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social - Page 371

  • Vente d'Alstom aux Américains sous forte pression : du soft terrorisme, selon l'expert Hervé Juvin

    http://www.oragesdacier.info/

  • La France rurale, territoire sacrifié au profit de la banlieue

    6a00d83451619c69e201b7c95ff5e7970b-250wi.jpgDe Mylène Troszczynski, député européen du groupe ENL, sur Boulevard Voltaire:

    "Au moment où Emmanuel Macron s’apprête à dévoiler un plan qui préconise l’injection de 48 milliards d’euros au titre de la rénovation urbaine des banlieues, la France rurale n’en finit plus de sombrer et d’être reléguée au rang de territoire sacrifié.

    Depuis des décennies, les gouvernements de droite et de gauche dépensent par milliards dans les banlieues.Réaménagements urbains, réorganisation de la Justice, augmentation des effectifs policiers, création de maisons de quartier, rien n’y a été oublié, et pourtant, la banlieue n’aime toujours pas la France. À ces efforts s’ajoutent les réparations après les émeutes ou les attaques de commissariats, l’argent perdu par l’État ou par les commerçants en raison des trafics, les prestations ou les coûts indirects multiples. On cherche toujours, dans ces territoires à l’impossible reconquête, le « grand enrichissement » que promettait y voir éclore Fleur Pellerin, ministre de la Culture, soucieuse de démentir la substitution de population.

    En dépit de ses efforts colossaux, la France qui travaille et qui ne casse rien n’en finit plus de payer pour les quartiers perdus.100 milliards d’euros y ont été engloutis depuis quarante ans… et nous avons les émeutes, nous avons la violence, nous avons les pompiers caillassés, nous avons les trafics et nous avons les islamistes ! Ce n’est pas faute d’avoir essayé. En 1985 les « CAP’S », puis avec Juppé les « ZFU », déjà Borloo lançait le « PNRU », Amara « Espoir banlieues » et Ayrault les « emplois francs ». Nous avons aujourd’hui les « zones d’éducation prioritaire  » et leurs classes à douze élèves, 5.000 euros pour l’embauche d’un « jeune » de banlieue. Et pourtant, la situation s’aggrave.

    En réalité, le pouvoir a fait un choix. L’arrivée de vagues migratoires est une chance économique. Les populations issues des banlieues permettent de répondre aux besoins du marché de l’emploi peu qualifié des grandes villes et de contrôler une masse salariale bon marché et peu syndiquée. Il faut donc entretenir ces zones urbaines à proximité des grandes métropoles… à tout prix.

    Pendant ce temps, la France des campagnes et des petites villes meurt. Les perdants de la mondialisation, eux, travaillent, paient et roulent à 80 km/h désormais. Ils n’ont rien à dire et doivent rester invisibles. D’ailleurs, la sémantique vise à les rendre inaudibles. Moralement condamnés depuis longtemps, ils sont dans le camp du repli et de l’ignorance. Les grands gagnants de la mondialisation, tenants de la société ouverte et du vivre ensemble, exercent le pouvoir à leur profit, excluant par leurs choix des territoires entiers pourtant jusqu’alors créateurs d’emploi et de richesses.

    Mais le grand mythe d’une société ouverte où « tout est possible » sera emporté par les peuples et nos gouvernants devraient considérer la contestation qui monte dans toute l’Europe et qui ne manque pas d’advenir en France, car la ruralité ne supportera pas éternellement le joug du modèle économique et social qui la relègue socialement et culturellement depuis trop longtemps."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pour un syndicalisme réellement national

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    Arnaud Malnuit

    Pour les amateurs de comptes ronds, surtout s’agissant des anniversaires de la droite nationale, on peut effectivement signaler qu’en 2018 on célèbre les 45 ans de la première participation du Front National à des élections (en l’espèce les élections législatives), les 40 ans de l’assassinat de François Duprat, les 30 ans du décès accidentel de Jean-Pierre Stirbois.

