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tradition - Page 249

  • [Débat vidéo] Extension du domaine de la lutte avec Béatrice Bourges, Frédéric Pichon et Philippe Ariño.

    Nouvel Arbitre vous proposait dernièrement de venir rencontrer trois acteurs importants de la lutte contre la loi Taubira. Les débats furent marqués par la sincérité et le courage des intervenants avec des paroles fortes et une volonté d’éclaircissement des différents intervenants. Nous vous laissons découvrir cette conférence en vidéo.

    La suite des vidéos sur Nouvel Arbitre.

  • Manifestation de La Manif Pour Tous à Nantes le 23 novembre

  • Les élus face à l'objection de conscience

    Les maires français revendiquent d'user d'une clause de conscience, sujet politique délicat depuis toujours, face au Mariage pour tous.
    L'objection de conscience, en politique, a toujours posé des dilemmes aux élus. Tout d'abord celui de la démission. Jusqu'où cautionner une politique ou des lois que l'on n'approuve pas ? Comment articuler responsabilité politique et conscience morale ? On se souvient de la phrase restée célèbre prononcée par Jean-Pierre Chevènement en 1983 : « Un ministre, ça ferme sa gueule. Et si ça veut l'ouvrir, ça démissionne. » Au final, Jean-Pierre Chevènement démissionnera deux fois... Le dernier ministre à avoir démissionné est la socialiste Delphine Batho, ancien membre de l'actuel gouvernement. La chose n'est pas nouvelle : les légitimistes français se barricadèrent dans leurs châteaux entre 1830 et 1870, comme l'évoquait volontiers Jean de La Varende dans ses œuvres. Ils ne voulaient collaborer ni avec Louis-Philippe, ni avec Napoléon III. De même en 1905, la crise des inventaires, la persécution des catholiques par la République(1) poussa nombre d'officiers, de fonctionnaires ou d'élus à démissionner de leurs fonctions (une attitude là encore évoquée par La Varende dans Le non de M. Rudel). La question fut encore d'actualité durant l'Occupation où les maires et les fonctionnaires durent souvent faire face à des cas de conscience extrêmement grave.
    Maires pour l'enfance
    Les maires sont évidemment concernés par l'objection de conscience quand la loi heurte leurs convictions en matière d'état-civil. Si le divorce ou le PACS sont des actes juridiques (le divorce étant néanmoins mentionné à l’État-civil), le mariage ouvert aux couples de même sexe, autorisé par la loi Taubira, place les élus opposés pour des raisons morales à cette évolution plus que contestable de la législation, devant un choix cornélien : légitimer cette aberration anthropologique ou se mettre hors la loi puisque le pouvoir ! et le Conseil constitutionnel refusent l'objection de conscience pour les élus locaux après qu'il ait été saisi d'une question prioritaire de constitutionnalité (QPC). Seule reste ouverte la saisine de la cour européenne des droits de l'homme. Comme l'a laissé entendre le maire UMP d'Arcangues (Pyrénées-Atlantiques), Jean-Michel Colo : « Nous allons faire dire à l'Europe ce que le Conseil constitutionnel n'a pas dit. Nous allons saisir la Cour européenne des droits de l'homme. » À la tête de ce combat, on trouve Frank Meyer, responsable du collectif des Maires pour l'enfance, évangéliste protestant et maire UDI de Sotteville-sous-le-Val (Seine-Maritime). Lors de l'audience du Conseil constitutionnel, il a notamment déclaré : « La question est de savoir si la loi Taubira sur le mariage pour tous n'enfreint pas l'une des libertés fondamentales, à savoir la liberté de conscience, et si elle n 'est pas contraire aux droits de l'homme, qui garantissent que nul ne peut être inquiété pour ses opinions, mêmes religieuses si elles ne troublent pas l'ordre public. » À ses côtés, on trouvait le maire CNIP du Chesnay, Philippe Brillault, porte-parole de la Manif pour tous et donc très en pointe sur le sujet. Il a déclaré à la télévision France 24 : « La vraie question c'est : la décision du Conseil constitutionnel est-elle juridique ou politique ? À mon avis, elle est politique. »
    Agents de l’État ?
    Que peut faire un maire face à un mariage entre personnes de même sexe, alors qu'il en réprouve le principe ? Déléguer la chose à l'un de ses adjoints, comme pour n'importe quel autre mariage, ou sinon à un élu de l'opposition. Que souhaiteraient-ils ? Que le préfet règle la question au nom de l’État. Comme officier d’État-civil, comme officier de police judiciaire, le maire n'est pas seulement un représentant du peuple, il est aussi un agent de l’État. Pour autant, il n'est pas un fonctionnaire, il n'a pas d'obligation morale de servir l’État. Il y aurait une grave contradiction interne à la démocratie de priver un élu de sa liberté d'opinion ou de conscience au prétexte qu'il serait un agent de l’État. Autant alors que ce dernier nomme les maires, comme ce fut le cas au XIXe siècle.
    Pour les élus qui se battent en faveur de la liberté de conscience, il s'agit là de défendre le caractère propre du politique face à l'empiétement étatiste. Le mariage homosexuel a créé un clivage profond dans la société française. Là où l'on ne peut contraindre un médecin à pratiquer un avortement, là où un citoyen pouvait refuser de faire son service militaire, au profit d'un service civil, on pourrait contraindre un élu local à faire fi de ses convictions profondes, de sa conception anthropologique ? Voilà la question que soulèvent de courageux élus malgré la pression médiatique et les menaces des préfets aux ordres du système (on l'a vu notamment dans le Vaucluse, face à la volonté de résistance des époux Bompard). Les catholiques se heurtent aujourd'hui à un totalitarisme rampant qui souhaite changer l'homme. L'objection de conscience va devenir un enjeu majeur de notre société. Il faut souhaiter que de nombreux élus prolongent leur réflexion sur le sujet, aidés en cela par des philosophes et des juristes. Nous sommes là au cœur des enjeux et des ambiguïtés de la laïcité, qu'on ne saurait réduire comme certains sont tentés de le faire à la seule question de l'islam.
    Jacques Cognerais monde & vie 12 novembre 2013
    1 Jean Sévillia, Quand les catholiques étaient hors-la-loi, Perrin, 2005.

