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santé et médecine - Page 364

  • SOS Tout-Petits face au Grand Orient de France

    C’est sous la surveillance vigilante de six camions de police[1]que quarante personnes environ se sont réunies à l’initiative de l’Association SOS Tout-Petits ce vendredi 16 mai 2014 à Paris. Ce rassemblement de prières, destiné à éveiller les consciences sur la nature de l’avortement, s’est déroulé au croisement de la rue La Fayette et Cadet, à quelques pas du siège du Grand Orient de France ; « l’avortement est un vieux rêve maçonnique», explique le Docteur Dor, président de l’Association, soulignant que les origines de la législation en faveur de l’IVG[2] émanent de la volonté des représentants francs-maçons. La réaction du Grand Maître Daniel Keller le 20 janvier 2014 face à la remise en cause du droit à l’IVG en Espagne semble confirmer cette posture: « les restrictions souhaitées par le législateur espagnol relatives au droit des femmes à procéder à une IVG [constituent] une atteinte particulièrement grave à la dignité des femmes et à leur liberté »[3].

    Depuis 1986, cette association milite en faveur de l’enfant à naître ; à treize reprises, elle s’est manifestée à proximité du Grand Orient[4] desos tout petit sorte à souligner la proximité de cette structure avec ces lois dites « sociétales ». Prier dans la rue est pour elle une nécessité et consiste à intercéder en faveur de la vie. Leur position a été sévèrement réprimée par la Justice, qui y perçoit une entrave physique (la prière peut-elle véritablement soulever cette perspective ?), jusqu’à ce que Martine Aubry étende ce postulat à l’entrave morale.

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  • La médecine de ville ravagée, c’est la faute à Juppé de la note

    On oublie vite… Alain Juppé, parait-il, est désormais très apprécié et présidentiable Or il est le grand responsable de la situation catastrophique dans laquelle est actuellement la médecine de ville.

    On oublie la Loi Juppé du 15 novembre 1995. Rappelons que l’intéressé était à cette époque premier ministre de Chirac. Cette loi très intelligente, concoctée par des fonctionnaires qui n’avaient pas rencontré un malade de toute leur vie, a eu un effet absolument ravageur. Vous allez comprendre pourquoi il vous faut huit mois pour obtenir un rendez-vous chez l’ophtalmologiste et un an chez l’allergologue. Pourquoi il n’y a plus de médecins en campagne et qu’il faut prendre sa voiture et faire des dizaines de kilomètres pour être soigné.

    Le point de départ idéologique de technocrates irresponsables était le suivant. Il fallait faire des économies dans le cadre du déficit de la Sécurité Sociale. Alors que l’hospitalisation publique représente à elle seule plus de 30 % de ces dépenses, on a rendu la médecine responsable des déficits. Trop de dépenses trop de médecins

    Cette réforme avait deux axes. Le premier avait instauré un numerus clausus des entrées en faculté de médecine pour limiter le nombre de médecins. Le calcul est vite fait. Les années d’études en médecine durent dix ans en moyenne. Dix ans après la loi Juppé commence la pénurie.

    Le deuxième axe était le suivant : le Mouvement d’incitation à la cessation d’activité appelé aussi MICA. Tout simplement il était demandé aux médecins de plus de 58 ans de partir en retraite alors que celle-ci est prévue à 65 ans. Ils partent alors selon les tranches d’années dans des conditions de moins en moins favorables. Quoiqu’il en soit 10660 (sur 80.000 en exercice) quitteront la profession. Partent en priorité les spécialités difficiles : anesthésistes, chirurgiens, obstétriciens, ophtalmologistes (déjà surchargés), médecins de campagne. La pénurie s’installe alors très progressivement et profonde.

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  • Discrimination des médecins pro-vie en Grande-Bretagne

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Le Royal College of Obstetricians and Gynecologists vient d'interdire de qualification les médecins et infirmières qui refuseraient de prescrire ou d'administrer des contraceptifs chimiques à leurs patients. Y compris la pilule dite du lendemain, qui est un abortif.

    La clause de conscience est supprimée, et les étudiants qui sont en train de terminer leur cursus ne le termineront pas s’ils ne prennent pas l’engagement de prescrire « toute forme de contraception hormonale, y compris dans l’urgence ».

    Michel Janva

  • Trisomie : vieux démons, nouveaux espoirs

    On rencontre de moins en moins de trisomiques dans les rues, et pour cause : 96 % des fœtus diagnostiqués trisomiques sont avortés, le dépistage devant obligatoirement être proposé depuis 2009 et pouvant passer par un test sanguin depuis avril 2013.

