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C’est un article du Parisien (source ici) qui revient sur l’explosion des licenciements des… apprentis !
« En post-bac, les ruptures de contrats ont augmenté passant de 10 % en 2017 à 18 % en 2022. Si certaines sont à l’initiative des étudiants, d’autres sont bien souvent subies et marquent durablement les parcours. »
Ce phénomène est assez logique et assez facile à comprendre également.
David Jacquot sur Ecorama voulait que l’on parle de la taxe d’habitation le retour !
« Si un retour de la taxe d’habitation a été exclu par le ministre de l’Aménagement du territoire, François Rebsamen, ce dimanche il a ouvert la porte à une « contribution modeste » pour le « financement des services publics de la commune ». Est-ce le retour d’une taxe d’habitation déguisée ? »
La France doit sortir du piège dans lequel elle a sombré depuis des années et qui consiste à régler un problème selon deux axes : l’impôt et la subvention. Ce qui ne semblait qu’anodin au tout début est devenu pesant et insupportable, à présent que le taux d’imposition est l’un des plus élevés du monde avec en échange, des services rendus aux abonnés absents, ou à minima, très en deçà de ce que les prélèvements devraient pouvoir offrir. Avec en arrière plan, la seule question qui vaille ces dernières années : Où passe l’argent ? Cette forme de collectivisation de l’économie a touché toutes les sphères d’influence, du moins celles qui sont par nature stériles, c’est-à-dire nos décideurs politiques et ceux qui diffusent la pensée, les journalistes, subventionnés justement ! Souvenez-vous en 1976. La grande sécheresse de l’époque avait accouché d’un impôt de solidarité pour venir en aide aux agriculteurs qui avaient souffert de l’événement climatique. Ce qui devait être une exception est devenu une règle, et pour tout problème on considère que la taxe est la meilleure solution pour réguler ou modérer une consommation, une pratique.
En France, il ne suffit plus d’aimer son métier. Faut-il encore obtenir la bénédiction de l’État pour avoir le droit de l’exercer. Chaque 1er mai, fête du travail, la liberté de travailler se heurte à un mur de restrictions (un de plus !) : seuls quelques métiers triés sur le volet peuvent encore exercer, sous condition. Voilà le paradoxe d’une République qui se proclame sociale, mais qui se crispe sur un formalisme déconnecté du réel.
Il y a une culture du pouvoir et de la démocratie différente dans les pays européens, notamment ceux d’Europe du Nord, mais également dans la proche Suisse. Les Ministres nordiques, les conseillers fédéraux suisses, peuvent être croisés à tout moment par les citoyens, dans un train, sur un quai de gare, sans garde du corps, sans même une secrétaire ou un collaborateur, seul, rentrant du travail avec un ordinateur portable, dans une simple sacoche. Dans ces pays, les dirigeants sont issus du peuple et sont le peuple et y retournent après leur exercice du pouvoir. Et ils font confiance au peuple, suffisamment, pour aller dans les mêmes endroits que lui, sans protection. Il en va tout autrement en France, non pas par obligation, mais par culture.
[…] Réagissant à une affaire à Poitiers (Vienne), dans laquelle des squatteurs ont laissé une facture d’eau de 17 000 euros au propriétaire privé de son logement depuis un an, Caroline Imerzoukene a témoigné ce dimanche 27 avril sur CNews de ce qui lui est récemment arrivé.
ETS2. Retenez bien ce nom, car on risque d’en parler dans les prochains jours.
Et ce ne sera pas en bien. Cette taxe carbone pourrait faire flamber les prix des carburants de 23 centimes par litre.
On a eu les Gilets Jaunes pour moins que cela. Entre les ZFE, les malus divers, les limitations de circulation et maintenant ces taxes carburants ETS2, tous les ingrédients d’une nouvelle crise sociale sont réunis.
Face au retrait de ses prestations et après avoir, selon elle, « épuisé tous les recours », cette mère de famille a entamé une grève de la faim devant la mairie de Tence.
C’est une très sérieuse étude sur l’état des lieux du travail mondial (source ici) qui démontre qu’en France ce n’est pas franchement la joie et que les salariés français sont parmi les moins motivés au monde ce qui correspond parfaitement à l’état d’esprit général qui se dégage du monde du travail.
Le groupe ArcelorMittal, en annonçant la disparition prochaine de plus de 600 emplois en France (dont près des deux tiers sont des emplois de production industrielle) sur sept sites du Nord et de l’Est de la France, menace la pérennité de certains écosystèmes des régions touchées et risque d’accroître une désindustrialisation néfaste pour notre pays.