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santé et médecine - Page 360

  • Légalisation de la GPA : quand l’Europe s’en mêle !

    Comme nous le savons tous, la GPA est interdite en France (qui sait pour combien de temps encore ! ) et donc logiquement, le fait de faire concevoir un enfant par GPA à l’étranger puis de le ramener en France, constitue un délit. Or un problème subsiste : quel statut, quelle situation juridique est celle de ces enfants ? C’est ici qu’intervient la CEDH faisant fi des droits de l’enfants pour mieux exercer ceux des « hommes ». Plutôt que de lutter contre les fraudes à la loi sur la GPA, plutôt que de défendre la famille, l’éthique et la loi naturelle, l’Europe préfère condamner le refus de la France de reconnaître la filiation des enfants nés par mère porteuse à l’étranger.

    « Cette condamnation par la Cour européenne nous oblige, en quelque sorte, à «fermer les yeux» en cas de recours une GPA à l’étranger. Vous pouvez désormais aller tranquillement à l’étranger vous acheter un enfant, la Cour européenne vous assure le service après-vente. » ironise le Figaro.

    Autrement dit : puisque la fraude est difficile à gérer, légalisons-la ! Bienvenue dans l’UE !

    Marie de Remoncourt

    http://www.contre-info.com/

  • Un tueur libéré, un innocent condamné.

    Non le docteur Nicolas Bonnemaison n’a pas « administré de substance de nature à entraîner la mort », non il n’a pas « écourté un calvaire », non il n’a pas « agi par compassion »
    Non.
    Le docteur Bonnemaison a tué.
    Et pourtant, la « justice » a décidé ce matin de l’acquitter au terme d’un délibéré particulièrement rapide étant donné la gravité des actes. Cinq mois de sursis étaient réclamés, aucune peine - même de principe – contre ce docteur-tueur. Le message est clair.

    Mais qui protégera désormais les plus faibles si les médecins se transforment en tueurs et que la justice applaudit ?
     
    L’ordre des médecins avait radié cet homme après que de courageuses infirmières l’avaient dénoncé, estimant à juste titre qu’il avait enfreint l’une des règles fondamentales du serment d’Hippocrate: « Je ne provoquerais jamais la mort délibérément ».
     
    Mais ce qu’il reste de « justice » n’en a que faire, ce médecin a voulu être dieu à la place de Dieu, et c’est tout ce qu’elle encourage…
     
    Un médecin tue sept de ses patients sans même demander leur avis ou celui de leur entourage, l’ADMD et tous les militants de la Mort pour Tous se réjouissent… Preuve s’il en était besoin que leur arguments ne tiennent pas une seconde…
    Ils se fichent des patients, ils se fichent de leur souffrance. Il veulent supprimer la souffrance, être tout-puissants pour oublier qu’ils sont limités, créés et dépendants d’un Créateur.
     
    Le moindre de leurs désirs doit être protégé par la loi.
    Les gens souffrent, la loi doit les tuer pour qu’ils n’aient plus à supporter cette faiblesse. Et ils osent parler de « compassion »…
    Supprimer la souffrance, c’est supprimer la vie et non compatir, c’est-à-dire « souffrir avec »…
    Leurs actes en sont la preuve. Et puisqu’ils sont d’une violence inouïe, ils déclarent tuer « par amour »… Les tenants de la culture de mort applaudissent, Bien et Mal ont encore une fois été inversés de façon spectaculaire, avec l’aval des plus « grands ».
     

     

     
    Le gouvernement, par la voix de Stéphane le Foll, a tôt fait de réagir :« Cette affaire conforte la nécessité de faire évoluer notre cadre législatif »‘ vis-à-vis de l’euthanasie.
    Compris ? L’euthanasie est légitimée par un cas de meurtre décidé par un tiers qui a été le seul à « choisir ».
    Démasqués sans même le réaliser dans leur entreprise de destruction de toute faiblesse, de toute Nature, de toute transcendance.
     
    Avant d’apprendre son acquittement, Nicolas Bonnemaison a précisé :  » J’ai agi en médecin, comme je pense faire ce métier, c’est à dire jusqu’au bout. J’estime que cela fait partie du devoir du médecin d’accompagner ces patients jusqu’au bout du bout. »
    Mais si le bout du bout n’est pas naturel mais provoqué, cela s’appelle tout simplement un meurtre.
     
    Nicolas Bonnemaison n’est autre qu’un assassin, un de plus que la justice libère et que la Bien-pensance applaudit, cachée derrière de belles valeurs détournées de leur sens.
     
    Et pendant qu’un assassin est libéré, un innocent est condamné à mort par le Conseil d’Etat…
  • Vincent Lambert n'a pas demandé là mourir

    Maître Triomphe, l'un des avocats de Vincent Lambert, est interrogé par Reinformation.tv :

    "Le Conseil d'Etat a dit qu'il [Vincent Lambert] devait mourir parce que on a prétendu que tels auraient été ses souhaits antérieurs exprimés auprès de sa femme de manière verbale ; alors que, comme je l'ai souligné, sa femme en a parlé pour la première fois au bout de cinq ans simplement pour justifier la décision du docteur Kariger et qu'elle s'est contredite de manière spectaculaire à huit mois d'intervalle sur le contenu de ces prétendus souhaits."

    Vincent Lambert n'a pas demandé à mourir

    Michel Janva

  • L'idéologie qui cherche à amalgamer l’hydratation à de l’acharnement

    Mgr Michel Aupetit, évêque de Nanterre, médecin et membre du Conseil Famille et Société, analyse la décision (suspendue par la CEDH) du Conseil d’Etat d’arrêter le traitement de Vincent Lambert :

    "M. Vincent Lambert est un homme de 38 ans victime d’un traumatisme crânien à la suite d’un accident. Son état correspond à ce que les médecins appellent l’état pauci-relationnel qu’on appelle aussi état de conscience minimale qui est à distinguer d’un état végétatif permanent.M. Lambert n’est pas en fin de vie. Il s’agit seulement de savoir si on arrête sa vie en supprimant l’alimentation et l’hydratation. La première question qui se pose est de savoir si le fait de nourrir et de faire boire constitue un traitement ou un soin.

    Certains affirment que, s’il s’agit d’un traitement, l’alimentation et l’hydratation peuvent être considérées comme un acharnement thérapeutique si elles sont maintenues. En revanche, s’il s’agit d’un soin, le fait de lui donner à boire et à manger n’entre pas dans le cadre une obstination déraisonnable mais d’une attention à autrui qui est le propre de l’humanité. Certes, M. Lambert ne peut pas boire et manger tout seul étant donné son état de conscience voilà pourquoi le médecin qui le suit avait décidé d’arrêter.

    La deuxième question est de savoir si ce que l’on fait en donnant à manger et à boire est vraiment au bénéfice de la personne soignée. Par exemple, il arrive que certains patients puissent faire une fausse route à la suite d’une alimentation invasive. Dans ce cas, cette alimentation lui est plus nuisible qu’utile. Tant que la personne n’est pas en fin de vie et que son alimentation et son hydratation lui sont plus bénéfiques que nuisibles, le fait de l’arrêter devient alors un acte grave puisqu’il entrainera inéluctablement et délibérément sa mort.

    Il est impossible actuellement de dire ce qu’un patient peut vivre encore de relations interpersonnelles dans un état de conscience minimale. Celles qui se tissent encore révèlent la profondeur de notre humanité qui est à l’origine de sa dignité. 

    L’Académie Nationale de Médecine a rappelé que le droit des patients d’avoir accès à l’alimentation ne peut être conditionné par leurs capacités relationnellesCette position rejoint celle de l’Église qui persiste à défendre la dignité immuable de l’homme. Cette dignité ne vient pas d’un droit octroyé par un tiers : la société, les médecins ou les juges.