    Comme le fait remarquer la sociologue Bénédicte Champenois-Rousseau, « la liaison implicite entre la détection d'une anomalie fœtale grave et l'interruption de grossesse est tellement automatique que, récemment, les organes de presse n 'ont pas hésité à reprendre sans sourciller, à propos de la grossesse d'une star française de la natation [ndlr: Laure Manaudou], qu 'elle avait été "contrainte d'avorter" suite à un diagnostic prénatal. » Par un raffinement légal dont on appréciera la monstruosité, la France considère qu'avorter d'un enfant atteint de trisomie 21 est thérapeutique, autrement dit peut être pratiqué à tout moment de la grossesse.

    Pourquoi eux ?

    La France a donc fait le choix d'investir lourdement dans le dépistage et l'élimination des déviants (une conception sur 700) plutôt que dans la recherche permettant de les soigner... C'est surprenant ou non selon qu'on considère la logique de ses choix éthiques publics ou ce que réclamerait un vrai respect de la vie humaine. Disons simplement qu'en matière d'élimination radicale, il y eut d'illustres devanciers : Hitler et son programme Aktion T4 - qui n'aboutit pas grâce à un évêque allemand Mgr von Galen -, l'icône féministe darwinienne, eugéniste et raciste Clémence Royer ou le Nobel franc-maçon, eugéniste et raciste Charles Richer (« Le premier pas dans la voie de la sélection, c'est l'élimination des anormaux. [...] C'est une barbarie que de forcer à vivre un sourd-muet, un idiot ou un rachitique. »). La compagnie est flatteuse.

    Et pourtant, les trisomiques 21 sont de moins en moins un poids pour la société et leurs familles. Souvent atteints de pathologies multiples, leur espérance de vie a néanmoins triplé en 50 ans et ils ont conquis une relative autonomie, comme Éléonore, trisomique de 28 ans, qui vit seule et travaille à l'hôpital d'Arras. Sans idéaliser la naissance d'un enfant trisomique, on peut remarquer que leurs capacités relationnelles sont exceptionnelles. Ils sont porteurs d'une joie de vivre incroyable - pourvu que la société ne leur fasse pas lourdement sentir leur qualité « d'inadapté », en ce siècle avide de formatage.

    L'association Le Collectif des amis d'Eléo-nore a donné la parole aux trisomiques 21, ce qui n'est que logique et juste à une heure où la parole de chacun est censée être entendue, surtout celles des minorités opprimées. Tous les trisomiques interrogés se déclarent heureux, le plus souvent quand ils sont en groupe (famille, amis), et déclarent que la véritable urgence est que « les gens nous aiment comme nous sommes ». N'est-ce pas la revendication la plus communément partagée? Et même élevée au rang d'impératif moral, de dogme social ?

    Jusqu'au-boutistes...

    Au nom de quoi ces enfants devraient-ils être exclus de la société et même de l'humanité, comme y tend l'eugénisme d'Etat actuellement à l'œuvre ? Car il y a bien eugénisme quand on favorise le diagnostic aux dépens de la recherche; quand les médecins conseillent l'avortement, orientent les choix - et jugent et condamnent ceux qui choisissent la vie ; quand le discours officiel est de mettre en avant le coût social de l'handicapé mental, de même que l'euthanasie est de plus en plus justifiée par une argumentation économique qui suppose que la seule utilité sociale humaine est celle du producteur-consommateur; quand les députés eux-mêmes s'émeuvent que l'avortement ne soit pas plus efficace !

    Le PS Olivier Dussopt, le 25 janvier 2011,déclarait : « Quand j'entends que "malheureusement" 96 % des grossesses pour lesquelles latrisomie 21 est repérée se terminent par une interruption de grossesse, la vraie question que jeme pose c'est pourquoi il en reste 4 %. » EnFrance, en 2014, ce sont les anti-eugénistes,comme la Fondation Jérôme Lejeune, qui assument la Recherche et portent le poids des soupçons. Il y a peu de chances que les chercheursqu'elle soutient reçoivent le Nobel.

    Hubert Champrun monde & vie 9 avril 2014

  • Nouveau fonds européen pour financer les besoins de santé des migrants malades

    Trois milliards d'euros pour soigner des migrants en bonne santé, cherchez l'erreur...   

    La Commission européenne vient de s’assigner une tâche d’envergure : dépister les problèmes de santé des migrants et des réfugiés entrant dans l’Union européenne afin de « protéger la santé de nos propres citoyens », a annoncé, mardi, le commissaire européen Tonio Borg. Nous en sommes fort aises.

    Et pour mener à bien cette opération, un nouveau fonds européen de 3 milliards d’euros a été créé, non seulement dans le but de financer les besoins de santé des migrants malades, mais également, dit le commissaire, pour la construction d’infrastructures, sans plus de précisions sur le sujet.

