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social - Page 315

  • Marine Le Pen : « Symbole de la crise démocratique, le premier parti d’opposition de France n’a pas eu la parole dans le débat à l’Assemblée nationale aujourd’hui ! »

    Réaction de Marine Le Pen au discours d’Édouard Philippe, mercredi après-midi, à l’Assemblée nationale. Celle qui, en tant que députée non inscrite, n’a pas eu la parole dans l’Hémicycle nous livre sa vision sur le contenu du discours, les conséquences d’une éventuelle démission du Premier ministre et l’opportunité d’un appel aux gilets jaunes à manifester.

    Vous avez écouté le discours d’Edouard Philippe devant l’hémicycle. Pour certains, ce discours sonnait comme un discours de fin de règne.
    Quelle est votre opinion ?

    J’ai trouvé le discours du Premier ministre indigne. Je l’ai trouvé indigne d’abord, parce qu’il a commencé par faire un long moment d’auto-satisfaction interrompu à de très multiples reprises par le gang des moufles, les députés En Marche qui applaudissaient à tout rompre comme si nous étions dans un meeting électoral.
    Ensuite, il me paraissait en assez lourd décalage avec la situation que vit notre pays. Le côté ‘’droit dans ses bottes’’ du Premier ministre est à mon avis plus qu’une erreur politique. C’est une faute.
    Ces gens ont jeté des millions de Français dans la rue. Ils leur ont jeté des uniformes bleus pour les encadrer et ça s’est mal fini. Alors que le pays est au bord de la révolte, ils ont choisi l’intransigeance face à la souffrance exprimée.
    À la fin de son intervention, il menace les présidents de syndicats, du patronat, de l’opposition et les éditorialistes en leur disant qu’ils seront comptables de leurs déclarations. Je trouve cela indigne.

    Edouard Philippe aurait-il dû démissionner ?

    Il aurait dû reculer, c’est-à-dire supprimer l’intégralité des taxes. Hier, il nous explique qu’il va les suspendre pendant six mois, pendant le temps de la campagne électorale. C’est quand même léger comme un congrès de charcuterie, si je puis me permettre. Aujourd’hui, il nous dit qu’il ne sait pas trop s’il va les remettre. Il nous dit qu’il sait ce que vivent les Français. S’il savait ce que vivent les familles qui sont à quelques euros près à la fin du mois, il ne les laisserait pas ainsi dans l’expectative.
    Les Français ne sont pas des marionnettes. Ce sont des gens qui ont de très lourdes difficultés financières à cause de la politique qui est menée par le gouvernement. Son attitude est une preuve d’incompétence et d’amateurisme.


    Vous avez certainement entendu les discours des députés de la majorité et de leurs alliés du Modem. On a senti le Modem un poil plus critique que d’habitude.

    Le Modem est surtout un poil plus politique. Ce qui n’est pas trop difficile. Et probablement plus inquiet de voir le comportement du gouvernement, car on aurait pu s’attendre à ce que cette majorité fasse preuve d’un peu d’humilité. Or, nous avons toujours les mêmes comportements de morgue, de surpuissance, de mépris et d’arrogance. Si Edouard Philippe part, il pourra dire «  ma majorité m’a tué ».
    Mais, selon moi, le départ d’Edouard Philippe ne changera absolument rien.


    Appelez-vous les gilets jaunes à manifester samedi ?

    En ce qui concerne les gilets jaunes, je n’ai pas à les appeler à manifester. Nous sommes face à un mouvement populaire. Chaque Français a entendu les propositions d’Edouard Philippe. Chaque Français sait en conscience si les réponses apportées par le gouvernement sont à la hauteur des attentes qui étaient les leurs. C’est eux qui, librement, vont décider de manifester ou de ne plus manifester.
    Je crois que l’immense majorité si ce n’est la totalité des gilets jaunes ont évidemment été profondément déçus dans leurs attentes par les annonces faites par Edouard Philippe.


