PARIS (NOVOpress) - Hier, dimanche 24 novembre, les Antigones ont organisé une marche à Paris contres toutes les violences faites aux femmes.
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Les Antigones ont marché contre les violences faites aux femmes
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TABLE RONDE DE TERRE & PEUPLE Dimanche 1er décembre 2013
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Slovaquie : victoire électorale pour un nationaliste
Marian Kotleba a créé la surprise en battant son rival du parti social-démocrate (au pouvoir), au second tour des élections régionales dont les résultats ont été publiés dimanche. Il devient donc « gouverneur » de la province de Banska Bystrica (la première du pays).
Ex-leader du mouvement nationaliste radical «Slovenska Pospolitost» («Communauté slovaque»), Marian Kotleba est âgé de 36 ans.
Cet instituteur dirige actuellement le relativement modeste parti nationaliste «Notre Slovaquie».Aupremier tour, M. Kotleba n’avait obtenu que 21,3% des voix, si bien que ses chances d’être élu au poste de gouverneur étaient généralement jugées minces par les analystes. Au second tour, il a pourtant battu son rival du parti social-démocrate Smer-SD Vladimir Manka (soutenu par l’ensemble du Système), par 55,5% des voix contre 44,5%. Son discours de fermeté face au problème rom (10% de la population…) y a joué pour beaucoup.
La victoire électorale d’un nationaliste radical n’ayant rien renié de ses convictions, plusieurs fois victime de la répression du gouvernement slovaque, est un fait suffisamment rare pour être souligné et salué !
PS : le Figaro, toujours plus mauvais, parle carrément d’un « néonazi »… Quant à l’uniforme, il n’est pas inspiré de ceux utilisés par les Allemands, mais de celui de la Garde Hlinka (du nom de l’abbé Hlinka, chef politique nationaliste), organisation nationaliste des années 30 et 40.
http://www.contre-info.com/slovaquie-victoire-electorale-pour-un-nationaliste
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Bruno Gollnisch: « Je ne célèbrerai pas ces parodies de mariage »
Bruno Gollnisch est député FN au parlement européen et conseiller régional de . Il est aussi membre du bureau politique du FN. Nous lui avons posé des questions sur la situation de la France, la loi Taubira..
1) Plus d’un an après l’élection de Hollande, quelle est la situation de la France aujourd’hui ?
Mauvaise! On peut dire que la chute semble continue, que le déclin parait inéluctable: insécurité, immigration, imposition et fiscalisme, perte des repères moraux,… Les raisons de désespérer seraient nombreuses, mais la France a aussi prouvé par le passé qu’elle sait se sauver alors que tout semble perdu! Nous tâchons donc de batailler pour accomplir le redressement nécessaire.
2) On vous a vu dans de nombreuses manifestations contre la loi Taubira sur le mariage gay, êtes-vous pour l’abrogation de la loi ?
Il s’agit là d’une bonne illustration de ce dont je vous parlais: la mobilisation impressionnante, pendant plusieurs mois, de centaines de milliers de français, prouve que l’espérance est nôtre! J’ai bien évidemment participé autant que possible à ces mobilisations. Mais cette loi a malgré tout été votée, et là où la pseudo droite UMP a déjà tout lâché, le Front National a pris l’engagement de l’abroger. J’ai par ailleurs annoncé dans ma campagne municipale à Hyères (83) qu’élu Maire, je ne célébrerai pas ces parodies de mariage.
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5 mois, jour pour jour
... que les Sentinelles se relaient devant le ministère de l'Injustice. Un pied de nez à Christiane Taubira, dont une proche a avoué : "On ne pensait pas qu'ils passeraient l'été".
Deux sentinelles sont sur place en ce moment.
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Opération montgolfière à Annecy
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Cognac : le Parti de Gauche veut interdire les Veilleurs
Le Parti de Gauche de Cognac veut faire interdire les Veilleurs. Il semblerait que la présence de ces vigilants pacifistes dérangent l’élu de gauche local, Serge Lebreton. Soutenons les Veilleurs contre le Parti de Gauche ! Le Printemps Français
Lu sur Sud-Ouest :
Conseil municipal de Cognac : Serge Lebreton veut déloger les Veilleurs Les élus du Parti de gauche veulent interdire la présence des Veilleurs, réunis tous les mercredis en ville.
Les Veilleurs continuent leur réunion, et ce depuis le mois d’avril. (Archives « sud ouest » )
Si l’on ne devait retenir qu’une discussion lors du Conseil municipal d’hier, ce serait celle concernant une question de l’élu du Parti de gauche, Serge Lebreton. Les huit petits points à l’ordre du jour ont été pliés en moins de trois-quarts d’heure. C’est donc en fin de Conseil que Brigitte Bonneau a lu le texte écrit par Serge Lebreton, lui-même absent jeudi soir.