    C’est-à-dire lors que la droite nationale se dotait de sa propre structure et qu’elle affirmait qu’elle était aussi la droite populaire et sociale.

    Mais les souvenirs ne s’arrêtent pas là, en effet, à la lecture du numéro de Pour un ordre nouveau datant de décembre 1972 (et dont certains exemplaires ont été disponibles à nouveau la vente grâce à nos amis de Synthèse nationale), au-delà de l’annonce de la création du Front Nationale est évoquée l’Union Générale des Travailleurs (UGT) qui se voulaient une réponse aux syndicats marxistes (la CGT étant sous le contrôle du PCF, FO abritait des trotskistes et la CFDT défendait l’autogestion version Yougoslavie titiste), s’inspirant des syndicats créés en Italie à l’instigation du Mouvement Social Italien. Cette UGT n’eut jamais de réelle existence et il fallut attendre les tentatives de création de syndicats par le FN au milieu des années 1990 pour voir la droite nationale retenter de créer un syndicalisme alternatif. Tentatives tuées dans l’œuf grâce à des lois votées en faveur des bureaucraties syndicales, avec le concours conjoint de la droite et de la gauche.

    Ces dernières années, le FN canal officiel a préféré défendre les centrales existantes et pire les soutenir, alors que ces dernières n’ont de cesse de proclamer qu’elles excluent leurs membres et responsables défendant des idées patriotiques…

    N’oublions pas non plus que ces centrales syndicales vivent de ce modèle social antifrançais que j’ai évoqué dans une précédente chronique.

    Sans parler de la CGT soutenant la régularisation des clandestins…

    Alors oui, il importe de créer un vrai syndicalisme national dont le premier mot d’ordre serait la préférence nationale à l’embauche et l'exclusivité nationale pour les prestations sociales. Un syndicalisme qui ne s’opposerait pas aux petits patrons, aux dirigeants de PME, aux indépendants. Mais qui au contraire les soutiendrait contre les multinationales et nos gouvernants qui bradent notre pays… Un syndicalisme qui proposerait d’autres modes d’actions que la grève pour ne pas nuire à ces PME et aux salariés pleinement touchés par ces conflits sociaux.

    Source Parti de la France cliquez ici 

  • Derrière les blocages : l’extrême gauche - Journal du mardi 10 avril 2018

  • Magouilles au sommet - Le scandale de la privatisation de la SNCF - Vincent Lapierre

  • SNCF : crime dans le Macron express. Les convergents du 3éme tour

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    Il y a une chose qui n’est pas réformable en France, c’est le refus de la défaite électorale par la gauche. C’est pourquoi il y a toujours après la présidentielle un troisième tour.

    Macron a faillit y échapper, car il a pris tout le monde par surprise, puis il a pris tout le monde de vitesse. 

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  • LUTTE CONTRE LES TERRORISTES OU LUTTE CONTRE LES CHEMINOTS

    cheminot-mecanicien-et-chauffeur.jpg

    Passionnante, l’édition spéciale de « Samedi politique » proposée par Élise Blaise sur TV Libertés à propos du terrorisme islamique en France décrypté par Xavier Raufer. Une émission que chaque Français devrait avoir écoutée en priorité (je fais un rêve…).

    Une brillante analyse dont un passage m’a interloqué. Xavier Raufer y surprend totalement à propos de ces viviers du terrorisme que sont les quelques centaines de quartiers urbains bénéficiaires de la politique de la ville. La politique de la ville, globalement, c’est une machine financière d’État à acheter la paix sociale dans les quartiers dits pudiquement « difficiles ». Une machine qui coûte très cher, car son coût réel est éparpillé en de nombreuses lignes budgétaires dans plusieurs ministères différents.