    En tant que député non-inscrit, vous ne pourrez pas vous exprimer aujourd’hui. Cela est-il normal selon vous ?

    J’ai envie de vous dire que c’est presque le symbole de la crise démocratique profonde que vit notre pays. C’est le symbole de la crise de représentativité. Le premier parti d’opposition de France n’a pas la parole dans le débat organisé aujourd’hui. En réalité, tous ceux qui se parlent sont ceux qui portent la responsabilité des trente dernières années.

    http://www.bvoltaire.fr/marine-le-pen-symbole-de-la-crise-democratique-le-premier-parti-dopposition-de-france-na-pas-eu-la-parole-dans-le-debat-a-lassemblee-nationale-aujourdhui/

  • Gouvernement : une timide réponse politique – Journal du jeudi 6 décembre 2018

    Politique / gouvernement : une timide réponse politique

    Après avoir annoncé un gel des taxes pour une durée de six mois, le gouvernement a finalement décidé de les annuler pour l’année 2019. Un rétropédalage qui ne calme pas la colère des Français.

    Politique / Gilets Jaunes : une insurrection qui vient ?

    Un mois de mobilisation, des forces de police aux abois et des manifestants de plus en plus déterminés… le phénomène Gilets Jaunes a bouleversé tout le pays. Entre échauffourés et insurrections, la situation semble désormais pouvoir déraper !

    International / OPEP, une réunion décisive

    L’Opep défie Donald Trump. Alors que l’organisation s’est réunie à Vienne pour discuter d’une éventuelle réduction de la production, la Russie et l’Arabie Saoudite tente de reprendre la main quitte à froisser les Etats-Unis.

    Economie / Dépenses Noël

  • Policiers, Gilets jaunes, casseurs : une «fake news» qui n'en est pas une ?

    Policiers, Gilets jaunes, casseurs : une «fake news» qui n'en est pas une ?
    La journaliste de RT France Katia Pecnik.

    A Paris le 1er décembre, un reporter de RT France a tendu son micro à un manifestant, qui a évoqué «des bandes de policiers déguisés en voyous»... Il n'en fallait pas plus pour accuser la chaîne de diffuser des «fake news». Mais qu'en est-il ?

    Dans le cadre des violences survenues le 1er décembre lors de la troisième journée de mobilisation nationale des Gilets jaunes, des journalistes ont pointé du doigt, sur Twitter, une «fake news» : la présence supposée, évoquée par des Gilets jaunes, de policiers parmi les casseurs ayant participé aux incidents. Dans ce cadre, RT France a été accusé d'avoir relayé les propos d'un manifestant et, partant, de se faire le relais d'une «fake news».

    Au micro de RT France, ce Gilet jaune, dénommé Axel Rokvam et fondateur des Veilleurs – un engagement politique qu'ignorait le reporter de RT France – déclare : «J’ai vu des bandes de policiers déguisés en voyous. Donc on ne sait pas tellement si les gens qui détruisent des voitures, qui attaquent des policiers et des manifestants ne sont pas eux-mêmes des policiers.» En d'autres termes, ce manifestant soulevait la question du rôle de policiers déguisés en Gilets jaunes au cœur des violences – sans affirmer, pour autant, que des membres des forces de l'ordre y auraient pris part. Les journalistes ayant employé le terme de «fake news» l'ont donc dégainé un peu rapidement.

    Notre journaliste Katia Pecnik démêle le vrai du faux : 

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  • 46. La mafia au pouvoir va y passer.

  • Quinze blindés sur Paris pour faire face aux Gilets Jaunes samedi

    C’est confirmé, le gouvernement fait déployer quinze blindés de la gendarmerie dans Paris pour faire face à la nouvelle manifestation des Gilets Jaunes ce samedi 8 décembre.