Ses propos voulaient mettre le doigt sur la présence, tous les mercredis soir, d’une petite poignée de personnes sur la place François-Ier, réunis sous le nom de Veilleurs et anti-mariage pour tous. « Nous avons été alertés par des citoyens que les Veilleurs tiennent des propos homophobes et caricaturaux, a lu Brigitte Bonneau. Ils chantent des prières au micro et appellent à la haine. Nous demandons au maire de faire cesser de tels agissements relevant d’un intégrisme qui n’a pas sa place à Cognac. »
« Illuminés religieux » [sic]
Michel Gourinchas, le maire de Cognac, a confirmé avoir reçu une pétition qui demandait de faire évacuer les Veilleurs. Pour autant, « ils ne gênent pas la vie publique, et ils ne sont pas nombreux, a-t-il rétorqué. La paix civile n’est pas menacée. D’après moi, le fait d’en rajouter donne de l’éclat à leur action. Ce que, j’imagine, vous n’aviez pas prévu. »
Les échanges ont alors doucement glissé sur le terrain sensible des croyances religieuses, lorsque Brigitte Bonneau n’a pas hésité à dire qu’« on n’aurait certainement pas laissé d’autres religions faire ça. »
L’élue UMP de l’opposition, Émilie Richaud a, quant à elle, voulu rappeler « qu’aucune prière n’est dite, et que les Veilleurs veulent juste prendre part à la vie publique. Je rappelle au maire qu’il les a déjà qualifiés “ d’illuminés religieux ”… »
La question est donc finalement restée en suspens. Le maire n’a visiblement pas l’intention de répondre par l’affirmative aux demandes de Serge Lebreton.
Les Veilleurs continuent tous les mercredis soir à manifester pacifiquement contre le mariage pour tous. Le mouvement se rassemble depuis le mois d’avril, sans discontinuer.
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Cognac-le-Parti-de-Gauche-veut
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[Éditorial] NOUS SOMMES TOUS DES BONNETS ROUGES
Quo non descendet ? Jusqu’où ne descendra-t-il pas ? Alors que Louis XIV avait puni l’orgueil démesuré de son mauvais serviteur Fouquet, qui, pour son malheur, avait pris au mot la devise inscrite sur son blason — Quo non ascendet ? [1] —, c’est manifestement pour des raisons inverses que le peuple français veut punir François Hollande, président par défaut, dont l’incapacité à se hisser à la hauteur de sa fonction est devenue, comme on dit pudiquement, LE problème.
Quelle gifle, tout de même ! Même l’ex-édile de Nantes fait mieux dans les sondages que l’ex-conseiller général de Corrèze. Décidément, les institutions de la Ve république ne sont plus ce qu’elles étaient : le premier ministre ne sert même plus de fusible au locataire de l’Elysée et chacun sent bien qu’un remaniement ministériel ne serait qu’un cautère sur une jambe de bois. De même l’annonce, ce mardi 19 novembre, par Ayrault, d’un grand débat fiscal a-t-il quelque chose de pitoyable, le moment étant trop bien choisi : il est si facile, en effet, de tenter de calmer la fronde populaire qui s’amplifie dans le pays par une annonce qui ne mange pas de pain, puisque ce débat sera évidemment sans effet sur un budget en fin d’examen parlementaire et donc sur la feuille d’impôts de l’année prochaine. Au mieux — souvenir d’une promesse électorale qui sent désormais le rance — pourrait-il produire des effets en 2015. Mais on sait déjà que, les règles européennes demeurant inchangées et les œillères socialistes identiques, la pression fiscale ne saurait baisser.
2015 : cela paraît bien loin. Il y a, auparavant, les élections municipales, européennes et sénatoriales de 2014 : le pays légal ne pense qu’à ça, les uns espérant limiter la casse, les autres recueillir les fruits de leur opposition et refermer le plus tôt possible la parenthèse socialiste, voire la parenthèse Hollande — mais Sarkozy est bien resté cinq ans. Encore faut-il convaincre les Français qu’on est prêt. Or un autre sondage récent indique que, pour la majorité de nos compatriotes, la droite — UMP et FN réunis — ne ferait pas mieux que la gauche. Si tel est le cas, le peuple français n’a plus le choix qu’entre la résignation suicidaire ou la révolte.
