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social - Page 263

  • Théo / Gilets Jaunes : Charlotte d’Ornellas dénonce le deux poids deux mesures d’Emmanuel Macron sur les violences policières fandetv | 30/01/2019

    Charlotte d’Ornellas (Valeurs Actuelles) : «Emmanuel Macron n’a même pas fait cas des Français qui ont perdu un oeil ou une main. Il prend fait et cause pour les forces de l’ordre alors qu’il avait soutenu Theo envers et contre toute attente de l’enquête.» – CNEWS, 30 janvier 2019, 17h

    http://www.fdesouche.com/

  • GILETS JAUNES, VICTIMES D'UNE JUSTICE D'EXCEPTION - DAVID LIBESKIND

  • Des principes pour assurer l’harmonie au sein de la société

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    Ligne Droite cliquez ici

    Rétablir l’harmonie au sein de la nation est une nécessité vitale car c’est par l’harmonie que notre civilisation pourra de nouveau s’épanouir, que les valeurs pourront reprendre leur place et notre société être remise en ordre. Mais l’harmonie ne reviendra que par l’application de principes aujourd’hui diabolisés comme l’homogénéité, la préférence, la régulation, l’autorité ou la sélection. Autant de principes politiquement incorrects dont Ligne droiteestime qu’ils doivent être portés par la droite nouvelle afin de créer dans la durée des rapports harmonieux au sein de la société.

    Des règles exigeantes

    Si l’harmonie est une nécessité pour la nation et la civilisation, elle ne résultera pas en effet de la méthode Coué, des bons sentiments ou de prétendues mobilisations médiatiques. Le Système peut bien glorifier le partage, la solidarité et le vivre ensemble, les médias et le show-biz faire la promotion de la charité laïque, rien de tout cela ne mettra un terme au chaos qui règne dans notre société car rien de tout cela n’est créateur d’harmonie. Celle-ci ne pourra en effet être atteinte ou à tout le moins approchée que si des règles exigeantes sont posées et respectées.

    L’homogénéité

    La première est l’impératif d’homogénéité. Une société constituée de groupes intrinsèquement différents sera en effet vouée aux tensions et aux conflits. Les éléments hétérogènes qui la composent ne peuvent en effet qu’entrer en compétition et s’opposer les uns aux autres, chacun cherchant à imposer ses normes, ses mœurs ou ses traditions. Il est donc indispensable de veiller à conserver un haut degré d’homogénéité ethnique, religieuse, culturelle, économique et sociale pour assurer l’harmonie de la société. S’il n’en va pas ainsi, il n’y a pas d’harmonie et c’est le désordre qui s’installe. Telle est d’ailleurs la situation de la France d’aujourd’hui qui, en raison de l’immigration de peuplement qu’elle subit depuis de nombreuses années déjà, ne respecte nullement le principe d’homogénéité et connaît de ce fait un chaos croissant.

    La préférence

    Dans une société peu homogène, il demeure cependant possible de créer un minimum d’harmonie grâce au principe de préférence. Un principe qui consiste schématiquement à donner à chacun sa juste place en instaurant une hiérarchie entre ceux qui constituent le corps homogène de la société et ceux qui contribuent à le rendre hétérogène. En matière d’immigration, ce principe dit de préférence nationale établit que les Français bénéficient de droits et d’avantages qui ne sont pas accordés aux nouveaux venus. Une différenciation qui permet à chacun de connaître sa place légitime. Les citoyens de souche, confortés dans le sentiment d’être chez eux dans leur pays, seront rassurés et sécurisés. Quant aux étrangers qui arrivent, ils ne pourront que considérer ce principe comme normal et être incités à tous les efforts pour respecter l’identité du pays qui les accueille et, le cas échéant, pour s’y assimiler.

    La régulation

    Dans le même esprit, la régulation représente elle aussi une règle exigeante propre à créer l’harmonie. Car en l’absence de régulation, ce sont les forces brutes de la nature, de l’économie ou de la société qui prévalent, écrasant les faibles, créant des injustices et provoquant du désordre. Aussi l’harmonie passe-t-elle par un minimum de régulation collective comme par exemple la régulation des échanges aux frontières. Le fait de pouvoir décider qui rentre et qui sort du pays permet de renforcer la sécurité intérieure mais aussi de maîtriser l’immigration. De même, la régulation des échanges commerciaux internationaux permettrait de corriger le dumping social, écologique et monétaire que subit notre pays. Cette régulation aux frontières pourrait, par le retour à une concurrence loyale, mettre un terme au désordre économique et social engendré par le libre-échangisme international et, ce faisant, aller vers plus d’harmonie en France et en Europe.

