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social - Page 263

  • Le Samedi Politique avec Maître Frédéric Pichon : Les Gilets Jaunes face à l’Etat policier

    Fichage, contraventions, interpellations, gardes à vue, ou force physique, depuis le début du mouvement des Gilets Jaunes, le ministère de l’intérieur n’a eu de cesse de muscler sa riposte. Avec près d’une centaine de blessés graves, des personnes amputées et éborgnées, la politique répressive de Christophe Castaner à l’égard des Gilets Jaunes est inédite.

    Comme les manifestants de La Manif Pour Tous en leur temps, les Gilets Jaunes font-ils les frais d’un pouvoir aux relents totalitaires ?
    La réponse policière vis à vis des manifestants est-elle proportionnée ? Y a-t-il des abus ? Pourquoi de tels ordres sont-ils donnés face aux Gilets Jaunes ?

    Frédéric Pichon, avocat pénaliste au Barreau de Paris, représentant de plusieurs Gilets Jaunes revient avec nous sur la situation.

    https://www.tvlibertes.com/maitre-frederic-pichon-les-gilets-jaunes-face-a-letat-policier

  • Acte X à Toulouse – Affrontements en cours (10 000 gilets jaunes)

    Enorme succès de mobilisation pour l’acte X à Toulouse : environ 10.000 gilets jaunes manifestent cet après-midi.

    Depuis 17h, des affrontements violents se propagent dans la ville.

    Lire la suite sur MPI

  • Paris : des Gilets jaunes face à «la fin d'une dignité contre le peuple français»

  • Robert Ménard : « L’autre performance, c’est la capacité des maires à oublier ce que le même Macron leur a fait ! »

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    Emmanuel Macron a lancé le coup d’envoi du débat national devant 653 maires normands : il s’est exprimé durant plus de six heures et demie. Robert Ménard réagit à cette « performance ».

    À la veille de l’arrivée d’Emmanuel Macron dans sa région, le maire de Béziers – ville emblématique de la France périphérique – déplore ne pas avoir été invité.
    Emmanuel Macron a lancé, hier, le grand débat national face à 653 maires normands. Il s’est exprimé plus de six heures sur de nombreux sujets. Qu’avez-vous pensé de cette performance ?

    On ne peut pas lui retirer un vrai talent. S’exprimer plus de six heures devant les maires avec l’aisance qui est la sienne, ce n’est pas rien. Reste l’autre performance : faire oublier aux maires ce que le même Macron leur a fait depuis qu’il est élu. Je suis sidéré de voir un certain nombre d’élus oublier qu’Emmanuel Macron méprise la province, les villages, la ruralité et tout ce qui n’est pas parisien. On tomberait à la renverse en voyant que les maires lui ont fait une ovation. Ils ont perdu la tête.
    Emmanuel Macron avait cependant reconnu l’utilité des maires dans sa lettre ouverte aux Français. Cela vous a-t-il convaincu ?

    Tous les sondages disent que les maires sont les seuls élus populaires en France. En revanche, qu’Emmanuel Macron, ce Président particulièrement impopulaire, ait l’intelligence et le machiavélisme d’utiliser ce qu’il a tout le temps critiqué et méprisé, c’est-à-dire leur popularité, pour en tirer parti et renouer des liens avec les Français, la ficelle est un peu grosse.
    Je suis évidemment pour le débat, mais je ne veux pas être instrumentalisé. J’ai le vague sentiment qu’on assiste à une véritable instrumentalisation. Je suis plus qu’étonné que les élus n’y prennent pas garde.
    C’est un peu comme tous ces gens qui fréquentent des gens connus et qui ont l’impression qu’il y a une sorte de poussière d’or qui leur retombe sur les épaules, juste parce qu’ils fréquentent des puissants. Je me contrefous de fréquenter des puissants et je m’étonne qu’un certain nombre de maires acceptent de jouer ce jeu-là.
    Que les maires soient les porte-parole des gens qui sont descendus sur tous nos ronds-points depuis des mois, bien sûr. Mais qu’ils servent de courroie de transmission à un pouvoir qui est à ce point discrédité, il me semble que ce n’est pas tout à fait la même chose.