Il semble que les éléments les plus actifs de la population aient choisi la seconde : petits patrons, salariés, paysans, artisans, commerçants commencent à rejoindre une protestation née en Bretagne mais qui perd peu à peu son caractère local et historique pour devenir nationale. Les bonnets rouges essaiment dans toute la France, sans rencontrer aucune hostilité au sein de la population. Comme souvent, les plus actifs servent de porte-voix à ceux qui n’ont pas la possibilité de se joindre à eux. Cela avait été le cas lors des longues grèves de 1995. Telle est aujourd’hui la fonction des bonnets rouges, qui n’appartiennent à personne, notamment pas au maire divers gauche de Carhaix, Christian Troadec, qui, dépassé par le mouvement, a dénoncé, dans les cris spontanés de la foule le 11 novembre dernier sur le passage du président normal rentrant à l’Elysée, une indécente récupération du mouvement par l’horrifique extrême droite. Les grosses ficelles peuvent-elles encore servir ? Et suffit-il à ce membre de la majorité, complaisamment rejoint par les media, de cracher sur les patriotes pour les discréditer ? Les interpellations arbitraires qui les ont frappés, pour certains avant même le début de la cérémonie, pour le simple port, devenu illégal ?, d’un bonnet rouge — il était de même devenu illégal au printemps dernier de porter un vêtement de La Manif Pour Tous —, en dit long surtout sur la dérive autoritaire, voire l’arbitraire d’un système qui cherche à retarder au maximum le tournant historique qui se dessine. Parmi les patriotes interpellés, est-il besoin de souligner qu’il y a de nombreux militants d’Action française, dont trois attendent leur procès... pour des motifs imaginaires ?
Nous parlons de système parce que ce sont le pays légal dans toutes ses composantes, les représentants visibles de l’oligarchie apatride et les media, dont la servilité a décuplé par rapport au temps qu’on croyait révolu de l’ORTF, que vise une colère que le pouvoir et ses chiens de garde, devenus autistes, cherchent à calmer en traitant les Français globalement de ...racistes ! Diversion, que la prétendue montée du racisme dans un pays autrement préoccupé par la désindustrialisation, le chômage, la pauvreté galopante, l’insécurité et l’immigration ? Bien sûr, mais, comme dans le cas du mariage homosexuel, cette diversion en dit long sur ceux qui y recourent tout en représentant par elle-même un danger pour la cohésion sociale. C’est pourquoi il convient de la combattre avec la même énergie. On ne doit avoir de cesse — et l’Action française qui a toujours vu dans le racisme, à l’instar de Maurras, son plus vieil ennemi intellectuel, n’a en la matière de leçon à recevoir de personne — de dénoncer l’imposture d’un antiracisme qui vise à affaiblir la cohésion d’un peuple en diabolisant tout refus du multiculturalisme ou toute dénonciation du grand remplacement voulu par l’oligarchie. Et qui, surtout, en insultant les Français dans leur ensemble, vise à les discréditer à leurs propres yeux. Mais le pays réel n’est plus dupe et les sondages les plus catastrophiques pour le pouvoir ont suivi cette nauséabonde tentative de diversion.
Enfermé dans leur bunker idéologique qui les coupe des sentiments réels de la population, pensant pouvoir encore déplacer des divisions devenues inexistantes — celles d’un soutien populaire à un régime décrédibilisé —, nos élites ont-elles mesuré l’ampleur de leur rejet par les Français ? Que nos « responsables » le deviennent enfin en lisant les rapports préfectoraux : ils se prépareront d’autant mieux à nous rendre prochainement des comptes sur des décennies de mensonges ...et de profits. L’état actuel du pays est de leur fait. Si nous sommes tous des « bonnets rouges », c’est parce que ce mouvement a transcendé, dès le départ, les divisions sociales et que la contestation fiscale s’ouvre progressivement sur une véritable prise de conscience par les forces vives du pays réel de l’impasse dans laquelle nous conduit le régime. L’avenir prochain dira si ce mouvement n’aura été qu’un signe avant-coureur ou l’acte premier de la révolte nécessaire.
François Marcilhac - L’AF 2874
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-NOUS-SOMMES-TOUS-DES
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[Reportage] 11 novembre 1940 - 11 novembre 2013 : une même résistance
C’est avec retard que nous présentons à nos lecteurs le reportage photographique de la commémoration, le 11 novembre 2013 au soir, de la manifestation patriotique du 11 novembre 1940 à laquelle participèrent de nombreux étudiants parisiens d’Action française.
Les arrestations de patriotes opérées par l’occupant allemand furent alors nombreuses. Mais le matin même du 11 novembre 2013, les arrestations de patriotes opérées sur les ordres de l’occupant hollandais de l’Elysée ont été tout aussi nombreuses. D’où le retard mis à la diffusion de ce reportage.