    La sélection au mérite

    Encore faut-il que dans ce domaine, comme plus généralement dans toute la société, soit établi le principe de la sélection au mérite. L’harmonie exige en effet que chacun reçoive en fonction de son talent, de son travail, et du service qu’il rend à la collectivité. Vouloir traiter tout le monde de façon égalitariste ou, pis encore, utiliser les individus comme des pions pour instaurer partout une représentation préétablie de certaines catégories ne peut en effet que créer de l’injustice et de l’inefficacité. Ainsi en est-il des discriminations dites positives qui favorisent arbitrairement certains individus en raison de leur ethnie ou de leur sexe, une pratique génératrice de frustrations et de dysfonctionnements. De même, l’interdiction faite aux universités de sélectionner les étudiants en fonction de leur travail, de leur talent et de leur mérite est profondément malsaine car les plus brillants ne peuvent progresser comme ils le méritent et les moins doués perdent leur temps dans un cycle d’études qui n’est pas adapté à leurs qualités propres. L’harmonie passe donc là aussi par l’instauration du principe de la sélection au mérite.

    L’autorité

    L’harmonie exige enfin l’impératif d’autorité car, si l’on sélectionne les plus aptes pour occuper les postes de responsabilité, il est nécessaire de leur donner les moyens d’exercer leurs fonctions. Ce qui implique avant tout la reconnaissance et l’acceptation de leur autorité. La tendance actuelle à vouloir communautariser les décisions de façon à diluer les responsabilités et à limiter le pouvoir des décideurs est dangereuse car elle détruit l’autorité et conduit à la disparition des chefs. Or, si les chefs légitimes n’existent plus, ce sont des personnages indignes ou illégitimes qui s’empareront de leur pouvoir. Et c’est le chaos qui s’installera.

    Impératif d’homogénéité, sélection selon le mérite, préférence, régulation et autorité, autant de leviers que Ligne droite estime indispensable d’actionner pour rétablir un minimum d’harmonie dans notre pays.

  • « Gilets jaunes » : Christophe Castaner veut que la justice poursuive Eric Drouet pour son appel au « soulèvement »

    Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a dit mardi 29 janvier souhaiter que la justice poursuive l’une des personnalités des « gilets jaunes », Eric Drouet. Après avoir appris la blessure à un œil samedi d’une figure du mouvement social, Jérôme Rodrigues, le groupe Facebook La France en colère !!!, créé par Eric Drouet, avait décrété dans un communiqué « l’état d’urgence du peuple » et « appelé à un soulèvement sans précédent par tous les moyens utiles et nécessaires pour que plus personne ne soit victime de ces blessures de guerre ».

    « C’est un appel à l’insurrection. C’est quoi ‘tous les moyens utiles et nécessaires’ ? Les boules de pétanque jetées sur les policiers, c’est déjà fait. Les pavés, c’est déjà fait. Les cocktails Molotov, c’est déjà fait, a affirmé Christophe Castaner sur BFMTVCette dernière déclaration relève à mon sens de l’infraction pénale. Nous ferons ce qu’on appelle un article 40 pour que le procureur décide s’il veut poursuivre ou pas. Vous vous rendez compte qu’il appelle à utiliser de nouvelles armes alors qu’aujourd’hui il y a des cocktails Molotov ? »

    Eric Drouet a rapidement réagi : « Voilà, Castaner porte plainte contre moi ! Je commence vraiment à être fatigué de ce gouvernement », a-t-il publié sur le même groupe Facebook.

    http://www.fdesouche.com/1149051-gilets-jaunes-christophe-castaner-veut-que-la-justice-poursuive-eric-drouet-pour-son-appel-au-soulevement

  • Loi “anti-casseurs” : vers une sélection des manifestants ? – Journal du mercredi 30 janvier 2019

     

    Loi “anti-casseurs” : vers une sélection des manifestants ?

    Mardi, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a pris la parole devant les députés pour défendre sa loi dite “anti-casseurs”. Un projet dont les contours s’apparentent à une véritable sélection des manifestants.

    80 km/h, un bilan partiellement positif ?

    Six mois après l’entrée en vigueur de la limitation à 80 km/h sur le réseau secondaire, le premier ministre, Edouard Philippe, a annoncé une baisse de la mortalité routière pour 2018. Un bilan en apparence positif pour une mesure contestée.

