Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé et médecine - Page 368

  • Complémentaire santé : pourquoi vos cotisations flambent

    De quelques centaines à plusieurs milliers d’euros selon les garanties choisies, l’âge des souscripteurs et le nombre d’assurés, le coût des complémentaires santé est en train de devenir le premier poste d’assurance de nombreux ménages.

    Selon le comparateur Assurland, le coût moyen s’élève à 650 euros par an et il n’a cessé d’augmenter ces dernières années, à un rythme bien supérieur à celui de l’inflation.

    Selon l’indice des prix de ce comparateur, les factures se sont envolées de près de 40 % durant les huit dernières années. Même si la hausse a été plus mesurée début 2014 (3,2 %, contre une inflation de 0,8 %), la note devient très sévère.

    Plusieurs phénomènes permettent d’expliquer cette dérive. Tout d’abord, les progrès médicaux qui reposent sur des techniques plus sophistiquées et donc plus onéreuses. Ajoutez-y le vieillissement de la population et les dépenses augmentent, et donc, par ricochet, les cotisations des complémentaires aussi.

    FRAIS DE FONCTIONNEMENT

    Deuxième cause : « la part de la Sécurité sociale a eu tendance à se réduire pendant plusieurs années, ce qui a conduit les assurances privées et les mutuelles à devoir rembourser plus, ce qui a mécaniquement fait monter le prix de leurs cotisations », selon Stanislas Di Vittorio, président d’Assurland.

    Troisième explication, si les contrats dits « responsables » (ils conditionnent les remboursements au respect du parcours de soin) – de loin les plus répandus – ne supportaient aucune taxe jusqu’en 2010, ils ont été soumis à une taxation de 3,5 % en 2010, qui a doublé en 2011. Une taxe de 7 % que les assureurs ont répercuté sur le montant des cotisations.

    Enfin, les complémentaires santé font supporter à leurs cotisants des dépenses de fonctionnement très lourdes. Selon une récente enquête du journal professionnel L’Argus de l’assurance, les frais de gestion des contrats santé représentent de 7 à 27 % du prix des cotisations, avec de très nombreux organismes où elles pèsent plus de 20 %. En clair, lorsqu’un particulier verse 100 euros par mois, 20 euros servent aux frais de fonctionnement de l’assureur ou de la mutuelle. A titre de comparaison, les frais de gestion de la « Sécurité sociale », qui gère l’assurance maladie, s’élèvent à 4 % des cotisations.

    Depuis cette année, l’ensemble des organismes complémentaires doivent indiquer l’importance de ces frais, en communiquant leur montant, ainsi que leur composition. Toutes sont loin de s’exécuter.

    Rappelons enfin que les dépenses de santé sont prises en charge à hauteur de 76,7 % par l’Assurance-maladie ou l’Etat, 13,7 % par les complémentaires, et 9,6 % qui restent à la charge des assurés sociaux.

    Le Monde

     

    http://fortune.fdesouche.com/335299-complementaire-sante-pourquoi-vos-cotisations-flambent#more-335299

  • 10 avril : présentation de l'initiative "Un de nous" devant le Parlement européen

    Le jeudi 10 avril se tient de 9h à 12h30, l'audition officielle au Parlement européen à Bruxelles, pour présenter l'initiative citoyenne européenne "Un de Nous".

    Venez assister NOMBREUX à cette réunion publique importante. A la même occasion, vous vous familiarisez avec l'ambiance au sein du Parlement européen à l'égard des questions relatives à l'éthique sociale. Participer vous permet de comprendre, de vous former, d'agir et de témoigner par la suite ! (Ce n'est pas inutile à 8 semaines des prochaines élections européennes.) 

    "Un de Nous" poursuit l'objectif d'obliger les institutions européennes à mettre en œuvre, l'arrêt C-34/10 de la Cour européenne de justice. La plus haute instance juridique de l'Union s'y prononce sur la définition de l'embryon humain. Elle déclare pour droit de l'Union européenne que la vie humaine commence au moment même de la fécondation, et que l'embryon humain représente une étape précise dans le développement du corps humain, investie de la pleine dignité humaine que le législateur européen doit protéger. Cette jurisprudence fait désormais partie de l'ensemble des règles de l'Union européenne.

    Pour sa mise en œuvre, des directives européennes existantes doivent être abrogées pour exclure explicitement la destruction de l'embryon humain par les politiques européennes sectorielles (notamment dans la recherche et les questions liées à l'avortement).  Seulement si l'abrogation des directives aura été votée par le Conseil et par le Parlement, et publiée au Journal officiel, "Un de Nous" est achevé avec succès. 

    "Un de Nous" représente à ce jour l'initiative citoyenne européenne la plus importante en termes de signatures de soutien. Mais ce la ne paît à tout le monde, et l'opposition dans les institutions européennes nous fait sentir son mécontentement très ouvertement. C'est pourquoi il est très important de faire preuve d'assiduité, de solidarité et de détermination pour aller jusqu'au bout de la démarche "Un de Nous". 

