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Voilà qui ne fera pas plaisir à ceux qui ne veulent pas travailler mais c’est pourtant une évidence qu’il convient dans ce monde d’inversion d’énoncer à voix haute et publiquement !
Le droit à la paresse n’est acceptable que s’il ne pèse pas sur d’autres.
Or, aujourd’hui, la paresse d’un grand nombre repose sur le travail des autres qui bossent chaque jour pour payer les aides dont des inactifs qui pourraient être actifs reçoivent.
On voudrait nous faire croire que la France vit depuis plusieurs jours suspendue à un vote de nos députés, comme si son avenir en dépendait. Cette dramatisation permanente devient lassante et le fossé qui nous sépare de notre élite dirigeante s’élargit de jour en jour. Hier, jour de commémoration du 11 novembre 1918, tout avait été mis en œuvre pour que le public soit tenu à l’écart, comme si cela ne le concernait pas. Pourtant, combien d’entre-nous ont ils déploré la perte d’aïeuls dans cette guerre épouvantable ? Ce spectacle d’un tout petit nombre de personnes dûment autorisées à assister à la cérémonie, cet « entre-soi » de plus en plus provocateur que d’aucuns veulent justifier par une menace d’attentats terroristes, m’a révolté.
Les entreprises européennes évoluent dans un monde mondialisé et en disant cela j’ai l’impression d’enfoncer une porte ouverte qui n’est jamais vue par la Commission européenne de Bruxelles.
En République Française, chaque jour qui passe donne l’occasion de voir grandir l’écart entre le monde réel et celui fantasmé par la caste jacassante.
Cette dernière, composée de la « noblesse » politicienne et du « clergé » médiatique, dépeint avec obstination un monde complètement différent de celui que vit le peuple, baigné dans un quotidien de frustrations pratiques et des discordances objectives et quantifiables par rapport aux allégations de plus en plus fumeuse de la caste jacassante.
Il est important de le marteler même si cela ne fait pas plaisir.
Le vrai sujet de notre pays c’est l’évaporation fiscale de 1 712 milliards d’euros chaque année. Chaque année.
Nous dépensons collectivement 1 712 milliards d’euros soit 26.338 euros par Français sur la base de 65 millions d’habitants, ou encore pour que vous compreniez bien 105 353 euros pour une famille de 4 personnes.
Que de débats houleux, véhéments, catastrophistes, de la part d’intervenants passant dans la tonalité solennelle pour prédire le crash financier, la banqueroute, occasionnée par les retraités nantis qui voudraient partir avant 64 ans, la plupart du temps avec des petites retraites. Et d’expliquer : comment font les autres ? Le Danemark, l’Allemagne ou la Suisse, pays dans lesquels on travaille bien plus longtemps. Les autres sont sur le même tempo que la France, lequel consiste à exploiter le plus longtemps possible ceux qui travaillent.
Les députés viennent d’adopter la partie “recettes” du budget de la Sécurité sociale, un texte largement remanié qui rebat les cartes des hausses de taxes initialement envisagées par le gouvernement.
L’Association des Médecins Urgentistes de France diffuse un communiqué un peu étrange, dans lequel il apparaît que la bande à Macron prépare une nouvelle entourloupe :
Lors du dernier conseil de la Caisse nationale d’assurance maladie, un point concernant la dette nous a été présenté. Cette dette est gérée par la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES). Cette structure aurait dû normalement avoir totalement remboursé les emprunts faits auprès des banques en 2024. Mais il reste dans ses comptes 137,9 milliards, soit le transfert de la dette COVID de 136 milliards que Macron a décidé de totalement affecter à la Sécu, ce qui repousse l’échéance à 2033.
Après Macron qui voulait réparer le Liban, Macron qui va développer l’Afrique en laissant des chèques un peu partout, Macron qui va sauver le climat de 2100 dont personne ne sait rien, avec ses accords de Paris, Macron qui va stopper la guerre en Ukraine en discutant avec Poutine, Macron qui file en Egypte pour croire que le cessez le feu à Gaza, c’est encore lui, Macron qui court au Brésil pour y prendre des bains de foules désormais impossibles en France, voici Barrot, notre illustre Ministre des affaires étranges, celui qui reste quand les gouvernements tombent, qui veut aller buter les narcotrafiquants jusque dans les chiottes en Amérique du Sud, comme le dirait élégamment Vladimir. S’inspire-t-il de Trump, qui lui, n’y va pas avec le dos de la cuiller et s’en va faire couler les embarcations des grossistes en cocaïne par les cadors de la Navy ? Mais Trump a les moyens de sa politique, lui. Martial, Barrot, dont on se demande comment il va s’y prendre après son annonce tonitruante, promet une contre offensive diplomatique musclée… sans rire… musclée ? Il dit et si derrière, il ne se passe rien, il va faire quoi ? Il fait penser à son non moins illustre collègue Le-Maire, qui allait mettre l’économie russe à genoux, puis prendre Poutine, « à la gorge »… et… et rien.
Une encyclopédie vivante… Daniel, alias Tonton, ancien imprimeur, animait toute la journée les cafés de Fécamp, mais il s’est tiré une balle dans la tête quand l’huissier a sonné.
« À 8 h 30, le vieil homme sort de sa poche un pistolet qu’il a lui-même fabriqué. Déjouant la vigilance des policiers, il réussit à pointer son arme sur sa tempe et presse la détente. »