    Emmanuel Macron continue sa tournée. Il se rendra, demain, dans le Gers, à quelques kilomètres de Béziers. Êtes-vous convié ?

    C’est la même région, mais c’est un peu plus que quelques kilomètres ! Je n’ai, bien sûr, pas été convié. Béziers est l’exemple même de cette ville moyenne et de cette France périphérique. Elle a deux quartiers prioritaires. Elle connaît des difficultés et des succès.
    Évidemment, monsieur Macron n’a pas imaginé nous inviter. Je lui avais écrit pour lui dire que j’étais prêt à le recevoir dans ma ville. J’ai reçu une réponse du genre « J’ai bien noté votre CV, je le laisse sur la pile et on en reparlera une prochaine fois ».
    Tout cela finit par ressembler à une mascarade.

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • « Gilets jaunes »: Castaner « sidéré » par les accusations de violences policières

    Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, s’est dit vendredi « sidéré » par les accusations de violences policières commises lors de manifestations de « gilets jaunes ».

    « Quand j’entends certains responsables (..) prendre le parti des casseurs plutôt que celui de la sécurité, quand j’entends parler de brutalité inouïe et illégitime, je suis sidéré, et c’est le mot le plus poli que je trouve« , a déclaré le ministre lors d’un discours au centre d’incendie et de secours de Tomblaine (Meurthe-et-Moselle), près de Nancy, où il présentait ses voeux aux forces de sécurité civile.

    « Les policiers et les gendarmes sont tous les jours et tous les samedis mobilisés et garantissent l’ordre et la sécurité« , a-t-il souligné, ajoutant : « Nous respecterons toujours le droit de manifester, mais jamais celui de détruire« . […]

    actu.orange

    http://www.fdesouche.com/1143793-gilets-jaunes-castaner-sidere-par-les-accusations-de-violences-policieres

  • A Paris, des Gilets jaunes manifestent pour la dixième semaine d’affilée

  • I-Média n°233 – Les médias ouvrent enfin les yeux sur ceux qui les perdent

     

    02:20 – Les médias ouvrent enfin les yeux sur ceux qui les perdent

    Après plusieurs semaines de silence gêné sur les violences policières, les médias ont enfin décidé d’évoquer le sujet. Gageons qu’ils n’auraient pas attendu autant s’il s’était agi de Poutine, d’Orban ou même de Marine Le Pen.

    19:05 – Zapping

    Sur BFM TV, Jean-Michel Apathie et Apolline de Malherbe se questionnent sur la défiance des Gilets Jaunes à l’encontre des médias. Pendant ce temps-là, le CSA s’inquiètent de l’influence de Russia Today.

    26:30 – Lettre et le néant

    Empêtré dans ce que les communicants appellent pudiquement une « séquence compliquée », Emmanuel Macron a réagi en 2 temps. Et les journalistes ont été conquis.

    34:25 – Tweets

    Le CSA s’inquiète du manque de diversité ethnique dans les médias français. Toujours aucune inquiétude en ce qui concerne la diversité d’opinion…

    39:35 – Eurovision : médias en pâmoison

    Le grand favori pour représenter la France à l’Eurovision en 2019 s’appelle Bilal Hassani, un youtubeur homosexuel d’origine maghrébine. Evidemment, les médias adorent !

