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santé et médecine - Page 361

  • Les agences de mères porteuses utilisent la circulaire Taubira pour 'louer des ventres'

    Ce site de location d'utérus pour conception d'enfants donne toutes les indications pour violer la loi française et écrit notamment :

    "Nos mères porteuses accouchent toutes à la maternité d'État. Après elles font le document-déclaration chez le notaire (elles refusent ses droits parentaux en honneur des parents biologiques légitimes, selon l’article 123 du Code de famille), (au-dessus vous trouverez la formule en Français). Puis, l’état civil ukrainien prend leur certificat de maternité, (Extrait de la maison de naissance), aussi que la déclaration-renonciation chez le notaire, plus vos passeports et votre acte de mariage apostillé, pour finalement délivrer aux parents l’acte de naissance. Donc la mère porteuse ne figure plus en acte, seulement les parents de l’enfant. Voila comment l’enfant se déclare à votre nom."

    "Puis on vous traduit l’acte de naissance en francais, et on fait l apostille aupres de Ministere des affaires etrangérès à Kiev. Puis vous fixez le rendez-vous a l’ambassade de France a Kiev, et vous y reclamez un laisser-passer pour l enfant. Actuellement, vu l apparition du circulaire de Taubira, l’ambassade donne ce document vite (2-3 semaines maximum entre la date d’accouchement, et votre retour en France).Attention, le laisser-passer est un document qui vous permettra de rentrer légalement en France avec votre bebe, c’est a dire passer la frontiere. Ce n’est pas un document qui vous donne le droit de nationalité francaise. Au cas de necessite, on present les documents supplementaires a l’ambassade, au cas s ils le demanderont."

    Michel Janva

  • Cancer des enfants : de bons résultats qui gênent la "mafia pédiatrique"

    Dans l'affaire de l'hôpital de Garches, le docteur Nicole Delépine dénonce à la fois la "mafia pédiatrique", qui conteste ses méthodes (alors qu'elle n'a pratiqué aucune amputation en 30 ans pour le cancer des os, et son taux de guérison avoisine les 90%) et l'hypocrisie de l'Etat :

    "L’arrêt Mercier (1936) qu’elle cite à plusieurs reprises revient comme fil rouge du combat qu’elle mène depuis trente ans. « Le médecin ne s’engage pas à guérir mais à donner des soins. Des soins non pas quelconques, mais consciencieux, attentifs et conformes aux données de la science. »

    Mais cette éthique revendiquée semble déranger l’administration et d’autres médecins. « Le jour où l’on a dit qu’on sortait des essais thérapeutiques de l’EORTC (European Organisation for Research and Treatment of Cancer) pour appliquer d’autres méthodes publiées et certifiées, on est devenu des vilains petits canards, regrette-t-elle. Pourtant, on est l’un des rares services à n’avoir jamais eu de plaintes de patients en trente ans. » Une réputation sulfureuse qui s’étend au-delà des frontières de l’hôpital de Garches. Parfois les parents doivent braver des obstacles pour placer leurs enfants dans son service. « Quand j’ai prononcé le nom du Dr Delépine, on m’a dit que j’emmenais mon enfant dans le couloir de la mort et que j’étais un parent irresponsable », explique Sabrina, la mère de Llya, en rémission depuis un an et demi. Une autre mère d’ajouter : « Le médecin qui traitait ma fille m’a expliqué que Nicole Délepine était un charlatan qui ne soignait pas jusqu’au bout. Lorsque j’ai quand même quitté l’hôpital de Nantes, le juge aux affaires familiales m’a convoquée pour "mise en danger de la vie de ma fille". En fait, alors que je luttais pour sa santé, la plus grosse bataille a été contre l’administration », explique la mère d’Orlane, atteinte d’un cancer de la vessie, en rémission depuis 2007, sans avoir subi d’ablation de ses organes.

    [...] Cela fait donc trente ans que ses méthodes dérangent. Initialement à l’hôpital Hérold dans le XIXe arrondissement de Paris, le service a été menacé de fermeture en 1998, lors du départ du chef de service de l’époque, le Dr Desbois. Après trois déménagements, plusieurs manifestations et différentes révoltes des parents, l’histoire se répète. Aujourd’hui le service est à nouveau menacé de fermeture.

    « J’ai appris dans la presse la fermeture du service en raison de mon départ à la retraite. Mais je ne veux pas partir. Je préfèrerais claquer sur le terrain », s’amuse-t-elle. Même si elle partait, d’autres médecins pourraient reprendre le service. « L’administration oppose le fait qu’il n’y ait pas de médecins ici ; c’est du baratin absolu, s’insurge-t-elle. Ceux qui ont demandé leur mutation dans mon service n’ont pas été entendus », à l’instar d’Eléonore Djikeussi. Ce qui excède le docteur, c’est l’hypocrisie du procédé. D’un côté, on la félicite pour ses résultats, de l’autre on l’asphyxie en lui interdisant de recruter, ou en enlevant des lits, passés de 60 en 1986 à 10 aujourd'hui. [...]