    Enfin, il faut savoir que le cas de M. Vincent Lambert est un cas particulier à partir duquel il est difficile de légiférer. Il y a plus de 1500 personnes qui sont dans le même état. Ce que l’on va décider pour lui va-t-il impacter sur les autres patients ? On a voulu donner aux juges la décision finale. Or, s’il appartient aux juges de dire le droit, ils n’ont pas autorité pour définir le bien ou le mal. 

    L’Église, protectrice de la vie et de la dignité, estime qu’« un patient en « état végétatif permanent » est une personne, avec sa dignité humaine fondamentale, à laquelle on doit donc procurer les soins ordinaires et proportionnés, qui comprennent, en règle générale, l’administration d’eau et de nourriture, même par voies artificielles »."

    Mgr Bernard Podvin, porte-parole des évêques de France, réagit de son côté :

    "Qu’est-donc cette idéologie qui cherche à amalgamer l’hydratation d’un frère souffrant à de l’acharnement ? Un trait de civilisation élémentaire n’est-il pas depuis toujours de prodiguer le verre d’eau à autrui, humecter ses lèvres, serait-il notre pire ennemi ? En quoi serait-il inconvenant de le faire à un proche en état « pauci-relationnel »? Ce que l’on nomme  « l’affaire Lambert » fait, hélas, dire de nombreuses aberrations. L’essentiel est d’être près de celui que l’on aime jusqu’au bout. Présence humble et aimante. Les mains vides en offrande d’une affection partagée. Le plus fragile serait-il devenu indigne d’être accompagné ? Le fait que les proches de Vincent se déchirent, le fait qu’une instance supérieure ne se suffise pas à en discerner et juger, tout cela doit rendre humble devant la complexité et la douleur. Ces limites humaines et institutionnelles attestent que la vie est toujours plus grande que ce que nous en disons. Elle est un don ! Ne vouloir ni acharnement, ni suicide assisté, consiste à choisir la voie étroite d’une fidélité palliative. Redisons-le avec la force de l’amour."

    Michel Janva

  • Des économies sur la famille

    L'Assurance-maladie propose d'écourter d'une journée en moyenne l'hospitalisation lors d'une naissance. Cela permettrait de générer 280 millions d'économies nettes. Une femme est en effet hospitalisée en moyenne en France 1,2 jour de plus que dans les autres pays développés pour un accouchement par voie basse, soit 4,2 jours contre 3 jours. 

    En soi, rentrer chez soi plus tôt après l'accouchement n'est pas une mauvaise chose, sauf bien sûr en cas de complications. Mais cette idée de faire des économies de façon quasi-systématique sur le dos de la famille et de la natalité est un tantinet malsain.

    Michel Janva

  • Le Conseil d'Etat a inventé l'assassinat compassionnel

    Extrait d'une tribune de Thibaud Collin dans Le Figaro :

    "[...] L'arrêt du Conseil d'Etat du 24 juin reprend l'article R.4127-37 du code de la santé publique exigeant du médecin qu'il s'efforce «de soulager les souffrances du malade par des moyens appropriés à son état et l'assister moralement. Il doit s'abstenir de toute obstination déraisonnable dans les investigations ou la thérapeutique et peut renoncer à entreprendre ou poursuivre des traitements qui apparaissent inutiles, disproportionnés ou qui n'ont d'autre objet ou effet que le maintien artificiel de la vie.» Le problème se concentre ici sur la question de l'artificiel. C'est bien sûr en créant une analogie avec l'acharnement thérapeutique que le maintien de la nutrition et de l'hydratation artificielles apparaît comme déraisonnable parce que disproportionné et inutile. Mais disproportionné et inutile au regard de quel critère ? Le Conseil d'Etat répond que «l'alimentation et l'hydratation artificielles constituent un traitement inutile dès lors qu'il a pour seul but, en l'espèce, de maintenir artificiellement la vie». Phrase extraordinaire qui aurait ravi Molière! Si le but de l'artifice est l'artifice, dit en substance le Conseil d'Etat, il est alors inutile. Bien sûr, puisque la même chose est alors moyen et fin! Or l'utilité est un rapport entre un moyen et autre chose que lui-même, à savoir la fin. Cette phrase en raison de sa circularité est donc en réalité absurde, inconsistante ; mais elle révèle en creux le déni de la vie qu'opère la raisonnement du Conseil d'Etat.