    L’Essor de la Gendarmerie Nationale  écrit :

    Une quinzaine de véhicules blindés à roues de la Gendarmerie (VBRG) vont être déployés à Paris et en région parisienne ce samedi 8 décembre, vient d’apprendre à L’Essor un haut responsable du ministère de l’Intérieur. L’engagement de ces engins blindés est conditionné à une réquisition du Premier ministre ou du préfet de police de Paris. Ce déploiement d’engins blindés, réservés aux situations les plus dégradées est très symbolique. Il marque la volonté de l’Etat d’afficher sa fermeté. Leur utilisation avait été demandée notamment par le député (LR) Eric Diard et un syndicat de police, le SCSI-CFDT.

    Ce 4×4 blindé de treize tonnes peut emporter treize gendarmes. Il peut être équipé d’une lame pour déblayer une barricade. Il avait été utilisé en 2005 lors des émeutes dans les banlieues, à Calais, puis au printemps à Notre-Dame-des-Landes. Les engins blindés sont mis en oeuvre par le groupement blindé de gendarmerie mobile (GBGM) de Satory. Cette unité compte une trentaine d’engins sur les 71 de l’Arme également déployés outre-mer.

    Outre les blindés, la Gendarmerie a décidé de mobiliser toutes ses forces pour les manifestations de samedi. Cela se traduit par la suppression des repos et des quartiers libres, et le rappel de l’ensemble des escadrons de gendarmes mobiles, y compris les permissionnaires. Par ailleurs plusieurs cérémonies de la Sainte-Geneviève sont annulées ou reportées,  comme à Lyon,  en raison des événements.

    A Paris comme en province, les gendarmes départementaux et mobiles ainsi que des réservistes seront donc sur le pont dès potron-minet pour tenter de prévenir violences, détériorations et pillages.

    https://www.medias-presse.info/quinze-blindes-sur-paris-pour-faire-face-aux-gilets-jaunes-samedi/102056/

  • Revendications des Gilets jaunes : les impôts et l’immigration

    Revendications des Gilets jaunes : les impôts et l’immigration

    Selon L’Opinion :

    Si le mouvement est né du ras-le-bol fiscal et de la crise démocratique, un arrière-fond identitaire transparaît de plus en plus sur les réseaux sociaux. Il se fixe désormais sur le « pacte de Marrakech » relatif aux migrations, qu’Emmanuel Macron doit valider lundi prochain

    A une journaliste qui interrogeait les Gilets jaunes sur les Champs-Elysées samedi dernier, l’un disait : “Vous aussi vous ne voulez plus payer pour SOS Racisme ?”

    Dans les médias, les débats tournent souvent autour du dilemme : si vous voulez moins de taxes, vous aurez moins de service public. Mais si l’Etat commençait par cesser le financement de l’immigration ? Le budget 2019 consacré à l’immigration est en hausse avec un total de 4,5 milliards d’euros. Et  cette étude d’André Posokhow de 2013 estimait le coût à 84 milliards.

    Voilà une belle piste d’économies.

    https://www.lesalonbeige.fr/revendications-des-gilets-jaunes-les-impots-et-limmigration/

  • Le terrible constat d'échec

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    Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France

    Le constat d’échec est terrible pour Emmanuel Macron.

    En effet, à trois jours de l’« acte IV » – nouvelle manifestation des gilets jaunes – par l’intermédiaire du porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, le chef de l’État demande « aux forces politiques et syndicales de lancer un appel clair et explicite au calme ». Face au chaos qui menace le pays, celui qui avait la prétention d’incarner le retour de l’autorité de l’État à lui tout seul, aujourd’hui, en est réduit à appeler au secours ceux-là mêmes dont il avait programmé la fin : les partis, les syndicats, ces fameux « corps intermédiaires ».