    Les parents, eux, sont nombreux à louer l’efficacité de la méthode. Mais aussi la disponibilité du médecin et de ceux dont elle a su s’entourer ainsi que la chaleur et l’humanité qui règne dans le service. Ils sont 22 000 à avoir signé une pétition pour assurer sa survie. L’association Ametist s’est créée pour revendiquer les bienfaits des méthodes de Nicole Delépine. Une plainte contre X a été déposée par cette association de parents au tribunal de Nanterre pour « délaissement » d’enfants. Dimanche, certains d’entre eux étaient cloîtrés depuis plus d'une semaine dans la chapelle de l’hôpital, en grève de la faim, pour que le service reste ouvert et que le combat de Nicole Delépine soit entendu. [...]"

    Michel Janva

  • Appareil génital féminin à louer : prostitution ou altruisme ?

    La jouissance de la partie basse (vagin) s’appellerait prostitution, et celui de la partie haute (utérus et ovaires) de l’altruisme rémunéré ! Tweeter 

    Le site d’informations médicales « Egora.fr » nous apprenait, fin juin, que des hôpitaux belges lançaient un site Internet, où les donneurs de sperme et d’ovocytes pourraient laisser des messages anonymes aux enfants issus de leurs gamètes, afin d’améliorer leur image de marque, et ainsi lutter contre la pénurie des dons.

    L’initiateur du site, lui-même issu d’un don de sperme d’après cet article, justifie son action par le fait qu’au Danemark et en Espagne, où la publicité est autorisée, il n’y a pas de manque de donneurs. Il oublie de préciser qu’en Espagne, (40% des dons d’ovules de l’union européenne), la « donation » est rémunérée, et les jeunes femmes qui participent à ce marché, de manière épisodique ou régulière, le font pour améliorer leurs fins de mois, comme l’affirme un article paru dans la presse espagnole en mai 2013 (MIA n° 1389)

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  • Garches : les grévistes accueillis à l'école Ste Geneviève

    Suite à l'expulsion des grévistes de la faim de l'hôpital de GarchesLe Parisiennous informe que les parents ont finalement quitté Garches en fin d'après-midi pour Le Port-Marly. Laurence Godfrin, porte-parole des familles, annonce :

    «Grâce au père Bruno, les familles ont trouvé refuge dans l'école privée Sainte-Geneviève, au 15, rue Jacques-II». «Les parents vont y passer la nuit et continuent leur grève de la faim. Et les lieux sont ouverts au public».

    La mobilisation se poursuit pour le maintien du service du Dr Delépine.

    Vidéo prise hier par le SB :


    Garches par Le_Salon_Beige 

    Michel Janva

  • Les Moissons du Futur (Rediff)

    Après Le Monde selon Monsanto et Notre poison quotidien, voici le troisième numéro de la trilogie de Marie-Monique Robin. Les Moissons du Futur est une enquête résolument optimiste sur les remèdes possibles à la crise alimentaire qui touche la planète. Une enquête menée sur quatre continents dans laquelle elle montre que l’agroécologie peut nourrir le monde.

    (Réalisé par Marie-Monique Robin – France/Belgique 2012)

  • Bernard-Henri Lévy sous l’emprise de la drogue

    Bernard-Henri Lévy, dit BHL, maître à penser psychédélique ? Sa compagne Arielle Dombasle confirme au cours d’un entretien télévisé que le philosophe préféré des mondialistes a recours à des substances chimiques.

  • Miracle de la vie

    Relatée par Jeanne Smits :

    "Megan est une petite fille dodue de 18 semaines qui se porte à merveille. Mais l’histoire de sa venue au monde a tout du miracle. Au point que les médecins qui ont eu suivi l’aventure de sa maman, Michelle Hui ont décrété qu’elle devait être particulièrement « bénie ». Car l’enfant a survécu à une fausse couche et à la pilule abortive.

    Michelle, 31 ans, était enceinte de 6 semaines et se rendait vers la gare pour aller au travail. Soudain, elle a commencé à saigner abondamment. Paniquée, elle appelle son mari : « Je suis en train de perdre mon bébé ! » Ross Hui s’occupe des deux autres enfants du couple­, Mya, 4 ans, et Noah, 2 ans, il ne peut les laisser pour venir la chercher. Elle rentre seule, puis elle rejoint l’hôpital Rotunda de Dublin.

