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RESIDENCE SENIORS-EHPAD : MEME TRISTESSE
Le livre de Victor Castanet, Les Fossoyeurs (1), sur les EHPAD, a attiré l'attention du grand public sur la triste fin de vie de nos aînés très souvent handicapés. Le cours de la bourse des profiteurs de la détresse humaine a baissé, les contrôles réglementaires après bien des compromissions se sont faits plus rigoureux. Sur le fond, nous pouvons penser à une légère amélioration du quotidien dans ces mouroirs.Un de mes amis proches, ancien maire adjoint, durant plus de trente ans, d'une commune de Seine-Saint-Denis habite depuis bientôt deux ans dans une station balnéaire bretonne, dans une "résidence services séniors". À la suite d'un AVC, il est contraint de se déplacer dans un fauteuil roulant. -
Mélenchon soutient le « tout bloquer » du 10 septembre : au moins, c’est clair
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Malaise dans la gendarmerie : une démission silencieuse
La Gendarmerie Nationale traverse une profonde crise de sens et nous relatons quelques chiffres en provenance de l’intérieur de l’institution. Aux premiers chefs : fatigue, pression, perte de sens : les rangs de la gendarmerie française se vident à un rythme inquiétant. En 2024, près de 8 000 gendarmes ont quitté l’uniforme. Un groupe Facebook privé, GIE : Côté démission, réunit déjà plus de 23 000 membres, tous unis par le même constat : ça ne peut plus durer.
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Au RPF, nous saurions sauver la filière automobile
Nous parlions récemment, au RPF de notre inquiétude à voir sombrer le secteur automobile français autrefois florissant, à l’occasion des nombreuses polémiques pour malfaçons qui entachent les voitures actuelles. Coups de frein intempestifs, mauvaise lecture, par les systèmes d’aide à la conduite, des situations particulières, travaux ou centres urbains, airbags défectueux, voyants qui s’allument en permanence, rappels de grandes séries de modèles pour diverses tares de construction, bugs dans les systèmes de gestion informatiques… la réalité est que les normes accumulées par Bruxelles obligent les constructeurs à mettre sur le marché des voitures de plus en plus complexes et logiquement, des édifices technologiques de moins en moins stables, avec une convergence vers ce qui se pratique en aviation avec les machines les plus complexes : autant de temps de maintenance que de temps de vol. Le problème est que le particulier ne peut pas encaisser ce système, il va au travail avec la voiture en question tous les matins et il compte sur sa fiabilité et sa sécurité. Et cela touche aussi bien les derniers modèles thermiques que les modèles électriques, avec des garagistes bien souvent eux mêmes dans l’incapacité de procéder aux réparations. Sachant que dorénavant, le cahier des charges spécialement préparé par les escrologistes ne permet plus d’envisager la mise au point d’un banal moteur thermique et entraînera donc la perte de l’ensemble de ce savoir faire, alors qu’il va rester de nombreux moteurs thermiques indispensables : engins de chantier, de secours, militaires, qui fonctionnent tous au diesel, n’en déplaise aux écologistes, c’est ce que nous avons de mieux pour affronter les pires conditions climatiques et de terrain.
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CHAPEAU A ALEXANDRE JARDIN QUI FAIT DU BIEN AU PEUPLE AVEC SON MOUVEMENT LES GUEUX !
Jean-Marc Belloti (Fédération française des motards en colère) et Alexandre Jardin (Les #Gueux), lors de la manifestation parisienne du 17 mai 2025.
[L’ÉTÉ BV] Alexandre Jardin, le drôle de Zèbre des #Gueux
Comment Alexandre Jardin, écrivain-cinéaste à succès, a décidé de plonger les mains dans le cambouis pour les #Gueux.
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Facture d’électricité : Jardin, Ménard, Lisnard et Bellamy sonnent l’alarme
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Le nomadisme patronal, un danger pour les entreprises françaises ?
Par Jean-Philippe Chauvin
Mercenaire, c’est ainsi que l’éditorialiste de Challenges (dis)qualifie Luca de Meo qui, de patron du constructeur automobile Renault va devenir celui de la multinationale du luxe Kering sans coup férir et sans avoir vraiment terminé ce pour quoi il avait été recruté il y a cinq ans, c’est-à-dire remettre sur pied Renault et préparer l’entreprise aux défis du lendemain. Comme l’écrit Vincent Beaufils, « Luca de Meo a beau répéter en boucle qu’au bout de cinq ans, le job était terminé, le sentiment est au contraire qu’il l’a abandonné au milieu du gué. D’ailleurs, pourquoi avoir rempilé l’an dernier pour un deuxième mandat de quatre ans si l’essentiel du travail avait été exécuté ? (…) L’automobile est une industrie de temps long ».
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[REPORTAGE] En Savoie, à la rencontre des éleveurs dont les troupeaux sont abattus
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À Washington, Trump éloigne les sans-abri. À Paris, Macron vit sous leur loi…
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Loi Duplomb partiellement censurée : les agriculteurs contre-attaquent