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  • L’ouverture de la baignade dans la Seine bouscule l’économie du fleuve : cet été, les péniches de croisière et de trafic de marchandises ne pourront plus passer devant Notre-Dame, lieu de baignade, le dimanche et les matinées de semaine

    Le bras Marie – chenal situé entre la rive droite et l’île Saint-Louis – concentre en temps normal 40 % du trafic fluvial parisien, avec jusqu’à 300 passages de bateaux-mouches par jour, soit un bateau toutes les deux minutes. Sur cette voie emblématique, les croisiéristes offrent habituellement aux touristes le grand classique : la remontée jusqu’à Notre-Dame. Un circuit très attendu qui sera quelque peu amputé cet été. (…)

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  • France au bord du gouffre. « Ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage »… selon Moscovici

    Moscovici a été ministre de l’économie et des finances, un temps ministériel, souvenez-vous où il s’occupait de la chatte de Charlène sa jeune compagne de 25 ans d’âge. Je parle bien de l’animal évidemment, d’ailleurs c’était peut-être un chat, mais je n’aurais pas eu le même niveau d’attention dans une rubrique économique sans avoir recours à ce subterfuge sémantique. Bref, la dette il n’en avait pas grand-chose à faire à l’époque.

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  • 2.500 € par mois pour 4 jours de travail : le train de vie confortable du CESE

    @Fred Romero/Wikimedia Commons
    @Fred Romero/Wikimedia Commons
    Avis que personne ne lit, train de vie dispendieux, effectifs pléthoriques… Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) est à nouveau pointé du doigt. Cette fois-ci, c’est Daniel Labaronne, député macroniste, qui lance la charge. Dans un rapport d’information parlementaire, rendu public ce 2 juillet, l’élu d’Indre-et-Loir étrille le fonctionnement de la « troisième chambre de la République », une institution jugée « peu visible », isolée et dont l’utilité interroge.

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  • Alerte du patron de Stellantis. Le marché automobile français continue sa chute vertigineuse

    Les constats sont sans appel.

    Les voitures électriques ne trouvent pas preneur.

    Les camionnettes électriques se vendent encore plus mal.

    Essayez quand vous êtes artisan de travailler avec un truc qui transporte beaucoup de poids et qu’il faut recharger en permanence dans des coins sans borne. Ajoutez à cela que ce que vous transporter est lourd, et que votre camionnette en général c’est votre atelier, votre stock. Un technocrate vous dira d’aller la recharger pendant que vous bossez sur le chantier, oubliant, si malin qu’il soit… que si la borne est à 3 bornes à pieds c’est compliqué d’aller chercher le joint qu’il vous manque pour réparer le chauffe-eau en panne du technocrate… Alors vous savez quoi ? Les artisans n’achètent pas d’utilitaires électriques parce que ce n’est pas du tout adapté.

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  • Préserver la filière automobile française, est-ce possible ?

    Dans les années cinquante-soixante-dix du vingtième siècle, les voitures ont envahi les villes occidentales avant de conquérir celles des pays du Sud dans les décennies suivantes. Longtemps, la France a paru être une nation automobile, autant pour la production que pour la qualité de celle-ci, et pour la consommation, aussi bien domestique que sportive : L’usine Renault de Boulogne-Billancourt et la course des Vingt-quatre heures du Mans appartenaient au patrimoine français, et chacun se retrouvait, selon ses centres d’intérêt ou ses problématiques personnelles, dans l’une comme dans l’autre. Boulogne-Billancourt était le symbole de la classe ouvrière moderne et combattive quand Le Mans monopolisait toutes les attentions à la veille des vacances d’été et de leurs embouteillages sur la Nationale 7… Tout le monde se souvenait des exploits de Pescarolo ou de Beltoise quand les ouvriers et la Gauche se rappelaient que c’est à Renault que la troisième et la quatrième semaines de congés payés étaient nées. La voiture était alors « la bagnole » et elle représentait, pour les jeunes, la liberté quand les adultes (et les marques automobiles en jouaient) y voyaient plutôt un moyen d’affirmation et de hiérarchisation sociale… Si Mai 68 échoua, c’est aussi parce que les émeutiers avaient osé brûler des voitures dans le Quartier Latin, et la crise pétrolière de 1973 renforça l’impression que c’est l’automobile qui était le thermomètre principal de l’économie et du moral des ménages en France. En fait, tout cela, c’était le monde « d’avant »…