  • Toujours Venner !

    La disparition volontaire de Dominique Venner n’en finit pas de susciter des projets éditoriaux. Après l’hommage rendu par les Bouquins de Synthèse nationale avec un remarquable Venner. Présent !, un autre recueil dirigé cette fois-ci par la rédaction de La Nouvelle Revue d’Histoire serait en cours de préparation avec des contributeurs plus renommés.

    En attendant la sortie prochaine de ce livre collectif, les Éditions d’Héligoland éditent en version audio Le choc de l’histoire, publié en 2011 chez Via Romana. Il faut saluer cette initiative quand bien même le livre audio n’est guère prisé par le public français. Il pallie avantageusement l’impossibilité de lecture quand on conduit ou on a perdu la vue. Son autre avantage est de remplacer les sempiternels bruits diffusés par des radios commerciales abrutissantes.

    Pour la circonstance, c’est sa veuve, Clotilde Venner, qui répond à la place de son mari à ses questions désormais lues par le jeune Guillaume Bagnuls. Cet essai se trouve au croisement du Samouraï d’Occident, d’Histoire et identité des Européens et du Siècle de 1914. Outre une évident commodité pour les déplacements, ce livre audio peut – doit – trouver auprès d’un jeune public accro à l’oralité et réfractaire à l’écrit soutenu un écho très favorable. Le livre audio est peut-être une solution dans la reconquête identitaire des esprits.

    IDées est la maison d’édition du Bloc Identitaire implantée Nice. Elle vient de publier le manifeste de 1962 intitulé Pour une critique positive qui révolutionna le combat nationaliste à la fin de la Guerre d’Algérie.

    Signé par Jean-David Cattin et Philippe Verdon – Raybaud, l’avant-propos replace le texte dans son contexte historique. Ils ont maintenu l’anonymat de l’auteur alors que « Dominique Venner est communément considéré comme le rédacteur ». « S’il ne l’a jamais revendiqué publiquement, il n’a jamais nié non plus (et encore moins renié) la paternité du texte ». Or, dans Le Cœur rebelle, Venner a écrit qu’« à la Santé, je rédigeais une sorte de bilan qui énonçait des directions pour une action future. Ce texte, Pour une critique positive, fut publié anonymement avant ma mise en liberté à la fin de 1962 ».

    Cinquante ans après, le propos demeure précis, méthodique, rigoureux et abrupt. Si certaines réflexions ne sont plus opérantes – pensons au nationalisme et à l’Occident -, sa teneur conserve toute sa pertinence, en particulier avec la distinction fondamentale entre les « nationaux » et les « nationalistes ». Les premiers demeurent la plaie purulente des seconds, car ces « modérés », autrefois vilipendés par l’excellent Abel Bonnard, cherchent toujours des accommodements pratiques et électoraux.

