondialistes a recours à des substances chimiques.

  • Miracle de la vie

    Relatée par Jeanne Smits :

    "Megan est une petite fille dodue de 18 semaines qui se porte à merveille. Mais l’histoire de sa venue au monde a tout du miracle. Au point que les médecins qui ont eu suivi l’aventure de sa maman, Michelle Hui ont décrété qu’elle devait être particulièrement « bénie ». Car l’enfant a survécu à une fausse couche et à la pilule abortive.

    Michelle, 31 ans, était enceinte de 6 semaines et se rendait vers la gare pour aller au travail. Soudain, elle a commencé à saigner abondamment. Paniquée, elle appelle son mari : « Je suis en train de perdre mon bébé ! » Ross Hui s’occupe des deux autres enfants du couple­, Mya, 4 ans, et Noah, 2 ans, il ne peut les laisser pour venir la chercher. Elle rentre seule, puis elle rejoint l’hôpital Rotunda de Dublin.

    Cinq échographies vont permettre aux médecins d’établir qu’elle a effectivement perdu son enfant. Pour s’assurer que son utérus est bien vide – dans le cas contraire, elle risque une grave infection – on lui prescrit deux pilules abortives et elle reste sous surveillance jusqu’au lendemain.

    Il ne s’agit pas pour autant d’un avortement volontaire. Mais bien d’un soin après une fausse couche, une mesure de précaution dans une situation où l’enfant à naître a cessé de vivre et a été expulsé.

    Michelle Hui raconte qu’elle était « dévastée ». Le lendemain soir, elle sort avec des amis. Boit une bouteille et demie de vin. « Je n’avais jamais bu autant. Je ne suis pas une buveuse. » Pour elle et pour son mari, pas de doute, même en tout début de grossesse, ce n’est pas un embryon ou un fœtus que l’on perd, mais un fils ou une fille…

    Toujours pour s’assurer que tout allait bien, les médecins ont alors demandé à Michelle de subir un test de grossesse – non parce qu’elle pouvait être toujours enceinte, mais pour vérifier s’il restait des caillots dans l’utérus. Test positif. On décide de pratiquer un curetage.

    C’est alors que se produit le miracle. Un dernier scan de contrôle permet au médecin de déceler ce qu’il ne se serait jamais attendu à voir. Incrédule, il part chercher un collègue plus expérimenté. « Vous n’allez pas le croire : il y a un battement de cœur », dit-il enfin à la maman, ivre de bonheur cette fois.  Michelle, enceinte de jumeaux, avait bien perdu l’un des enfants. Mais l’autre, inexplicablement, a survécu à tout. Et a probablement été caché, lors des échographies au moment de la fausse couche, par le sang et les caillots qui ont créé une « ombre », ont expliqué les médecins. Ils ne s’expliquent pas que le deuxième bébé n’ait pas été vu d’emblée, ni qu’il ait survécu au mifepristone… [...]"

    Michel Janva