Éléonore Laloux est une jeune femme atteinte de trisomie 21. Depuis son plus jeune âge, son parcours en milieu ordinaire est un modèle d'intégration. Porte-parole du Collectif les Amis d'Éléonore, elle défend la cause des personnes porteuses de trisomie 21 et lutte contre la stigmatisation de sa maladie. Elle est auteur d'un livre Triso et alors ! publié chez Max Milo Editions en 2014.
santé et médecine - Page 362
-
Suppression de la page Wikipedia sur Eleonore Laloux ?
Si vous avez un avis sur la question et un compte Wikipédia, connectez-vous et donnez votre avis : cette page est soumise à suppression à compter du 30 avril si un consensus clair ne s'est pas dégagé en sa faveur.Lien permanent Catégories : actualité, avortement et euthanasie, lobby, santé et médecine 0 commentaire -
Josie Cunningham renonce à avorter grâce aux coups de pied ressentis dans son ventre !
Josie Cunningham, la vedette de téléréalité britannique qui allait avorter pour participer à une série d’émissions télévisées, a changé d’avis après avoir ressenti les coups de pied de son enfant dans son ventre.
« Je pensais vraiment que j’en serais capable, mais je n’ai pas pu. J’ai senti le bébé bouger pour la première fois 24 heures avant et je ne pouvais plus m’ôter cette sensation de la tête » a dit en pleurs Josie Cunningham qui voulait avorter pour participer à l’ émission de télévision Big Brother et qui est enceinte de 18 semaines. Le journal Sunday Mirror a publié une interview vidéo avec le modèle après changement d’opinion.
Josie Cunningham explique qu’elle se dirigeait vers le centre d’avortement lorsque les doutes l’ont assaillie après qu’elle ait senti son bébé bouger pour la première fois.
-
MONSANTO CONTRE LES PEUPLES Un peu de clarté dans le marécage
On se souviendra de la sentence d’Henry Kissinger : « Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations, contrôlez la nourriture et vous contrôlerez le peuple, contrôlez la monnaie et vous contrôlerez le monde. ». En contrôlant la nourriture, Monsanto veut contrôler les peuples. Le Chili comme le Mexique s’y sont opposés. Certes, quelques hirondelles ne font pas le printemps, mais une résistance commence à germer en Amérique Latine.
Monsanto, bloqué au Chili
Le gouvernement chilien a l’habitude de s’aligner sur les Etats-Unis. Derrière le coup d’Etat de Pinochet, la trahison de l’Argentine dans son conflit avec la Grande Bretagne pour les îles malouines, et l’Alliance du Pacifique, on trouve toujours la tour noire étatsunienne. La Présidente Bachelet vient cependant, sur Monsanto, de changer d’attitude (1). Le 17 mars de cette année, le gouvernement chilien a annoncé le retrait du projet connu sous la dénomination de « loi Monsanto » sur la privatisation des semences paysannes et la non adhésion à la Convention UPOV 91 sur la protection de l’obtention des végétaux.
Ce projet de loi avait été déposé au parlement en 2009 par la présidente elle-même au cours de sa précédente administration. Le mouvement Via Campesina (2) qui a éveillé la population aux dangers des OGM a permis à de nombreux hommes politiques de comprendre enfin les méfaits du pillage de la nature et le « racket » des populations à partir de droits de reproduction forgés de toutes pièces, sans aucune légitimité.
Au Mexique, Monsanto veut liquider le juge qui lui déplaît
La multinationale Monsanto, veut détruire les catégories de maïs qui poussent au Mexique, en répandant ses OGM stérilisateurs partout, de sorte qu’entre le hasard et la malveillance, tous les types de maïs soient finalement pollués, ce qui serait le pactole pour l’entreprise. Action Collective, composée de savants et de paysans, a obtenu que Monsanto ne puisse continuer la culture des grains génétiquement modifiés. La décision des juges est honorable et juste: il y a un « risque de préjudices importants pour l’environnement ».
La réaction des « monsantistes » a été de mettre en cause le juge (3). On reconnaît là une des méthodes d’un pouvoir totalitaire. Si un magistrat est indocile, on le le salit et on le remplace. C’est la situation que vient de connaître Mexico, où le juge Zaleta qui a confirmé l’interdiction des produits stérilisants Monsanto, est agressé par la firme qui a demandé, avec son impudence habituelle, de démettre le juge. Il se vérifie une fois de plus que l’investissement dans l’homme est ce qu’il y a de plus noble. le juge Jaime Manuel Marroquin Zaleta est un héros des temps modernes.
