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La France n’est pas la Corée du Nord comme vous le savez. Ici pas de goulag, même plus de camps d’internement en Sibérie, même si la Sibérie c’est en Russie, mais vous voyez l’idée !
Non, la France c’est plutôt la Corée de l’Ouest avec le contrôle social à la chinoise.
Alors comme le dit Gérald Darmanin, la solution c’est la reconnaissance faciale et le contrôle social de la population délinquante.
Amélie de Montchalin, la ministre qui taxe plus vite que son ombre affirme qu’elle ne sera pas la ministre qui va augmenter les impôts sauf ceux des retraités !
La ministre Amélie de Montchalin (39 ans) affirme ne pas vouloir augmenter les impôts, car cela pénaliserait le pouvoir d’achat de la classe moyenne, mais en même temps elle pense augmenter les impôts des retraités, déjà fragilisés sur le plan économique, en supprimant leur abattement de 10 % pour frais… Elle sait faire du Macron ! Cela donne l’impression qu’il existe pour elle des citoyens à deux vitesses.
Les détections des fraudes aux allocations familiales ont augmenté de 20% en 2024 par rapport à l’année précédente, pour représenter 450 millions d’euros, a annoncé le directeur de la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) Nicolas Grivel, à la Tribune dimanche. Cette augmentation de 20 % par rapport à l’année précédente, «qui était déjà record», «ne signifie pas que les allocataires fraudent plus qu’avant, mais que nous avons amélioré notre capacité de contrôle», précise le directeur évoquant plus «30 millions de contrôles» effectués en 2024. En cas de fraude, la personne doit rendre l’argent avec une pénalité de 10 % et dans les cas les plus graves, la sanction est pénale.
Pour cette nouvelle édition, "Cette année-là" replonge dans le numéro d’Éléments paru à l’issue des grandes grèves de 1995 contre le plan Juppé. À l’époque, notre revue consacrait un grand dossier à ce soulèvement social sous le titre évocateur : "L’insécurité sociale". Presque trois décennies plus tard, l’histoire semble bégayer : les manifestations massives contre la réforme des retraites en 2023 ont ravivé les mêmes colères, les mêmes fractures, avec le même soutien populaire, massif et durable. De quoi cette insécurité est-elle vraiment le nom ? D’un déclassement et d’un abandon programmé par les élites ? Analyse.
Ce premier mai déchire, entre ceux qui voudraient le maintenir férié et les autres, qui voudraient en faire un jour comme un autre, revendiquant le droit de travailler. Au RPF, le travail est l’une de nos valeurs fondamentales et profitons de ce jour pour dresser quelques constats. La valeur travail justement disparaît, travail au sens de « production de richesses ». Car c’est bien cette considération qu’il faut prendre en compte si nous voulons que la France retrouve à la fois du rayonnement et des finances. Il faut bien différencier ces emplois de ceux qui sont créés en masse actuellement : des gestionnaires et des contrôleurs. Nous pondons des normes, avec des gens pour les appliquer, des gens pour les contrôler, d’autres gens qui supervisent les contrôleurs, des conseilleurs pour que tout le monde se retrouve dans le fatras. Mais encore, des surveillants, puisque désormais tout est soumis à la délinquance galopante et qu’il est désormais impensable d’envisager le moindre travail sans système de contrôle des locaux, des employés, sans avoir de vigile… La charge sur le travail a augmenté sans limite, d’impôts, de normes, de taxes, de surveillance, de contrôle, fruits d’une politique qui a conduit à la perte de la conscience professionnelle et de la rigueur.
Depuis 1941 en France, la fête du Premier mai est supposée rendre hommage au Travail. Les disciples de Nathalie Arthaud et autres nostalgiques d'Arlette Laguiller contestent fortement cette interprétation légale, car elle remonte au gouvernement de l'État français. Elle leur paraît trahir la tradition des luttes syndicales ouvrières. C'est en 1856, en Australie, qu’est née, en effet, la revendication d’une journée ouvrière de repos, comme un moyen d’obtenir la journée de 8 heures. La date était alors fixée alors au 21 avril. Ce n'est qu'en 1889, que les socialistes de la IIe Internationale décidèrent de fixer leur mobilisation au 1er mai, en référence aux violences répressives lors des manifestations de 1886.
Camarades ? Non : complices. Ce 1er mai 2025, les drapeaux rouges sont en réalité recouverts de la même graisse que les mains du patronat mondialisé. À force de trahir leurs fondements, les héritiers d’une gauche ouvrière, sociale, enracinée dans les luttes du peuple, sont devenus les larbins de ceux qu’ils prétendaient autrefois combattre. Uber Eats, Deliveroo, restauration low-cost, exploitation agricole industrielle : les esclavagistes modernes peuvent remercier LFI, la CGT et leurs petits nervis anarcho-autonomes. Grâce à leur agitation cosmopolite permanente, ils tiennent la jeunesse européenne en joue, étranglent les classes populaires, et surtout, assurent le renouvellement illimité d’une main-d’œuvre corvéable, sans conscience politique, sans racines, sans défense.
Dans le désastre permanent qui n’en finit pas de se banaliser, nous apprenons terrifiés, du moins devrions nous l’être, que la France fait face à une situation qualifiée pudiquement d’alarmante, car des seniors se retrouvent à fouiller les poubelles pour vivre. Le terme a quelque chose déjà d’indécent, comme une insulte feutrée à l’humanité, à ce qui nous y rattachait : ce lien que l’on croyait éternel et imprescriptible avec nos anciens et leurs conditions de vie. Ceci alors que nombre de faux migrants sont logés dans des hôtels avec piscine réquisitionnés. Mais c’était sans compter avec ces nouvelles générations rompues à la haine et la hargne, au renversement des valeurs, l’oubli et l’aversion et de l’empathie érigés en progressisme, qui déversent leur acrimonie en conclusion d’un dogme qui se veut politique et économique. On se souvient des propos de madame Astride Panosyan Bouvet, fustigeant les retraités qui gagnent plus de 2000 euros comme d’infâmes profiteurs, et leur devoir de contribution pour combler un déficit construit et accumulé par l’impéritie des politiques eux-mêmes. Mais c’est désormais un fait avéré, ils creusent le déficit et nous devons le boucher.
Viktor Orbán a adopté mardi 29 avril une mesure visant à renforcer la natalité en Hongrie. Le gouvernement hongrois souhaite exempter d’impôts les mères d’au moins deux enfants.
Il n’y a pas un problème qu’un nouvel impôt ne puisse résoudre.
C’est incroyable !
Ils sont affligeants de prévisibilité.
Si demain on confiait le Sahara à des politiciens français, ils taxeraient les grains de sable pour faire reculer le désert… ce qui évidemment n’arriverait pas.
Voici le raisonnement du mamamouchi Attal qui se croit malin le lynx.