  • Les doléances royalistes dans le grand débat national. (partie 1)

    Depuis quelques semaines, les cahiers de doléances sont de retour, et cela nous rappelle aussi à notre propre histoire nationale et politique : le précédent de 1789 a ouvert la période révolutionnaire, dénaturant d'ailleurs rapidement le sens même des doléances rédigées dans les 60.000 cahiers issus de tous les coins et recoins du pays. Il est intéressant de noter que certains républicains pur jus s'inquiètent de ce « retour » d'une forme de consultation « pré-révolutionnaire », voire « contre-révolutionnaire » car ne s'inscrivant pas exactement dans le cadre de la démocratie représentative qui, parfois, porte si mal son nom ! En fait, c'est la première fois depuis l'audacieuse demande du roi Louis XVI adressée aux « peuples du royaume », que l’État prend, à une telle échelle et sous cette forme ancienne, la responsabilité de demander à tous les Français, dans leur commune, leurs souhaits, leurs revendications, leurs propositions, au moment même où les colères, multiples et parfois incontrôlées, débordent et s'affirment en tumultes parfois incontrôlables. 230 ans que ce que l'on pourrait qualifier de « pays réel », entier et pluriel, n'a pas été ainsi appelé par « l’État légal » à prendre la parole...

    Dans les cahiers de doléances finistériens et yvelinois étudiés par le quotidien Le Monde en son édition du dimanche 13-lundi 14 janvier 2019, et même si, à ce jour, la participation reste fort modeste et souvent œuvre de retraités, sans doute plus mobilisés par l'exercice du fait de la dévalorisation progressive des retraites, quelques revendications ressortent régulièrement, entre rétablissement de l'ISF (déjà repoussée par l'exécutif) et maintien, voire amélioration du pouvoir d'achat des gens modestes, entre suppression des avantages des anciens présidents de la République et mise en place du désormais célèbre Référendum d'Initiative Citoyenne, le RIC... Des revendications principalement matérielles avec une pointe de demande institutionnelle, comme pour rappeler que le « divorce » de plus en plus flagrant entre les classes dominantes « parisiennes » (au sens législatif du terme) et les classes dominées, souvent travailleuses et provinciales (sans méconnaître la part des populations franciliennes qui se sent aussi marginalisée au cœur même du système « parisien » mondialisé), mérite d'être évoqué et, surtout, surmonté.

    Le grand débat national ne fait que commencer, et les cahiers de doléances n'en sont qu'un des aspects, mais que nous aurions tort de négliger ou de laisser à d'autres. Pourquoi bouder cette initiative, même si l'on peut légitimement être sceptique sur ses débouchés concrets et que l'on peut, même, s'inquiéter de certaines dérives liées aux effets de masse ou aux manipulations des groupes « féodaux », politiques comme syndicaux ? L'idée d'associer les maires à l'organisation du débat, ceux-là mêmes qui sont souvent les plus proches des préoccupations quotidiennes et qui forment, d'une certaine manière, « le pays réel des notables légaux » (mais sans grand pouvoir législatif, faute d'une décentralisation mieux ordonnée et plus poussée), est une bonne idée dont il faut souhaiter qu'elle ne soit pas le moyen de « court-circuiter » les citoyens actifs, ceux qui proposent et s'engagent dans les « discussions du concret ».