    Élise Blaise rappelait que, tant que le clientélisme électoral sévira dans notre pays, rien ne changera. Et là, surprise, Xavier Raufer rétorque qu’au contraire, « c’est enfantin » de résoudre le problème : suivre la piste financière et voir où va l’argent, et suivre la piste policière, renseignement et surveillance en priorité dans ces quartiers, puisque l’on sait que tout le terrorisme part de ces zones bien précises. En d’autres termes, mettre simplement le paquet sur les nids de terrorisme.

    Mon pessimisme sur la gangrène du terrorisme en France vole en éclats, un spécialiste d’envergure, parfaitement au fait du problème, nous enseigne que rien n’est irréversible.

    À mon espoir succède mon étonnement. Puisque les spécialistes considèrent que le terrorisme n’a rien d’inéluctable, pourquoi n’est-t-il pas déjà éradiqué ?

    N’est-ce pas une réforme urgente que celle de mettre fin aux menaces terroristes qui peuvent surgir partout en France ? Ne serait-ce pas plus urgent que la réforme du statut de la SNCF ? Certes, notre gouvernement « bruxellois » a décidé que le service public à la française devait disparaître pour laisser la place au libre jeu de la sacro-sainte concurrence. Comment, diable, ai-je pu vivre des décennies comme usager de la SNCF sans les bienfaits de la concurrence ? Mais, au fait, quel service public va-t-on liquider après les cheminots ? La RATP ? Les services d’incendie ? L’hôpital public et ses urgences ? Le ramassage des ordures ?

    Revenons aux cheminots. Quoi de plus subversif et dangereux, pour la paix publique, qu’un cheminot, je vous le demande. Grassement enrichis à ne rien faire, payant presque tous l’ISF, vivant scandaleusement sur les impôts des pauvres contribuables, en particulier les contribuables habitant dans les quartiers de la politique de la ville, ces cheminots privilégiés doivent disparaître en priorité. D’où la haine bien compréhensible et clairvoyante des autres Français pour ces nouveaux exploiteurs.

    Notre Premier ministre vient, d’ailleurs, de confirmer qu’il ira jusqu’au bout dans cette lutte salvatrice pour la France. Le terrorisme peut bien attendre, n’est-ce pas ? L’ennemi à abattre, c’est le dangereux et criminel cheminot. Je comprends mieux, maintenant, la politique du gouvernement. C’est limpide !

    http://www.bvoltaire.fr/lutte-contre-terroristes-lutte-contre-cheminots/

  • L'avenir de la SNCF

    trainsncf.jpg

    par Charles de Bourbon-Parme

    Chers amis,

    Une fois de plus, le pays a été pris en otage par une minorité de travailleurs privilégiés, aux régimes de protection sociale adaptés, aux nombreux avantages salariaux, confortés dans une situation de quasi inamovibilité de leur emploi.

    Les cheminots de la SNCF, puisqu'il s'agit d'eux, ont participé au mouvement national de grève ayant frappé les services publics ces derniers temps. En cause ? La réforme de leur statut, nécessaire à la redynamisation de leur entreprise pour faire face à son ouverture à la concurrence. En somme, ces employés ont préféré menacer la survie de leur entreprise, et donc leur bien commun, plutôt que de s'asseoir à la table des négociations pour étudier les moyens d'assurer son avenir et donc l'emploi de tous. Quelles sont les victimes immédiates de ces actions ? Les usagers. Quelles sont les victimes collatérales ? Les grévistes eux-mêmes, à terme, s'ils persistent à s'opposer à la réforme nécessaire de leur entreprise.

    Oh ! Bien sûr, la direction de la SNCF n'est pas exempte de critiques. Ainsi, la fermeture annoncée de nombreuses lignes dites déficitaires risque de peser lourdement sur l'aménagement du territoire et la compétitivité économique des communes isolées. Par ailleurs, si les régions, les départements et les communes s'organisent pour sauver ces lieux abandonnés de la SNCF, c'est à des compagnies étrangères que Réseau Ferré de France ouvrira les voies. La SNCF, alors, dans un deuxième temps, pâtira de sa vision purement gestionnaire.