    Le chef de l’État doit désormais se terrer dans son palais et appeler au secours ceux qu’il méprise. Même s’il s’agissait sans doute d’une poignée de manifestants, l’épisode malheureux du Puy-en-Velay, où l’on a vu un Président se faire huer, en dit long sur cette perte d’autorité d’Emmanuel Macron.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’Elysée contredit Matignon : la hausse des taxes sur les carburants est annulée

    L’Elysée contredit Matignon : la hausse des taxes sur les carburants est annulée

    Fébrile, le président désavoue son Premier ministre :

    Pas de suspension, pas de moratoire, la hausse des taxes sur les carburants au 1er janvier est “annulée”, a précisé l’Elysée à franceinfo, mercredi 5 décembre. Mardi, Edouard Philippe avait évoqué un moratoire de six mois sur la hausse de ces taxes. Ce mercredi, devant les députés, le Premier ministre avait expliqué que le gouvernement renoncerait définitivement à la hausse des taxes sur les carburants s’il ne trouvait pas les “bonnes solutions”sur le pouvoir d’achat lors de la concertation locale décidée pour répondre à la crise des “gilets jaunes”. Le président de la République a souhaité clarifier la situation : l’augmentation n’est pas “suspendue, ni différée”, mais bien “annulée”.

    Les autorités craignent de nouveaux rassemblements à Paris samedi 8 décembre. Deux matchs de Ligue 1 ont été reportés et le Téléthon sera diffusé depuis les studios de France Télévisions en région parisienne.

    Le torchon brûle-t-il entre ces deux Young leaders, qui se sont connus en 2012 via la French American Fondation ?

    https://www.lesalonbeige.fr/lelysee-contredit-matignon-la-hausse-des-taxes-sur-les-carburants-est-annulee/

  • Et si on revenait au problème de départ : la pollution des voitures diesel ?

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    Je ne suis pas ingénieur en la matière, ce qui ne m’empêche pas de me tenir le raisonnement suivant :

    – Les voitures diesel rejettent moins de CO2 (gaz carbonique) que les voitures essence.
    – Les nouvelles voitures diesel qui sortent toutes, maintenant, des chaînes de production équipées de filtres à particules ne rejettent plus, à 99 %, ces fameuses particules fines tant redoutées. Que par suite à cet égard, ces voitures diesel récentes sont devenues moins polluantes que les voitures essence.
    – Les voitures diesel consomment moins de carburant que les voitures essence, et font donc moins de rejets.

    Ces constats étant faits, on doit reconnaître que le gouvernement se dit prêt à donner une aide de 4.000 euros aux propriétaires de vieilles voitures diesel, non équipées de ce salutaire filtre à particules, pour leur permettre d’acheter une voiture moins polluante. À cela, ces personnes répondent qu’aujourd’hui, elles sont déjà souvent à découvert en fin de mois et qu’avec ou sans aide, il leur est absolument impossible de faire cette acquisition d’une nouvelle voiture.

    Serait-on dans l’impasse ?

    Peut-être que non, car je pose la question : puisque les constructeurs savent équiper de filtres à particules les voitures diesel neuves qu’ils produisent actuellement sur leurs chaînes, ne sauraient-ils pas équiper de ces filtres les vieilles voitures diesel qui n’en ont pas ? Si, techniquement, ils étaient capables de le faire, cette aide que le gouvernement propose ne pourrait-elle pas servir, justement, à payer intégralement le coût de cet équipement sur toutes les voitures diesel anciennes, ce qui les rendrait moins polluantes que les voitures essence sans que leurs propriétaires aient eu à débourser un seul centime.

    En outre, on redonnerait à ces voitures diesel anciennes une certaine valeur marchande qu’elles n’ont plus du tout actuellement, ce qui aiderait d’autant leurs propriétaires à en changer le jour où ils voudraient le faire.

    Et, enfin, l’État n’aurait plus aucune justification pour maintenir un prix élevé au gazole et, bien au contraire, devrait le diminuer au niveau qu’il était autrefois, c’est-à-dire à un niveau inférieur à celui de l’essence, puisqu’il serait le carburant des voitures devenues les moins polluantes du parc automobile.