Au Vénézuela, le peuple vit mieux
Dernier exemple de rayon de soleil, le cas du Vénézuela ou l’influence de Monsanto fonctionne encore à plein rendement. Le Président Madero se flatte que, maintenant, 64% de la richesse produite soit distribuée au peuple. Il estime que depuis 1999, l’oligarchie alors en place n’a pu volé des sommes qui se chiffrent en billions et qui sont aujourd’hui distribuées au peuple Vénézuélien.
La finance mondialiste ne supporte plus que des pays réussissent leur développement en suivant une autre voie que la sienne. Pour cela aussi, la Russie est attaquée, et demain viendra le tour de la Chine si elle continue à progresser. L’Europe couchée est par contre applaudie. L’empire de la servitude est en même temps l’empire du néant. Là où passe ce pouvoir totalitaire, la stérilité s’installe…
Auran Derien
Source :http://metamag.fr/metamag-1996-MONSANTO-CONTRE-LES-PEUPLES.html
-
Grèce : Les malades non assurés ne sont plus pris en charge
Le gouvernement grec n’a pas fourni de traitements aux patients atteints d’hépatite, ce qui met en péril la santé publique nationale. Huit patients non assurés atteints de l’hépatite B et C risquent de voir leur état se dégrader fortement, car ils ne peuvent plus se permettre d’acheter leurs médicaments, met en garde l’hôpital communautaire à Elliniko en Grèce.
« Malheureusement, notre hôpital ne peut plus fournir sans interruption à ces patients les traitements extrêmement coûteux dont ils ont besoin. Ces personnes sont donc confrontées à de graves complications et risquent aussi de transmettre leurs maladies à d’autres. Cette situation problématique affecte sérieusement la santé publique », indique l’hôpital dans le journal Enet..
La clinique a accusé le ministère grec de la Santé de s’être engagé dans une « politique irresponsable et stupéfiante » responsable de ruptures de stocks des traitements d’urgence aux patients atteints de maladies contagieuses graves, comme l’hépatite.
Il y a un mois, la clinique a envoyé une lettre au ministère de la Santé et au secrétariat général du gouvernement pour les alerter quant à la situation critique des huit patients. Elle attend toujours une réponse des autorités.
« De nouveau, nous demandons au ministère de la Santé de prendre les mesures qui devraient s’imposer, et publiquement cette fois-ci. Ces personnes doivent immédiatement recevoir une attention médicale redoublée et le ministère devrait s’engager à ce que le système de santé publique couvre d’autres cas semblables.Si ce n’est pas le cas, notre société court un grave danger.
L’attitude du ministère montre non seulement qu’il est dénué d’empathie, mais elle révèle également une politique irresponsable et stupéfiante. On ne peut ignorer les patients atteints de maladies graves et contagieuses », a déclaré l’hôpital.
L’hôpital d’Elliniko, fondé en décembre 2011, a accueilli des milliers de patients qui se sont vus refuser l’accès à des soins de santé publique gratuit dans d’autres établissements, par exemple, des chômeurs de longue durée et des personnes démunies. L’hôpital refuse les dons en espèce et le soutien d’entreprises, mais accepte cependant des dons de médicaments.
Le mois dernier, le gouvernement grec et la troïka ont fait l’objet de critiques, car ils niaient l’ampleur des conséquences engendrées par les coupes sans précédent opérées dans les budgets en matière de santé.
Selon un rapport publié par The Lancet, des professeurs de l’université d’Oxford, de Cambridge et de la London School of Hygiene and Tropical Medicine ont indiqué que le gouvernement grec se fourvoyait quand il a déclaré que la réduction des dépenses publiques n’avaient aucun impact négatif sur la santé publique.
-
OGM et pesticides : le professeur Séralini contre-attaque
-
L'euthanasie "non volontaire"
L'euthanasie non volontaire est un traitement médical acceptable, selon un récent communiqué de la Société belge de médecine intensive. Bien que, dans certaines circonstances, l'euthanasie volontaire soit légale en Belgique, l'euthanasie non volontaire est fondamentalement illégale. Mais la société veut être en mesure d'euthanasier les patients qui ne semblent pas avoir longtemps à vivre.
La Société définit sa politique très soigneusement. Il ne s'agit pas de zones grises, comme le retrait du traitement onéreux ou futile ou l'arbitrage du soulagement de la douleur face à l’abrègement de la vie du patient. Elle affirme clairement que
«raccourcir le processus de mort par l'administration de sédatifs au-delà ce qui est nécessaire pour le confort du patient peut être non seulement acceptable, mais dans de nombreux cas souhaitable".
"Raccourcir le processus du mourir" est un euphémisme pour l'administration d'une injection létale.
Réponse d'un médecin :
"Je suis profondément choqué et révolté par la prise de position der la Société Belge de Médecine-de-Soins-Intensifs, qui veut que ses membres s'arrogent le droit de tuer.