    Cinq échographies vont permettre aux médecins d’établir qu’elle a effectivement perdu son enfant. Pour s’assurer que son utérus est bien vide – dans le cas contraire, elle risque une grave infection – on lui prescrit deux pilules abortives et elle reste sous surveillance jusqu’au lendemain.

    Il ne s’agit pas pour autant d’un avortement volontaire. Mais bien d’un soin après une fausse couche, une mesure de précaution dans une situation où l’enfant à naître a cessé de vivre et a été expulsé.

    Michelle Hui raconte qu’elle était « dévastée ». Le lendemain soir, elle sort avec des amis. Boit une bouteille et demie de vin. « Je n’avais jamais bu autant. Je ne suis pas une buveuse. » Pour elle et pour son mari, pas de doute, même en tout début de grossesse, ce n’est pas un embryon ou un fœtus que l’on perd, mais un fils ou une fille…

    Toujours pour s’assurer que tout allait bien, les médecins ont alors demandé à Michelle de subir un test de grossesse – non parce qu’elle pouvait être toujours enceinte, mais pour vérifier s’il restait des caillots dans l’utérus. Test positif. On décide de pratiquer un curetage.

    C’est alors que se produit le miracle. Un dernier scan de contrôle permet au médecin de déceler ce qu’il ne se serait jamais attendu à voir. Incrédule, il part chercher un collègue plus expérimenté. « Vous n’allez pas le croire : il y a un battement de cœur », dit-il enfin à la maman, ivre de bonheur cette fois.  Michelle, enceinte de jumeaux, avait bien perdu l’un des enfants. Mais l’autre, inexplicablement, a survécu à tout. Et a probablement été caché, lors des échographies au moment de la fausse couche, par le sang et les caillots qui ont créé une « ombre », ont expliqué les médecins. Ils ne s’expliquent pas que le deuxième bébé n’ait pas été vu d’emblée, ni qu’il ait survécu au mifepristone… [...]"

    Michel Janva

  • Pénible avènement du compte pénibilité

    D'excellents auteurs considèrent l'homme comme impropre au travail. Ils en donnent pour preuve qu'une telle activité le fatigue. Que le gouvernement Valls ait donc fait, plus ou moins, machine arrière sur la question de la "pénibilité" n'étonnera que deux catégories de citoyens. Cela surprend d'une part ceux qui, permanents syndicaux ou journalistes, n'exercent plus, depuis longtemps ou depuis toujours, la moindre tâche physiquement astreignante.

    Mais on ne doit pas écarter la deuxième catégorie, qui croit encore au souffle d'énergie de la nouvelle combinaison ministérielle. Soulignons en effet que, coiffée par le surmâle catalan, elle n'a, malgré ses grands airs, n'a rien accompli depuis sa nomination le 31 mars. Elle demeure, quoi qu'on en pense essentiellement arrimée au char mou du successeur d'Armand Fallières, glorieux président de la Troisième république et des derniers Mérovingiens, ceux qu'on appelait les rois fainéants.

    Si l'on entend en revenir au dossier du travail dit "pénible", on doit se plonger dans l'observation du monde réel, ce qui implique de sortir tant soit peu des romans et sermons de Victor Hugo ou Jean Jaurès.

    Le monde réel c'est celui du marché libre, dont la logique économique finit toujours pour s'imposer contre toutes les utopies sociales en chambre.

    Dans l'Humanité du 12 octobre 1950, par exemple, on pouvait lire en première page un grand discours de Kim Il-sung, que le journal appelait alors "Kim Ir-sen", président du gouvernement coréen et commandant en chef de l'armée "populaire". Photographié en complet veston il déclarait de façon martiale : "combattez farouchement, malgré toutes les difficultés jusqu'à la victoire finale." En observant aujourd'hui les images de son petit-fils Kim Jong-il héritier du trône nord-coréen et dirigeant inoxydable du parti communiste, on peut se demander quand même quel rapport ces gens-là ont jamais pu entretenir avec le travail "pénible". La réponse se trouve dans les concepts fabriqués par la propagande communiste et ses prolongements littéraires misérabilistes.

    Dans les trois colonnes voisines, en effet, sur cette première page, le lecteur de "L'Huma" pouvait lire l'annonce, d'un "important rapport de Benoît Frachon au comité national de la CGT".

