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QUI VEUT LA PEAU DES AGRICULTEURS ?
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« 40 % des agriculteurs français vivent sous le seuil du RSA, et 80 % touchent moins que le SMIC brut »
La colère monte dans le monde agricole, notamment face à la possible signature de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et les pays du Mercosur. Cependant, pour Philippe Grégoire, éleveur de bovins dans la région d’Angers interviewé par le journal Epoch Times, cette problématique n’est qu’un symptôme d’une crise bien plus profonde. Selon lui, le véritable mal qui ronge la paysannerie française réside dans la captation de la valeur ajoutée par l’industrie agroalimentaire et les multinationales.
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PEUGEOT A DÉTRUIT sa propre MARQUE
Il existait autrefois une marque européenne symbole de confort, de luxe, de qualité et de silence, mais aujourd’hui, Peugeot, ce n’est que des maux de tête avec des moteurs comme le thpum, et dernièrement son fameux putretech, avec sa foutue courroie baignée d’huile.
Dans cette vidéo, vous verrez comment une marque est capable de ruiner complètement son image, la conduisant à acquérir l’une des pires renommées qu’aucune marque ne souhaiterait avoir. C’est-à-dire le déclin de Peugeot, bienvenue à Andresito.
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Agriculteurs en colère : la Mutualité sociale agricole dans le viseur
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Nucléaire saboté, faillites en série, chômage : bravo les écolos !
Dans cette vidéo, Fabien Bouglé, sans doute le meilleur expert en énergie que nous ayons avec Alban d’Arguin, nous explique les conséquences catastrophiques pour la France de l’explosion du prix de l’électricité, qui cause et va causer des faillites de masse énormes, avec le chômage qui va suivre.
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Mercosur : la colère des agriculteurs gronde… seuls Éric et Sarah les écoutent vraiment
Après quelques paroles bien senties lors des premiers discours, laissant supposer que Retailleau avait mangé du lion, et semblait déterminer à lutter au côté des citoyens, contre la violence, notamment des dealers et des envahisseurs meurtriers…
Malheureusement, il s’est avéré « qu’à la fin de l’envoi… il n’a rien touché » ; en tous cas pas les bonnes cibles, puisque c’est finalement contre les paysans qu’il ose réclamer « une tolérance zéro » !
Quel guignol ! Finalement aussi menteur que le Premier ministre qui l’a choisi… donc, retour à la case départ ; ce ne sont pas encore ces deux bouffons qui nous sauveront des griffes de la pieuvre UE et son odieuse maîtresse « Pustula La Hyène » qui n’a jamais si bien porté son surnom.
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Sur le front de la révolte paysanne, la Coordination Rurale
La Coordination rurale, le syndicat le plus actif actuellement contre les dispositions de l’Union Européenne qui « euthanasie » l’agriculture française, continue ses actions partout en France mais surtout entre en campagne contre la duplicité de la FNSEA et de son Président, Arnaud Rousseau.
Avec de tels amis, pas besoin d’ennemis, doivent se dirent les adhérents de la Coordination Rurale en découvrant le double jeu d’Arnaud Rousseau, le Président du syndicat agricole la FNSEA.
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Quitte ou double avec Barnier
Barnier veut consulter les oppositions, comprenez, ceux qui ont été écartés du gouvernement alors qu’ils étaient devant Macron ou les LR lors des dernières législatives, mais factuellement Barnier n’a que des opposants non ? Bref s’il fait cela c’est qu’il a dans l’idée de déclencher un 49.3 pour faire adopter son budget qui n’en finit pas d’être corrigé, retouché, amendé. Borne ne s’embarrassait pas autant, à peine la porte du palais Bourbon poussée, elle le dégainait et ça passait. Lui a dû faire croire qu’il écoutait les parlementaires, faute de disposer d’une majorité. Le jeu doit commencer à irriter Macron qui n’a pas l’habitude qu’on lui résiste et donc il est temps de siffler la fin de la récréation. Soit, jusque là rien ne bien novateur, ce qui l’est à revanche, c’est l’attitude qu’aura le RN face à une éventuelle motion de censure. Va-t-il une fois de plus s’abstenir de la voter, ou enfin saisir cette chance pour renverser Barnier et porter un coup dur à Macron ? L’enjeu est simple et pourtant de taille pour le RN, soit il s’affiche au soutien du peuple qui souffre, celui des agriculteurs, des petits commerçants, de ces salariés que le Sénat veut faire travailler gratuitement pendant 7 heures, rétablissant la corvée de l’ancien régime, nouvelle forme d’esclavagisme sous couvert de solidarité nationale, s’exonérant lui, bien entendu, de toute économie, de tout renoncement à ses propres privilèges, comme toujours. Soit il s’abstient, peu importe ses motivations et se place de facto comme l’assurance tout risque de Macron et de cette Europe mortifère, rompant définitivement avec le peuple, le trahissant une fois de plus, une fois de trop.
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Médicaments. L’alerte des laboratoires sur la désindustrialisation de notre pays.
C’est très bien de se jeter des fleurs en se disant “qu’est-ce qu’on est bien nous”… ou autres “vous avez vu comment c’est pire aux Etats-Unis”. C’est encore mieux de dresser les vrais constats et de ne pas céder à la béatitude naïve. L’optimisme oui. Le volontarisme ? Oui aussi. Mais pas la béatitude naïve qui n’est rien d’autre que de l’aveuglement volontaire qui a pour conséquence d’encourager et de fabriquer l’inaction. On ne peut corriger que ce que l’on accepte comme étant mauvais, à améliorer ou à rendre plus fonctionnel.
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L’UE et les écolos responsables de la destruction de nos industries et notre agriculture
En France, le fatal démantèlement de notre tissu industriel et agricole se poursuit donc inexorablement.
Ainsi, un plan de discontinuité a été négocié entre l’État français et la Commission européenne. Cela fait suite à l’ouverture d’une enquête sur des aides de la France versées au leader du transport ferroviaire dans notre pays, Fret SNCF, et jugées illégales – car, selon l’Union européenne, il est devenu illégal pour une nation d’aider ses entreprises ! Ce plan va provoquer la destruction du fret en France, remplacé par deux sociétés : Hexafret, pour le transport de marchandises et Technis, pour la maintenance des locomotives. 10 % des emplois – 500 – dans ce secteur sont menacés, même si la SNCF promet qu’il n’y aura pas de licenciement, sachant, selon le cynique, lâche et incompétent Jacques Chirac, que « les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent ».