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L’expérience des Gilets Jaunes en Occitanie.
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Violences à Paris/Black Blocs : des gilets jaunes demandent « des comptes » à l’exécutif
Après les violences du 18ème samedi de mobilisation, des gilets jaunes s’adressent, ce dimanche, à l’exécutif. Thierry-Paul Valette, co-fondateur des « Gilets jaunes citoyens », a annoncé avoir demandé « audience » à Emmanuel Macron, « une réunion de crise« , pour obtenir « des acquis conséquents pour les gilets jaunes et les citoyens« .
« Nous demandons par ailleurs des comptes concernant le laisser aller manifeste avec les Black Blocs qui ont saccagé les Champs-Élysées », indique Thierry-Paul Valette.
« Nous ne sommes ni des parias ni des terroristes et avons le droit à toute la considération de la République, plus précisément celle d’Emmanuel Macron ! « , a-t-il écrit dans un communiqué. […]
Autre représentant des gilets jaunes, Hayk Shahinyan, président fondateur du Mouvement alternatif citoyen (MAC), a lui demandé « sans délai la démission du ministre de l’Intérieur Christophe Castaner pour inaptitude à la fonction « .[…]
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Alexandre Langlois : « Le vrai responsable de tout ce chaos, c’est M. Castaner »
Polémique au sujet de la gestion de l’acte XVIII des gilets jaunes par le gouvernement et la préfecture de police de Paris.
Alexandre Langlois réagit au micro de Boulevard Voltaire.
Grosse polémique à la suite de la gestion de l’acte 18 des gilets jaunes. Cette manifestation a été particulièrement violente avec énormément de dégâts matériels.
La responsabilité de la hiérarchie de la police est en cause, notamment le préfet de police et le ministre de l’Intérieur. Comment a été géré cet acte 18 ?L’acte 18 n’a pas été mieux géré que les autres. Cela fait depuis le mois de décembre que nous disons que la gestion du maintien de l’ordre est catastrophique, en particulier sur le mouvement des gilets jaunes. On n’a que le résultat de ce qui se passe depuis plusieurs mois . Cette fois-ci, le résultat est amplifié puisque les policiers sont de plus en plus épuisés, de moins en moins efficaces, et le commandement est toujours aussi désorganisé.
Les bruits courent que le ministre de l’Intérieur aurait été sévèrement réprimandé. On parle également d’une démission possible du préfet de police.
Cette décision politique sera un bon signal envoyé aux forces de l’ordre ?Le vrai responsable de ce chaos est monsieur Castaner. Si monsieur Castaner ne démissionne pas, aucun signal n’est envoyé aux forces de l’ordre.
Même si monsieur Delpuech, préfet de police, n’est pas forcément à la hauteur sur la gestion des gilets jaunes, on pourrait avoir l’impression qu’on fait le ménage sur l’affaire Benalla en se servant du prétexte du maintien de l’ordre.
Ce serait un double non-sens. Donc, soit c’est monsieur Castaner, soit on continue comme avant.
Les LBD ont été reconfigurés pour être moins efficaces, semble-t-il. Cela a coïncidé avec un regain de violence vis-à-vis des forces de l’ordre. Un camion de gendarmes a été retourné et un gendarme a évité de peu de lynchage.
Selon vous, faudrait-il réarmer plus massivement les forces de l’ordre ?Pas forcément. Si jamais, on reçoit des ordres cohérents pour rétablir l’ordre, on peut. Mais, comme toujours, il faut avoir les renforts nécessaires pour intervenir, savoir où intervenir et déployer les forces de l’ordre. S’il y a un véritable danger de mort par lynchage, je rappelle que nous pouvons faire usage de l’arme à feu.
Il y a toujours une peur d’utiliser la mauvaise arme au mauvais moment, car il y a un risque de prendre une vie ou de mutiler quelqu’un. Mais si jamais c’est pour protéger une vie ou éviter que quelqu’un se fasse tuer, alors nous avons les moyens de réagir. A propos du LBD la question n’est pas vraiment de savoir s’il faut les rééquiper ou les modifier, mais il faudrait qu’on ait une formation adéquate pour tirer sur les bonnes personnes et non que ce soit la foire d’empoigne, comme nous avons pu le constater depuis le début des manifestations des gilets jaunes.
Le syndicat Vigi a publié un communiqué rappelant que 86 policiers s’étaient suicidés depuis la prise de fonction d’Emmanuel Macron, 68 depuis le préfet Delpuech et 28 depuis la nomination de Christophe Castaner au ministère de l’Intérieur.
Cet épuisement des policiers ne va-t-il pas aggraver ce fléau qui touche la Police nationale ?Cela va aggraver toutes causes des suicides. Les causes sont des horaires de travail complètement pathogènes, des cycles de travail compliqués, le manque des jours de repos, l’impossibilité d’avoir une vie sociale et familiale épanouie et équilibrée. On a tous besoin, à un moment donné, de se reposer et de voir autre chose.
Tout cela est aggravé avec le mouvement de gilets jaunes, parce que nous avons une gestion des ressources humaines proches du niveau 0. On ne nous paie pas nos heures supplémentaires et on nous dit que, de toute façon, nous sommes corvéables à merci et que nous ne sommes que des numéros. On nous dit aussi qu’on va refaire des mesures complètement ubuesques qui peuvent être prises uniquement dans un bureau, mais qui sont totalement incohérentes sur le terrain.
Tout le cocktail est réuni pour que la situation continue à s’aggraver.http://www.bvoltaire.fr/alexandre-langlois-le-vrai-responsable-de-tout-ce-chaos-cest-m-castaner/
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Beaucoup de monde aux Assises de la France des Gilets jaunes dimanche à Rungis
Riposte laïque et Résistance républicaine organisaient ce dimanche à Rungis les Assises de la France des Gilets jaunes. Il s'agissait, quatre mois après le début de ce mouvement populaire, de dresser le bilan de celui-ci. Ainsi, de nombreux responsables Gilets jaunes, tant locaux que nationaux, ont pris la parole devant un demi-millier de patriotes. Nous reviendrons très vite sur cette réunion dont la hauteur des interventions a enthousiasmé le public.
Nous remercions les organisateurs et les participants pour le sympathique accueil qu'ils ont réservé à notre stand. Le numéro hors-série de Synthèse nationale consacré aux Gilets jaunes a été largement diffusé et notre appel cliquez ici contre la menace de dissolution du Bastion social a reçu plusieurs centaines de signatures.
Dès maintenant, vous pouvez consulter l'ensemble des interventions à cette réunion cliquez ici
En savoir plus et le commander cliquez ici
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Zoom – François Boulo : l’avocat des Gilets Jaunes sans filtre sur TVL
Porte-parole des Gilets Jaunes de Rouen, le très médiatique avocat François Boulo fait le point sur la révolte des Gilets Jaunes. Il reprend, sans filtre, sur le débat national, les manifestations sur le climat, les violences policières, les pillages de l’extrême-gauche. Un entretien important alors que l’on annonce la fin de la révolte des Gilets jaunes.
https://www.tvlibertes.com/zoom-francois-boulo-lavocat-des-gilets-jaunes-sans-filtre-sur-tvl
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On est chez nous?
Incompétences, dysfonctionnements, jeu trouble du pouvoir instrumentalisant les pillards et autres casseurs pour pourrir le mouvement des Gilets jaunes et apparaître comme les garants de l’ordre ? Les critiques pleuvent sur l’exécutif après l’Acte XVIII de la mobilisation des Gilets Jaunes qui s’est soldé à Paris par des centaines de blessés chez les manifestants comme chez les policiers et gendarmes, un peu moins de 200 arrestations et par la mise à sac des Champs Elysées. N’en déplaise à la piètre Anne Hidalgo, les exactions de ce samedi ne sont pas à mettre au passif de l’extrême droite mais aux habituels groupuscules anarchiste et d’extrême gauche. Et ils ont été particulièrement « efficaces » : des dizaines d’enseignes (dont le Fouquet’s) ont été vandalisées et pillées, une banque (le feu s’est propagé à l’immeuble et le pire a été évité de justesse), des kiosques à journaux et des véhicules ont été incendiés. Un bilan 180 millions d’euros de dégâts selon l’estimation des assureurs, quant aux forces de l’ordre qui accumulent les heures supplémentaires, elles sont « sur l’os », épuisées par 18 semaines de mobilisation.
Sur son compte twitter, Jean-Yves Le Gallou a estimé que le « Chaos sur les Champs Elysées (était la) conséquence de la stratégie du pouvoir : absence de solution politique et mépris des GJ, usage inappropriée de la force contre des manifestants pacifiques délégitimant la police et protection des antifas. » Le criminologue Xavier Raufer l’a dit et de nouveau répété dans l’émission Interdit d’interdire sur RT, et il s’en est « étonné » comme Marine Le Pen, il est en effet pour le moins très « curieux » que les antifas et autres black block, - ceux présents samedi sur les Champs étaient nombreux à venir d’Allemagne, de Belgique ou d‘autres pays limitrophes – puissent agir impunément. M. Raufer a rappelé que les indicateurs de police, les balances et autres toxicomanes sont légions au sein de cette mouvance, que leurs déplacements sont en outre surveillés et signalés à la police française par leurs homologues européens. Il serait donc très facile de les neutraliser, non seulement dans les manifs, mais aussi en amont par des arrestations préventives.
Un extrémiste est en tout cas passé sous les radars, à savoir l’auteur du massacre des mosquées de Christchurch (Nouvelle-Zélande) le 18 mars, l’Australien Brenton Tarrant. A priori un «suprémaciste blanc » dont le manifeste dans lequel il dénonce « le grand remplacement » a été utilisé chez nous par un certain nombre de commentateurs pour attaquer tous ceux qui, sous nos latitudes, dénoncent pacifiquement, sans haine, ni violence, les conséquences de l’immigration massive. Immigration-invasion, celle pour le coup des populations européennes vers l’Amérique, qui est au cœur des polémiques ces dernières années sur la célébration du Columbus Day, instaurée en 1892 et décrétée « fête nationale » en 1934, jour férié l’honneur du marin Génois Christophe Colomb, découvreur (officiel) de ce continent.
Sous la poussée des revendications des natives american, des peuples indiens autochtones, et plus largement des opérations militantes d’autre groupes ethniques non blancs, plusieurs villes (Cincinnati, Los Angeles, Phoenix, San Francisco, Seattle..), mais aussi des États entiers (Arkansas, la Floride, Kansas Michigan, Minnesota, Oregon, Texas, Vermont) ont pris la décision de ne plus célébrer cette journée et de la remplacer par un Indigenous Peoples Day. Mais faut-il en arriver pour autant à chasser la mémoire de Colomb de l’espace public ? RT rapportait en début d’année que « l’université catholique de Notre-Dame (Indiana) a décidé de masquer douze fresques représentant des scènes de la vie de l’explorateur Christophe Colomb, jugées aveugles, voire humiliantes envers les autochtones. » En novembre, une statue de ce même explorateur avait été déboulonnée à Los Angeles…
Alors certes, il est admis par tout le monde que l’arrivée des blancs en Amérique a été une catastrophe pour les peuples indiens, décimés par les envahisseurs et les microbes emportés dans leur bagage, chassés de leur terre, parqués dans des réserves…. Ce qui faisait dire en son temps à Jean-Marie le Pen, défenseur des droits et des libertés des indigènes français, qu’il se situait plus dans la lignée du grand Sitting-Bull que d’une tunique bleue …
Pour autant, les extrémistes et autres contempteurs de ce qu’ils appellent la domination blanche, poussent toujours plus loin leur avantage et les tensions inter-communautaires, inter-ethniques s’exportent désormais de ce côté-ci de l’Atlantique. On se souvient des polémiques, dans la foulée de la tragique manifestation de Charlottesville le 12 août 2017, « entre partisans et opposants au retrait de statues confédérées », de « la controverse sur l’Histoire coloniale ( qui s’était exportée) des Etats-Unis à destination de l’Europe, et en particulier de la France. »
Nous nous en étions fait l’écho, Louis-Georges Tin, à la tête de l’association communautaire dite Conseil représentatif des associations noires (Cran), avait demandé au chef de l’Etat de «lancer une réflexion nationale sur la nécessité de remplacer ces noms et statues de la honte par des figures de personnalités noires, blanches ou autres ayant lutté contre l’esclavage et contre le racisme (…) On ne peut pas être dans l’indignation face à Charlottesville et dans l’indifférence par rapport à la France par rapport à toutes statues, toutes ces rues, qui défigurent nos villes. Il faut décoloniser l’espace, il faut décoloniser les esprits…».
Bruno Gollnisch l’a souligné, pour les multucultaristes les plus extrémistes, « l’immigration est une fin en soi, qui n’a plus aucun fondement de type économique ou social. La croyance dans ses infinis bienfaits revêt un caractère quasi religieux. En refusant d’imposer leurs valeurs, leurs normes, leurs langues et leur culture sur leur propre territoire, les pays européens contribuent depuis des décennies à la communautarisation de la société, et créent les conditions d’affrontements inter-ethniques et inter-culturels, qui ont déjà lieu dans plusieurs pays. »
Ce que ne veulent pas voir, refusent d’admettre ou de comprendre les militants des sociétés ouvertes, de l’immigrationisme, c’est que les autochtones, les natifs de ce pays, les Français de souche, bien qu’accueillants, entendent rester maîtres chez eux ; de même que les Européens n’entendent pas devenir minoritaires en Europe, dans leur foyer originel. C’est pourquoi nous refusons par principe une repentance qui entend entretenir le masochisme antinational pour mieux préparer les esprits à la dilution-disparition de la France et des nations de notre espace boréal dans le multiculturalisme.
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Gilets Jaunes : le pouvoir à la dérive – Journal du lundi 18 mars 2019
Gilets Jaunes : le pouvoir à la dérive
Nouveau désaveu pour l’exécutif. L’acte XVIII des Gilets Jaunes a donné l’occasion à des centaines de casseurs de saccager la Capitale… Après des semaines de répression musclée contre les manifestants pacifiques, le gouvernement n’a pas réagi face à l’extrême-gauche… Pendant les scènes de chaos sur les Champs Elysées, Emmanuel Macron était au ski…
Gilets Jaunes : Le casse-tête des Républicains
Les Républicains face à un dilemme. Alors que le mouvement ne bouderait pas une partie de l’électorat Gilets Jaunes, il est bien difficile de conjuguer leur fonctionnement. Chronique d’une séduction vouée à l’échec.
Glucksmann ou la mort du PS
La mort des socialistes en passe d’être consommée. Raphaël Glucksmann est officiellement la tête de liste pour les élections européennes. Une manœuvre qui lui permettra de mêler aux socialistes les membres de sa formation politique Place Publique… une solution de dernier recours pour le PS qui pourrait bien avoir signé sa mort politique.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-le-pouvoir-a-la-derive-journal-du-lundi-18-mars-2019
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Retraite: la ministre de la Santé évoque un allongement de la durée de travail
La ministre des Solidarités et de la Santé Agnès Buzyn a envisagé dimanche de "proposer un allongement de la durée de travail" lors des discussions avec les partenaires sociaux "dans le cadre de la réforme générale" des retraites."La question de l'âge du départ à la retraite est sans arrêt sur la table, à gauche comme à droite", a relevé la ministre lors du Grand jury RTL-Le Figaro-LCI."Moi j'entends ces débats. Le président de la République avait pris lors de sa campagne l'engagement devant les Français de ne pas toucher à l'âge de départ à la retraite. Après, nous allons mener une réforme des retraites pour rendre les retraites plus universelles, plus compréhensibles pour les Français et avoir un système qui pérennise notre système par répartition, peut-être que cela, ça sera en discussion avec les partenaires sociaux dans le cadre de la réforme générale", a-t-elle indiqué.
"Je n'y suis pas hostile", a poursuivi la ministre, interrogée sur l'enjeu de retarder l'âge de départ à la retraite.[...]En savoir plus sur bfmtv.com -
Champs-Élysées : Marine Le Pen a-t-elle tort de dénoncer l’impunité des « cagoules noires » ?
Une partie de la presse fait ses choux gras d’un tweet, publié samedi par Marine Le Pen, qui dénonce les « cagoules noires », avec une photo datant du 1er mai 2018.
Façon d’insinuer que la présidente du Rassemblement national n’hésite pas à utiliser de faux documents et à pratiquer la désinformation.
Ces censeurs feraient mieux de s’intéresser au contenu de la déclaration plutôt qu’à son illustration.« À Paris, les cagoules noires ont remplacé les gilets jaunes. Les black blocs détruisent, brûlent, violentent toujours en toute impunité », a écrit Marine Le Pen, après les scènes de saccage et de pillage, ajoutant la photo de manifestants vêtus de noir, le visage masqué, avec une banderole portant le A cerclé de l’anarchie.
Que l’illustration date du 1er mai dernier est accessoire.
Peut-être même est-ce un choix volontaire pour montrer la permanence de ces groupes d’ultras dans toutes les occasions où l’on peut semer le désordre.
Les auteurs des incidents de samedi sont-ils ou non des professionnels de l’émeute ?
Il suffisait, si l’on n’était pas en personne sur les lieux, de regarder les chaînes d’information en continu pour s’apercevoir que ce type d’individus, bien reconnaissables, étaient encore plus nombreux que lors des précédentes manifestations et se sont livrés, comme le 1er mai, à des scènes de vandalisme.
Ils se sont attaqués notamment aux symboles du capitalisme, des banques, des magasins de luxe, le Fouquet’s, laissant avec leurs tags les stigmates de leur idéologie.
Si on lit bien le message de Marine Le Pen, il paraît évident que son objectif est de dénoncer l’ « impunité » dont semblent bénéficier ces casseurs, envers lesquels le gouvernement prodigue une étrange indulgence.
Plutôt que de rechercher la source de la photo incriminée, les journalistes en question auraient pu s’inquiéter des raisons pour lesquelles les violences n’ont pas été contenues.
Par impéritie ? Ce serait grave.
Par intérêt ? Ce serait encore plus grave.
Et si les forces de l’ordre sont impuissantes face aux casseurs, il est urgent que le ministre de l’Intérieur revoie sa stratégie.
Bruno Retailleau, évoquant la proposition de loi « anti-casseurs » dont il avait été l’initiateur après les événements du 1er mai 2018, a déclaré récemment dans la presse : « Je ne confonds pas les Gilets Jaunes et les cagoules noires. »
Ce n’est pas le cas des politiciens ou journalistes qui prennent un malin plaisir à porter le discrédit sur Marine Le Pen – à l’approche des élections européennes, comme par hasard.
Beaucoup de ces commentateurs partisans ont été plus indulgents, en revanche, vis-à-vis de l’attitude incongrue de Christophe Castaner, qui, selon le mot d’un élu LR, va « draguer en boîte » pour décompresser en galante compagnie, quelques jours après l’Acte 17 des gilets jaunes.
Ou, surtout, vis-à-vis de la désinvolture de notre Président qui, bien que la manifestation de ce samedi fût annoncée comme à hauts risques, a choisi de partir avec son épouse skier à La Mongie.
Chacun, fût-ce un dirigeant, a le droit d’avoir une vie privée, mais il est des circonstances où la fonction impose des priorités.
Quand on voyait samedi, parallèlement sur l’écran de télévision, le visage radieux de Macron au ski et les scènes de violence sur les Champs-Élysées, on se prenait à se demander par quelle bande d’irresponsables et de noceurs on est gouverné.
Philippe Kerlouanhttp://by-jipp.blogspot.com/2019/03/champs-elysees-marine-le-pen-t-elle.html#more
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La France brassée ou le Grand Débat occulté par Génial Président
Bernard Plouvier
Samedi 16 mars 2019, vers 22h25, sur France Ô (TNT-19, pour les amateurs de sigles), dans un spot publicitaire annonçant une émission branchée de la semaine à venir, une actrice noire vient se plaindre de n’avoir pas assez de grands rôles et dit : « Dans un pays métissé comme la France, Y en a marre ».
Effectivement, il y en a marre des macroneries, après les Hollandouilleries et le cirque bling-bling de Sarkozy, qui faisait suite à la France Black-Beur de l’écœurant Chirac !
Où, quand, comment nos politicards ont-ils pris l’avis de la Nation quant à cette arrivée massive d’extra-européens sur notre terre, arrivée massive qui aboutit à cette « France métissée », dont parle l’obscure comédienne ?
Cessons d’enfiler les lieux communs sur la charge fiscale, qui ne baissera jamais sauf pour les amis et sponsors du titulaire provisoire du Pouvoir, ou sur des problèmes écologiques qui se poseront de moins en moins en une France devenue un Désert industriel. Que l’on cesse de nous casser les pieds (pour rester courtois) avec la pollution industrielle : il n’y a pratiquement plus d’industrie en France, ce qui est d’ailleurs la principale cause structurelle du chômage de longue durée qui atteint désormais 6 millions de Français.
Commençons par le seul vrai problème, celui qui met en cause l’avenir de notre Nation et son intégrité : ce brassage par apport massif de populations non-européennes, dont a parlé l’actrice noire. Avant de poursuivre cette politique, anthropologiquement suicidaire, il est absolument indispensable de prendre l’avis du peuple souverain, car ni Macron ni son successeur ne sont ni ne seront jamais les maîtres de la République française : seul le corps électoral est souverain-maître de l’État.
Une fois ce referendum réalisé, soit notre Nation aura décidé sa mort par brassage généralisé, soit elle l’aura repoussé et l’on pourra commencer le grand rembarquement des nouveaux arrivants vers leur continent d’origine.
C’est cela et cela seul, le vrai Grand Débat, le vrai problème à résoudre de façon démocratique. En cas de refus persistant des politiciens de la faction dominante à organiser ce plébiscite, la Nation – se sentant en danger de mort et se proclamant victime d’une tyrannie – sera autorisée à déclencher une Révolution... ce qui est toujours la pire éventualité à envisager, à l’exception de celle de la mort de la Nation : c’est l’amputation du membre gangrené pour éviter l’issue fatale du malade.
L’alternative est simple, comme très souvent dans les cas de force majeure : ou l’on prend enfin l’avis de la Nation souveraine sur l’unique menace qui obère son avenir ou la Nation se révolte.