    Les manifestations contre le « mariage » homosexuel ont démontré leur pusillanimité ainsi que leur appétence au cocufiage volontaire. Gazés, matraqués, gardés à vue, ils auraient pu s’enrager, monter des barricades, fomenter des émeutes, marcher sur l’Élysée, Matignon et le Palais Bourbon… Non, ces manifestants gardèrent un esprit ludique, festif et légaliste – hyper-légaliste même – si bien qu’un trimestre plus tard, au dire des sondages, ce lectorat droitier et lâche s’entiche de l’ineffable ministre de l’Intérieur qui ordonna quand même leur matraquage et leur gazage.

    Toutes les tares vues et dénoncées en son temps par cet opuscule roboratif perdurent encore à l’heure actuelle. Elles s’aggravent même ! Pour une critique positive reste plus que jamais d’actualité afin d’édifier un authentique mouvement révolutionnaire et identitaire européen, dégagé autant de la nostalgie incapacitante que de la dédiabolisation médiatique. Grâce à son format réduit – cette réédition se met facilement dans la poche d’un manteau -, son faible nombre de pages et la modicité de son prix, elle est à recommander chaudement aux jeunes Européens d’autant que « la jeunesse d’Europe aura de nouvelles cathédrales à construire et un nouvel empire à édifier ».

    Bastien Valorgues http://www.europemaxima.com/

    Pour une critique positive. Écrit par un militant pour des militants, IDées, Nice, 2013, 75 p., 5 €.

    • Dominique Venner, Le choc de l’histoire. Religion, mémoire, identité, C.D. audio lu par Clotilde Venner, Les Éditions d’Héligoland, Pont-Authou, 15 €.

  • Le génocide de notre temps

    Déclaration du Dr Dor, Président de SOS Tout-Petits, annonçant le 27éme anniversaire de la création du mouvement :

    "Le plus grand et le plus indigne massacre jamais commis par l’humanité contre la loi divine et contre elle-même, est celui de l’avortement volontaire, entré dans la loi. Ses victimes, toutes petites et innocentes se comptent non plus par millions mais, si on les additionne, par milliards (50 millions par an dans le monde, selon le FNUAP, année 2000, et sans doute bien davantage). En France, selon l’INSEE, leur nombre est environ de 225000 par an, soit plus de 600 par jour, dont une bonne partie par voie chimique, (le chiffre serait actuellement de 54% - par RU 486 ou Mifégyne), sans compter celles innombrables, par contraception hormonale –pilule, implant- et par stérilet, l’avortement passant le plus souvent inaperçu car très précoce. L’existence d’un tel génocide ne peut être nié, il est à notre porte. Le plus étonnant est qu’on ne le voit pas, ou plus, ou qu’on préfère ne pas le voir, il est trop effrayant, ou que l’on voit mal sa véritable origine, celle d’un complot orchestré à l’échelle planétaire, celui de la culture de mort, et plus précisément de la vie prise à sa source. Sa force vient de notre aveuglement et de notre faiblesse.

    L’agent le plus redoutable de cette entreprise est l’IPPF (Internationnal Planned Parenthood Federation), mais tout est coordonné essentiellement par la Franc-maçonnerie.

    L’IPPF. Première des ONG, répandu presque partout, notamment dans les pays pauvres, introduit dans les rouages de l’ONU et dans les États, financé par le grand capitalisme et les gouvernements, dont celui de la France, il a pour programme, la libération et l’éducation sexuelle, la contraception et l’avortement.

    La Franc-maçonnerie. Son culte est luciférien, sa doctrine est la Gnose qui s’identifie, non à un péché, mais au péché lui-même, celui de Lucifer et d’Ève : « Vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal ».( Gn 3.5.) Dressée contre Dieu, contre sa Création et son Incarnation, ivre de transgression, de ténèbres, de blasphèmes, de mensonges et de pouvoir, elle cherche à dissoudre les consciences pour effacer en elles, l’image de Dieu et la raison droite. Sa méthode est le glissement sémantique, modifiant le sens des mots. Nombreuses sont ses ramifications, Fondation Rockfeller, CFR, Population Council, Bildelberg, Trilatérale, Club de Rome... Elle est à la fois maître et agent du NOM- Nouvel Ordre Mondial - préfiguré par le revers du Grand sceau des États unis, sceau emprunté par les Pères fondateurs aux Illuminés de Bavière, peu après leur apparition en 1776 et imprimé depuis 1933 sur le billet de un dollar.