    En effet, l'hydratation et la nutrition artificielles relèvent simplement de l'assistance à personne dépendante. Mon bébé non plus ne peut se nourrir tout seul. Certes, il a devant lui la promesse d'une vie autonome, riche de potentialités ce qui ne semble pas être le cas de Vincent Lambert.

    Quelle est la mesure de la pratique médicale? Il est bien évident que la médecine est un art ordonné au recouvrement de la santé qui en elle-même est naturelle. La médecine pallie donc les manques de la nature. Que se passe-t-il lorsque la médecine est confrontée à ses propres limites dans les cas de maladies incurables, de handicaps etc.? Ne pouvant plus agir directement sur l'état de santé, la médecine prend alors comme repère un nouveau critère: le confort du patient et/ou sa volonté mais aussi le coût financier pour la société, l'état psychique des proches etc. Dans cette logique, la vie d'une personne humaine n'apparaît plus comme en soi indisponible ; puisqu'elle est jugée en fonction de critères extrinsèques, dès lors en concurrence. Mais qui ne voit que l'on plonge alors dans l'arbitraire le plus radical? La matrice calculatrice s'abat alors inéluctablement sur la vie humaine pour décréter que la dépendance, la fragilité, la non-productivité autorisent sa suppression.

    Cette logique s'est installée dans notre société depuis 1975 puisque c'est elle qui gouverne l'interruption dite «médicale» de grossesse. On peut en effet tuer un fœtus atteint d'une maladie incurable ou d'un handicap, et ce jusqu'à la veille de sa naissance, pour lui éviter une vie que l'on juge insupportable, indigne, bref non-conforme aux standards d'une vie humaine épanouie. Cette exclusion des personnes dépendantes et handicapées de la communauté humaine se retrouve aujourd'hui. A quoi sert la vie de Vincent Lambert? A rien, répond le Conseil d'Etat. Puisqu'elle est inutile, il s'agit par «compassion» de le libérer lui-même de cette inutilité. Le Conseil d'Etat trente-trois ans après l'abolition de la peine de mort a ainsi inventé l'assassinat compassionnel. Oser rappeler que l'honneur d'une société réside dans sa capacité à assister les personnes en grande dépendance, c'est alors faire preuve d'obstination déraisonnable. Cet arrêt est un signal supplémentaire à toute la société française qu'un être humain n'a pas un droit inaliénable à la vie en tant que tel. Ce droit est conditionné à toutes sortes de facteurs. Cet effroyable rétrécissement de la raison humaine n'est que la réactualisation d'une logique bien connue de fabrication de rebut humain. Belle illustration de la barbarie en costume!"

    Michel Janva

  • Vincent Lambert : les révélations de sa mère

    Condamné à mort par le Conseil d’Etat français, Vincent Lambert vient d’obtenir un sursis de la part de la Cour européenne, le temps que celle-ci – qui a été saisie – examine le dossier…

    Dans l’entretien video ci-dessous, la mère de Vincent Lambert révèle deux faits stupéfiants.
    « Avant de partir pour Paris, le père et la mère de Vincent Lambert sont allés lui rendre visite et lui ont dit « Papa et Maman sont à côté de toi. » Vincent Lambert a alors TOURNE LA TETE vers eux.
    Par ailleurs, dans le dossier médical, le docteur Kariger a écrit qu’il ne voulait pas que la famille soit au courant.
    Une affaire très différente de la version médiatique »

    http://www.contre-info.com/

  • Fabrice Hadjadj : « Nous assistons au développement du meurtre par compassion »

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Le cas Vincent Lambert relance le débat sur l’euthanasie. Pour le philosophe Fabrice Hadjadj, ce débat révèle la tendance de nos sociétés libérales à refuser la faiblesse et la dépendance, qui nous rappellent le tragique de notre condition.