    Concrètement, vous pouvez contribuer au succès "Un de Nous" par votre présence et votre prière. Selon la procédure prévue, l'audition du Parlement européen se tiendra le jeudi 10 avril 2014 de 9h à 12h30 à Bruxelles (salle JAN 4 Q-2). Inscrivez- vous sans plus attendre ici par le formulaire pour assister sur place à Bruxelles à ce moment important.

    Michel Janva

  • La théorie du genre : un enjeu anthropologique

    C’est au nom de l’Égalité que la « théorie du genre » s’impose dans nos écoles avec l’ambition proclamée de « briser les stéréotypes », c’est-à-dire la différenciation sexuelle. La société civile s’en est alarmée et elle s’est mobilisée, en plaçant le débat sur le plan de la défense des valeurs morales.

    Or, il ne s’agit pas seulement de politique ou de morale mais d’anthropologie.

    Notre anthropologie, complexe, s’est élaborée dans trois cultures : la grecque, la latine et la sémite. Une grande partie de la culture antique a été sauvée par le filtre de la première synthèse judéo-chrétienne, effort de rigueur et de conciliation des Pères de l’Eglise, grecs et latins, orientaux et occidentaux.

    Or, l’anthropologie grecque est aux antipodes de la pensée qui s’exprime dés les premières lignes de la Genèse. Il est bien tentant de faire l’impasse sur ce texte incommode du commencement qui fournit les principes d’intelligibilité non pas de « qui est l’homme », mais de « ce qu’il est ». Et qui implique une notion décisive : celle de « nature humaine » dont l’un des pics de visibilité est le corps sexué.

    La destruction programmée de la différenciation sexuelle est rendue possible parce qu’elle se soutient invisiblement du  paradigme « naturaliste », ou darwiniste qui s’est imposé depuis deux siècles et qui affirme que l’homme provient d’une évolution biologique, qu’il est un animal perfectionné.

    Lire la suite

  • Le Mississippi, 13e Etat américain à interdire d'avorter après 20 semaines

    Lu sur Gènéthique :

    "Les deux chambres du Mississipi ont définitivement voté mardi dernier un projet de loi interdisant l’avortement à partir de la 20e semaine (d’aménorrhée), soit 18 semaines de grossesse, sans exception en cas de viol ou d’inceste. Ce projet de loi autorise deux dérogations: en cas de mise en danger de la vie de la mère ou lorsque qu’il a été déterminé que le fœtus n’a aucune chance de survie."

    Louise Tudy

  • Fondation Jérôme Lejeune : 20 ans, ça se fête !

    Chers amis,

    20 ans ça se fête !

    D’avril 2014 à avril 2015, la Fondation Jérôme Lejeune célèbre « 20 ans de défi scientifique et éthique ».

    De nombreux événements sont organisés pour commémorer à la fois la mort du professeur Jérôme Lejeune (3 avril 1994) et la création de la Fondation (avril 1995) : expositions, conférences, soirées débat, publications…

    Les 2 premiers moments forts de cette année :
    - 1) Samedi 5 avril à 10h30 la Messe pour la vie, célébrée à Notre Dame de Paris par le Cardinal André Vingt-Trois
    - 2) Mardi 8 avril à 20h00 une soirée débat au collège des Bernardins : « Jérôme Lejeune : une conscience pour la science d’aujourd’hui ? »

    Les intervenants sont Jean-Marie Le Méné président de la Fondation Jérôme Lejeune, Arnold Munnich Directeur du département de génétique de l’hôpital Necker et Mgr Jacques Suaudeau de l’Académie pontificale pour la vie.

    Pour participer et débattre il faut s’inscrire ici (5€) [...]

    La suite sur le site de la fondation

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Fondation-Jerome-Lejeune-20-ans-ca

  • GPA : pour la 3e fois, la Cour de cassation dit "non" à Christiane Taubira

    Lu ici :

    "Le 19 mars dernier, la Cour de cassation a, pour la troisième fois, invalidé la délivrance de la nationalité française à un enfant né à l'étranger d'une mère porteuse. Une décision qui a fait grincer des dents à la chancellerie.

    Il y a un peu plus d'un an, la garde des Sceaux avait en effet incité par circulaire les greffiers en chef des tribunaux à délivrer un certificat de nationalité française aux "fantômes de la République", ces enfants nés dans le cadre d'une gestation pour autrui (GPA). Alors que ses détracteurs y avaient vu une manoeuvre pour contourner l'interdiction de la GPA toujours en vigueur en France, la chancellerie affirmait au contraire vouloir faire appliquer de manière homogène la loi déclarant "qu'un enfant est français si au moins l'un de ses parents est français".

    Dans ses arrêts successifs, la Cour de cassation a, elle, estimé que les enfants conçus par GPA "ne peuvent figurer dans les registres d'état civil puisque cette technique est interdite en France".

    Pour tous ceux qui s'étaient opposés à la circulaire, le camouflet infligé à la ministre de la Justice par les magistrats de la Cour de cassation est une incontestable victoire. Un succès d'autant plus savoureux que la chancellerie avait renvoyé dans ses cordes le syndicat FO-Magistrats lorsque ce dernier avait contesté la légalité de la circulaire. Motif : les représentants syndicaux n'étaient pas, à en croire le ministère, fondés à agir.