    Dans ces deux exemples, nous voyons bien que l'essentiel est oublié à chaque fois. Les employés négligent leur bien commun qui est l'entreprise pour ne penser qu'à leur bien particulier immédiat. L'entreprise néglige le bien commun du monde économique qui est la préservation de la vigueur des territoires français. Enfin, l’État qui, depuis tant d'années, néglige son rôle d'actionnaire principal en n'anticipant pas les réorganisations nécessaires, laisse cette structure folle développer ses erreurs, comme des prix du billet de TGV de plus en plus prohibitifs, l'abandon du calcul du coût du billet au kilomètre, l'absence de réforme de fond des structures de l'entreprise et de sa masse salariale, le délaissement d'un réseau ferré et d'une flotte de trains aujourd'hui vieillissants pour une part importante.

    A chaque échelon, ce sont les Français, c'est la France qui souffrent de cet abandon du bon sens.

    Ne nous en laissons plus compter !

    Charles

    http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/social-et-economie/2633-l-avenir-de-la-sncf

  • Brésil – L’armée prête à prendre ses responsabilités

    Au Brésil, l’armée semble prête à prendre ses responsabilités. Le général Eduardo Villas-Boas, chef de l’armée brésilienne, a publié mardi soir sur Twitter un message dans lequel il indique que les militaires « partagent le sentiment des Brésiliens qui répudient toute impunité« . Même si le général ne cite pas explicitement l’ex-président Lula, condamné pour corruption, son message est clair pour qui doit l’entendre.

    Et, jeudi, la Cour suprême du Brésil a rejeté la demande d’habeas corpus de Lula, signifiant que son arrestation devrait être imminente. Ce qui irrite profondément la gauche et l’extrême gauche qui espéraient bien revoir Lula aux commandes de l’Etat à l’issue du prochain scrutin présidentiel et plaidaient pour qu’il échappe à sa condamnation.

    Car Lula, 72 ans, a été condamné à une peine de douze ans et un mois de prison pour avoir reçu un luxueux appartement en bord de mer de la part d’une entreprise de bâtiment en échange de faveurs dans l’obtention de marchés publics.

    Cette condamnation est l’aboutissement du travail des procureurs de l’opération « Lavage-Express », qui ont mené une enquête aux ramifications tentaculaires, dévoilant un gigantesque scandale de corruption impliquant des hommes politiques de tous bords.

    Mardi soir, veille du jugement, plusieurs dizaines de milliers de personnes avaient manifesté dans les plus grandes villes du pays pour réclamer l’incarcération de Lula.

    Et l’armée entend bien faire respecter ce jugement et voir l’ex-président corrompu derrière les barreaux. Sur les réseaux sociaux, des appels surgissent d’ailleurs pour demander à l’armée d’intervenir si nécessaire pour protéger le pays du communisme.

    http://www.medias-presse.info/bresil-larmee-prete-a-prendre-ses-responsabilites/89793/

     
  • Les réformateurs administratifs coupés de l'opinion

    6a00d8341c715453ef01b8d2e8dddf970c-320wi.jpgLa négociation entre Mme Borne et les centrales syndicales n'ayant, selon ces dernières, rien donné ce vendredi 6 avril, la grève de la SNCF reprendra donc à partir de ce samedi 7 au soir. En dépit de leur tactique inédite, d'alternance des jours et de rotation des grévistes, rien n'assure pourtant aux syndicats du chemin de fer que leur mouvement ayant débuté le 3 avril aboutisse vraiment, même au 28 juin, sur le plan matériel.

    En revanche, on peut constater, une fois de plus, que la technocratie se révèle incapable de lutter au plan des principes. Elle ne sait ni entraîner l'adhésion, ni riposter face aux slogans adverses. Ceux-ci ne représentent pas autre chose que la réintégration du marxisme dans l'espace du débat, mais on semble ne pas oser le dire.

