Dans ces colonnes, il a largement été question, ces derniers temps, de la dette, du déficit public, notamment avec la séquence d’autosatisfaction de Bruno Le Maire devant la commission des finances du Sénat. Le projet de loi de finances de fin de gestion 2024 (PLFG) prévoit donc un déficit public de 178,2 milliards d'euros qui va creuser un peu plus la dette publique. C’est colossal ! Quand on sait que 83 % de cette dette publique est du fait de l’État ou d’organismes qui en dépendent, et, pour 9 %, des administrations de Sécurité sociale – les 8 % restants relevant des collectivités locales, qui ne s’endettent que pour investir et non pour fonctionner -, on est pris de vertige.
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[ÉDITO] Industrie française : Montebourg annonce une « boucherie »
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L’AfD s’oppose à l’introduction d’une taxe sur les transactions financières et sur le numérique
Nicolas Faure : L’Allemagne est en tête du peloton mondial en matière d’impôts et de charges sociales. Le SPD au pouvoir tente de financer sa politique en instaurant toujours plus de taxes. Une réforme fiscale de fond semble plus que nécessaire. Quelles mesures devraient être prises dans le cadre d’une telle réforme ?
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Assistanat contre ESAT. Entre scandale et inspiration.
Voici un reportage très court sur les ESAT ces établissements où l’on fait travailler nos concitoyens en situation de handicap notamment cérébral.
Certains seront choqués de voir ces gens travailler et dont les prestations sont facturées à la “pièce” aux clients.
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[PEOPLE] Felipe et Letizia dans la boue : plus que jamais roi et reine !
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« Et si le problème n’était pas de sauver notre modèle social mais de l’achever ? ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Voilà une question sacrément provocante, mais il est nécessaire de la poser.
Et pour cause.
Il ne se passe pas un jour sans qu’un de nos mamamouchis, députés, ministres ou même président ne nous parle de “sauver notre modèle social”.
Or, plus le temps passe et plus je me demande si justement le problème n’est pas ce postulat de base erroné.
“Il faut sauver notre modèle social” comme autrefois le soldat Ryan… Le problème c’est que pour sauver le soldat Ryan, on va sacrifier tout plein d’autres soldats. Si Ryan et sa maman sont contents d’être sauvés, plein d’autres mamans, elles, seront endeuillées sur l’autel de cet objectif.
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Michelin annonce la fermeture de ses usines de Cholet et Vannes d'ici début 2026 en raison de la hausse des prix de l'énergie
Michelin a annoncé la fermeture de ses usines de Cholet et Vannes d'ici début 2026, entraînant la suppression de 1 254 emplois. Cette décision est motivée par la hausse des coûts énergétiques. Les 300 employés de Vannes et 963 de Cholet seront accompagnés par des dispositifs de reconversion, de préretraite et de mobilité interne. La direction reconnaît le choc pour les salariés, mais souligne l'engagement de Michelin à soutenir chacun dans la transition professionnelle.
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Le traité Mercosur contre l'agriculture française.
L’agriculture française sera-t-elle sacrifiée au libre-échange par la Commission européenne ? Après vingt ans de négociations, la possibilité d’un accord de l’Union européenne avec les quatre pays d’Amérique du Sud qui constituent le Mercosur (1), se précise, au grand dam des agriculteurs de notre pays qui s’en alarment et contre l’avis de la France qui s’y oppose toujours, pour des raisons à la fois sociales et environnementales. Mais la présidente de la Commission européenne, Mme Ursula von der Leyen, et la plupart des États européens souhaitent accélérer le processus d’accord, pour l’annoncer officiellement lors du prochain sommet du G20 qui se tiendra les 18 et 19 novembre au… Brésil !
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La politique naturelle – La question ouvrière et la démocratie sociale (1)
Nous vous proposons aujourd’hui le cinquième chapitre de La politique naturelle, ce texte incontournable pour les royalistes d’Action française. Néanmoins, la question étant largement développée, nous la diffuserons en deux fois…
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Par Charles Maurras
À peu près du même âge que notre Révolution, la grande industrie avait apporté, en naissant, un énorme contingent de biens nouveaux, mais aussi un déséquilibre qui n’a pas été vu tout de suite.
Les capitaines d’industrie qui présidèrent à l’essor sans précédent de toute l’immense machinerie que renouvelait la vapeur, étaient de bons esprits, hardis et pratiques ; le fait est qu’ils n’ont pas senti quel renouvellement moral devait accompagner le changement matériel obtenu. On dit qu’ils étaient sans entrailles. Ils avaient des entrailles comme vous et moi. L’explication doit être ailleurs.
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Les Français doivent soutenir leurs agriculteurs jusqu’au bout - Pierre-Yves Rougeyron
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Les Français doivent soutenir leurs agriculteurs jusqu’au bout - Pierre-Yves Rougeyron