    Il est des thèmes que les cahiers de doléances n'ont pas encore, semble-t-il, abordés et qui peuvent l'être en ces deux mois de débats et de rédactions, et que les royalistes auront à cœur d'évoquer : sur les questions régionales, par exemple, la nécessité d'un nouveau découpage territorial qui prenne aussi en compte les particularités historiques, comme en Alsace ou en Bretagne, avec le rattachement souhaitable de la Loire-Atlantique à la région administrative bretonne ; sur les questions d'aménagement du territoire avec un véritable « redéploiement rural » qui permette de redonner vie et vitalité à nos villages, et les nouvelles techniques de communication peuvent favoriser, par le télétravail par exemple, cette nécessaire politique ; sur les questions environnementales avec une meilleure prise en compte des intérêts locaux pour la préservation des paysages, ce qui éviterait bien des conflits et des blocages, comme on l'a vu jadis à Notre-Dame-des-Landes, dont la population a longtemps été tenue à l'écart des décisions prises « d'en haut » quand elles concernaient aussi les gens « d'en bas » ; sur les questions économiques, avec un soutien, étatique comme régional, plus actif au « Produire français » et un meilleur contrôle des pratiques de la grande Distribution ; sur les questions agricoles, avec le soutien aux agriculteurs qui veulent se dégager du productivisme et des jeux mortifères d'un Marché qui ne favorise plus que les « gros » quand il faut permettre à tous de vivre du travail de la terre et de la ferme ; sur les questions patrimoniales, avec une politique de rénovation et de valorisation à grande échelle de ce qui fait la richesse de notre pays en tous ses territoires, et pour lesquelles Stéphane Bern et tant d'autres ne cessent de se mobiliser malgré les petites manœuvres de Bercy ; sur les questions scolaires, avec la nécessité d'une plus grande autonomie de fonctionnement des établissements, de la maternelle à l'université, dans le cadre de la commune et de la région plutôt que dans celui de l’État qui ne doit jouer qu'un rôle d'arbitre et, éventuellement, d'investisseur (ou de facilitateur) pour certaines branches de la Formation des intelligences françaises...

    Ne laissons pas à d'autres le monopole du débat et sachons, en tant que royalistes politiques et enracinés, soucieux du Bien commun et des libertés françaises, saisir l'occasion qui nous est donnée de faire entendre des idées que nous ne cessons de défendre depuis des décennies, non pour le plaisir mais pour le bien de la France, de ses territoires comme de ses habitants...

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1530:les-doleances-royalistes-dans-le-grand-debat-national-partie-1&catid=53:2019&Itemid=64

  • Gilets jaunes : une pétition en ligne réclame la mise en place du référendum d’initiative citoyenne

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Revendication phare des manifestants qui prennent pour exemple leurs voisins suisses, le RIC est une invitation au dialogue avec les instances de l’État. Cette démarche a été soutenue par des dizaines de milliers de personnes depuis lundi. Traduisant un ras-le-bol de la démocratie représentative corrompue, cette initiative n’est pas sans danger puisque ses partisans demandent à s’exprimer seuls, sans députés ou multiples commissions.

    La question a déjà été désamorcée par le gouvernement puisque, subtile mais bien présente, la propagande contre le référendum d’initiative citoyenne est lancée !

    Oui, notons par exemple les articles de Gaspard Koening, dans les Echos ou encore Le Figaro. Gaspard Koenig, fondateur du think tank ultra-libéral Génération Libre est loin d’être neutre puisqu’il y a moins d’un an, il estimait qu’Emmanuel Macron était un « Prophète du libéralisme ». Dans ses articles, il estime que « le RIC ouvre la voie à la démagogie et à la tyrannie de la majorité ».

    Emmanuel Macron aussi a bien anticipé le virage.

    D’abord, dans sa fameuse « lettre aux Français », les plumes d’Emmanuel Macron écrivaient en son nom, « Pour moi, il n’y a pas de questions interdites. Nous ne serons pas d’accord sur tout, c’est normal, c’est la démocratie. Mais au moins montrerons-nous que nous sommes un peuple qui n’a pas peur de parler, d’échanger, de débattre. »

    Et puis dans un second temps, lors de son opération de communication auprès de 600 maires normands, il a déclaré « Il faut de l’expression citoyenne mais pas sur tous les sujets. ». Dans le même temps, plusieurs élus invités sur les plateaux télé expliquaient que le RIC était dangereux, expliquant que les Français pourraient voter contre le mariage homosexuel et l’immigration.
    Bref, discutons mais pas de tout, et surtout laissons la décision aux élus !

    Pour signer cette pétition : https://www.change.org/p/un-referendum-pour-le-ric-la-baisse-des-taxes-de-1%C3%A8re-n%C3%A9cessit%C3%A9-et-des-salaires-des-elus

    https://fr.novopress.info/