    Fabrice Hadjadj est écrivain et philosophe, directeur de l’Institut européen d’études anthropologiques Philanthropos. Son dernier essai, Puisque tout est en voie de destruction, a été publié chez Le Passeur Éditeur (avril 2014).

    LE FIGARO. - Le rapporteur du Conseil d’État préconise de laisser mourir Vincent Lambert, en état végétatif depuis 2008. Que penser de cet avis ?

    Fabrice HADJADJ. - Je n’en sais pas assez sur le cas de Vincent Lambert pour dire s’il s’agit d’euthanasie ou de refus de l’acharnement thérapeutique. Trois remarques toutefois s’imposent. La première concerne la confusion progressive du métier de médecin et de celui de tueur à gages, parce que, pour ne pas avouer ses limites, on se met à confondre supprimer la douleur et supprimer la personne. [...]

    La suite ici

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Fabrice-Hadjadj-Nous-assistons-au

  • Santé : pesticides et autisme

    Plusieurs hypothèses sont avancées pour expliquer l’explosion du nombre de cas d’autisme dans les sociétés occidentales. Ce pourrait-être les antidépresseurs selon certains ou encore les technologies sans fil (wifii, téléphone portable etc..)selon d’autres, mais d’après des chercheurs californiens il existe un lien entre pesticides et autisme :

    Lu sur le site Le Monde :

    Touchant un enfant sur 68 en 2014, au lieu d’un sur 150 en 2000, l’autisme a fortement augmenté ces dernières décennies aux Etats-Unis. Une progression qui serait en partie corrélée au développement des pesticides. D’après une étude de chercheurs californiens publiée lundi 23 juin, une femme enceinte qui vit près d’une ferme utilisant ces produits chimiques a un risque 66 % plus élevé de voirson enfant développer la maladie.

    Les chercheurs de l’université Davis ont confronté des données sur les utilisations de pesticides en Californie aux adresses de 1 000 personnes. La loi en Californie requiert de préciser les types de pesticides pulvérisés, où, quand et dans quelles quantités. « Nous avons constaté que plusieurs types de pesticides ont été plus couramment utilisés près des habitations où les enfants ont développé le syndrome de l’autisme ou ont eu des retards » de développement, a expliqué l’un des auteurs, Irva Hertz-Picciotto, vice-présidente du département de sciences et de santé publique à l’université. Environ un tiers des participants à l’étude vivaient dans un rayon de 1,25 à 1,75 kilomètre de l’endroit où les pesticides ont été utilisés.

    http://www.contre-info.com/

  • La CEDH suspend l’exécution de Vincent Lambert

    INFO LE FIGARO - Vincent Lambert : la Cour européenne suspend la décision du Conseil d’État

    La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), saisie par les parents et deux frères et sœurs opposés à l’arrêt des soins de Vincent Lambert, a pris dès ce soir des mesures provisoires qui suspendent la décision du Conseil d’Etat. 

    Cette décision a été communiquée aux requérants.

    Les 17 juges du Conseil d’État avaient un peu plus tôt dans la journée ordonné l’arrêt de l’alimentation de Vincent Lambert, devenu tétraplégique après un accident de la route en 2008.

    La Cour européenne, par sa décision, oblige ainsi l’hôpital à réalimenter Vincent Lambert pour le maintenir en vie. Elle interdit également son déplacement du CHU de Reims où il est actuellement hospitalisé. Cette partie de la famille craint en effet que les autres membres fassent déplacer Vincent Lambert en Belgique où l’euthanasie est légale, et où réside désormais son épouse Rachel.

    La CEDH va désormais devoir juger le dossier sur le fond. Ce qui pourrait prendre plusieurs mois, voire des années.

    Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-CEDH-suspend-l-execution-de