    Rappelons-le, à ceux qui l'ignoreraient aujourd'hui, que le secrétaire général de la Centrale syndicale siégeait à cette époque de façon clandestine au bureau politique du parti communiste. Que recommandait alors, en cet automne 1950, le syndicaliste et militant stalinien ? Certes dans le corps du texte, en page 4 sur 5 colonnes on retrouve, contre le plan Marshall mots pour mots les même arguments que l'on utilise aujourd'hui contre le projet de traité transatlantique. Mais sa première préoccupation allait à la défense de Henri Martin. Et à l'autre bout de la même première page du même quotidien, on apprenait en effet que "les travailleurs parisiens se rendront nombreux, demain soir à la Mutualité, pour attester leur solidarité avec Henri Martin… Ils exigeront que l'on mette fin sans délai à l'expédition inconstitutionnelle contre le Viêt-Nam."  Certains  se demanderont d'ailleurs si la grande salle de la Mutualité, qui ne contient de nos jours 2 500 personnes qu'avec difficulté, n'a pas quelque peu rétrécis en 60 ans, à moins que les "travailleurs parisiens", affectés n'en doutons pas à des tâches [très] pénibles, n'aient, dès cette époque répondu qu'à une définition métaphorique : dans le discours marxiste on a toujours appelé classe ouvrière l'ensemble de ceux qui témoignent d'une conscience prolétarienne, même s'ils n'ont jamais pointé à l'usine usine. Dans "Les Temps modernes", Jean-Paul Sartre, qui lui-même n'avait jamais travaillé de ses mains laissait ainsi le glorieux porteur de valise du FLN Francis Jeanson, qui n'a jamais, quant à lui, pensé qu'avec ses pieds théoriser brillamment le sujet..

    De ce point de vue donc, le concept de pénibilité, tel qu'on cherche à l'introduire en ce moment dans la nième pseudo-réforme des retraites étatisées, doit être tenue pour une simple variante de la même rhétorique.

    Concrètement sur un marché libre et contractuel du travail la rémunération spécifique des tâches les plus difficiles se résout dans le niveau plus élevé des salaires.

    Notre pensée ne doit donc pas aller aux petits bureaucrates du syndicalisme subventionnaire à la française. On citera ici plutôt l'exemple des mineurs de cuivre chiliens. Leur tâche se révèle infiniment plus pénible et dangereuse que celles jamais accomplies par les négociateurs de la conférence sociale française qui se réunira en cette fin de semaine sous la houlette de François Hollande. En contrepartie ils sont les travailleurs les mieux payés de leur pays.

    Arrêtons-nous évidemment, de peur d'être accusé de faire l'apologie d'un pays "ultralibéral". Son économie n'a-t-elle pas été redressée par les [affreux] Chicago Boys de 1975 ? Leurs réformes produisent, cependant, depuis bientôt 40 ans leurs effets positifs, au point qu'elles paraissent intangibles, pour l'essentiel, même aux yeux de la présidente actuelle [socialiste] Mme Bachelet.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/2014/07/penible-avenement-du-compte-penibilite.html

    Remarque

    Un de mes lecteurs et amis, sur Face Book, me faisant remarquer que "les mineurs chiliens sont des salariés du gouvernement, les mines lui appartenant." Je répond que certes dès 1966 la Codelco avait été rachetée à 51&bsp;% par le gouvernement (démocrate chrétien) chilien, avant Allende, pour des raisons indépendantes du prétendu "modèle social". Depuis le XIXe siècle, les revenus miniers (royalties ou bénéfices) constituent une ressource essentielle de l'État chilien. Cela ne change rien au fait que les mineurs ne sont pas considérés en fonction d'un "compte pénibilité en vue de la retraite" mais rémunérés par des salaires élevés et justifiés. Ce sont de véritables travailleurs. Ils n'ont pas été fonctionnarisés. Je citais cet exemple en pensant à l'image très forte de leur navette entre Santiago et le désert d'Atacama, qui me venait à l'esprit au fil de la plume. On pourrait en donner de bien meilleurs, ils sont innombrables dans le monde. On voudra bien excuser la superficialité de cet article de humeur. J'ajoute quand même que la très importante "Mine d'Escondida", par exemple, est privée et rapporte beaucoup d'argent à l'État chilien sous forme d'impôts.

  • Quel est l’impact des produits chimiques sur notre système hormonal ?

     

    Des aliments conditionnés dans des emballages hygiéniques, des vêtements imperméabilisés, des crèmes solaires qui protègent des coups de soleil… : tous ces objets nous facilitent la vie au quotidien. Pourtant, ils peuvent dérégler notre système hormonal. Enquête sur l’impact des produits chimiques sur notre santé.

    Xenius – Allemagne 2014

    http://fortune.fdesouche.com/

     

  • Interview de Lydia et Claude Bourguignon

    Depuis les années 40, l’agriculture intensive appauvrit les sols du monde entier. L’utilisation massive de machines et de produits chimiques détruit nos sols, la biodiversité et la santé humaine. En 1990, Lydia et Claude Bourguignon, alors membres de l’INRA, fondent le Laboratoire d’Analyses Microbiologique des Sols afin de conseiller les vignerons dans la gestion des sols de leurs vignobles.

     

    http://fortune.fdesouche.com/