    Est-il utile de rappeler que, depuis sa création en 2000, l’Aide médicale d’État (AME) ne cesse de croître en France pour atteindre 700 millions d’euros en 2012 et 818 millions pour les trois premiers trimestres de 2013 ? Michèle Delaunay avait annoncé une augmentation de presque 3 % pour 2014 en raison d’un nombre de bénéficiaires en constante augmentation.

    L’État grec – qui, depuis 2010, a baissé de 25 à 40 % le salaire de certaines catégories de ses fonctionnaires (juges, universitaires, policiers et pompiers) – a dépensé, en 2013, 20 millions d’euros à cet effet car les réfugiés doivent être traités comme les ressortissants de l’Union européenne, affirme le ministre de la Santé Adonis Georgiadis.

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  • Suppression de la page Wikipedia sur Eleonore Laloux ?

    Si vous avez un avis sur la question et un compte Wikipédia, connectez-vous et donnez votre avis : cette page est soumise à suppression à compter du 30 avril si un consensus clair ne s'est pas dégagé en sa faveur.
     

    Éléonore Laloux est une jeune femme atteinte de trisomie 21. Depuis son plus jeune âge, son parcours en milieu ordinaire est un modèle d'intégration. Porte-parole du Collectif les Amis d'Éléonore, elle défend la cause des personnes porteuses de trisomie 21 et lutte contre la stigmatisation de sa maladie. Elle est auteur d'un livre Triso et alors ! publié chez Max Milo Editions en 2014.

    Michel Janva

  • Josie Cunningham renonce à avorter grâce aux coups de pied ressentis dans son ventre !


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    Josie Cunningham, la vedette de téléréalité britannique qui allait avorter pour participer à une série d’émissions télévisées, a changé d’avis après avoir ressenti les coups de pied de son enfant dans son ventre.

    « Je pensais vraiment que j’en serais capable, mais je n’ai pas pu. J’ai senti le bébé bouger pour la première fois 24 heures avant et je ne pouvais plus m’ôter cette sensation de la tête  » a dit en pleurs Josie Cunningham qui voulait avorter pour participer à l’ émission de télévision Big Brother et qui est enceinte de 18 semaines. Le journal Sunday Mirror a publié une interview vidéo avec le modèle après changement d’opinion.

    Josie Cunningham explique qu’elle se dirigeait vers le centre d’avortement lorsque les doutes l’ont assaillie après qu’elle ait senti son bébé bouger pour la première fois.

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  • MONSANTO CONTRE LES PEUPLES Un peu de clarté dans le marécage

    On se souviendra de la sentence d’Henry Kissinger : « Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations, contrôlez la nourriture et vous contrôlerez le peuple, contrôlez la monnaie et vous contrôlerez le monde. ». En contrôlant la nourriture, Monsanto veut contrôler les peuples. Le Chili comme le Mexique s’y sont opposés. Certes, quelques hirondelles ne font pas le printemps, mais une résistance commence à germer en Amérique Latine.

    Monsanto, bloqué au Chili 

    Le gouvernement chilien a l’habitude de s’aligner sur les Etats-Unis. Derrière le coup d’Etat de Pinochet, la trahison de l’Argentine dans son conflit avec la Grande Bretagne pour les îles malouines, et l’Alliance du Pacifique, on trouve toujours la tour noire étatsunienne. La Présidente Bachelet vient cependant, sur Monsanto, de changer d’attitude (1). Le 17 mars de cette année, le gouvernement chilien a annoncé le retrait du projet connu sous la dénomination de « loi Monsanto » sur la privatisation des semences paysannes et la non adhésion à la Convention UPOV 91 sur la protection de l’obtention des végétaux.

    Ce projet de loi avait été déposé au parlement en 2009 par la présidente elle-même au cours de sa précédente administration. Le mouvement Via Campesina (2) qui a éveillé la population aux dangers des OGM a permis à de nombreux hommes politiques de comprendre enfin les méfaits du pillage de la nature et le « racket » des populations à partir de droits de reproduction forgés de toutes pièces, sans aucune légitimité.

    Au Mexique, Monsanto veut liquider le juge qui lui déplaît 

    La multinationale Monsanto, veut détruire les catégories de maïs qui poussent au Mexique, en répandant ses OGM stérilisateurs partout, de sorte qu’entre le hasard et la malveillance, tous les types de maïs soient finalement pollués, ce qui serait le pactole pour l’entreprise. Action Collective, composée de savants et de paysans, a obtenu que Monsanto ne puisse continuer la culture des grains génétiquement modifiés. La décision des juges est honorable et juste: il y a un « risque de préjudices importants pour l’environnement ». 