    À Matignon, où l'on considère le dossier de la GPA comme politiquement empoisonné, l'entêtement de la Cour de cassation est vu par certains d'un bon oeil pour contrer celui de la garde des Sceaux... "Après la poussée de fièvre des anti-mariage pour tous, il faut désormais calmer le jeu chez ceux qui ont toujours imaginé que la loi allait ouvrir le chemin à une reconnaissance de la GPA", reconnaît un conseiller du Premier ministre."

    Louise Tudy

  • PMA, GPA, tout à coup on se réveille !

    C’est bien gentil, cette indignation soudaine, mais ce n’est pas faute d’avoir prévenu.
    Et tout à coup, stupeur… le Défenseur des droits se réveille !
    Dominique Baudis vient d’alerter le ministre de la Justice du développement de sites Internet qui mettent en relation des donneurs de sperme ou des mères porteuses avec des personnes qui veulent devenir parents. « Ces sites révèlent de la part des personnes en demande d’enfant un état psychologique qui les expose particulièrement aux dérives d’une activité commerciale exploitant leurs espoirs. » La prise de conscience serait presque touchante…
    Quand la loi permet à deux hommes ou deux femmes de se marier et d’adopter, lorsque des sénateurs écrivent que l’infertilité des homosexuels est « sociale », ce n’est pas du tout une manière d’exploiter un espoir qui mène droit à ce genre de dérives, hein ?
    Lire la suite

  • GPA : La Cour de cassation confirme sa jurisprudence

    Décision de ce jour, refusant la transcription dans l'état-civil d'un enfant conçu par location d'utérus :

    "Attendu qu’en l’état du droit positif, est justifié le refus de transcription d’un acte de naissance fait en pays étranger et rédigé dans les formes usitées dans ce pays lorsque la naissance est l’aboutissement, en fraude à la loi française, d’un processus d’ensemble comportant une convention de gestation pour le compte d’autrui, convention qui, fût-elle licite à l’étranger, est nulle d’une nullité d’ordre public selon les termes des deux premiers textes susvisés ;

    Attendu, selon l’arrêt attaqué, que l’enfant C est né le 2 juin 2010 à Mumbai (Inde), de Mme Y... et M. X... lequel, de nationalité française et résidant en France, l’a reconnu ; que le 23 juillet 2010, ce dernier a demandé la transcription de l’acte de naissance de l’enfant sur les registres français de l’état civil, demande à laquelle le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Nantes s’est opposé ;

    Attendu que, pour ordonner cette transcription, la cour d’appel a énoncé, d’une part, que la régularité de l’acte de naissance n’était pas contestée, ni le fait que M. X... et Mme Y... fussent les père et mère de l’enfant, de sorte que l’acte était conforme aux dispositions de l’article 47 du code civil, d’autre part, que la fraude à la loi invoquée par le ministère public pouvait ouvrir à celui-ci, le cas échéant, l’action en contestation prévue par l’article 336 du code civil, mais ne conduisait pas pour autant à juger que l’acte de naissance était, par lui-même, contraire à l’ordre public ;

    Qu’en statuant ainsi, alors qu’elle avait retenu que les éléments réunis par le ministère public établissaient l’existence d’une convention de gestation pour le compte d’autrui entre M. X... et Mme Y..., caractérisant ainsi un processus frauduleux dont la naissance de l’enfant était l’aboutissement, ce dont il résultait que l’acte de naissance de celui-ci ne pouvait être transcrit sur les registres de l’état civil français, la cour d’appel a violé les textes susvisés ;

    PAR CES MOTIFS :

    CASSE ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l’arrêt rendu le 15 janvier 2013, entre les parties, par la cour d’appel de Rennes ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l’état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d’appel de Paris.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/03/gpa-la-cour-de-cassation-confirme-sa-jurisprudence.html

  • « Chère future maman » : la vidéo qui fait du bruit et du bien pour le 21 mars, Journée mondiale de la trisomie 21

    Pour la journée mondiale de la trisomie 21, vendredi 21 mars, la Fondation Jérôme Lejeune s’est associée avec 10 entités européennes, pour organiser une campagne « Chère future maman ». Dans une vidéo, 15 jeunes trisomiques, italiens, espagnols, français et anglais rassurent une mère enceinte qui vient d’apprendre que son enfant a une trisomie 21.

     

    Elle délivre un message à la fois fort simple et émouvant (plus d’un ont pleuré !).

    Cette vidéo peut réconforter des parents, sauver des enfants de la sélection prénatale, et restaurer la dignité des personnes trisomiques. Elle peut contribuer à lutter contre la « culture du déchet » dénoncée par le pape François.

    Lancée le 14 mars, cette campagne a déjà été vue 1 demi-million de fois. Objectif : atteindre 1 million d’ici le 21 mars.

    Likez, partagez sur Facebook/fondationjeromelejeune Twittez avec #DearFutureMom

    Toute la campagne « Chère future maman » à suivre sur le site www.fondationlejeune.org

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Chere-future-maman-la-video-qui