En effet, plus de 50 militants d’Action française étaient encore en garde à vue sur l’ordre de Manuel Valls lorsque se déroulait la commémoration à l’Etoile le soir.
Cela n’a pas empêché une foule nombreuse de se presser devant la plaque honorant les résistants du 11 novembre 1940, autour d’Oliver Perceval, secrétaire général de l’Action française, et d’André Pertuzio, co-organisateur de la manifestation du 11 novembre 1940 et Vice-président de l’Amicale des Résistants du 11 Novembre 1940, qui a tenu à soutenir dans un communiqué les jeunes patriotes qui, le matin même, avait suivi ses traces et celles de ses camarades de 1940.
Cette foule est venue honorer à la fois les résistants de 1940 et ceux de 2013.
Les premiers arrivés, portant les drapeaux
La foule commence à se presser autour de la plaque commémorative
La gerbe de l’Action française se fraie un chemin jusqu’à la plaque
La minute de silence
La plaque
Olivier Perceval et les porte-drapeaux
De gauche à droite : Olivier Perceval, écoutant le témoignage d’André Pertuzio
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Reportage-11-novembre-1940-11
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Journée Internationale de lutte contre les violences faites aux femmes : Les Antigones se mobilisent !
Premier terrain de lutte choisi par les Antigones à l’occasion de la petite marche contre les violences faites aux femmes,
La chosification du corps, fondement de l’esclavage, constitue peut-être la violence la plus fondamentale à l’égard de la femme – réduite au corps dont on dispose, la femme est niée dans son existence personnelle. Deux thèmes fondamentaux dans la société actuelle sont liés à cette problématique : la banalisation du droit à l’IVG, et la légalisation possible de la GPA.
La Gestation pour autrui ou le nouvel esclavage
Les débats autour de la GPA en sont l’exemple-type : réduite à sa fonction de procréation, le corps de la femme est soumis aux lois du marché. La philosophe Sylviane Agacinski1,, intervenue sur le sujet dans une émission de France Info, y souligne à quel point la banalisation de cette pratique est une violence faite aux femmes. La GPA se pratique au détriment des plus pauvres, et revient à « considérer les femmes comme des moyens de production ». La location d’utérus représente une servitude nouvelle, dissimulée sous une rhétorique du progrès qui refuse toute interrogation morale.La GPA constitue l’une des formes modernes de l’esclavage, où la personne humaine est niée dans son intégrité. Généralisée à l’échelle sociale, elle serait l’expression la plus aboutie de la violence à l’égard de la femme.
Incitation à l’avortement : une violence dont on ne parle pas
Aujourd’hui en France, aucun dispositif légal ne protège les femmes victimes de pressions psychologiques les poussant à avorter. Le délit d’incitation à l’avortement a été supprimé par Mme Aubry en 2001. Cette décision participe d’un courant qui tend à faire de l’avortement non plus une possibilité extrême mais un droit qu’il est de bon ton d’exercer.
La réalité vécue est différente : quand une femme est en situation de grosse non désirée, c’est souvent l’entourage qui pousse à l’avortement, parfois jusqu’à la violence physique. L’adolescente enceinte jetée à la porte de chez elle reste une réalité aujourd’hui encore. Le rôle de ceux qui nous dirigent n’est pas de cautionner ces pressions, mais d’en protéger les femmes.
Notre gouvernement fait l’inverse en traitant l’avortement comme un « acte médical comme un autre ». Dans un contexte où l’omerta est déjà la règle sur les problèmes médicaux et psychologiques que peuvent traverser les femmes qui ont avorté, quelle femme osera critiquer ce qu’on lui aura offert comme un droit ?
Concentrer les efforts gouvernementaux sur la facilitation de l’IVG ne se fait-il pas aujourd’hui au détriment du développement d’organismes de soutien et de la recherche d’alternatives pour les femmes ? Ces alternatives peuvent exister : dans l’Etat du Maine, la mise en place de 25 centres de soutien aux femmes enceintes associée à des campagnes d’information a fait chuter de 23,3% le nombre d’IVG entre 2010 et 2011 – l’avortement serait-il pour certaines un choix par défaut ?
Notes:
1 http://www.dailymotion.com/video/x172ca8_sylviane-agacinski-la-gpa-est-une-demission-de-la-pensee_news#.UoIPFk8DEx4.twitter
2 http://madame.lefigaro.fr/societe/de-plus-plus-difficile-davorter-071113-608696
3 http://www.liberation.fr/societe/2012/03/09/faut-il-s-inquieter-du-recours-a-l-avortement-des-jeunes-oui_801666ehttp://antigones.fr/blog/2013/11/18/la-chosification-du-corps-premiere-violence-faite-aux-femmes/