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Le moins que l’on puisse dire c’est que Marc Fiorentino en a gros sur la patate économique et c’est assez logique ce qu’il dit étant juste.
Le président Macron a créé des conditions économiques épouvantables pour les TPE et PME françaises. L’économie est à l’arrêt depuis la dissolution ratée.
Voici encore un exemple de Totoche ou de Toto en recherche d’emploi qui n’ont strictement rien compris, alors je vais m’y coller pour rétablir quelques vérités essentielles même si cela fait hurler nos jeunes ouins-ouins fragiles des genoux et de tout le reste !
Cela fait une moyenne de 0.62 CV envoyé par jour… ce qui est une performance très médiocre si l’on cherche vraiment un travail… On peut même dire que la Juliette ne s’est pas franchement foulée et qu’elle est loin de l’entorse des doigts ou de « clavier-elbow »…
A quelques encablures du sommet Choose-France, la grand-messe macroniste du « Nous sommes les plus attractifs », les bémols se multiplient de la part d’économistes qui semblent avoir décidé de ne plus se laisser bercer par les illusions de cette première place de l’attractivité en Europe. Oui, nous sommes toujours, en France, les plus attractifs pour les investisseurs. Oui, mais on compte les « projets » et pas du tout les réalisations, parce qu’entre les deux, il y a un monde. Les projets sont les illusions et les réalisations, bien en deçà des annonces. Second bémol : le solde des investissements : les entreprises françaises investissent plus à l’étranger que les étrangers n’investissent en France. Troisième bémol : le solde en terme d’emplois : non seulement les entreprises françaises créent à l’étranger des emplois qu’elles ne créent pas en France mais au solde des niveaux de compétences, nous sommes perdant, à importer de la main d’oeuvre sous qualifiée ou peu qualifiée, pour des emplois également peu qualifiés, pendant que nos travailleurs les plus qualifiés s’en vont. Quatrième bémol : l’ensemble de l’Europe est en régression en terme d’attractivité et la France reste dont en tête d’un groupe qui globalement descend. Et la tendance n’est pas bonne, au-delà de l’instantané flatteur mis en exergue par une presse dont tout le monde a bien compris qu’elle est aux ordres.
Dans le Tarn-et-Garonne, une enquête conduite par le parquet de Montauban a permis de mettre au jour une filière marocaine d’immigration illégale adossée à un système de travail dissimulé dans le secteur agricole. Trois personnes ont été interpellées. Elles sont soupçonnées d’avoir participé à une filière organisée d’aide à l’entrée et au séjour irréguliers, mêlant emploi d’étrangers sans titre, travail dissimulé et abus de bien social. Des saisonniers, recrutés contre 10 000 euros, étaient exploités dans des exploitations locales sans titres de séjour ni droits sociaux. Deux suspects seront jugés en octobre.
Le décès de sa mère, survenu en Algérie en 2019, n’avait pas été déclaré : pendant plus de trois ans et demi, son fils de 49 ans, qui avait procuration sur son compte bancaire, a continué à percevoir son allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa). Il a été condamné pour escroquerie par le tribunal correctionnel de Montpellier (Hérault). Le tribunal correctionnel a condamné le mis en cause à six mois de prison ferme, l’obligeant à verser, en guise de remboursement, 44 346 € et 1 200 € de frais de justice.
Dans le même temps, le Premier ministre se charge de trouver les financements de l’économie de guerre et de désarmer les oppositions ou, plutôt, d’éviter la censure qui le renverrait sans sursis à ses terres béarnaises… Le risque, évident, serait de négliger le social en arguant de l’urgence géopolitique, et de s’engager dans des voies qui pourraient vite devenir des impasses pour l’État et des boulevards pour les contestations parfois inconsidérées ! Pour l’heure, l’opinion publique reste publiquement sage quand elle s’inquiète, plus ou moins discrètement, des risques d’un lendemain incertain. Mais le calme social n’est-il qu’apparent ? Les mois qui viennent nous répondront plus sûrement que les prédictions du marc de café, et l’humilité nous impose de ne pas forcément prévoir le pire, mais de s’y préparer pour pouvoir y parer efficacement.
Ce week-end, le PDG de SNCF Voyageurs, Christophe Fanichet, se voulait rassurant quant aux risques de grève : « Nous sommes loin d'une semaine noire. » Des propos infirmés dès ce lundi 5 mai au matin où les trajets des usagers, en Île-de-France ou dans le Nord-Pas-de-Calais, ont été apocalyptiques. Les syndicats n’avaient-ils pas prévenu ? « Du 5 au 7 mai, mettons les trains à l’arrêt ! » Les préavis de grève concernent aussi, bien sûr, le pont du 8 Mai.
Selon un sondage Elabe pour Les Echos, un Français sur deux (48 %) juge son accès aux soins compliqué, long ou partiel, et un sur dix (9 %) déclare n’y avoir aucun accès, que ce soit physiquement ou en ligne.
Les Daesh-compatibles n’ont même pas besoin de faire le boulot, les collabos le font à leur place. Dans une législative partielle, le candidat du Parti de la France, Alexandre Hinger, a affirmé que la Caf était le 6e pilier de l’islam. Le candidat socialiste Clément Mugnier dépose plainte contre lui.