    Il me semble que tout le monde y trouverait ainsi son compte.

    http://www.bvoltaire.fr/et-si-on-revenait-au-probleme-de-depart-la-pollution-des-voitures-diesel/

  • Gilets jaunes : Macron tiendra-t-il jusqu’aux européennes ?

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    Le technocrate Edouard Philippe, flanqué de son conseiller juppéiste Gilles Boyer, paraissait visiblement « atteint » selon les témoignages des visiteurs. Alors qu’il recevait lundi les chefs de parti pour entendre leurs suggestions, tous lui ont demandé d’annoncer l’annulation de la hausse des taxes sur le carburant.

    Nicolas Dupont-Aignan a quitté précipitamment la réunion car Edouard Philippe a refusé qu’il diffuse l’entretien en Facebook Live, avant de déclarer sur la chaîne LCP : « J’ai conscience de la gravité de la situation et je ne sais même pas si le président de la République va aller jusqu’aux européennes. Je veux dire que, compte tenu de leur inconscience, de ce qu’il a fait pendant trois semaines, de cette incapacité à réagir, je m’inquiète. (…) On ne peut pas jouer avec un pays inflammable. Les banlieues sont au bord de l’insurrection, les classes moyennes n’en peuvent plus, les casseurs sont à l’œuvre. Et vous savez, notre pays, quand il est méprisé, ça peut partir mal. »

    Marine Le Pen qui déclare soutenir le mouvement des Gilets jaunes « depuis la première heure du premier jour » et réclame la dissolution de l’Assemblée nationale – « Il faut que tous les Français soient représentés, si tel n’est pas le cas, il y a une rupture dans le principe fondamental du consentement à l’impôt » – a rappelé avoir « senti depuis très longtemps qu’une crise sociale couvait en France » et que « le mécontentement allait s’exprimer » : « Il s’exprime dans la rue et croyez-moi, je le regrette. Cela fait longtemps que je parle de cette France des oubliés. Cette France qui n’est jamais dans les radars des politiques qui préfèrent s’occuper des minorités en tout genre au détriment de la majorité des Français. »

    La présidente du RN a plaidé pour une augmentation des petits salaires à 1 500 euros par mois en « créant une contribution sociale à l’importation pour financer cette augmentation ». Lundi soir au JT de TF1, elle s’est adressée directement à Emmanuel Macron, face caméra : « Les Français ont le droit de vivre sereinement cette fin d’année, qu’ils soient Gilets jaunes, commerçants ou en uniforme bleu marine. Alors, Monsieur le président, renoncez à votre politique fiscale dont les Français ne veulent plus. Ce ne sera pas perçu comme un aveu de faiblesse, mais comme le geste d’un homme d’Etat qui les écoute et les aime. »

    Le mépris du peuple français

    « Cédez ou partez », ont clairement déclaré les membres de la délégation de la France insoumise (LFI) à Edouard Philippe. Tandis que Laurent Wauquiez a affirmé sortir de cet entretien avec une profonde inquiétude : « Ils n’ont pas pris la mesure de la colère ni de l’engrenage de la violence dans le pays. On n’en est plus au débat. Il faut une mesure concrète immédiate : l’annonce de l’annulation des hausses de taxes. »

    Les dernières marques d’incompétence et de mépris de deux députés macroniens qui ont fait le tour des réseaux sociaux, n’arrangent pas le climat : Eloïse Fajgeles dans un débat face à deux Gilets jaunes, s’est révélé ignorer totalement le montant du SMIC en France. Plus grave encore, Aurélien Taché a lancé chez Ardisson un très révélateur : « C’est quoi le peuple français ? » avant de révéler l’objectif de sa formation politique aux prochaines élections : « Transférer une grande partie de la souveraineté nationale au niveau européen, c’est le cœur de ce que l’on va proposer aux élections européennes. »

    Diluer la France et l’effacer petit à petit, c’est ce que Macron propose au peuple français qui demande à redevenir maître de son destin.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 4 décembre 2018

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