    On a pu constater cette carence dès le début du mouvement revendicatif, avec les déclarations d'Élisabeth Borne. Dès le 30 mars en effet, la ministre des Transports concédait aux opposants que le gouvernement renonçait aux ordonnances sur l'ouverture à la concurrence. "Je déplore, ajoutait-elle tristement, que la grève démarre alors que nos discussions sont en cours. Nous sommes à mi-parcours des concertations et le débat au Parlement démarre la semaine prochaine."

    Entendons-nous bien : d'abord Mme Borne peut, sans doute, être considérée comme l'une des personnalités les plus compétentes dans le domaine technique, qui lui a été dévolu au sein du gouvernement. Son parcours l'atteste et ce qu'elle propose reste sensé. Mais elle ne manifeste aucune expérience politique et ne détient aucune légitimité populaire. "Les cheminots vont garder l'essentiel des garanties du statut", affirmait-elle vendredi matin à 8 h 30 sur Twitter, citant "la retraite, la garantie de l’emploi, la rémunération, les facilités de circulation. Ça n'est pas rien." Cela n'a pas convaincu, bien au contraire, ses interlocuteurs, toutes centrales confondues.

    Et puis la question des ordonnances reste entière. On nous a répété constamment, depuis 60 ans, que, par ce type de procédures, la France est devenue enfin gouvernable en 1958. Et c'est un fait qu'elle a été gouvernée, en bien comme en mal, ainsi, par la gauche comme par la droite. Le pouvoir actuel avait annoncé le 26 février par la voix du Premier ministre qu'il entendait recourir à cette voie certes conforme à la constitution.

    Cette méthode déplaît aux syndicats, mais Édouard Philippe la proclamait au départ excellente. Son utilisation lors de la réforme du Code du travail aurait, selon lui, "prouvé que cette méthode ne confisquait aucunement le dialogue""Nous voulons aller vite sans escamoter la concertation ou le débat parlementaire qui sont nécessaires et légitimes", assurait-il alors. Il précisait même : "A la mi-mars, nous déposerons un projet de loi d'habilitation au Parlement."

    Et une fois de plus le pouvoir recule. Nous retrouvons cette crainte bicentenaire que manifestait déjà sous Louis XVI et sous la Restauration, le parti ministériel. Ainsi appelait-on les réformateurs administratifs, technocrates de l'époque.

    Quant aux gens qui tiennent absolument à démontrer la différence de situation par rapport à 1968, je me permets de leur indiquer qu'ils se trompent. L'Histoire ne se répète jamais à l'identique mais elle recommence toujours. Le leurre du monde nouveau ne doit plus nous tromper.

    Avec les gauchistes de Sud-Rail au moins les choses sont claires.

    Dans une brochure éditée en janvier 2017, le syndicat publie le détail, certes complexe des indemnités auxquelles ont droit les salariés de la SNCF, du moins les 92% d'entre eux assujettis au fameux statut.(1)⇓

    Or, en page 14 de ce document figure un encadré de couleur verte. Il indique ce que Sud-Rail revendique. À savoir :- La refonte de la grille des salaires imposant un déroulement de carrière minimum, à l’ancienneté, basé sur l’expérience et la qualification afin de faire disparaître toute notion de classe au travers de la rémunération. - Le même déroulement des échelons d’ancienneté pour tous les cheminots. - Ces revendications correspondent à notre notion de solidarité, base de notre syndicalisme.

    Autrement dit, égalitarisme pratiquement total, sans prise en compte du mérite individuel. Un tel discours fait marcher les révolutionnaires, les zadistes, les bloqueurs des universités, les perroquets sectaires de Nuit Debout, les cégétistes des hôpitaux, les gauchistes de tout poil, — à défaut de faire rouler les trains.

    JG Malliarakis 

    Lien FB de l'insolent

    Apostilles

    1. Brochure téléchargeable ici

    http://www.insolent.fr/