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Vendredi 29 août commencera une semaine de mobilisation pour les Gueux. Et si le mouvement avait débuté avec les seuls automobilistes et motards comme partenaires organisés, bien d’autres organisations l’ont rejoint depuis les premiers rassemblements contre les zones à faibles émissions (ZFE).
Un fait divers devenant hélas de plus en plus courant secoue la petite ville de Carcassonne. Maria, une femme seule face au système judiciaire français devenu inhumain et inique, se bat pour récupérer sa maison confisquée par des squatteurs. Banal direz vous, mais cette fois, l’histoire va bien plus loin que d’habitude. Les squatteurs sont partis en vacances. Nous sommes dans un pays où des gens qui ne paient pas de loyer ont les moyens de partir en vacances, pendant que des gens qui travaillent ne prennent de vacances que dans la famille, sinon, c’est trop cher… voire pas de vacances du tout. Lasse de ne pas trouver d’écho auprès de la justice, Maria a récupéré sa maison pendant les vacances des squatteurs… en quelque sorte, elle a squatté, chez elle, à son tour, la maison des squatteurs. Sauf qu’elle, elle n’a pas le droit de squatter, elle est propriétaire et elle est honnête.
Il y a un mois, la voix de Synthèse nationale a été l'une des premières à s'élever pour mettre en garde nos milieux contre l'entreprise manifeste de récupération de ce mouvement de contestation, lancée par la gauche et l'extrême gauche. Á l'heure où LFI, Sud Rail, le PS ou les Verts s'emploient à instrumentaliser, à détourner à leur profit et à vider de son contenu initial la colère légitime d'une partie des Français, nous mettons en ligne, de nouveau, l'article que nous avons publié le 27 juillet dernier. Une chose est sûre : nous ne servirons pas la soupe à la camarilla incendiaire rouge-noire-verte !
Entamé un peu comme le mouvement des Gilets Jaunes, sur les réseaux sociaux, avec un profil de gens assez patriote et exprimant son ras le bol de la politique Macron, l’appel au blocage du 10 septembre provient globalement des mêmes catégories sociales. Et Mélenchon, fort de l’expérience des Gilets-Jaunes où il avait failli raté le coche, a pris les devants cette fois, pour être sûr que ce mouvement populaire ne lui échappe pas. Le problème est qu’il n’y sera pas majoritaire, mais que ses militants, en général formés, sauront sans en encombre confisquer le mouvement à ses initiateurs. Ils ont leur technique, par le noyautage, l’intimidation et la violence, on les voit sans arrêt à la manœuvre avec cette capacité, en étant pourtant un groupuscule, à prendre l’ascendant et à s’imposer derrière les mégaphones et sur les estrades, en lieu et place des organisateurs originels souvent débordés par « celui qui braille le plus fort ».
Cela suffit ! Kevin ne se laissera pas faire, il est temps que ce gouvernement de fascistes comprenne que le peuple français refuse cette austérité imposée par des puissances étrangères !
Kevin essuie sa sueur abondante d’un revers de main : dans sa petite chambre-étuve d’étudiant inscrit en sociologie à Rennes 2, devant ses murs décorés d’un poster de Che Gevara trans et d’une série de flyers colorés par des arc-en-ciels équitables et inclusifs, alors que la température intérieure frise les 32°, il serre ses petits poings juvéniles en repensant à cette journée d’avril où la police gouvernementale avait éparpillé avec brutalité ses camarades qui tentaient de se mobiliser contre l’austérité dans l’enseignement.
La série « On Good Soil » (Sur un sol fertile) d’EWTN explore la popularité croissante de l’agriculture familiale et examine comment ce mode de vie nous aide à mieux nous connecter à la nature, à nos familles et à Dieu. Des familles catholiques discutent de la manière dont l’agriculture familiale renforce leurs liens familiaux et leur permet de mener une vie plus contemplative et plus vertueuse.
Le professeur David Whitmore, géopoliticien au King’s College de Londres, a évoqué froidement la possibilité d’une guerre civile en France et au Royaume-Uni, lançant ainsi une alerte que tout le monde a l’air d’évaluer comme plausible, mais que les « élites » refusent d’entendre. Pourtant quelques prémices ont lieu, actuellement, en Espagne et en Angleterre. En France, factuellement, c’est aussi un peu déjà la guerre civile, sauf que les Français ne se défendent pas. Mais ils sont victimes tous les jours des agissements violents de gens issus d’un groupe historiquement vindicatif et conquérant.
Le livre de Victor Castanet, Les Fossoyeurs (1), sur les EHPAD, a attiré l'attention du grand public sur la triste fin de vie de nos aînés très souvent handicapés. Le cours de la bourse des profiteurs de la détresse humaine a baissé, les contrôles réglementaires après bien des compromissions se sont faits plus rigoureux. Sur le fond, nous pouvons penser à une légère amélioration du quotidien dans ces mouroirs.
Un de mes amis proches, ancien maire adjoint, durant plus de trente ans, d'une commune de Seine-Saint-Denis habite depuis bientôt deux ans dans une station balnéaire bretonne, dans une "résidence services séniors". À la suite d'un AVC, il est contraint de se déplacer dans un fauteuil roulant.