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  • « Budget 2026, ne plus augmenter personne au lieu de diminuer tout le monde ! ». L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Ce à quoi vous assistez est un grand classique de la politique gouvernementale partout dans le monde mais qui a été érigé au rang d’art par nos mamamouchis en France.

    Le ballon d’essai.

    Le ballon d’essai consiste à avancer une mesure dans la presse.

    C’est soit une « confidence », soit un ministre qui parle et évoque une « piste », ou exprime ce qu’il faudrait sans doute faire.

    Puis on attend et on compte les hurlements.

    Vous connaissez l’applaudimètre ?

    Et bien le ballon d’essai c’est l’inverse.

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  • (4) Une France en crise(s).

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    Non, les royalistes ne sont pas des « émigrés de l’intérieur » comme la République essaya de le faire croire dès son établissement frauduleux en 1792. Et les questions sociales ne sont pas pour eux des sous-dossiers qu’il s’agirait de traiter sans profondeur, avec une certaine condescendance. Lors du grand débat de 2023 sur les retraites, loin d’être inactifs et fatalistes, les royalistes sociaux réfléchirent aux enjeux et aux risques, argumentèrent contre les projets gouvernementaux, mais ils travaillèrent aussi à creuser des pistes nouvelles de réflexion, firent des propositions concrètes et refusèrent de tomber dans la démagogie facile. Ce travail, parfois ingrat, n’a jamais cessé, comme l’a démontré la session d’études de l’Action française à Aix-la-Provence, en février dernier. Voici, ci-dessous, la quatrième partie de mon intervention à ce séminaire…

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  • Faux arrêts maladie : l’Assurance maladie serre la vis dès le 1er juillet avec un nouveau formulaire sécurisé

    À partir du 1er juillet 2025, l’Assurance maladie renforce sa lutte contre la fraude aux arrêts de travail en imposant un nouveau formulaire papier sécurisé. Une mesure prise en réaction à une explosion des fraudes, notamment via la vente de faux documents sur internet.

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  • Budget. BFM évoque des « pistes d’économies » qui sont des hausse d’impôts !

    Les mots ont un sens et il ne faut jamais appeler économies des hausses d’impôts ou de taxes.

    Augmenter la CSG c’est de l’impôt en plus même si cela s’appelle une « contribution ». Le français étant très riche (je parle de la langue et pas du citoyen!) nous avons beaucoup de mots pour désigner la rapine et le vol institutionnalisé par nos « zélus ».

    Taxes, impôts, contributions, cotisations etc…

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  • Accord commercial UE / Ukraine : les agriculteurs français en grand danger

    Photo Pexels / Tom Fisk
    Photo Pexels / Tom Fisk
    « Quand c’est flou, il y a un loup ». Et la question se pose d’emblée après l’annonce d’un accord de principe sur les échanges commerciaux à long terme de produits agricoles entre l’Union européenne et l’Ukraine : pourquoi annoncer un accord sans en dévoiler le contenu ? Là où il est question de quotas et de normes, silence radio de la part de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, dont le communiqué s’est contenté d’asséner qu’avec cet accord, « nous sécurisons les flux commerciaux de l’Ukraine vers l’Europe. […] Dans le même temps, nous continuons à protéger les intérêts de nos agriculteurs ». Lundi 30 juin, les deux commissaires européens concernés, Maroš Šefčovič (Commerce), et Christophe Hansen (Agriculture), n’ont guère été plus précis, qualifiant l’accord avec Kiev de « prévisible » et « réciproque », et annonçant que les détails seraient finalisés « dans les prochains jours ».

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