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La série « On Good Soil » (Sur un sol fertile) d’EWTN explore la popularité croissante de l’agriculture familiale et examine comment ce mode de vie nous aide à mieux nous connecter à la nature, à nos familles et à Dieu. Des familles catholiques discutent de la manière dont l’agriculture familiale renforce leurs liens familiaux et leur permet de mener une vie plus contemplative et plus vertueuse.
Le professeur David Whitmore, géopoliticien au King’s College de Londres, a évoqué froidement la possibilité d’une guerre civile en France et au Royaume-Uni, lançant ainsi une alerte que tout le monde a l’air d’évaluer comme plausible, mais que les « élites » refusent d’entendre. Pourtant quelques prémices ont lieu, actuellement, en Espagne et en Angleterre. En France, factuellement, c’est aussi un peu déjà la guerre civile, sauf que les Français ne se défendent pas. Mais ils sont victimes tous les jours des agissements violents de gens issus d’un groupe historiquement vindicatif et conquérant.
Le livre de Victor Castanet, Les Fossoyeurs (1), sur les EHPAD, a attiré l'attention du grand public sur la triste fin de vie de nos aînés très souvent handicapés. Le cours de la bourse des profiteurs de la détresse humaine a baissé, les contrôles réglementaires après bien des compromissions se sont faits plus rigoureux. Sur le fond, nous pouvons penser à une légère amélioration du quotidien dans ces mouroirs.
Un de mes amis proches, ancien maire adjoint, durant plus de trente ans, d'une commune de Seine-Saint-Denis habite depuis bientôt deux ans dans une station balnéaire bretonne, dans une "résidence services séniors". À la suite d'un AVC, il est contraint de se déplacer dans un fauteuil roulant.
Cette fois-ci, on ne les prendra pas en défaut : leur récupération tardive du mouvement des gilets jaunes était grossière et maladroite et avait aussi, il faut le dire, contribué à le dénaturer. Quand dominait le drapeau tricolore sur les ronds-points, ils y avaient hissé le drapeau rouge. Avant même le démarrage de ce nouveau mouvement parti des réseaux sociaux appelant à « tout bloquer » le 10 septembre, les leaders LFI Mélenchon, Bompard et Panot annoncent, dans un texte publié par La Tribune Dimanche, avoir « décidé de soutenir l’initiative populaire du 10 septembre ».
La Gendarmerie Nationale traverse une profonde crise de sens et nous relatons quelques chiffres en provenance de l’intérieur de l’institution. Aux premiers chefs : fatigue, pression, perte de sens : les rangs de la gendarmerie française se vident à un rythme inquiétant. En 2024, près de 8 000 gendarmes ont quitté l’uniforme. Un groupe Facebook privé, GIE : Côté démission, réunit déjà plus de 23 000 membres, tous unis par le même constat : ça ne peut plus durer.
Nous parlions récemment, au RPF de notre inquiétude à voir sombrer le secteur automobile français autrefois florissant, à l’occasion des nombreuses polémiques pour malfaçons qui entachent les voitures actuelles. Coups de frein intempestifs, mauvaise lecture, par les systèmes d’aide à la conduite, des situations particulières, travaux ou centres urbains, airbags défectueux, voyants qui s’allument en permanence, rappels de grandes séries de modèles pour diverses tares de construction, bugs dans les systèmes de gestion informatiques… la réalité est que les normes accumulées par Bruxelles obligent les constructeurs à mettre sur le marché des voitures de plus en plus complexes et logiquement, des édifices technologiques de moins en moins stables, avec une convergence vers ce qui se pratique en aviation avec les machines les plus complexes : autant de temps de maintenance que de temps de vol. Le problème est que le particulier ne peut pas encaisser ce système, il va au travail avec la voiture en question tous les matins et il compte sur sa fiabilité et sa sécurité. Et cela touche aussi bien les derniers modèles thermiques que les modèles électriques, avec des garagistes bien souvent eux mêmes dans l’incapacité de procéder aux réparations. Sachant que dorénavant, le cahier des charges spécialement préparé par les escrologistes ne permet plus d’envisager la mise au point d’un banal moteur thermique et entraînera donc la perte de l’ensemble de ce savoir faire, alors qu’il va rester de nombreux moteurs thermiques indispensables : engins de chantier, de secours, militaires, qui fonctionnent tous au diesel, n’en déplaise aux écologistes, c’est ce que nous avons de mieux pour affronter les pires conditions climatiques et de terrain.
À force de déraper sans frein, l’écologie à la française va finir par braquer contre elle l’opinion française. Dans Le Figaro de ce 13 août, plusieurs élus et personnalités, parmi lesquels Robert et Emmanuelle Ménard, maire de Béziers et ancienne députée, Alexandre Jardin, le leader des Gueux, le maire de Cannes David Lisnard, le maire de Valence Nicolas Daragon ou encore le député européen François-Xavier Bellamy tirent la sonnette d’alarme. « Après le scandale des ZFE, la crise de la facture d’électricité qui s’annonce est une bombe à fragmentation, écrivent-ils. Une attaque sans précédent contre notre économie, contre nos vies, avec l’étrange complicité de l’État français. »
Mercenaire, c’est ainsi que l’éditorialiste de Challenges (dis)qualifie Luca de Meo qui, de patron du constructeur automobile Renault va devenir celui de la multinationale du luxe Kering sans coup férir et sans avoir vraiment terminé ce pour quoi il avait été recruté il y a cinq ans, c’est-à-dire remettre sur pied Renault et préparer l’entreprise aux défis du lendemain. Comme l’écrit Vincent Beaufils, « Luca de Meo a beau répéter en boucle qu’au bout de cinq ans, le job était terminé, le sentiment est au contraire qu’il l’a abandonné au milieu du gué. D’ailleurs, pourquoi avoir rempilé l’an dernier pour un deuxième mandat de quatre ans si l’essentiel du travail avait été exécuté ? (…) L’automobile est une industrie de temps long ».
Un éleveur avec une cloche de vache abattue - Photo Jean Bexon
Il règne un terrible silence, dans l’étable où nous nous trouvons. Quelques jours auparavant, Pierre-Jean, jeune agriculteur de vingt-sept ans, y logeait ses soixante-seize vaches et veaux. Depuis, plus un tintement de cloche et plus un mugissement, cette ambiance sonore qui fait le charme des alpages savoyards.