En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
On a beau chercher, on ne voit vraiment pas la différence entre Macron et Mélenchon, si ce n’est que le second fait semblant d’être le pire ennemi du premier. On les a déjà vus, à Marseille, discuter très amicalement, de manière complice, dans une rencontre faussement improvisée.
Sur l’islam, ils lèchent aussi bien les babouches musulmanes l’un que l’autre, et qualifient d’islamophobes ceux qui disent la vérité sur ce dogme criminel.
Bien que la France accueille 500.000 nouveaux venus tous les ans, mettant délibérément en danger la sécurité des Français, ils en réclament toujours plus.
Cette reculade européenne sur le tout électrique est du pur théâtre. Quand cette Europe déconnectée des citoyens a décrété la fin du moteur thermique, beaucoup ont hurlé et maintenant qu’elle revient sur sa décision, ça hurle encore qu’elle n’aurait pas dû et si ça se trouve, ce sont les mêmes. Ces « influenceurs » de l’automobile, représentatifs de personne, qui vont là où il y a le plus d’argent à se faire, avec de faux bons arguments : que la Chine va nous damer le pion. Irrecevable : que ce soit en thermique ou en électrique, elle nous dame le pion. Elle fabrique des ingénieurs, elle, dans ses écoles, pendant que nous fabriquons des transgenres, des intersectionnels et des pro-palestiniens et le résultat se voit, à la fin. L’arrêt du tout électrique est une bonne chose d’un point de vue très prosaïque : beaucoup de gens n’avaient de toute façon pas les moyens de se le payer. Et les acheteurs s’en désengagent de plus en plus selon les dernières enquêtes. L’argument du carbone : une fable très rentable qui a permis de créer des taxes carbone et de toute façon encore, ce n’est l’Europe toute seule, en arrêtant la voiture thermique qui va changer le cours du climat planétaire. On nage donc dans l’idéologie la plus crasse, avec des politiciens qui se mêlent de sujets auxquels ils ne connaissent rien, non pas pour des motifs écologiques mais dans des desseins qui nous échappent.
C'est confirmé : les Français, cette fois comme il y a deux ans, soutiennent massivement le mouvement de révolte des agriculteurs. Petite revue des troupes s'étant signalées en faveur du mouvement.
Montage captures écran Cnews et Sarah Knafo sur Facebook
Deux salles, deux ambiances. La France est en proie à une importante crise agricole sur fond d'abattage des troupeaux en lien avec la dermatose nodulaire mais aussi sur fond de Mercosur. Pour témoigner de leur mécontentement, pour ne pas dire de leur colère, dans la gestion de ces deux dossiers bouillants, les agriculteurs français manifestent çà et là. Ils étaient notamment présents à Strasbourg et à Bruxelles, devant les sièges du Parlement et de la Commission européens.
En ce mois de décembre 2025, la France rurale ne se contente plus de murmurer son désarroi : elle le crie, elle le hurle, elle le clame sur les routes nationales, les ronds-points, jusqu’aux portes des préfectures et même devant les institutions européennes. Le Sud-Ouest a allumé la mèche, mais c’est désormais tout le territoire qui s’embrase autour d’une colère agricole qui dépasse de loin la question sanitaire de la dermatose nodulaire contagieuse.
Selon le bilan du comité de suivi de mars 2024, la réforme d’Affelnet a entraîné une forte diminution de la « ségrégation sociale » (–49 %) et de la « ségrégation scolaire » (–39 %) dans les lycées publics parisiens depuis 2021. Cette mixité accrue, présentée positivement par le rectorat, s’accompagne toutefois d’une baisse sensible des performances dans plusieurs établissements prestigieux.
Le spectre de la révolte paysanne se réveille avec la très contestable stratégie d’abattage systématique des troupeaux de bovins quand une bête est contaminée par la dermatose nodulaire contagieuse (DNC).
Au programme de cette édition, nous revenons sur la colère des agriculteurs français. En pleine crise de la dermatose nodulaire contagieuse, le secteur est à bout de souffle après des années de mesures toxiques. De là à croire que l’étincelle pourrait être la dernière de l’ère Macron… pas sûr !
Nous vous proposons ici de découvrir une analyse du monde des politiques actuels… que vous pouvez retrouver aussi sur https://politiquemagazine.fr/, avec de nombreux autres articles.
Par Hilaire de Crémiers
La France est en crise. La question politique – paraît-il, gravissime ! – tourne autour de deux sujets : la dissolution de l’Assemblée dont les députés du système ne veulent pas, la démission du président dont Macron ne veut pas. Un gouvernement Lecornu II succède à un gouvernement Lecornu I. Lequel ne dura que quelques heures et fut le plus éphémère de toute l’histoire de la Ve République. Lecornu II est le quatrième gouvernement dont se dote la France en un an et le sixième en deux ans.