    Venezuela : Maduro tend la main à l’opposition

    Après la tentative de coup d’Etat de Juan Guaido, le président vénézuélien au pouvoir Nicolas Maduro s’est dit ouvert à de nouvelles élections législatives… pas sûre que ce gage de bonne volonté suffise aux puissances étrangères qui veulent sa tête… la construction d’un mythe autour de son opposant est d’ailleurs déjà en marche.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/loi-anti-casseurs-vers-une-selection-des-manifestants-journal-du-mercredi-30-janvier-2019

  • Zoom – Matthieu Baumier : « une époque viendra où des comptes seront demandés »

    En pleine crise des Gilets Jaunes, l’écrivain Matthieu Baumier publie un pamphlet au titre évocateur : « Voyage au bout des ruines libérales-libertaires », chez Pierre-Guillaume de Roux. Une critique radicale du mondialisme, « parti de l’anti-terre ». Pour l’auteur, « la mort de la modernité à laquelle nous assistons actuellement est une renaissance de l’authenticité de l’homme ».

    https://www.tvlibertes.com/matthieu-baumier-une-epoque-viendra-ou-des-comptes-seront-demandes

     
  • Les cités, indifférentes aux Gilets jaunes, par Ivan Rioufol

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    Les Gilets jaunes, une menace pour la République ? Le pouvoir ne retient plus ses coups contre les révoltés des provinces oubliées. Il suffit de regarder les photos des manifestants défigurés par des lanceurs de balle de défense (LBD) pour s’en convaincre. L’État n’a jamais déployé une même brutalité contre les islamo-fascistes qui attisent les intifadas dans les cités délaissées. Deux journalistes, Philippe Val et Zineb El Rhazoui, vivent aujourd’hui sous haute protection policière. Le premier a été condamné à mort par al-Qaida en avril, pour avoir participé à la rédaction d’un “manifeste contre le nouvel antisémitisme“, publié par Le Parisien : le texte demandait l’abrogation des versets du Coran appelant au meurtre des juifs, des chrétiens et des incroyants. La seconde est à nouveau menacée de mort pour avoir récemment déclaré que l’islam devait  “se soumettre à la critique“. Le philosophe Robert Redeker a interrompu toute vie normale depuis 2006, après avoir critiqué le Coran, dans Le Figaro.

    La violence ne peut faire la loi, c’est entendu. Des casseurs en gilets jaunes ont pu, dans un premier temps, faire reculer l’État. Leurs actes justifient les ripostes policières. Reste que le pouvoir s’est gardé d’un tel zèle répressif contre les zadistes, chéris des écolos. L’abandon du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), a été arraché sous la pression d’une guérilla des champs. La poignée d’insurgés a eu raison d’un référendum local et de multiples votes et décisions de justice. C’est aussi par l’intimidation et le terrorisme que les combattants de l’islam politique ont fait courber l’échine de la République : Emmanuel Macron s’apprête à modifier la loi de 1905, afin d’aménager la laïcité. Le délit de blasphème est une réalité quand des citoyens doivent vivre cloîtrés pour avoir critiqué l’islam. Les incendiaires des cités sont moins malmenés que ceux qui n’ont pas le statut de victimes. Les Gilets jaunes seraient-ils trop “vieille France” pour attendrir l’État macronien ?

    Le gouvernement se trompe en voulant voir dans la révolte populaire un danger pour la République : elle n’a rien à craindre d’une demande de démocratie.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 24 janvier 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/213399/les-cites-indifferentes-aux-gilets-jaunes-par-ivan-rioufol/

  • Le gouvernement n’a pas le choix, le peuple non plus, n’a pas le choix. Le clash est inévitable !

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    Parlant de l’Italie, l’économiste et entrepreneur Charles Gave avait pronostiqué une querelle de légitimité. Qui a le vrai pouvoir de décision ? Est-ce le peuple italien qui vote ou bien la Commission de Bruxelles, organe à la fois non élu et impossible à révoquer ?

    Par une ruse de l’Histoire, c’est en France avec les gilets jaunes que ce problème de légitimité s’est déclenché en premier. L’Histoire réelle est souvent la rencontre de déterminants structurels et de l’écume des jours de la vraie vie.

    Tout a commencé avec une « banale » augmentation du prix du gazole. Banale, mais celle de trop. Le peuple français s’est révolté. Le gouvernement s’est entêté. En fait, il n’avait pas le choix. Car le budget de l’État est à la dérive. Il n’y a aucune maîtrise des dépenses et le ruineux tsunami migratoire n’arrange rien. Côté recettes, tout est en baisse. La TVA sur la consommation est en baisse, l’appauvrissement des Français étant bien réel. L’économie est rongée par cette monnaie toxique appelée euro. Les taxes sur l’essence augmentent mais les recettes baissent, car les gens roulent de moins en moins. Entre la fraude légale et les faillites, il ne reste pas grand-chose à traire dans les entreprises.

    Le gouvernement n’a pas le choix, le peuple non plus n’a pas le choix, car il faut joindre les deux bouts. Le clash est inévitable.

    Nous vivons une époque merveilleuse où les acteurs ne comprennent pas ce qu’ils font.

    Les journalistes crient à la liberté de la presse alors que la plupart des médias sont la vitrine audiovisuelle du Système. Ils sont aussi indépendants que la vitrine des Galeries Lafayette. Ils ne sont que l’instrument de formatage mental du nouvel ordre mondial.