Il ne s'agit pas d'arrêter des soins qui seraient déraisonnables ou relèveraient de l'« acharnement thérapeutique », il ne s'agit pas de débrancher des appareils maintenant artificiellement en vie un patient qui sans cela serait mort, il ne s'agit pas d'arbitrer entre soulagement de la douleur et l'abrègement de la vie, il s'agit purement et simplement de faire une injection létale « pour le bien du malade », adultes, enfants, et bébés.
Il s'agit de faire cette injection létale sans aucun accord du patient, ni de sa famille, ni de ses proches, sur décision unilatérale du médecin agissant « en conscience » lorsque lui seul juge souverainement qu'une vie « ne vaut plus la peine d'être vécue » !
Il s'agit même de faire cette injection mortelle contre l'accord du patient « les directives anticipées sont pires qu'inutiles ». Que ces directives puissent être un (bien faible) obstacle à la toute puissance médicale ne fait pas de doute. Les argumentations sont particulièrement foireuses, et relevant de l'enfumage idéologique. Les techniques et méthodes existent pour soulager toute douleur, fut-ce au prix d'un obscurcissement de la conscience et éventuellement d'un raccourcissement secondaire de la vie, accepté mais non recherché.
Les ressources médicales sont toujours limitées. Si dans une unité de réanimation et soins intensif il y a toujours lieu pour le médecin de choisir le patient qui a le plus de chance de s'en sortir au mieux, faut-il pour cela « exécuter » la personne transférée au lieu de lui permettre de mourir « naturellement ». Le cas échéant se trouvant dans une situation où il n'est plus à même de s'exprimer, un patient a-t-il le droit de dire auparavant, qu'il ne veut pas être,abruti de stupéfiants, neuroleptiques et calmants en tout genre. Et si un patient n'a rien exprimé ou ne peut plus rien exprimer, pourquoi ne pas tenir compte de l'avis de la famille, de l'entourage, d'une personne de confiance, si ce n'est parce que cela risque d'être un frein à la toute puissance du médecin. L'éthique médicale est de soigner si possible, soulager toujours, tuer jamais. Ce n'est pas le rôle d'un médecin, mais celui d'un bourreau ou d'un exécuteur de donner la mort. Dans les pays où existent encore des exécutions capitales, ce n'est jamais un médecin qui tue sur ordre mais un exécutant qui exécute l'exécuté.
Certes les avortement, les euthanasies, les infanticides et parricides existaient avant toute dépénalisation et existeront toujours. Mais au nom du principe de réalité et du confort moral des transgresseurs faut-il considérer que tout est acceptable ? Faut-il parce que le vol existe et qu'il est difficile de le contrôler le déclarer acceptable ? Ce qui est inacceptable c'est le relativisme moral d'une partie de la société occidentale, ou le profit justifie tout."
-
Elle est revenue du coma et témoigne
Angèle Lieby est une survivante : les médecins la croyaient dans le coma, ses proches avaient perdu espoir. En réalité, elle était atteinte d'un syndrome rarissime : elle était inerte, le corps entier paralysé, mais consciente. Elle raconte cette incroyable expérience dans son livre « Une larme m'a sauvée ». Un cri d'alarme pour rappeler que ceux plongés dans un coma sont, avant tout, encore vivants.
En replay sur Arte jusqu'à mardi 22 avril, Angèle Lieby, qui publie "Une larme m'a sauvée", raconte comment sa fille s'est opposée au débranchement que le conjoint avait accepté.
« Par mon histoire, je souhaite devenir la porte-parole des non-communicants. Je serais la plus heureuse si, désormais, l'on regardait ces « gisants-vivants » différemment. »
Une leçon d'humilité pour la médecine.
-
Bientôt plus que des médecins retraités ?
La médecine générale est une des dernières spécialités choisies par les jeunes médecins (qui préfèrent exercer dans des spécialités plus rémunératrices).
L’AFP nous apprend que le conseil général du Loiret fait appel aux médecins retraités afin de pourvoir aux postes vacants dans le département.
Le problème n’est, hélas, pas nouveau. Déjà le 9 août 2012, le quotidien Sud-Ouest rapportait que la Caisse primaire d’assurance maladie de la Dordogne effectuait la tournée des marchés des villes touristiques du département, pour y rencontrer les professionnels de santé en vacances et les inciter à venir s’installer en Périgord, ce qui illustre bien l’inquiétude des instances sanitaires.
Car maintenant, à la diminution globale de leur nombre s’ajoute une baisse de la motivation chez les jeunes diplômés pour exercer la médecine générale. On assiste ainsi à l’apparition, sur la carte, de zones où la présence médicale disparaît, sans que pour autant ne change l’environnement, créant de véritables friches médicales. Au problème de la répartition territoriale s’ajoute aussi celui de la pénurie.
