Bénéfice net : -64 %
Bénéfice opérationnel : -42 %
Liquidité nette : -160,6 milliards d’euros
Ventes de véhicules : -8,3 %
Ventes en Chine : -12 % (sur les 9 premiers mois).
10 000 licenciements attendus.
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Bénéfice net : -64 %
Bénéfice opérationnel : -42 %
Liquidité nette : -160,6 milliards d’euros
Ventes de véhicules : -8,3 %
Ventes en Chine : -12 % (sur les 9 premiers mois).
10 000 licenciements attendus.
De Christophe Machard dans Les 4 Vérités :
Tout le monde se souvient de la révolte des Gilets jaunes, un mouvement qui a embrasé la France en 2018, cristallisé autour de l’augmentation brutale des prix du carburant. J’ai moi-même pris part à ce mouvement, d’abord sur les ronds-points de Segré, puis à Paris, et j’y ai rencontré des gens travaillant dur, des ouvriers, des employés, des artisans. Ces manifestations ont montré l’ampleur du malaise: des travailleurs incapables de boucler leurs fins de mois, malgré leurs efforts. L’augmentation du coût de l’essence n’a été que l’étincelle, car la colère couvait déjà depuis longtemps, exacerbée par un système d’assistanat qui privilégie ceux qui ne travaillent pas au détriment de ceux qui triment.
Bruxelles pilonne littéralement l’industrie automobile européenne.
Elle pollue trop, va payer des amendes exorbitantes pour ne pas électrifier assez vite son parc, et les consommateurs ne veulent pas des voitures électriques dont l’usage est un enfer au quotidien par la faiblesse de l’autonomie et les problèmes récurrents d’accès aux bornes de rechargement. Cela évoluera mais mettra du temps. Vous pouvez rajouter l’incertitude sur le recyclage des batteries ou encore les problèmes d’accidents (un accrochage et la voiture est mise à la casse) sans oublier la valeur de revente très incertaine, et les automobilistes passent pour l’essentiel leur chemin.
L’AIMA exige désormais une signature notariée sur le document pour assumer la responsabilité des immigrants
À partir de novembre, AIMA n’acceptera que des conditions de responsabilité notariées. La mesure garantira que celui qui signe le document supportera les frais en cas d’expulsion des immigrants du pays.
De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :
Officiellement, la France vit sous un régime gouverné par la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, dont l’article 14 affirme : « Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée. »
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
En 1976, Jean-Claude Guillebaud publiait aux éditions du Seuil dans la collection « L’histoire immédiate » Les confettis de l’empire. Son enquête portait sur les derniers vestiges de l’ancien empire colonial français, à savoir les possessions ultra-marines bientôt dénommées DOM–TOM (départements et territoires d’Outre-mer).
par Marc-François de Rancon
Notre billet du 19 courant (https://www.actionfrancaise.net/2024/10/19/assez-des-tas-de-droits/) fustigeant l’abus de la notion d’État de droit nous a valu quelques réactions intéressantes et fondées. Dont une particulièrement sensée, émanant qui plus est d’un Breton très à cheval sur l’identité de son duché. Un homme de surcroît érudit, en histoire de la Bretagne et de ses rapports avec le royaume de France, puis des régimes républicains successifs qui l’ont gouvernée.
Les députés de la nation se croient malins en adoptant un amendement de “défiscalisation” de la pension alimentaire reçue, généralement par les mamans (forcément gentilles) et versées par les papas (forcément méchants).
Le problème c’est que les choses sont beaucoup plus complexes et nuancées que cette moraline suintante et insupportable.
Tout ceci est délirant.
Nous vivons dans un monde où le bon sens a totalement disparu de l’action et de la décision publique.
Nous payons des sommes folles et entretenons des situations ubuesques.
Rien n’est logique là dedans.
Il est parfaitement logique d’être indemnisé par le système dans lequel on a cotisé. Ceux qui font le choix de travailler en Suisse ou en Belgique sont libres de le faire, mais ce n’est pas à la France d’assumer le coût de leur indemnisation chômage puisqu’ils sont “hors” système français.