
Viktor Orbán a adopté mardi 29 avril une mesure visant à renforcer la natalité en Hongrie. Le gouvernement hongrois souhaite exempter d’impôts les mères d’au moins deux enfants.
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Viktor Orbán a adopté mardi 29 avril une mesure visant à renforcer la natalité en Hongrie. Le gouvernement hongrois souhaite exempter d’impôts les mères d’au moins deux enfants.
J’adore ce pays et ses politiciens. C’est exquis.
Il n’y a pas un problème qu’un nouvel impôt ne puisse résoudre.
C’est incroyable !
Ils sont affligeants de prévisibilité.
Si demain on confiait le Sahara à des politiciens français, ils taxeraient les grains de sable pour faire reculer le désert… ce qui évidemment n’arriverait pas.
Voici le raisonnement du mamamouchi Attal qui se croit malin le lynx.
C’est un article du Parisien (source ici) qui revient sur l’explosion des licenciements des… apprentis !
« En post-bac, les ruptures de contrats ont augmenté passant de 10 % en 2017 à 18 % en 2022. Si certaines sont à l’initiative des étudiants, d’autres sont bien souvent subies et marquent durablement les parcours. »
Ce phénomène est assez logique et assez facile à comprendre également.
David Jacquot sur Ecorama voulait que l’on parle de la taxe d’habitation le retour !
« Si un retour de la taxe d’habitation a été exclu par le ministre de l’Aménagement du territoire, François Rebsamen, ce dimanche il a ouvert la porte à une « contribution modeste » pour le « financement des services publics de la commune ». Est-ce le retour d’une taxe d’habitation déguisée ? »
La France doit sortir du piège dans lequel elle a sombré depuis des années et qui consiste à régler un problème selon deux axes : l’impôt et la subvention. Ce qui ne semblait qu’anodin au tout début est devenu pesant et insupportable, à présent que le taux d’imposition est l’un des plus élevés du monde avec en échange, des services rendus aux abonnés absents, ou à minima, très en deçà de ce que les prélèvements devraient pouvoir offrir. Avec en arrière plan, la seule question qui vaille ces dernières années : Où passe l’argent ? Cette forme de collectivisation de l’économie a touché toutes les sphères d’influence, du moins celles qui sont par nature stériles, c’est-à-dire nos décideurs politiques et ceux qui diffusent la pensée, les journalistes, subventionnés justement ! Souvenez-vous en 1976. La grande sécheresse de l’époque avait accouché d’un impôt de solidarité pour venir en aide aux agriculteurs qui avaient souffert de l’événement climatique. Ce qui devait être une exception est devenu une règle, et pour tout problème on considère que la taxe est la meilleure solution pour réguler ou modérer une consommation, une pratique.
Il y a une culture du pouvoir et de la démocratie différente dans les pays européens, notamment ceux d’Europe du Nord, mais également dans la proche Suisse. Les Ministres nordiques, les conseillers fédéraux suisses, peuvent être croisés à tout moment par les citoyens, dans un train, sur un quai de gare, sans garde du corps, sans même une secrétaire ou un collaborateur, seul, rentrant du travail avec un ordinateur portable, dans une simple sacoche. Dans ces pays, les dirigeants sont issus du peuple et sont le peuple et y retournent après leur exercice du pouvoir. Et ils font confiance au peuple, suffisamment, pour aller dans les mêmes endroits que lui, sans protection. Il en va tout autrement en France, non pas par obligation, mais par culture.
ETS2. Retenez bien ce nom, car on risque d’en parler dans les prochains jours.
Et ce ne sera pas en bien. Cette taxe carbone pourrait faire flamber les prix des carburants de 23 centimes par litre.
On a eu les Gilets Jaunes pour moins que cela. Entre les ZFE, les malus divers, les limitations de circulation et maintenant ces taxes carburants ETS2, tous les ingrédients d’une nouvelle crise sociale sont réunis.
Face au retrait de ses prestations et après avoir, selon elle, « épuisé tous les recours », cette mère de famille a entamé une grève de la faim devant la mairie de Tence.