-
La situation financièrement DRAMATIQUE des hôpitaux français
Voilà les effets du désengagement de l’État dans le domaine de la santé ! Un beau scandale ! On comprend mieux la baisse de qualité des soins et la rogne du personnel hospitalier.. Il n’y a plus de sous ! Par contre, les banques…..
Comment les hôpitaux sont aussi touchés par les « emprunts toxiques »
30 milliards d’euros
La Cour des comptes a rendu public, vendredi 11 avril, un rapport sur la dette des établissements publics de santé (EPS), alertant sur le triplement en dix ans de cette dette, qui atteignait près de 30 milliards d’euros, dont 20 % d’emprunts « sensibles » Dexia, à la fin de 2012. Une responsabilité partagée, selon la Rue Cambon :
« D’une part, les pouvoirs publics ont privilégié le levier de la dette pour financer un plus grand nombre d’opérations, sans instaurer de procédures rigoureuses de choix des investissements, tout en allégeant leurs contrôles.
D’autre part, les gestionnaires hospitaliers n’ont pas suffisamment inscrit leurs investissements dans une logique d’efficience et ont fait preuve d’une vision trop optimiste de l’évolution de leurs recettes dans le cadre de la tarification à l’activité. »
Lire notre décryptage : Tout comprendre des emprunts toxiques en 10 questions
http://lesmoutonsenrages.fr/2014/04/12/la-situation-financierement-dramatique-des-hopitaux-francais/
-
Un patient échappe de peu à l’euthanasie et au prélèvement d’organes, avant de récupérer
« L’histoire nous provient de Göteborg, en Suède. Un homme de 43 ans a porté plainte contre l’hôpital dans lequel il était soigné après avoir entendu une conversation entre les médecins et sa petite amie sur… le prélèvement de ses organes. Annoncé en état de mort de cérébrale par les chirurgiens, Jimi Fritze était encore conscient, malgré sa paralysie totale. Horrifié par ce qu’il venait d’entendre, il n’a pas été en mesure de protester.
Il y a deux ans, Jimi a été victime d’une apoplexie (ndlr. suspension brutale plus ou moins complète de fonctions vitales d’un organisme) lors de vacances sur une île près de Göteborg. Arrivé sur place en urgence, l’hélicoptère médical n’a pas pu atterrir directement en raison du vent puissant qui soufflait à ce moment-là: du temps très précieux perdu qui lui a peut-être été fatal. C’est seulement après une heure et demie qu’il a pu être emmené à l’hôpital… par bateau. Sur place, le diagnostic a été sans appel: paralysie totale.
« Les médecins ont examiné le scanner du cerveau et ont expliqué à ma copine qu’il n’y avait plus beaucoup d’espoir et qu’il ne me restait pas beaucoup de temps à vivre », relate le quadragénaire, choqué. « Ma compagne pleurait tout le temps mais je n’étais pas en état de parler ou de bouger. Je ne pouvais qu’entendre », prolonge-t-il.
Après avoir brièvement perdu conscience, l’homme s’est « réveillé ». C’est à ce moment-là qu’il a été témoin d’une conversation morbide. » Ils parlaient de donations, ils voulaient effectuer des tests sur mon foie et mes reins en vue d’un don à d’autres patients ». Toujours impossible à ce moment-là pour Jimi d’esquisser la moindre réaction. « J’avais très peur de subir une mort terrifiante. Je craignais qu’ils m’incinèrent. Je me demandais si j’allais voir et sentir les flammes », témoigne le Suédois dans The Telegraph.
Jimi en est convaincu, il ne serait plus là aujourd’hui si un autre chirurgien plus expérimenté n’était pas revenu de vacances pour s’occuper de lui. Après avoir à nouveau analysé le scan, ce médecin a directement réalisé qu’il y avait encore de l’espoir et qu’il avait toujours une chance de s’en sortir. L’administration de nouveaux médicaments a permis de faire diminuer ses lésions au cerveau. Quelques jours plus tard, Jimi était capable de communiquer avec sa famille à l’aide de hochements de la tête.
A l’issue d’une revalidation de deux ans, il est à nouveau en mesure de parler et de bouger, même s’il reste cloué dans une chaise roulante. La semaine dernière, il a introduit une plainte contre l’établissement « Sahlgrenska » dans l’espoir que d’autres patients ne soient pas victimes de la même mésaventure. En théorie, les médecins ne peuvent évoquer le don d’organes que lorsque le patient a été déclaré officiellement en état de mort cérébrale. Ce n’était pas le cas de Jimi. L’hôpital a pris la plainte très au sérieux et effectuera une enquête interne. »
Vu sur metatv