
La France doit sortir du piège dans lequel elle a sombré depuis des années et qui consiste à régler un problème selon deux axes : l’impôt et la subvention. Ce qui ne semblait qu’anodin au tout début est devenu pesant et insupportable, à présent que le taux d’imposition est l’un des plus élevés du monde avec en échange, des services rendus aux abonnés absents, ou à minima, très en deçà de ce que les prélèvements devraient pouvoir offrir. Avec en arrière plan, la seule question qui vaille ces dernières années : Où passe l’argent ? Cette forme de collectivisation de l’économie a touché toutes les sphères d’influence, du moins celles qui sont par nature stériles, c’est-à-dire nos décideurs politiques et ceux qui diffusent la pensée, les journalistes, subventionnés justement ! Souvenez-vous en 1976. La grande sécheresse de l’époque avait accouché d’un impôt de solidarité pour venir en aide aux agriculteurs qui avaient souffert de l’événement climatique. Ce qui devait être une exception est devenu une règle, et pour tout problème on considère que la taxe est la meilleure solution pour réguler ou modérer une consommation, une pratique.