    La réaction des « monsantistes » a été de mettre en cause le juge (3). On reconnaît là une des méthodes d’un pouvoir totalitaire. Si un magistrat est indocile, on le le salit et on le remplace. C’est la situation que vient de connaître Mexico, où le juge Zaleta qui a confirmé l’interdiction des produits stérilisants Monsanto, est agressé par la firme qui a demandé, avec son impudence habituelle, de démettre le juge. Il se vérifie une fois de plus que l’investissement dans l’homme est ce qu’il y a de plus noble. le juge Jaime Manuel Marroquin Zaleta est un héros des temps modernes.

    Au Vénézuela, le peuple vit mieux

    Dernier exemple de rayon de soleil, le cas du Vénézuela ou l’influence de Monsanto fonctionne encore à plein rendement. Le Président Madero se flatte que, maintenant, 64% de la richesse produite soit distribuée au peuple. Il estime que depuis 1999, l’oligarchie alors en place n’a pu volé des sommes qui se chiffrent en billions et qui sont aujourd’hui distribuées au peuple Vénézuélien.

    La finance mondialiste ne supporte plus que des pays réussissent leur développement en suivant une autre voie que la sienne. Pour cela aussi, la Russie est attaquée, et demain viendra le tour de la Chine si elle continue à progresser. L’Europe couchée est par contre applaudie. L’empire de la servitude est en même temps l’empire du néant. Là où passe ce pouvoir totalitaire, la stérilité s’installe…

    Auran Derien

    Source :http://metamag.fr/metamag-1996-MONSANTO-CONTRE-LES-PEUPLES.html

    (1) http://www.brujitafr.fr/article-le-chili-torpille-la-loi-monsanto-grace-aux-activistes-indigenes-et-associations-paysannes-locales-123311057.html

    (2) http://viacampesina.org/fr/

    (3) http://www.shiftfrequency.com/christina-sarich-monsanto-demands-removal-of-mexican-judge-over-gm-maize-ban/

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFAlyyZVpyIlNVYfYR.shtml

  • Grèce : Les malades non assurés ne sont plus pris en charge

    Le gouvernement grec n’a pas fourni de traitements aux patients atteints d’hépatite, ce qui met en péril la santé publique nationale. Huit patients non assurés atteints de l’hépatite B et C risquent de voir leur état se dégrader fortement, car ils ne peuvent plus se permettre d’acheter leurs médicaments, met en garde l’hôpital communautaire à Elliniko en Grèce.

    « Malheureusement, notre hôpital ne peut plus fournir sans interruption à ces patients les traitements extrêmement coûteux dont ils ont besoin. Ces personnes sont donc confrontées à de graves complications et risquent aussi de transmettre leurs maladies à d’autres. Cette situation problématique affecte sérieusement la santé publique », indique l’hôpital dans le journal Enet..

    La clinique a accusé le ministère grec de la Santé de s’être engagé dans une « politique irresponsable et stupéfiante » responsable de ruptures de stocks des traitements d’urgence aux patients atteints de maladies contagieuses graves, comme l’hépatite.

    Il y a un mois, la clinique a envoyé une lettre au ministère de la Santé et au secrétariat général du gouvernement pour les alerter quant à la situation critique des huit patients. Elle attend toujours une réponse des autorités.

    « De nouveau, nous demandons au ministère de la Santé de prendre les mesures qui devraient s’imposer, et publiquement cette fois-ci. Ces personnes doivent immédiatement recevoir une attention médicale redoublée et le ministère devrait s’engager à ce que le système de santé publique couvre d’autres cas semblables.Si ce n’est pas le cas, notre société court un grave danger.

    L’attitude du ministère montre non seulement qu’il est dénué d’empathie, mais elle révèle également une politique irresponsable et stupéfiante. On ne peut ignorer les patients atteints de maladies graves et contagieuses », a déclaré l’hôpital.

    L’hôpital d’Elliniko, fondé en décembre 2011, a accueilli des milliers de patients qui se sont vus refuser l’accès à des soins de santé publique gratuit dans d’autres établissements, par exemple, des chômeurs de longue durée et des personnes démunies. L’hôpital refuse les dons en espèce et le soutien d’entreprises, mais accepte cependant des dons de médicaments.

    Le mois dernier, le gouvernement grec et la troïka ont fait l’objet de critiques, car ils niaient l’ampleur des conséquences engendrées par les coupes sans précédent opérées dans les budgets en matière de santé.

    Selon un rapport publié par The Lancet, des professeurs de l’université d’Oxford, de Cambridge et de la London School of Hygiene and Tropical Medicine ont indiqué que le gouvernement grec se fourvoyait quand il a déclaré que la réduction des dépenses publiques n’avaient aucun impact négatif sur la santé publique.

    EuroActiv

    http://fortune.fdesouche.com/337095-grece-les-malades-non-assures-ne-sont-plus-pris-en-charge#more-337095