    Le peuple n’a pas (encore) compris que le gouvernement est en guerre contre lui. Il veut plus de démocratie et il est lassé de subir des élections « chèque en blanc », où la caste au pouvoir prétend puiser le droit de faire ce qu’elle veut sans rendre de comptes à personne. Elle répond aux gilets jaunes à coups de matraque et de Flash-Ball® en les accusant de menacer la démocratie… Un bel exemple d’inversion accusatoire.

    À quoi sert cette mascarade du grand-débat-sur-rien lancé par Macron ? Sans doute à plusieurs choses : saturer l’espace médiatique avec un agenda préétabli, se donner l’apparence d’une légitimité démocratique, totalement inexistante. Macron croit être Président, il est un pantin de luxe au service des banques. Sa bulle d’autosatisfaction lui tient lieu de bunker. Macron ne sait pas qu’il joue le rôle du salaud.

    Dans une guerre, il est difficile de savoir à l’avance qui va gagner. Quoi qu’il advienne, le peuple français joue sa survie à court terme. Soit les gilets jaunes sont matés, et la France continuera d’être liquidée. Soit le gouvernement de Macron tombe. Combien y aura-t-il de morts et d’éborgnés ? Nul ne sait. La fin de l’histoire n’est pas encore écrite.

    Arnaud Fournet

    http://www.bvoltaire.fr/le-gouvernement-na-pas-le-choix-le-peuple-non-plus-na-pas-le-choix-le-clash-est-inevitable/

  • Gilets jaunes acte 12 L’ImPaCt!: une nouvelle manifestation annoncée avec les victimes en tête de cortège

    Gilet jaune.pngLa mobilisation des Gilets jaunes ne faiblit pas. Un nouveau acte, nommé « Acte 12 L’ImPaCt! » est annoncé pour samedi 2 février, après l’acte XI qui a réuni plusieurs dizaines de milliers de personnes dans toute la France.
    Une manifestation qui mettra en avant les blessés des dernières manifestations, et qui entend dénoncer les violences policières dont les Gilets jaunes ont fait l’objet ces dernières semaines.
    « Une centaine de blessés graves dont la vie a basculé, 4 personnes dont la main a été arrachée à cause de grenades avec TNT, 18 personnes qui ont perdu un œil ou l’usage d’un œil suite à des tirs de flashball…Nous invitons TOUS LES BLESSÉS qui le peuvent à nous rejoindre ce jour là », est-il indiqué. Ceux-ci seront placés « en début de cortège et protégés par un cordon de bénévoles « expliquent les organisateurs.
    Par ailleurs, tous les autres manifestants sont invités à « venir en se mettant des pansements sur l’œil, des bandages, de mettre du rouge sur les gilets jaunes en guise de sang… » Samedi à Paris, Jérôme Rodrigues, une figure connue du mouvement, a été gravement blessé à l’oeil, alors qu’il filmait la manifestation.
    Les organisateurs appellent les manifestants à se comporter pacifiquement, via la page de l’évènement facebook lancée pour l’occasion.
    Pour la Bretagne, il semblerait que ce soit Morlaix qui regroupe la mobilisation

  • Sébastien Chenu (RN) : “Après le grand débat, la grande poubelle ?”

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    Sébastien Chenu, député du Nord et porte-parole du Rassemblement national, était l’invité politique de Patrick Roger mardi 29 janvier 2019 sur Sud Radio.

    Alors que le RN est toujours donné au coude à coude dans les sondages, face à LREM, pour les élections européennes, Sébastien Chenu était interrogé sur la pertinence d’une loi anti-casseurs, qui sera présentée aujourd’hui à l’Assemblée.
    Il a l’impression “de revenir dans les années Sarkozy avec des lois de circonstance. Maintenant, je veux bien la voter si c’est une loi anti-casseurs, pas anti-‘gilets jaunes’. Si c’est du pipeau, non. On va voir les articles, mais j’ai eu le sentiment qu’elle a été beaucoup détricotée en commission. Se faire éborgner, perdre une main, c’est une mutilation. Mais les violences sont dans les deux sens et le président de la République est responsable : il laisse les Français se haïr. Cela va faire trois mois qu’on laisse les Français se faire face“.

    Quand au grand débat, Sébastien Chenu est dubitatif :

    J’ai peur qu’après le grand débat, le gouvernement n’ouvre le couvercle de la grande poubelle. Il n’y a pas de garantie sur la sortie de tout cela. L’Assemblée nationale devrait pouvoir débattre d un certain nombre de sujets, mais le problème c’est qu’elle n’est pas représentative, ses décisions sont contestées par une majorité des Français ! Mettons en place la proportionnelle intégrale, élisons une Assemblée nationale représentative et là, on avancera !.