    Le péché est immense. Si nous fermons les yeux, c’est pour nous confier à Dieu, Le prier et répondre à son appel. Nous serons présents dans 24 villes de France, 3 villes des Philippines, à Abidjan, en Cote d’Ivoire et aux États-unis, à Milwaukee (Wisconsin) Prières publiques de réparation, d’intercession et de conversion.

    « Continuez votre bonne bataille », Jean Paul II, à Castel Gondolfo, le 27 Juillet 1998. Venez…"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le pouvoir tente de faire taire David Van Hemelryck

    David Van Hemelryck, le pilote de l'aéronef à la bannière "Hollande démission", a été déféré ce midi et sera présenté ultérieurement à un magistrat. Il est poursuivi pour organisation de manifestation non déclarée.

    Les trois autres personnes interpellées hier sur les Champs-Elysées ont vu leur garde à vue prolongée de 24 heures. Elles sont poursuivies pour violence volontaire sur agent de la force publique.

    La persécution politique, avec la complicité de la police, se poursuit.

    Michel Janva

  • L’extrême-gauche violente s’en prend au cortège traditionnel des enracinés tourangeaux.

    Hier soir, comme depuis 4 ans, les enracinés tourangeaux défilaient pour défendre leur identité. Mais cette année, nous avons été confronté à la mobilisation, aux provocations et aux violences de l’extrême-gauche.

    En effet, plusieurs centaines d’individus (dont un certain nombre venaient de Paris, de Bretagne ou encore du Limousin pour en découdre) ont tenté une démonstration de force pour intimider les participants à notre marche et empêcher le déroulement de celle-ci. Plusieurs de ces manifestants d’extrême-gauche ont tranquillement défilé dans les rues de Tours le visage masqué ou en tenant des manches de pioche maquillés en hampe de drapeaux.

    Alors que leurs intentions violentes étaient manifestes, les forces de l’ordre ont laissé plusieurs groupes issus de ce cortège s’approcher de notre manifestation. Et ce qui devait arriver arriva… Plusieurs participants à notre marche ont été visés par des projectiles provenant des rues adjacentes à notre parcours. A un certain moment, j’ai même dû personnellement intervenir avec des militants de Vox Populi pour faire reculer un groupe qui s’en prenait à des jeunes femmes présentes dans notre rassemblement. Il aura fallu cet accrochage pour que la police sorte enfin de sa passivité !

    Notre rassemblement était – comme chaque année – déclaré aux services de la préfecture. Il est à ce titre inacceptable que nous ayons eu à faire face à une manifestation dont le seul but était de contrer la nôtre. Pourquoi a-t-on laissé des personnes agressives approcher notre cortège ? Pourquoi une telle passivité face à ces groupuscules violents ?

    J’écrirai dès aujourd’hui au préfet pour lui demander de mettre un terme au climat de violences politiques entretenu à Tours par l’extrême-gauche.

    La présence médiatique tout à fait inhabituelle (plusieurs télés nationales étaient présentes, ce qui n’a jamais été le cas pour notre modeste marche « provinciale ») me laisse à penser que les provocations des milices gauchistes étaient prévues et concertées. Les médias étaient là pour avoir du spectacle ! Il ne fait à mes yeux aucun doute que c’est en particulier le militant politique engagé dans les élections municipales que je suis que l’on visait.

    PL Mériguet http://www.voxpopuliturone.fr

  • Le mouvement des veilleurs s'étend en Espagne

    L’organisation pro-famille espagnole Hazte Oir demande de suivre cette initiative pour lutter contre la loi sur l’avortement en Espagne :

    "Peut –être connais-tu le mouvement des « veilleurs » en France. Ils sont en train de défendre les valeurs à force de se concentrer en silence devant les édifices qui abritent les principales institutions de l’Etat. Ils obtiennent ainsi une répercussion  politique et médiatique extraordinaire. Vous pouvez le voir sur la photo. Ils se concentrent d’une manière totalement pacifique, en disposition espacée, occupant l’espace public devant des édifices officiels pour marquer leur opposition aux lois gouvernementales. Nous allons faire la même chose à Madrid pour demander l’avortement zéro et pour préparer la prochaine Marche pour la vie.

    Rendez-vous : Le mercredi 13 novembre, à 18 :30 heures face au Palais des Congrès des Députés."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/le-mouvement-des-veilleurs-s%C3%A9tend-en-espagne.html

  • 25/11 : conférence sur le gender à Lyon